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Étienne von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard)

Étienne von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard)

männlich - 1250

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Generation: 1

  1. 1.  Étienne von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard)Étienne von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) (Sohn von Graf Richard III. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) und Agnes von Burgund (von Auxonne)); gestorben in Sep 1250.

Generation: 2

  1. 2.  Graf Richard III. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard)Graf Richard III. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) (Sohn von Graf Amadeus II. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) und Beatrix Joinville); gestorben in zw 1148 und 1150.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Comte de Montbéliard Seigneur de Montfaucon
    • Titel (genauer): 1195-1227, Grafschaft Mömpelgard (Montbéliard); Graf von Mömpelgard (Haus Montfaucon) https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Mömpelgard

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Montfaucon_(Adelsgeschlecht)

    Die Herren von Montfaucon waren ein burgundisches Adelsgeschlecht. Von 1163 bis 1397 waren sie Grafen von Montbéliard (Mömpelgard).

    Geschichte
    Die Herren von Montfaucon sind seit der Mitte des 11. Jahrhunderts als Besitzer der Burg in Montfaucon bei Besançon belegt. Sie waren Vasallen der Pfalzgrafen von Burgund. 1119 trugen sie durch reiche Stiftungen zur Gründung des Zisterzienserklosters Bellevaux bei, des ersten Zisterzienserklosters in der Franche-Comté, als dessen Tochterkloster sie 1123/24 das Kloster Lützel gründeten. Amadeus II. erbte 1163 die Grafschaft Mömpelgard. Er erwarb 1168 die Hälfte der Herrschaft Orbe und (vermutlich durch Heirat mit Beatrix von Grandson) die Herrschaft Montagny-le-Corbe und legte damit die Grundlagen für den waadtländischen Besitz der Familie.

    Amadeus’ Sohn Walter nahm am Vierten Kreuzzug teil, wurde Konstabler des Königreichs Jerusalem und Regent des Königreichs Zypern. Nach dem Tod Richards III. teilten seine Söhne 1229 den Besitz. Dietrich erhielt Mömpelgard, sein jüngerer Bruder die waadtländischen Besitzungen, Orbe, Montagny-le-Corbe und Echallens; 1255 erwarb er auch die andere Hälfte von Orbe.

    Dietrich vererbte 1282 Montbéliard an seine Urenkelin Guillemette von Neuenburg und deren Gatten Rainald von Burgund. Durch die Heirat von Rainalds Tochter Agnes mit Heinrich I. aus der jüngeren Linie kam die Grafschaft Mömpelgard 1320 wieder in den Beitz des Hauses Montfaucon. Heinrichs Sohn Stephan war der Letzte seines Geschlechts. Nach seinem Tod 1397 fiel Mömpelgard an Henriette, die Tochter von Stephans Sohn Heinrich, der 1396 in der Schlacht von Nikopolis gefallen war. Durch die Ehe Henriettes mit Graf Eberhard IV. kam die Grafschaft an das Haus Württemberg. Die waadtländischen Besitzungen fielen durch die Ehe von Henriettes Schwester Johanna mit Ludwig II. von Chalon-Arly an das Haus Chalon.

    Die Familie stellte drei Erzbischöfe von Besançon:

    Hugo II. (1067–1085)
    Dietrich II. (1181–1190)
    Ludwig von Montfaucon (1361–1362)


    Literatur
    Elisabeth Lalou: Montfaucon. In: Lexikon des Mittelalters (LexMA). Band 6, Artemis & Winkler, München/Zürich 1993, ISBN 3-7608-8906-9, Sp. 798 f.
    Ansgar Wildermann: Montfaucon, de. In: Historisches Lexikon der Schweiz.
    Weblinks
    BURGUNDY KINGDOM NOBILITY, Ch. 6 G, SEIGNEURS de MONTFAUCON. In: Medieval Lands. Foundation for Medieval Genealogy, abgerufen am 17. Juni 2012 (englisch).
    BURGUNDY KINGDOM NOBILITY, Ch. 6 A, COMTES de MONTBELIARD (GRAFEN von MÖMPELGARD). In: Medieval Lands. Foundation for Medieval Genealogy, abgerufen am 17. Juni 2012 (englisch).



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_III_de_Montfaucon

    Richard III de Montfaucon, (? - 7/17 juin 1227/37), est comte de Montbéliard1 et seigneur de Montfaucon.

    Biographie
    En 1192 il rencontre le supérieur du couvent de Payerne en présence d'Amédée Ier de Gex, fils d'Amédée Ier de Genève afin qu'ils fixent ensemble les limites de terres de Montfaucon, à savoir : la moitié d'Orbe et la garde de son château, la terre d'Oulens avec les bois d'Orjulaz s'étendant des deux côtés du Talent, la terre de Bavois avec les villages de Corcelles-sur-Chavornay et de Suchy, la terre de Montagny-le-Corbos et des droits à Yverdon2.

    Henri VI meurt brutalement en 1197 alors que son fils Frédéric II n'était encore qu'un enfant de trois ans. Les grands de Germanie, soucieux d'éviter une minorité comme celle d'Henri IV, se tournèrent vers le frère du défunt : Philippe de Souabe fut élu en 1198 roi des Romains, en place de son neveu. Le pape lui suscita immédiatement un concurrent, le Welf Othon IV pour qui Richard III et Étienne II d'Auxonne, alors comte vassal de Bourgogne, prirent parti contre l'avis d'Amédée de Tramelay, évêque de Besançon. Il s'ensuit l'excommunication de Richard et de Gauthier après qu'ils eurent fait prisonnier l'évêque Amédée. Une transaction est trouvée en 1199 par laquelle le comte de Montbéliard et le sire de Montfaucon renoncent à leurs prétentions sur dans le Jorat en contrepartie de la levée de leur excommunication2.

    Au début du xiiie siècle Richard prend une part active dans la guerre entre son beau-frère Étienne II d'Auxonne et Othon de Méranie, d'autant plus que ce dernier occupait le château d'Orbe par l'intermédiaire de Guillaume IV de Mâcon dans le but d'intercepter les secours qu'attendait Étienne III. Quelques années plus tard il est en guerre contre le comte de Ferrette Frédéric II qui venait de faire élever une fortification à Delle en représailles de l'édification du château de Belfort, une médiation est trouvée et scellée par la promesse de mariage des deux enfants des protagonistes2.

    Famille
    Ascendance
    Il est le fils d'Amédée II de Montfaucon et de Béatrice de Grandson-Joinville fille de Roger.

    Mariage et succession
    Il épouse Agnès de Bourgogne, ou Agnès d'Auxonne – sœur du comte Étienne II-III d'Auxonne ou de Bourgogne et fille d'Étienne Ier-II, lui-même fils de Guillaume IV-III – de qui il a3 :

    Thierry III de Montbéliard, (1205 - 1283), comte de Montbéliard depuis 1227/28, il épouse Alix fille de Frédéric II de Ferrette de qui il a :
    Richard dit de Montfaucon (il épouse Catherine fille de Mathieu II de Lorraine),
    Sibylle (elle épouse Rodolphe III de Neuchâtel, d'où la succession des comtes de Montbéliard en 1283 par leur petite-fille Guillemette, mère d'Agnès de Bourgogne ci-dessous),
    Béatrix (elle épouse Eudes d'Arguel),
    Agathe (elle épouse Ulrich IV de Neuchâtel-Aarberg),
    Marguerite (elle épouse Richard Ier de Neufchâtel-Bourgogne)
    Amédée III, seigneur de Montfaucon, père de :
    Gauthier II et grand-père d'Henri de Montfaucon (comte de Montbéliard par sa femme et petite-cousine Agnès de Bourgogne-Comté ci-dessus), d'où la suite des seigneurs de Montfaucon, et des comtes de Montbéliard à partir de 1339
    Jean Ier seigneur de Montfaucon, d'Orbe et d'Echallens
    Agnès († 1278), femme d'Aimon II, comte de Genève : d'où deux filles, avec postérité dans la Maison de Vienne.
    Richard IV-Ier de Montfaucon (? - 1277), dit Richard de Montbéliard, seigneur (d'Antigny ?), de Courchaton et de Montrond : il épouse Isabelle, dame de Montfort, fille de Guillaume de Chay et de Marguerite de Mailly (Mailly-la-Ville ?) († 1273, aussi mariée à Hugues de Bellevesvre, † 1255 d'où : Marguerite de Bellevesvre († âgée vers 1308, x Gaucher II de Broyes, seigneur de Commercy, Châteauvillain et Montrivel-Champagnole) ; et son frère Perrot de Bellevesvre de Chay (père de Jean, lui-même père de Marguerite de Bellevesvre de Chay qui épouse Henri II d'Antigny sire de Sainte-Croix, petit-neveu d'Hugues comte de Vienne : d'où entre autres enfants Huguette d'Antigny-Ste-Croix, † 1359, dame de Chagny et de Chay, femme de Philippe II-III de Vienne — un arrière-petit-fils d'Hugues comte de Vienne — seigneur de Lons en partie, Pymont, Montmorot, Ruffey), d'où :
    Thierry de Montbéliard-Courchaton, † 1287, x la capétienne Jeanne de Monta(i)gu dame d'Antigny et de Chagny – † 1291, fille de Philippe de Montagu († vers 1277, x Blanche de Neublans d'Antigny) ; fils d'Eudes de Monta(i)gu († 1247, x Elisabeth de Courtenay) ; fils d'Alexandre de Bourgogne-Montaigu, † 1205 ; parents de :
    Richard II de Montbéliard-Courchaton sire d'Antigny et de Chagny, † 1337 (à sa mort, Chagny semble passer à la branche des Bellevesvre de Chay-d'Antigny-Ste-Croix-de Vienne ci-dessus), qui x 1° Marguerite fille de Jean III de Thorotte, puis x 2° Isabelle de Pontailler de Talmay, d'où (plutôt du 1°) :
    Jeanne de Montfaucon, † 1337, x le maréchal et Grand bouteiller de France Miles IX de Noyers, † 1350 ; parents de :
    Jean Ier de Noyers, † 1362, comte de Joigny, d'où la suite des comtes de Joigny et des sires d'Antigny,
    Étienne, (? - septembre 1250), haut doyen du chapitre métropolitain de Besançon,
    Comtesson, (? - février 1251), elle épouse Humbert II de Cossonay.
    Notes et références
    ↑ "Richardus comes Montisbeligardi et Galterius frater eius (Richard comte de Montbéliard et son frère Gauthier)" sont témoins de la charte datée de 1201 qui enregistre une donation à l'abbaye de Cîteaux (Médiéval Généalogie [1] [archive])
    ↑ a, b et c Recherches historiques sur les acquisitions des sires de Montfaucon et de la maison de Chalons dans le pays-de-Vaud
    ↑ Une charte de 1218 stipule : "Ricardus comes Montisbiligardis (Richard comte de Montbéliard)" confirme un don à l'abbaye Notre-Dame de Bellevaux, fait par "Richard Montisfalconis et Amedei patris mei (Richard de Montfaucon et mon père Amédée)", avec le consentement de "uxore mea Agnete (ma femme Agnès) et filiis meis Theoderico, Amedeo et Stephano (et mes fils Thierry, Amédée et Étienne" (Médiéval Généalogie [2] [archive])
    Sources
    Frédéric Charles Jean Gingins-La Sarraz, Recherches historiques sur les acquisitions des sires de Montfaucon et de la maison de Chalons dans le pays-de-Vaud, G. Bridel, 1857 (lire en ligne [archive]), p. 22 à 36.
    Roglo, Richard III de Montfaucon, [3] [archive].
    Fabpedigree, Richard III de Montfaucon, [4] [archive].
    Geneall, Richard de Montfaucon, [5] [archive].
    Médiéval Généalogie, Richard III de Montfaucon [6] [archive].
    Voir aussi
    Liens internes
    Comte de Montbéliard
    Seigneurs de Montfaucon
    Liens externes
    Médiéval Généalogie [archive]

    Richard + Agnes von Burgund (von Auxonne). [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Agnes von Burgund (von Auxonne)Agnes von Burgund (von Auxonne) (Tochter von Graf Stephan III. von Auxonne (von Chalon) und Beatrix von Chalon (Thiern)).
    Kinder:
    1. Dietrich III. (Thierry) von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) wurde geboren in 1205; gestorben in 1283.
    2. Herr Amadeus III. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) gestorben am 15 Jan 1280.
    3. Richard IV. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) gestorben in 1277.
    4. 1. Étienne von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) gestorben in Sep 1250.
    5. Comtesson von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) gestorben in Feb 1251.


Generation: 3

  1. 4.  Graf Amadeus II. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard)Graf Amadeus II. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) wurde geboren in 1130 (Sohn von Richard II. de Montfaucon und Sophia von Montbéliard); gestorben in 1195.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Montfaucon; Herr von Montfaucon
    • Titel (genauer): 1163-1195, Grafschaft Mömpelgard (Montbéliard); Graf von Mömpelgard (Haus Montfaucon) als Amadeus I.

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Am%C3%A9d%C3%A9e_Ier_de_Montfaucon



    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Amadeus_II._(Montfaucon) (Mai 2018)

    Von seinem Vater erbte er die Herrschaft Montfaucon. Beim Tod seines Großvaters mütterlicherseits, Dietrich II. von Mömpelgard, erbte er 1163 von diesem die Grafschaft Montbéliard.

    Er heiratete (möglicherweise in zweiter Ehe) Beatrix von Grandson-Joinville.
    Er hatte mehrere Töchter und zwei Söhne. Von letzteren folgte ihm der Ältere, Richard III., als Graf von Mömpelgard, der Jüngere, Walter († 1212) begab sich als Kreuzfahrer ins Heilige Land und machte dort Karriere als Konstabler von Jerusalem und Regent von Zypern.

    Amadeus widersetzte sich dem Bruder des Kaisers, Pfalzgraf Otto I. von Burgund, der seinen Machtbereich zu Amadeus′ Lasten auf das Elsass ausbreiten wollte. Bei einer Verhandlung mit Otto im Frühling 1195 wurde er von diesem eigenhändig getötet.

    Geburt:
    Sohn von Richard II., Herr von Montfaucon, und Sophia von Montbéliard.

    Titel (genauer):
    https://de.wikipedia.org/wiki/Montfaucon_(Doubs)

    Titel (genauer):
    https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Mömpelgard

    Gestorben:
    Getötet von Otto I. von Burgund.

    Amadeus + Beatrix Joinville. Beatrix (Tochter von Herr Roger von Joinville und Adélaïde von Vignory) wurde geboren in cir 1115; gestorben in cir 1181. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 5.  Beatrix JoinvilleBeatrix Joinville wurde geboren in cir 1115 (Tochter von Herr Roger von Joinville und Adélaïde von Vignory); gestorben in cir 1181.

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Herren_und_Fürsten_von_Joinville

    Liste der Herren und Fürsten von Joinville
    Der Bau der Burg von Joinville im Jahre 1027, durch Étienne de Vaux, steht am Beginn der Herrschaft. Die Herren von Joinville stiegen im hohen Mittelalter zum führenden Adel der Champagne auf. Seit Gottfried III. ist das Amt eines Seneschalls der Champagne in der Familie erblich. Dessen Urenkel, Jean de Joinville, wurde als Biograph König Ludwigs des Heiligen bekannt.

    Für François de Lorraine wurde Joinville im Jahr 1552 durch König Heinrich II. in den Rang eines Fürstentums erhoben, mit dem der Titel Prince de Joinville verbunden war.

    Erstes Haus der Herren von Joinville
    1027–1060 Stephan (Étienne de Vaux)
    1060–1080 Gottfried I. Sohn
    1080–1096 Gottfried II. Sohn
    1096–1128 Roger Sohn
    1128–1184 Gottfried III. der Alte Sohn
    1184–1190 Gottfried IV. Sohn
    1190–1204 Gottfried V. Sohn
    1204–1233 Simon Bruder
    1233–1317 Johann Sohn
    1317–1343 Anselm Sohn
    1343–1365 Heinrich (Graf von Vaudémont) Sohn
    1365–1418 Margarethe (Gräfin von Vaudémont) Tochter
    Haus Lothringen-Vaudémont
    1392–1415 Friedrich I. (Graf von Vaudémont) Sohn Herzog Rudolfs von Lothringen, Ehemann Margarethes
    1415–1447 Antoine (Graf von Vaudémont) Sohn
    1447–1470 Friedrich II. (Graf von Vaudémont) Sohn
    1470–1476 Nicolas Sohn
    1476–1508 René (II.) (Graf von Vaudémont und Herzog von Lothringen) Bruder
    Haus Lothringen-Guise
    1508–1550 Claude (Herzog von Guise) Sohn
    1550–1563 François Le Balafré (Herzog von Guise) Sohn
    1563–1588 Heinrich I. Le Balafré (Herzog von Guise) Sohn
    1588–1640 Charles (Herzog von Guise) Sohn
    1640–1641 Henri II. (Herzog von Guise) Sohn
    1641–1654 Henriette Catherine de Joyeuse (Herzogin von Joyeuse) Mutter von Henri II. und Louis
    1654–1664 Louis (Herzog von Joyeuse) Sohn
    1664–1671 Louis Joseph (Herzog von Guise und Joyeuse) Sohn
    1671–1675 François Joseph (Herzog von Guise und Joyeuse) Sohn
    1675–1688 Marie (Herzogin von Guise und Joyeuse) Tochter von Charles
    Haus Bourbon-Orléans
    1688–1693 Anne Marie Louise (Herzogin von Montpensier) Tochter von Jean-Baptiste Gaston de Bourbon, duc d’Orléans
    1693–1701 Philippe I. (Herzog von Orléans) Sohn von König Ludwig XIII.
    1701–1723 Philipps II. (Herzog von Orléans, Regent von Frankreich) Sohn
    1723–1752 Louis (Herzog von Orléans) Sohn
    1752–1785 Louis Philippe I. (Herzog von Orléans) Sohn
    1785–1793 Louis-Philippe II. Joseph (Philippe Égalité) (Herzog von Orléans) Sohn
    1793–1830 Louis Philippe (Herzog von Orléans, König der Franzosen) Sohn
    1830–1842 Ferdinand Philippe (Herzog von Orléans und Chartres) Sohn
    1842–1900 François Bruder
    1900–1910 Robert (Herzog von Chartres) Sohn von Ferdinand Philipp
    1910–1940 Jean (Herzog von Guise, Thronprätendent) Sohn
    1940–1999 Henri Robert (Graf von Paris, Thronprätendent) Sohn
    1999– Henri Philippe (Graf von Paris, Thronprätendent) Sohn


    Name:
    Wir auch mit folgenden Namen erwähnt..?
    Beatrice de Joinville, dame d’Orbe
    Beatrix von Grandson-Joinville

    Kinder:
    1. 2. Graf Richard III. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) gestorben in zw 1148 und 1150.
    2. Agnes von Montfaucon (Mömpelgard)
    3. Walter von Montbéliard (Mömpelgard) gestorben in 1212.

  3. 6.  Graf Stephan III. von Auxonne (von Chalon)Graf Stephan III. von Auxonne (von Chalon) wurde geboren in cir 1172 (Sohn von Graf Stephan II. von Auxonne (von Chalon) und Judith von Lothringen); gestorben am 16 Mrz 1241 in Marnay.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Englischer Name: Stephen III of Auxonne
    • Französischer Name: Étienne II d'Auxonne
    • Titel (genauer): Graf von Auxonne und Chalon-sur-Saône (iure uxoris)

    Notizen:

    English: https://de.wikipedia.org/wiki/Stephan_III._(Auxonne)

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_II_d%27Auxonne



    https://de.wikipedia.org/wiki/Stephan_III._(Auxonne)

    Stephan III. (* um 1172, † 16. März 1241 in Marnay), war ein Graf von Auxonne und Chalon-sur-Saône (iure uxoris) aus dem Haus Burgund-Ivrea. Er war ein Sohn des Grafen Stephan II. von Auxonne († 1173) und der Judith von Lothringen, einer Tochter des Herzogs Matthäus I. von Lothringen.

    Stephan führte eine Fehde gegen den staufischen Pfalzgrafen Otto I. von Burgund. Stephan selbst hatte die Pfalzgrafschaft Burgund beansprucht, nachdem die dortige Linie des Hauses Burgund-Ivrea ausgestorben war. Dazu verbündete er sich mit seinem französischen Nachbarn, Herzog Odo III. von Burgund, unter dessen Lehnshoheit er sich 1197 stellte.
    Nach dem Tod Pfalzgraf Ottos versuchte Stephan die Pfalzgrafschaft über ein Ehebündnis an sein Haus zu bringen, durch eine Heirat seines Sohnes mit Ottos Erbtochter Beatrix. Verhandlungen mit dem Onkel der Erbin, König Philipp von Schwaben, schlugen allerdings bei einem Treffen 1207 in Straßburg fehl. Stattdessen wurde sie ein Jahr später in Bamberg mit Otto I. von Andechs-Meranien (Pfalzgraf Otto II.) verheiratet. Auf dieser Hochzeit fiel König Philipp einem Attentat zum Opfer, wodurch der neue Pfalzgraf seine wichtigste Stütze verlor. Stephan nutzte dies und eröffnete einen Krieg gegen seinen Rivalen, dessen Land er verwüstete. Nach der Vermittlung des Herzogs von Burgund konnte Stephan aus einem Friedensabkommen vom 18. Oktober 1211 Vorteile ziehen. Otto von Andechs verzichtete auf Schadensersatz und erklärte sich bereit, die Pfalzgrafschaft nicht ohne Stephans Einwilligung zu verpfänden, verkaufen oder zu vererben.
    Als sich nach 1213 der Staufer Friedrich II. im Reich durchzusetzen begann, wendete sich die Lage für Stephan. Otto von Andechs kehrte nach Burgund zurück und eröffnete den Krieg von neuem, was erneute langjährige Verwüstungen zur Folge hatte. Im Jahr 1226 nahm Stephan am Albigenserkreuzzug des Königs Ludwig VIII. von Frankreich teil und kämpfte bei der Belagerung von Avignon. Der Krieg gegen Otto von Andechs aber neigte sich zu seinen Ungunsten, nachdem sein Feind bereits im Januar 1226 ein Bündnis mit Graf Theobald IV. von Champagne geschlossen hatte, das Stephan zur Aufgabe zwang. In dem 1227 zu Bèze ausgehandelten Frieden musste Stephan nicht nur seine Ansprüche auf die Pfalzgrafschaft fallen lassen, sondern wurde auch zur Anerkennung Ottos als seinen Lehnsherrn genötigt.
    Stephan zog sich 1237 nach Marnay zurück, dem Witum seiner Tochter Beatrix, und überließ Auxonne wie auch Châlon-sur-Saône seinem Sohn. Der tauschte das Erbe sofort bei Herzog Hugo IV. von Burgund für die Herrschaft Salins ein, Stephan und seine zweite Frau gaben dafür ihr Einverständnis.

    Stephan war in erster Ehe verheiratet mit Beatrix de Thiern († 1227), der Erbtochter des Grafen Wilhelm II. von Chalon aus dem Haus Thiern. Die Ehe wurde um 1200 geschieden, ihre Kinder waren:
    • Agnes († 1223), Äbtissin von Baume-les-Dames; ∞ mit Richard III. de Montfaucon, Graf von Montbéliard
    • Clementia (* um 1190; † nach 1235), 1212 ∞ mit Herzog Berthold V. von Zähringen
    • Johann der Weise (* 1190; † 30. August 1267), Nachkommen Haus Chalon
    • Beatrix († 20. März 1261), 1. ∞ 1210 mit Aimon II. de Faucigny; 2. ∞ 1224 mit Simon de Joinville

    Seine zweite Frau war Agnes von Dreux († 1258), eine Tochter des Grafen Robert II. von Dreux.


    Literatur
    • Michel Roquebert: L'épopée cathare. L'Inquisition. Perrin, Paris 2001, ISBN 2-262-01829-4.

    Stephan heiratete Beatrix von Chalon (Thiern) in 1186, und geschieden in cir 1200. Beatrix (Tochter von Graf Wilhelm II. von Chalon (Thiern)) gestorben in 1227. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 7.  Beatrix von Chalon (Thiern)Beatrix von Chalon (Thiern) (Tochter von Graf Wilhelm II. von Chalon (Thiern)); gestorben in 1227.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Gräfin von Chalon-sur-Saône

    Notizen:

    Stephan III. und Beatrix hatten vier Kinder, drei Töchter und einen Sohn.
    - Agnes († 1223), Äbtissin von Baume-les-Dames; ∞ mit Richard III. de Montfaucon, Graf von Montbéliard
    - Clementia (* um 1190; † nach 1235), 1212 ∞ mit Herzog Berthold V. von Zähringen
    - Johann der Weise (* 1190; † 30. August 1267), Nachkommen Haus Chalon
    - Beatrix († 20. März 1261), 1. ∞ 1210 mit Aimon II. de Faucigny; 2. ∞ 1224 mit Simon de Joinville

    Kinder:
    1. 3. Agnes von Burgund (von Auxonne)
    2. Clementia von Auxonne wurde geboren in cir 1189; gestorben in nach 1235.
    3. Graf Johann I. von Chalon (Salins) wurde geboren in 1190; gestorben in 1267.
    4. Beatrix von Auxonne (Chalon) gestorben am 20 Mrz 1261.


Generation: 4

  1. 8.  Richard II. de MontfauconRichard II. de Montfaucon (Sohn von Herr Amadeus I. von Montfaucon und Méléryle von Neuenburg).

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Montfaucon_(Doubs)

    Montfaucon ist eine Gemeinde im französischen Département Doubs in der Region Bourgogne-Franche-Comté.

    Geographie
    Montfaucon liegt auf 510 m, etwa vier Kilometer östlich der Stadt Besançon (Luftlinie). Das Dorf erstreckt sich im westlichen Jura an aussichtsreicher Lage auf der Jura-Randkette (Côte) zwischen dem tief eingeschnittenen Doubstal im Nordwesten und dem sogenannten ersten Juraplateau (Becken von Saône) im Südosten, auf der Südabdachung der Höhe von Montfaucon.
    Die Fläche des 7,25 km² großen Gemeindegebiets umfasst einen Abschnitt des westlichen französischen Juras. Die nordwestliche Grenze verläuft entlang dem Doubs, der hier tief eingeschnitten zwischen dem Mont de Brégille und der Côte nach Südwesten fließt. Vom Flusslauf erstreckt sich das Gemeindeareal nach Südosten über einen steilen Hang bis auf die Jura-Randkette, die in geologisch-tektonischer Hinsicht eine Antiklinale des Faltenjuras bildet. Der Steilhang wird durch mehrere kurze Erosionsrinnen in verschiedene Vorsprünge untergliedert. Er ist an einigen Orten von Felsbändern durchzogen (Kletterfelsen Roches d’Arbois). Mit 614 m wird beim Fort de Montfaucon die höchste Erhebung von Montfaucon erreicht. Auch der bewaldete Südhang der Jura-Randkette gehört zu Montfaucon. Die Grenze verläuft hier entlang dem Fuß der Kette am Nordrand des ausgedehnten Sumpfgebietes Marais de Saône, das einen Teil des ersten Juraplateaus einnimmt.
    Zu Montfaucon gehört der Weiler La Malate (250 m) im Doubstal. Nachbargemeinden von Montfaucon sind Chalèze im Norden, Gennes im Osten, Saône und Morre im Süden sowie Besançon und Chalezeule im Westen.

    Geschichte
    Die Ortsgeschichte von Montfaucon beginnt um die Mitte des 11. Jahrhunderts, als sich Béraud de Montfaucon, ein Vasall des Grafen von Burgund und des Erzbischofs von Besançon hier niederließ. Der Standort der ersten Holzburg ist jedoch unbekannt. Die Herren von Montfaucon stiegen rasch zu einem der wichtigsten Adelsgeschlechter der Franche-Comté auf. Durch eine Heirat wurde Richard de Montfaucon 1148 zugleich Graf von Montbéliard, was bis zum Erlöschen der Linie Ende des 14. Jahrhundererts Bestand hatte. Wahrscheinlich Mitte des 13. Jahrhunderts wurde die Burg von Montfaucon an den heutigen Standort auf einem Vorsprung über dem Doubstal verlegt. Daneben entwickelte sich der befestigte Burgflecken Montfaucon, der seit 1311 eine Pfarrkirche besaß. 1415 ging die Herrschaft Montfaucon durch Heirat an Louis von Chalon-Arlay aus dem Haus Oranien, das die Herrschaft bis zur Französischen Revolution innehatte. Nach dem Einmarsch Ludwig XI. in die Franche-Comté wurde die Burg 1477 teilweise zerstört.
    Zu Beginn des 16. Jahrhunderts wurden die ersten Einzelhöfe im Bereich des heutigen Dorfkerns erbaut (genannt Montfaucon-les-Granges). Der Dreißigjährige Krieg führte zum Niedergang des Schlosses und des Burgfleckens. Zusammen mit der Franche-CoComté gelangte das Dorf mit dem Frieden von Nimwegen 1678 definitiv an Frankreich. Das ehemalige Montfaucon-les-Granges entwickelte sich zum neuen Ortskern. Als Mitte des 18. Jahrhunderts die Kirche von Vieux-Montfaucon baufällig wurde, entschied man sich, eine neue Kirche im Zentrum des neuen Ortes zu errichten.
    Lange Zeit landwirtschaftlich geprägt, entwickelte sich Montfaucon nach dem Deutsch-Französischen Krieg zum Garnisonsort. Auf der Höhe von Montfaucon wurden 1871 das Fort Vieux und von 1874 bis 1878 das Fort Neuf (heute Fort de Montfaucon) als Teil des Festungssystems um Besançon erbaut. Ende des 19. Jahrhunderts begann die Abwanderung der Dorfbevölkerung nach Besançon, die 1905 mit der Verlegung der 350 Mann starken Garnison nach Besançon noch beschleunigt wurde.

    Sehenswürdigkeiten
    Die Kirche Notre-Dame de la Nativité wurde von 1775 bis 1785 im klassischen Stil erbaut. Vom ehemaligen Château de Montfaucon aus dem 13. Jahrhundert sind die Ruinen erhalten. Auf der Höhe befinden sich die Festungsanlagen des Fort Vieux und des Fort de Montfaucon. Am Standort des Sendeturms bietet sich eine gute Aussicht auf das Doubstal und die nähere und weitere Umgebung. An die Römerzeit erinnern wenige Überreste einer Wasserleitung, die von Arcier nach Vesontio (Besançon) führte.

    Bevölkerung
    Mit 1513 Einwohnern (Stand 1. Januar 2014) gehört Montfaucon zu den kleineren Gemeinden des Département Doubs. Nachdem die Einwohnerzahl in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts stets im Bereich zwischen 250 und 340 Personen gelegen hatte, wurde seit Beginn der 1960er Jahre ein markantes Bevölkerungswachstum verzeichnet. Seither hat sich die Einwohnerzahl vervierfacht.

    Wirtschaft und Infrastruktur
    Montfaucon war bis weit ins 20. Jahrhundert hinein ein vorwiegend durch die Landwirtschaft (Ackerbau, Obstbau und Viehzucht) geprägtes Dorf. Daneben gibt es heute einige Betriebe des lokalen Kleingewerbes. Mittlerweile hat sich das Dorf auch zu einer Wohngemeinde gewandelt. Viele Erwerbstätige sind deshalb Wegpendler, die in der Agglomeration Besançon ihrer Arbeit nachgehen.
    Die Ortschaft liegt zwar abseits der größeren Durchgangsstraßen, ist aber trotzdem verkehrstechnisch gut erschlossen. Die Hauptzufahrt erfolgt von der Passhöhe Trou du Loup an der Hauptstraße N57, die von Besançon nach Pontarlier führt. Der nächste Anschluss an die Autobahn A36 befindet sich in einer Entfernung von ungefähr 14 km. Weitere Straßenverbindungen bestehen mit Fontain, Saône und Bouclans.


    Weblinks
     Commons: Montfaucon (Doubs) – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Offizielle Website der Gemeinde Montfaucon (französisch)

    Richard + Sophia von Montbéliard. Sophia (Tochter von Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard)) gestorben in 1148. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 9.  Sophia von MontbéliardSophia von Montbéliard (Tochter von Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard)); gestorben in 1148.
    Kinder:
    1. 4. Graf Amadeus II. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) wurde geboren in 1130; gestorben in 1195.
    2. Erzbischof Dietrich II. von Montfaucon wurde geboren in cir 1130; gestorben am 15 Nov 1190 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.
    3. Clémentine de Montfaucon wurde geboren in cir 1130; gestorben in 1163 in Fouvent, Frankreich.

  3. 10.  Herr Roger von JoinvilleHerr Roger von Joinville (Sohn von Herr Gottfried II. von Joinville und Hoderine von Courtenay); gestorben in cir 1137.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Joinville
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville

    Notizen:

    Joinville:

    Deutsch: https://de.wikipedia.org/wiki/Joinville_(Haute-Marne)

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Joinville,_Haute-Marne

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Joinville_(Haute-Marne)



    https://de.wikipedia.org/wiki/Roger_(Joinville)

    Roger (* vor 1096; † zwischen 1124 und 1132) war Herr von Joinville.

    Leben
    Roger war der Sohn des Gottfried II. Herr von Joinville, Graf von Joigny und der Hoderine von Courtenay. Beim Tod seines Vaters um 1096 erbte Roger die väterliche Herrschaft Joinville, während sein Bruder Rainald die Grafschaft Joigny erhielt.

    Er nahm am Hofe der Grafen von Champagne den Posten eines Sekretärs ein. Für sie vermittelte und unterzeichnete er Abkommen mit deren Vasallen. Insbesondere schlichtete er den Streit zwischen Graf Arnold von Reynel und der Abtei Montier-en-Der, deren Dörfer von jenem Grafen geplündert wurden. Ironischerweise mussten die Mönche dieser und anderer Abteien von Roger selbst gelegentliche Erpressungen und Raubzüge über sich ergehen lassen. Erst nachdem er (wie schon seine Vorfahren) mit der Exkommunikation bedroht wurde, gab er das gestohlene Gut zurück.

    Ehe und Nachkommen
    Roger war mit der Adelheid (Adelaide), Schwester des Guido von Vignory, verheiratet. Seine Kinder waren:

    Gottfried III., Herr von Joinville
    Robert († 1178)
    Guido, Bischof von Châlons († 1190)
    Adelheid, Äbtissin von Avenai
    Wilhelm, Ordensbruder
    Beatrix ∞ Heinrich, Graf von Grandpré
    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 39–46 (Textarchiv – Internet Archive



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_de_Joinville

    Roger de Joinville, mort vers 1137 était un seigneur de Joinville.

    Biographie
    C'est un familier de la cour de Champagne. Il est en quelque sorte secrétaire du comte, puisqu'il signe pour lui sur plusieurs chartes (de même que Geoffroy III), notamment sur un acte mettant fin aux vexations qu'Arnoul, comte de Reynel, faisait subir aux villages appartenant à l'abbaye de Montier-en-Der. Les moines de cette abbaye eurent à subir également les exactions des comtes de Brienne auxquelles participa Roger de Joinville, tradition familiale oblige.

    Quand le comte de Brienne partit pour la croisade, il rendit à l'Église ses légitimes possessions. Roger de Joinville en fit de même.

    Par la suite, il semble que Roger de Joinville respectât les ordres du Saint-Siège : menacé en un temps d'excommunication (comme le fut Etienne de Vaux), il déclara renoncer à tous les droits qu'il prétendait tenir sur Saint-Urbain, Profonde-Fontaine, Landéville, Poissons, Blécourt, Autigny et Maizières.

    Il conserva le droit de justice sur certains de ces villages, étant précisé l'inviolabilité des délinquants qui parviendraient à se réfugier dans les églises.

    Roger de Joinville épousa Adélaïde de Vignory, fille de Gui III, seigneur de Vignory. Ses fils, Geoffroy III devint sénéchal de la cour de Champagne1, Guy évêque de Chalons, mourra en Terre Sainte.

    Interprétations selon les sources
    Émile Jolibois considère que Roger de Joinville serait le fils de Geoffroy II alors que, pour Henri-François Delaborde, ils seraient frères. Ces différentes interprétations résultent du faible nombre des documents de cette époque.

    L'ordre successoral des seigneurs de Joinville ne s'en trouve pas changé, quelle que soit la version retenue. Si l'hypothèse de Delaborde s'avérait être la bonne, la fin de la ligne mâle directe s'arrêterait à Goeffroy II. Roger de Joinville commencerait la seconde, et Simon de Joinville, la troisième.

    Notes et références
    ↑ Pierre Ulrich, Guy de Joinville, évêque de Châlons, in Mémoires de la socièté d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne, tome 77, 1962, Chalons-sur-Marne.
    Sources
    Gallica Delaborde, Henri-François (1854-1927). Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive]
    Émile Jolibois, La Haute-Marne Ancienne et Moderne, 1971, (ISBN 2-84178-037-6)
    Voir aussi
    Liste des comtes de Champagne
    Liste des seigneurs puis princes de Joinville

    Roger + Adélaïde von Vignory. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 11.  Adélaïde von VignoryAdélaïde von Vignory (Tochter von Herr Gui III. von Vignory und Beatrix von Burgund).

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Vignory

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Vignory




    https://de.wikipedia.org/wiki/Vignory

    Vignory liegt in der französischen Region Grand Est im Département Haute-Marne. Das Dorf mit 253 Einwohnern (Stand 1. Januar 2015) gehört zum Arrondissement Chaumont und war bis 2015 Zentrum des Kantons Vignory. Seit März 2015 gehört es zum Kanton Bologne. Vignory liegt in einem kleinen Seitental der Marne und wird überragt von den Ruinen einer im 11. Jahrhundert vom normannischen Ritter Raoul Barbeta errichteten Burg.

    Sehenswürdigkeiten
    Kulturhistorisch von Bedeutung ist die Kirche St-Étienne, die zwischen 1032 und 1057 mit einem Priorat erbaut wurde. Sie ist ein Beispiel für die romanische Architektur im 11. Jahrhundert. Ein viereckiger Glockenturm, den ein achtseitiger Helm bekrönt, trägt auf jeder Seite der beiden oberen Stockwerke zwei gekreuzte Zwillingsbögen.

    Notizen:

    Roger und Adélaïde hatten 6 Kinder, 4 Söhne und 2 Töchter.
    - Gottfried III., Herr von Joinville
    - Robert († 1178)
    - Guido, Bischof von Châlons († 1190)
    - Adelheid, Äbtissin von Avenai
    - Wilhelm, Ordensbruder
    - Beatrix ∞ Heinrich, Graf von Grandpré

    Kinder:
    1. Herr Geoffroy III. (Gottfried) von Joinville gestorben in 1188.
    2. 5. Beatrix Joinville wurde geboren in cir 1115; gestorben in cir 1181.

  5. 12.  Graf Stephan II. von Auxonne (von Chalon)Graf Stephan II. von Auxonne (von Chalon) gestorben in 1173.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Auxonne

    Stephan heiratete Judith von Lothringen in 1170. Judith (Tochter von Herzog Matthäus I. von Lothringen und Bertha von Schwaben) wurde geboren in 1140; gestorben in 1173. [Familienblatt] [Familientafel]


  6. 13.  Judith von Lothringen wurde geboren in 1140 (Tochter von Herzog Matthäus I. von Lothringen und Bertha von Schwaben); gestorben in 1173.
    Kinder:
    1. 6. Graf Stephan III. von Auxonne (von Chalon) wurde geboren in cir 1172; gestorben am 16 Mrz 1241 in Marnay.

  7. 14.  Graf Wilhelm II. von Chalon (Thiern)Graf Wilhelm II. von Chalon (Thiern) (Sohn von Graf Wilhelm I. von Chalon (Thiern)); gestorben am 3 Jan 1203.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Chalon-sur-Saône

    Notizen:

    Aus seiner Ehe mit einer namentlich nicht bekannten Frau hatte er eine Tochter.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_II._(Chalon)

    Wilhelm II. († 3. Januar 1203)[1] war ein Graf von Chalon aus dem Haus Thiern. Er war ein Sohn des Grafen Wilhelm I. von Chalon.
    Im Jahr 1174 verzichtete Wilhelm auf seine Rechte um das Land von Saint-Benoît-sur-Loire zugunsten der gleichnamigen Abtei.[2] Einen langjährigen Konflikt trug er mit der Abtei Cluny um den Besitz von Paray-le-Monial aus, die 1180 eine Intervention des Königs Philipp II. August provozierte.[3] Der König erzwang eine vertragliche Einigung zwischen den Konfliktparteien.[4] Wilhelm nahm am dritten Kreuzzug teil und erreichte im Juli 1190 die Belagerung von Akkon.[5][6]
    Aus seiner Ehe mit einer namentlich nicht bekannten Frau hatte er eine Tochter:
    • Beatrix († 7. April 1227), Gräfin von Chalon
    • ∞ mit Graf Stephan III. von Auxonne († 1241)
    • ∞ mit Guillaume III. des Barres († 1249)

    Einzelnachweise
    1 Das Sterbedatum ist im Nekrolog der Kathedrale Saint-Vincent von Chalon-sur-Saône verzeichnet. Siehe dazu Obituaires de la province de Lyon II: Diocèses de Mâcon et de Chalon-sur-Saône, hrsg. von Jacques Laurent und Pierre Gras in: Recueil ds historiens de la France (1965), Obituaires 5, S. 569
    2 Maurice Prou und Alexandre Vidier: Recueil des chartes de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire 2 (1907), Nr. 206, S. 57–59
    3 Rigord, Gesta Philippi Augusti, hrsg. von Léopold Delisle in: Recueil des Historiens des Gaules et de la France 17 (1878), S. 6
    4 Auguste Bernard und Alexandre Bruel: Recueil des chartes de l'abbaye de Cluny 5 (1894), Nr. 4277, S. 639
    5 Itinerarium peregrinorum et gesta regis Ricardi Lib. I, Cap. XLII, hrsg. von William Stubbs: Chronicles and Memorials of the Reign of Richard I, in: Rolls Series 38 (1864), Vol. 1, S. 93
    6 Ambroise, Estoire de la guerre sainte, hrsg. von Marianne Ailes: The history of the Holy War: Ambroise’s Estoire de la guerre sainte (2004), Vol. 2, S. 82

    Kinder:
    1. 7. Beatrix von Chalon (Thiern) gestorben in 1227.


Generation: 5

  1. 16.  Herr Amadeus I. von MontfauconHerr Amadeus I. von Montfaucon (Sohn von Herr Richard I. von Montfaucon); gestorben in nach 1110.

    Amadeus + Méléryle von Neuenburg. Méléryle (Kind von Herr Mangold I. von Vinelz (von Neuenburg)) wurde geboren in cir 1080. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 17.  Méléryle von Neuenburg wurde geboren in cir 1080 (Kind von Herr Mangold I. von Vinelz (von Neuenburg)).
    Kinder:
    1. 8. Richard II. de Montfaucon
    2. Gauthier von Montfaucon

  3. 18.  Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard)Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard) (Sohn von Graf Dietrich I. von Mousson-Scarponnois und Gräfin Ermentrud von Burgund); gestorben in Jan 1163.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Besitz: Lieucroissant; Stifter des Kloster https://de.wikipedia.org/wiki/Kloster_Lieu-Croissant
    • Besitz: Belchamp; Stifter des Kloster https://de.wikipedia.org/wiki/Voujeaucourt
    • Titel (genauer): 1105-1163, Grafschaft Mömpelgard (Montbéliard); Graf von Mömpelgard (Haus Montbéliard) https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Mömpelgard

    Notizen:

    Auszug aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Montbéliard

    Montbéliard

    Montbéliard (deutsch Mömpelgard) ist eine Stadt mit 25.336 Einwohnern (Stand 1. Januar 2015) im Département Doubs in der Bourgogne-Franche-Comté im Osten Frankreichs.

    Der frühere deutsche Name Mömpelgard beruht auf der 400-jährigen Zugehörigkeit zum weltlich-historischen Territorium des Hauses Württemberg.

    Geografie
    Der Ort liegt an der Mündung der Lizaine in den Unterlauf der Allaine, bevor diese wenige Kilometer südlich in den Doubs mündet. Die Stadt ist Sitz einer Unterpräfektur im Norden des Départements Doubs nahe der Grenze zum Nachbardepartement Territoire de Belfort etwa 15 km südlich von dessen Hauptstadt Belfort. Die als Burgundische Pforte bekannte Landschaft ist von niedrigen, meist langgezogenen Hügeln bestimmt, die von weiten Flusstälern getrennt sind. Die Entfernung zu den südlichen Ausläufern der Vogesen und den Erhebungen des französischen Jura beträgt jeweils etwa 25 Kilometer.

    Geschichte
    Die erste urkundliche Erwähnung der Stadt („Mons Biliardi“ bzw. „Mons Biliardae“ oder nach anderen Quellen „Mons Peligardi“) datiert aus dem Jahr 985; sie soll bereits damals befestigt gewesen sein[2] und bildete bald das Zentrum der Grafschaft Montbéliard.

    Durch das von seinem Vater Graf Eberhard III. abgegebene Eheversprechen des späteren Grafen Eberhard IV. (1415–1417) mit Gräfin Henriette von Mömpelgard (Haus Montfaucon) kam Montbéliard 1397 an das Haus Württemberg, da Henriettes Vater Heinrich von Mömpelgard ohne männliche Erben blieb. Der verballhornte deutsche Name taucht erstmals 1464 als Mümppellgart auf (1495 Mümpelgart, 1603 Mömpelgart). Im Wappen der Herzöge von Württemberg erscheinen die Barben (Fische) von Mömpelgard bis 1817.

    Da in der Folgezeit keine starken Persönlichkeiten in Württemberg regierten, gelang es nicht, die französischen Besitzungen weiter zu vergrößern und zu einem geschlossenen Gebiet zu vereinigen. Während die Grafschaft Württemberg geteilt war, trat Graf Eberhard V., genannt Eberhard im Bart, 1473 alle linksrheinischen württembergischen Besitzungen – neben der Grafschaft Mömpelgard auch die Herrschaften Reichenweiher (Riquewihr) und Horburg an seinen Vetter Heinrich von Württemberg ab, so dass nun ein eigener Regent im Schloss in Montbéliard saß. Allerdings war die Herrschaft durch Machtansprüche Burgunds ständig bedroht. Im Münsinger Vertrag von 1482, der das geteilte Land wieder vereinigte, fielen die linksrheinischen Besitzungen dann wieder an Herzog Eberhard im Bart.

    Herzog Ulrich versuchte bereits im Jahr 1524 die Reformation einzuführen, deren treibende Kraft Guillaume Farel war. Als Farel aus Württemberg vertrieben worden war, hatte er hier Zuflucht gefunden. Die Einführung der Reformation scheiterte jedoch zunächst am Widerstand des Erzbischofs von Besançon. Im Jahre 1537/38 konnte jedoch schließlich die erste evangelische Kirchenordnung (in französischer Sprache) veröffentlicht werden. Seit der Reformation war Montbéliard damit eine lutherische Enklave inmitten einer katholischen Umgebung. Die Pfarrer für Mömpelgard und Horburg-Reichenweier wurden mit den württembergischen Theologen im „Stift“ an der Universität Tübingen ausgebildet. Durch das gemeinsame lutherische Bekenntnis entstand eine starke Verbindung zwischen Württemberg und den elsässischen Gebieten, obwohl die württembergischen Herzöge zeitweise wieder eigene Regenten aus den Nebenlinien des Hauses einsetzten. Immer blieben vor allem die Herrschaften um Mömpelgard von Frankreich bedroht. Allerdings gingen von ihnen auch wichtige kulturelle Impulse aus. Im 17. Jahrhundert befestigte der bedeutende württembergische Baumeister Heinrich Schickhardt die Residenzstadt Mömpelgard und erbaute neben anderen bedeutenden Bauten, wie dem Renaissance-Schloss, in der Stadtmitte von 1601 bis 1607 die große lutherische Kirche, den Temple Saint-Martin.[3] Der Dachreiter kam 1677 hinzu.[3]

    Der Dreißigjährige Krieg stürzte auch die linksrheinischen württembergischen Gebiete in tiefes Elend. Die wirtschaftliche Lage war verheerend und in der Folgezeit suchte Frankreich im Zuge der Eroberungspolitik unter König Ludwig XIV. auch die württembergischen linksrheinischen Besitzungen unter seine Herrschaft zu bringen.

    Seit 1617 regierte wieder ein Zweig der Herzöge von Württemberg in Mömpelgard. Staatsrechtlich war Mömpelgard unabhängig von Württemberg, es entsandte keine Abgeordneten in den württembergischen Landtag. Der letzte Herzog Leopold Eberhard versuchte absolutistisch zu regieren, was zu schweren Spannungen führte.

    Nach seinem Tod 1723 fiel Mömpelgard wieder an die Stuttgarter Linie des Hauses Württemberg; allerdings waren alle Herrschaften noch bis 1736 von Frankreich besetzt. Die letzten Jahrzehnte der württembergischen Herrschaft verliefen ruhig. Seit 1769 residierte Friedrich Eugen von Württemberg in Mömpelgard und hielt vor den Toren der Stadt in Étupes Hof, von wo aus er einige seiner Kinder sehr vorteilhaft verheiraten konnte. Die Tochter, Herzogin Sophie Dorothee, wurde 1776 als Maria Fjodorowna Gattin des Zaren Paul I. von Russland. Die Baronin Henriette von Oberkirch beschreibt in ihren Memoiren das Leben am Mömpelgarder Hof und die Jugend von Maria Feodorowna.

    Im Zuge der Französischen Revolution kam es seit 1789 in den württembergischen Herrschaften zu Aufständen. Die revolutionäre Schreckensherrschaft tobte auch hier. Seit 1793 waren Stadt und Grafschaft Mömpelgard endgültig in französischer Hand. 1796 trat Friedrich Eugen, inzwischen Herzog von Württemberg, die linksrheinischen Herrschaften im Pariser Sonderfrieden an Frankreich ab. Dafür erhielt der Herzog von Württemberg 1803 unter dem Einfluss Napoleons durch den Reichsdeputationshauptschluss große weltliche und geistliche Gebiete in Südwestdeutschland.

    Obwohl die heutigen Einwohner der früheren linksrheinischen Herrschaften französische Staatsbürger sind, ist die ehemals württembergische Tradition weiterhin sichtbar. Es gibt Bauwerke, die an die einstige Herrschaft erinnern. Vor allem in der lutherischen Ausrichtung der Städte und Dörfer hat sich eine Eigenart erhalten, die auf die einstige württembergische Zugehörigkeit zurückgeht. Als erste deutsch-französische Städtepartnerschaft nach dem Zweiten Weltkrieg entstand hier eine Verbindung zwischen Ludwigsburg und Montbéliard. Beide Städte sind ehemalige Residenzen der Herzöge von Württemberg. Zudem werden von der lutherischen Evangelischen Landeskirche in Württemberg auch heute noch Pfarrer zur Unterstützung der lutherischen Gemeinden entsandt.

    Mehr unter dem Link oben..


    Name:
    Stifter der Klöster Belchamp und Lieucroissant

    Kinder:
    1. 9. Sophia von Montbéliard gestorben in 1148.

  4. 20.  Herr Gottfried II. von JoinvilleHerr Gottfried II. von Joinville (Sohn von Herr Gottfried I. von Joinville und Blanche von Reynel (von Mosellane)); gestorben in 1096.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Geoffroy II de Joinville
    • Titel (genauer): Herr von Joinville comes Ioviniaci (Graf von Joigny?)
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_II._(Joinville)

    Gottfried II. von Joinville (frz. Geoffroy II.; † 1096) war Herr von Joinville und comes Ioviniaci (Graf von Joigny?).

    Er war ein Sohn des Gottfried I. von Joinville und der Blanka von Reynel. Wie schon sein Vater und Großvater bereicherte er sich rücksichtslos, meist durch Erpressung, an den ihm zum Schutze anvertrauten Kirchengütern. Mit ihm näherten sich die Herren von Joinville zunehmend den Grafen von Champagne an die ihn zu ihrem Vermittler ihrer Rechtsstreite mit den Äbten der Klöster der Champagne machten.

    Gottfried ging zudem eine, für die Joinvilles, bedeutende Ehe ein. Er heiratete Hoderine von Courtenay, deren Bruder Joscelin von Courtenay später als Graf von Edessa zu einem berühmten Kreuzfahrerfürsten aufstieg. Über ihre Mutter, Elisabeth von Montlhéry, entstammte sie zudem einer der mächtigsten Familien der Île-de-France.

    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 28–38 (Textarchiv – Internet Archive).



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_II_de_Joinville

    Geoffroy II, décédé vers 1096 est un seigneur de Joinville.

    De même que son grand-père Etienne de Vaux et que son père Geoffroy I, il fut avoué de l'abbaye de Montier-en-Der pour la vallée de la Blaise. Comme eux, il se considérait comme maître des biens et territoires qui avaient été confiés à sa protection. De plus, il s'attribuait bien volontiers, par ses menaces, des biens et contributions qu'il n'était pas en droit de lever.

    Sachant qu'il était un familier du comte de Champagne, l'abbé appela ce seigneur puissant pour régler ces litiges.

    Goeffroy II, craignant une sentence sévère, et profitant de l'absence du comte lors de la tentative de conciliation, conclut avec l'abbé un accord semblable à celui qui, en son temps, avait évité à Etienne de Vaux d'être frappé par l'anathème.

    Les moines, toutefois instruits par l'expérience, exigèrent des garanties, qu'ils n'avaient pas osé demander à Etienne de Vaux : dix hommes libres du seigneur de Joinville durent jurer de veiller à l'exécution du pacte, avec obligation de réparer sous 40 jours les dommages que leur suzerain pourrait causer à l'abbaye. Cet accord était perpétuel : à la mort d'un de ces hommes, le seigneur de Joinville devait en désigner un autre, et solvable...

    On peut ici noter la rapide ascension sociale des seigneurs de Joinville. Alors qu'Etienne de Vaux, quelque soixante quinze ans plus tôt, fréquentait les comtes de Brienne, puissants seigneurs de la région, son petit-fils tenait un rang dans l'entourage des Comtes de Champagne, suzerains dominants.

    Il épousa Hodierne, fille de Jocelin de Courtenay.

    Sources
    Gallica Delaborde, Henri-François (1854-1927). Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive]
    Notes et références
    1 (en) Charles Cawley, « Champagne Nobility » [archive], sur Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2016.
    2 Pierre Ulrich, Guy de Joinville, évêque de Châlons, in Mémoires de la socièté d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne, tome 77, 1962, Chalons-sur-Marne.
    Voir aussi
    Liste des comtes de Champagne
    Liste des seigneurs puis princes de Joinville

    Gottfried + Hoderine von Courtenay. [Familienblatt] [Familientafel]


  5. 21.  Hoderine von CourtenayHoderine von Courtenay (Tochter von Joscelin von Courtenay und Elisabeth de Montlhéry).

    Notizen:

    Gottfried II. und Hoderine hatten 5 Kinder, 3 Söhne und 2 Töchter.
    - Gottfried († vor seinem Vater)
    - Rainald (letztmals am 29. Mai 1103 urkundlich erwähnt), genannt comes Ioviniaci (vielleicht identisch mit Graf Rainald III. von Joigny)
    - Roger († um 1124) Herr von Joinville
    - Hedwig († nach 1141) ∞ Gobert III. von Apremont
    - Laure, Äbtissin

    Kinder:
    1. 10. Herr Roger von Joinville gestorben in cir 1137.

  6. 22.  Herr Gui III. von VignoryHerr Gui III. von Vignory (Sohn von Herr Gui II. von Vignory und Hildegarde ?); gestorben in 1125.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Guy III de Vignory

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Vignory

    Maison de Vignory

    Au Moyen Âge, la seigneurie de Vignory était à l'origine démembrée de l'ancien comté de Bologne1 (voir l'article Lambert de Bassigny). Elle formait une baronnie qui comprenait 26 communes, ainsi que la baronnie de Voivre, composée des villages de d'Argentolles-Pratz, Biernes et Harricourt2. Vassaux des comtes de Bourgogne, c'est en 1262 que Gautier II place sa seigneurie sous la mouvance définitive des comtes de Champagne.

    Gautier Ier aurait eu pour armes : d’argent à une hamade de gueules.

    Le premier seigneur connu est Guy I vers 990. On lui doit la fondation de l'église du village qui ne sera terminée que sous son successeur. La famille s’éteignit en Jeanne de Vignory qui épousa vers 1260 Étienne de Châlons.

    Seigneurs de Vignory3
    Guy Ier de Vignory († vers 1032), il serait fils de Raoul Barbeta (Barbarus), et d'une sœur cadette de Lambert de Bassigny4. Marié à Mathilde vers 970 et eurent :
    Roger, qui suit ;
    Gérard, archidiacre à Langres ;
    Ingelbert de Vignory, seigneur d’Ambonville (suivant E. Jolibois)
    Roger de Vignory († v.1059), il épouse Mathilde puis en secondes noces Adèle de Bar-sur-Aube vers 1042, fille de Nocher III, comte de Bar-sur-Aube. Ils eurent :
    Gui II, qui suit ;
    Gérard ;
    Roger, abbé du Der ;
    Wandalger ou Bruno, abbé du Der (mort en 1081)
    Guy II de Vignory dit l'Ancien ou le Rouge (v.1025 - † av 1097). Il est le fils de Roger de Vignory et de Mathilde. Il épouse Hildegarde ? (v.1030-) et eurent :
    Gui III, qui suit ;
    Lambert, archidiacre ;
    Plusieurs filles ;
    Boson dit de Vignory (suivant E. Jolibois).
    Guy III de Vignory (v.1055 - 1108 / † 1125) fils de Guy II de Vignory et de Hildegarde. Il épouse Béatrix de Bourgogne (1063-v.1110), fille de Henri Ier de Bourgogne et de Sybille de Barcelone et ont comme descendance :
    Adélarde (ou Adélaïde) de Vignory, mariée à Roger de Joinville ;
    Guy IV de Vignory, seigneur de Vignory ;
    ? de Vignory.
    Guy IV de Vignory († v. 1150), marié à Alaïs et eurent :
    Guy V ;
    Béatrix, mariée à Robert Wichard de Clefmont, comte de Clefmont ;
    Roger II.
    Barthélemy de Vignory (v.1141 - † 1191), lui et son fils Gui sont comptés au nombre des victimes du siège de Saint-Jean-d’Acre. Il épouse Elvide de Brienne vers 1158, fille de Gautier II de Brienne et eurent :
    Gautier Ier de Vignory, qui suit ;
    Béatrix de Vignory ;
    Gui de Vignory (- 1191).
    Gautier Ier de Vignory († v. 1235), chevalier banneret de Philippe Auguste. Il se croisa en 1199. il épousa Berthe (ou Elisabeth) de Laferté-sur-Amance et eurent :
    Gautier II de Vignory, qui suit ;
    Guy, qui hérita de la seigneurie de Laferté-sur-Amance : d'où postérité, mais sans doute vite éteinte car La Ferté semble aller ensuite au rameau aîné ci-dessous ;
    Gérard, chanoine à Langres.
    Gautier II de Vignory (1229 / † 1262), marié en secondes noces à Isabelle de Sancerre dont il eut :
    Jeanne, mariée à Étienne de Chalon de Salins dit le Sourd († 1302), fils de Jean Ier l'Antique (1190-† 1267) comte de Chalon, comte d’Auxonne, comte-régent de Bourgogne, seigneur de Charolais et de Salins. La descendance de Jeanne et Étienne le Sourd assuma la seigneurie de Vignory, avec passage au XVe siècle aux Vergy jusqu'à Jean IV de Vergy, † vers 1460. Quant à Laferté-sur-Amance, la succession est plus confuse : ce fief entre dans l'obédience des Chalon et se retrouve aux mains d'un cousin germain d'Étienne de Salins, le célèbre chroniqueur de St-Louis, le sénéchal Jean de Joinville, d'où passage à son fils le maréchal Anseau et à son petit-fils le comte Henri V de Vaudémont, d'où succession à Thiébaud VII de Neufchâtel-Bourgogne, puis aux de Ray, enfin aux Choiseul.
    Notes et références
    ↑ Cahier Haut-Marnais n°232-233
    ↑ Cahier Haut-Marnais n°210-211
    ↑ Les sires de Vignory sur le site FMG [archive]
    ↑ Recherches d'histoire chrétienne et médiévale - De Maurice Chaume - Publié par Académie des sciences, arts et belles-lettres, 1947 - p.102
    Liens internes
    Château de Vignory
    Comté de Bassigny

    Gui + Beatrix von Burgund. Beatrix (Tochter von Heinrich von Burgund (Kapetinger) und Sibylla von Barcelona) wurde geboren in 1063; gestorben in vor 1110. [Familienblatt] [Familientafel]


  7. 23.  Beatrix von BurgundBeatrix von Burgund wurde geboren in 1063 (Tochter von Heinrich von Burgund (Kapetinger) und Sibylla von Barcelona); gestorben in vor 1110.

    Notizen:

    Gui III. und Beatrix hatten etwa drei Kinder.
    - Adélarde (ou Adélaïde) de Vignory, mariée à Roger de Joinville ;
    - Guy IV de Vignory, seigneur de Vignory ;
    - ? de Vignory.

    Kinder:
    1. 11. Adélaïde von Vignory

  8. 26.  Herzog Matthäus I. von LothringenHerzog Matthäus I. von Lothringen wurde geboren in cir 1110 (Sohn von Herzog Simon I. von Oberlothringen und Gräfin Adelheid von Hennegau?); gestorben am 13 Mai 1176; wurde beigesetzt in Abtei Clairlieu.

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Matthäus_I._(Lothringen)

    Matthäus I. (* um 1110; † 13. Mai 1176) war Herzog von Lothringen von 1139 bis zu seinem Tod. Er war der Sohn Herzog Simons I. (Haus Châtenois) und Adelheid von Löwen.

    Er folgte seinem Vater in der Zeit, als die Dynastie der Staufer in Deutschland die Macht übernahm. Matthäus heiratete Bertha von Schwaben, Nichte des Königs Konrad III. und Schwester des späteren Kaisers Friedrich Barbarossa, und festigte dadurch die Verbindungen zwischen Lothringen und dem Heiligen Römischen Reich.
    Matthäus I. begleitete Barbarossa auf vielen seiner Reisen, vor allem 1155 nach Rom zur Kaiserkrönung durch Papst Hadrian IV., und nahm an den Kämpfen zwischen dem Kaiser und dem Gegenpapst Viktor IV. einerseits und dem Papst Alexander III. und den Königen von Frankreich und Sizilien andererseits teil.
    In seinem Herzogtum gelang es ihm, die herzogliche Domäne durch widerrechtliche Übergriffe auf das Bistum Toul zu erweitern, was ihm auch eine Exkommunikation einbrachte. Gleichzeitig machte er der Kirche umfangreiche Schenkungen und gründete mehrere Klöster, darunter die Abtei Clairlieu, in der er und seine Frau begraben wurden.

    Er heiratete wohl um 1138, auf jeden Fall vor dem 25. März 1139, Bertha von Schwaben, † zwischen 18. Oktober 1194 und 25. März 1195, Tochter des Friedrich II. von Staufen, Herzog von Schwaben, und der Judith von Bayern. Mit ihr hatte er mindestens sieben Kinder:
    • Sophia, * 1163, † 1217; ∞ Heinrich Ostertag von Windstein
    • Alix, † 1200; ∞ Hugo III., Herzog von Burgund
    • Simon II., Herzog von Lothringen
    • Judith, * 1140, † 1173; ∞ 1170 Stephan II. (Étienne II.), Graf von Auxonne
    • Ferry (Friedrich) I. von Bitsch, Herzog von Lothringen
    • Matthäus, † 1208, Graf von Toul
    • Dietrich IV., † 1181, Bischof von Metz 1174–1179
    • Tochter, † jung


    Literatur
    • Ronald Neumann: Matthäus I.. In: Neue Deutsche Biographie (NDB). Band 16, Duncker & Humblot, Berlin 1990, ISBN 3-428-00197-4, S. 392 f. (Digitalisat).
    Weblink
    • Materialsammlung

    Matthäus heiratete Bertha von Schwaben in cir 1138. Bertha (Tochter von Herzog Friedrich II. von Schwaben (Staufer) und Herzogin Judith Welf (von Bayern)) wurde geboren in cir 1123; gestorben in 1195. [Familienblatt] [Familientafel]


  9. 27.  Bertha von Schwaben wurde geboren in cir 1123 (Tochter von Herzog Friedrich II. von Schwaben (Staufer) und Herzogin Judith Welf (von Bayern)); gestorben in 1195.

    Notizen:

    Bertha und Matthäus I. hatten acht Kinder, vier Töchter und vier Söhne.

    Kinder:
    1. Alix von Lothringen wurde geboren in 1165; gestorben in 1200.
    2. Herzog Friedrich I. (Ferri) von Lothringen (von Bitsch) wurde geboren in cir 1143; gestorben in 1207.
    3. 13. Judith von Lothringen wurde geboren in 1140; gestorben in 1173.

  10. 28.  Graf Wilhelm I. von Chalon (Thiern)Graf Wilhelm I. von Chalon (Thiern) wurde geboren in cir 1113 (Sohn von Graf Guy von Chalon (Thiern)); gestorben in cir 1171.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Chalon-sur-Saône

    Kinder:
    1. 14. Graf Wilhelm II. von Chalon (Thiern) gestorben am 3 Jan 1203.


Generation: 6

  1. 32.  Herr Richard I. von MontfauconHerr Richard I. von Montfaucon wurde geboren in cir 1030 (Sohn von Herr Conon von Montfaucon); gestorben in cir 1060/1085.
    Kinder:
    1. 16. Herr Amadeus I. von Montfaucon gestorben in nach 1110.
    2. Welf von Montfaucon gestorben in 1098 in Palästina.
    3. Brochard (Burkhard I.) von Montfaucon gestorben in nach 1152.

  2. 34.  Herr Mangold I. von Vinelz (von Neuenburg) wurde geboren in cir 1055 (Sohn von Ulrich von Vinelz und Adalgis).

    Notizen:

    Name:
    In einer Schenkungsurkunde des Klosters St. Alban in Basel erwähnt, wurde wahrscheinlich um 1100 Herr zu Neuenburg.

    Kinder:
    1. Mangold II. von von Neuenburg (de Novocastro)
    2. Herr Rudolf I. von Neuenburg (de Novocastro) gestorben in cir 1149.
    3. 17. Méléryle von Neuenburg wurde geboren in cir 1080.

  3. 36.  Graf Dietrich I. von Mousson-ScarponnoisGraf Dietrich I. von Mousson-Scarponnois wurde geboren in cir 1045 (Sohn von Graf Ludwig von Mousson-Scarponnois und Gräfin Sophie von Oberlothringen (von Bar)); gestorben am 2 Jan 1105; wurde beigesetzt in Kathedrale von Autun.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Altkirch, Elsass, FR; Graf in Altkirch https://de.wikipedia.org/wiki/Altkirch
    • Titel (genauer): Pfirt; Graf in Pfirt https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Pfirt
    • Titel (genauer): Compte de Altkirch, Compte de Pfirt, Compte de Bar (de 1093) Compte de Montbéliard (iure uxoris 1065-1105)
    • Titel (genauer): 1093, Herzogtum Bar; Graf in Bar https://de.wikipedia.org/wiki/Herzogtum_Bar
    • Titel (genauer): 1073-1105, Grafschaft Mömpelgard (Montbéliard); Graf von Mömpelgard (Haus Montbéliard) https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Mömpelgard

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Dietrich_von_Mousson

    Dietrich von Mousson († 1102/1105) war ein Graf von Mousson, Altkirch und Pfirt aus dem Haus Scarponnois. Er war ein Sohn des Grafen Ludwig von Mousson und der Sophia von Bar, einer Tochter des Herzogs Friedrich II. von Lothringen.

    Von seiner Mutter erbte er 1093 die Grafschaft Bar und die Vogtei von Saint-Mihiel. Im Jahr 1096 wurde er von Bischof Richer von Verdun mit der Grafschaft Verdun beliehen. Im selben Jahr wollte Dietrich am Ersten Kreuzzug teilnehmen, verblieb wegen einer Erkrankung jedoch in seiner Heimat. Er gründete dafür die Klöster von Biblisheim und Walbourg. 1102 schrieb Dietrich sein Testament auf der Burg von Altkirch und starb wenig später. Bestattet wurde er in der Kathedrale von Autun.

    Dietrich war verheiratet mit Ermentrude von Burgund, einer Tochter des Grafen Wilhelm I. von Burgund. Seine Frau brachte ihm die Grafschaft Mömpelgard in die Ehe, als Witwe gründete sie das Kloster Froidefontaine.

    Mehr unter dem Link oben..

    Name:
    1093 Stifter von Walbourg, um 1100 Stifter von Biblisheim

    Dietrich heiratete Gräfin Ermentrud von Burgund in cir 1076. Ermentrud (Tochter von Graf Wilhelm I. von Burgund, der Grosse und Stephanie von Vienne (von Longwy?)) wurde geboren in cir 1060. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 37.  Gräfin Ermentrud von BurgundGräfin Ermentrud von Burgund wurde geboren in cir 1060 (Tochter von Graf Wilhelm I. von Burgund, der Grosse und Stephanie von Vienne (von Longwy?)).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Gräfin von Mömpelgard
    • Titel (genauer): Comtesse de Montbéliard

    Notizen:

    Stifterin von Froidefontaine; Schwester von Papst Kalixst II.

    Ermentrude und Dietrich I. hatten acht Kinder, fünf Söhne und drei Töchter.

    Notizen:

    Dietrich I. und Ermentrud hatten acht Kinder, vier Söhne und vier Töchter.
    - Friedrich I. († um 1160), Graf von Pfirt
    - Rainald I. der Einäugige († 1149), Graf von Bar, Mousson und Altkirch
    - Dietrich II. († 1163), Graf von Mömpelgard
    - Ludwig († 1102), nahm am ersten Kreuzzug teil und wurde nach seiner Rückkehr von eigenen Gefolgsleuten ermordet
    - Stephan († 29. Dezember 1163), Erzdiakon und 1120 Bischof von Metz, nahm am zweiten Kreuzzug teil
    - Gunthilde († 21. Februar 1131), erste Äbtissin von Biblisheim
    - Agnes, ∞ mit Graf Hermann II. von Salm (ein Sohn des Gegenkönigs Hermann von Salm)
    - Mathilde, ∞ mit Graf Adalbert von Mörsberg

    Kinder:
    1. Graf Friedrich I. von Bar-Mümpelgard (von Pfirt) gestorben in Aug 1160.
    2. Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige wurde geboren in cir 1090; gestorben am 10 Mrz 1149 in Mittelmeer.
    3. 18. Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard) gestorben in Jan 1163.
    4. Agnes von Mousson-Scarponnois
    5. Mathilde (Mechthild) von Mousson-Scarponnois

  5. 40.  Herr Gottfried I. von JoinvilleHerr Gottfried I. von Joinville (Sohn von Herr Stephan von Joinville und von Brienne); gestorben in 1080.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Geoffroy Ier de Joinville
    • Titel (genauer): Herr von Joinville comes Ioviniaci (Graf von Joigny?)
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_I._(Joinville)

    Gottfried I. von Joinville (fr. Geoffroy I.; † 1080) war Herr von Joinville und comes Ioviniaci (Graf von Joigny?).

    Wie sein Vater, Stephan von Joinville, war Gottfried für seine Raubzüge gegen Kirchengüter in der Region Champagne bekannt und wie dieser, war er von der Exkommunikation durch Papst Leo IX. bedroht. Gegen Ende seines Lebens gab Gottfried jedoch große Teile der von ihm geraubten Güter den Eigentümern zurück.

    Er war mit Blanche de Reynel (auch Blanche de Mosellane), Schwester des Arnoul, Kanonikus von Verdun, verheiratet.

    Siehe auch
    Joinville, Residenzhauptstadt der Adelsfamilie
    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 19–27 (Textarchiv – Internet Archive).



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_Ier_de_Joinville

    Geoffroy Ier de Joinville († 1080) fut un seigneur de Joinville, fils d'Étienne de Vaux.

    Biographie
    La guerre de Bologne
    Dans le deuxième tiers du xie siècle (en 1055 suivant Aubry de Trois-Fontaines), le seigneur de Joinville convoitait le territoire du Bolenois appartenant alors aux comtes du Bolenois, seigneurs de Sexfontaines. À la suite d'une bataille, en 1055, Geoffroy fut fait prisonnier, et son fils Houdouin de Nully tué. Dans sa chronique, Aubry nous informe qu'il vécut encore vingt-six ans et que son fils laissa trois jeunes enfants :

    Geoffroy et le monde religieux
    Geoffroy reprit à son compte les mauvaises habitudes de son père, et il n'hésitait pas à s'attribuer biens et revenus des religieux dont il avait les avoueries, particulièrement ceux des moines de l'abbaye de Montier-en-Der.

    Son père Étienne avait déjà été menacé d'excommunication pour ses exactions envers les religieux, le pape Léon IX (Brunon, ancien évêque de Toul) réitéra ses menaces d'anathème contre Geoffroy.

    Deux églises avaient été déjà rendues par Étienne, et Geoffroy, plus tard, un peu plus respectueux des moines, essaya de « régulariser la situation ». Il demanda à l'abbé du Der de lui abandonner le bénéfice de quelques églises, et pour montrer sa bonne volonté, il lui restitua spontanément celle de Dommartin.

    Les moines, fort satisfaits, accordèrent à Geoffroy et à deux de ses héritiers, pour leur vie, les églises de Trémilly, Ragecourt et Fays, (qu'Étienne n'avait pas rendu de ses précédentes spoliations), ainsi que celle de Gourzon.

    Était-ce de la générosité de la part des moines ?

    On peut en douter, car, sur la charte de concession, on trouve une formule qui précède la signature de nombre des fidèles compagnons de Geoffroy :« signum Goffridi,cum fidelibus sui »

    Geoffroy fait signer après lui, ses amis… portant l'épée…

    Que pouvaient faire les pauvres moines qui n'avaient pour se défendre que des menaces d'excommunication contre des chevaliers puissants ? d'autant plus que les Comtes de Champagne s'étaient mis, eux aussi à piller régulièrement les terres de l'abbaye.

    Toutefois, à la fin de sa vie, Geoffroy changea complètement sa conduite. S'apercevant un jour que des laïcs ne peuvent posséder d'églises, il restitua celle de Wassy, que ses aïeux avaient tenu des évêques de Châlons.

    Situation de famille
    Geoffroy Ier était marié à Blanche, fille d'Arnoul, comte de Reynel. Lesquels eurent1 :

    Houdouin de Nully, ou Hilduin de Nuilly2tué en 1055, époux de ... dont : Gautier, Wicher, et Hesceline3.
    Geoffroy II de Joinville dit senex, épouse Hodierne4
    Étienne de Joinville, abbé de l'Abbaye Saint-Pierre de Bèze
    Bibliographie
    Du Cange, Généalogie de la Maison de Joinville
    Henri-François Delaborde, Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville suivi d'un catalogue de leurs actes, Paris, Imprimerie Nationale, 1894,
    Sources
    Gallica Delaborde, Henri-François (1854-1927). Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive]
    Notes et références
    1 (en) Charles Cawley, « Champagne Nobility » [archive], sur Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2016.
    2 Cabinet des manuscrits, Trésor généalogique, fol 86v°. D'après le Cartulaire de Boulancourt, fol 23
    3 Les Cahiers Haut-Marnais - n°190 - 1992 - p. 4 (pour quelques informations sur la revue : [1])
    4 Charte de donation de la Chapelle de Vaucouleurs

    Gottfried + Blanche von Reynel (von Mosellane). [Familienblatt] [Familientafel]


  6. 41.  Blanche von Reynel (von Mosellane)

    Notizen:

    Gottfried und Blanche hatten 4 Söhne.
    - Gottfried II. (der seinen Vater beerbte)
    - Rainard († nach 1096)
    - Hilduin (X 1055, in der Schlacht von Boulogne)
    - Stephan

    Kinder:
    1. 20. Herr Gottfried II. von Joinville gestorben in 1096.

  7. 42.  Joscelin von CourtenayJoscelin von Courtenay (Sohn von Hatto von Courtenay).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrschaft Courtenay; Herr von Courtenay https://de.wikipedia.org/wiki/Courtenay_(Adelsgeschlecht)

    Joscelin + Elisabeth de Montlhéry. [Familienblatt] [Familientafel]


  8. 43.  Elisabeth de MontlhéryElisabeth de Montlhéry (Tochter von Guido I. (Guy) de Montlhéry und Hoderine von Gometz).

    Notizen:

    Kinder / Children / Enfants
    - Miles von Courtenay († nach 1127)
    - Joscelin I. von Courtenay († 1131) Fürst von Galiläa, Graf von Edessa 1118 ⚭ 1) NN, Tochter des Fürsten Konstantin I. von Armenien, ⚭ 2) Maria von Salerno, Schwester des Roger von Salerno, Fürst von Antiochia
    - Gottfried von Courtenay, gefallen bei Montferrand 1139

    Kinder:
    1. Miles von Courtenay gestorben in nach 1127.
    2. Graf Joscelin I. von Courtenay (von Edessa) gestorben in 1131.
    3. 21. Hoderine von Courtenay

  9. 44.  Herr Gui II. von VignoryHerr Gui II. von Vignory wurde geboren in cir 1050 (Sohn von Roger von Vignory und Mathilde); gestorben in vor 1097.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Guy II de Vignory dit l'Ancien ou le Rouge

    Gui + Hildegarde ?. [Familienblatt] [Familientafel]


  10. 45.  Hildegarde ?

    Notizen:

    Gui II. und Hildegarde hatten mehrere Kinder, 3 Söhne und mehrere Töchter.
    - Gui III, qui suit ;
    - Lambert, archidiacre ;
    - Plusieurs filles ;
    - Boson dit de Vignory (suivant E. Jolibois).

    Kinder:
    1. 22. Herr Gui III. von Vignory gestorben in 1125.

  11. 46.  Heinrich von Burgund (Kapetinger)Heinrich von Burgund (Kapetinger) wurde geboren in 1035 (Sohn von Herzog Robert I. von Burgund (Kapetinger), der Alte und Helie von Semur); gestorben in 1070.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Henri de Bourgogne, dit Donzel ou le Damoiseau

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Bourgogne_(1035-1066) (Mai 2018)

    Henri de Bourgogne1, dit Donzel ou le Damoiseau, (né vers 1035 – mort entre 1070 et 1074), est héritier du duché de Bourgogne, fils du duc de Bourgogne, Robert Ier le Vieux († 1076), et d'Hélie de Semur, et donc petit-fils du roi de France Robert II le Pieux.

    Biographie
    Selon certains historiens, il aurait épousé en 1056 Sibylle de Barcelone, fille de Bérenger Raymond Ier dit le Courbé ou le Corbeau, comte de Barcelone, et de Gisèle de Lluça. Jean Richard dans Les ducs de Bourgogne et la formation du duché du xie au xive siècles2, sur la base d'une phrase d'Orderic Vital, parlant des exploits de Robert Ier en plusieurs contrées, pense qu'il faut tenir compte, ainsi que l'a supposé M. Chaume3, dit-il, d'une expédition menée en 1058 pour défendre le comte de Barcelone contre les Musulmans. « C'est au cours de cette expédition qu'il aurait épousé une parente du comte Raymond Borel de Barcelone dont le surnom passa à ses descendants ».

    Heinrich + Sibylla von Barcelona. [Familienblatt] [Familientafel]


  12. 47.  Sibylla von BarcelonaSibylla von Barcelona (Tochter von Graf Berengar Raimund I. von Barcelona, der Bucklige und Gisela von Lluca).

    Notizen:

    Heinrich hatte sieben Kinder.
    - Hugues Ier (1057 † 1093) duc de Bourgogne
    - Eudes Ier (1058 † 1102), duc de Bourgogne
    - Robert (1059 † 1111), évêque de Langres
    - Hélie (1061 † après 1081/84)
    - Béatrix (1063 † v. 1110), mariée à Guy III de Vignory
    - Renaud (1065 † 1092), abbé de l'Abbaye Saint-Pierre de Flavigny
    - Henri (1066 † 1112), comte de Portugal de qui descendra la maison royale du Portugal.

    Verheiratet:
    Es ist nicht verbürgt, dass wirklich Sibylle die Frau des Heinrich war. Es könnte auch eine Tochter des Raymond Borel von Barcelona sein ??

    Kinder:
    1. Hugo I. von Burgund wurde geboren in cir 1057; gestorben am 29 Aug 1093 in Cluny.
    2. Herzog Odo I. von Burgund, Borel wurde geboren in cir 1058; gestorben in 1102 in Tarsos.
    3. Graf Heinrich von Burgund (von Portugal) wurde geboren in 1069; gestorben am 1 Nov 1112.
    4. 23. Beatrix von Burgund wurde geboren in 1063; gestorben in vor 1110.

  13. 52.  Herzog Simon I. von OberlothringenHerzog Simon I. von Oberlothringen wurde geboren in 1076 (Sohn von Herzog Dietrich II. von Oberlothringen (Haus Châtenois) und Gräfin Hedwig von Formbach); gestorben in zw 12 und 13 Jan 1139; wurde beigesetzt in Abtei Stürzelbronn.

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Simon_I._(Lothringen)

    Simon I. (* um 1076; † 13./14. Januar 1139) war Herzog von Lothringen von 1115 bis 1139. Er war der Sohn von Herzog Dietrich II. (Haus Châtenois) und Hedwig von Formbach, somit Halbbruder des Kaisers Lothar III. († 1137).
    1115 folgte er seinem Vater als Herzog. 1122 begleitete er Kaiser Heinrich V. beim Wormser Konkordat, das dem Investiturstreit ein Ende setzte. Innerhalb des Herzogtums geriet er in Konflikt mit Stephan von Bar, Bischof von Metz ab 1120, und Albero von Montreuil, Erzbischof von Trier ab 1131, zwei Verbündeten des Grafen von Bar. Der Erzbischof exkommunizierte ihn, was Papst Innozenz II. rückgängig machte.
    Herzog Simon I. gehörte zu den Freunden von Bernhard von Clairvaux. Er gründete mehrere Abteien, darunter 1135 die Abtei Stürzelbronn, in die er auch umgebettet wurde, nachdem man ihn zuerst in Saint-Dié bestattet hatte.
    Er heiratete Adelheid († 1158), deren Filiation nicht sicher ist. Einige sehen sie als Tochter von Heinrich III., Graf von Löwen, und Gertrud von Flandern (die sich in zweiter Ehe mit Simons Vater Dietrich II. verheiratete), andere als Tochter von Gerhard von Süpplingenburg, Graf von Querfurt, und Hedwig von Formbach, was aber wiederum bedeutet, dass sie die Tante ihres Ehemanns gewesen wäre. Ihre Kinder waren:
    • Agathe, 1130/48 bezeugt; ∞ Rainald III., Graf von Mâcon, Graf von Burgund, † 1148/49 (Haus Burgund-Ivrea)
    • Hadwide, 1128/49 bezeugt, ∞ Friedrich II., Graf von Toul, 1112/42 bezeugt
    • Matthäus I., Herzog von Lothringen, † 1176, stiftet Abtei Clairlieu; ∞ Bertha von Schwaben, † 1194/95, Tochter von Friedrich II., Herzog von Schwaben (Staufer)
    • Robert, 1194 Herr zu Flörchingen (Florange), † vor 1208; ∞ Euphemia

    Geburt:
    eventuell erst 1141?

    Simon + Gräfin Adelheid von Hennegau?. Adelheid gestorben in 1158. [Familienblatt] [Familientafel]


  14. 53.  Gräfin Adelheid von Hennegau? gestorben in 1158.

    Notizen:

    Adelheid († 1158), deren Filiation nicht sicher ist. Einige sehen sie als Tochter von Heinrich III., Graf von Löwen, und Gertrud von Flandern (die sich in zweiter Ehe mit Simons Vater Dietrich II. verheiratete), andere als Tochter von Gerhard von Süpplingenburg, Graf von Querfurt, und Hedwig von Formbach, was aber wiederum bedeutet, dass sie die Tante ihres Ehemanns gewesen wäre.

    Kinder:
    1. 26. Herzog Matthäus I. von Lothringen wurde geboren in cir 1110; gestorben am 13 Mai 1176; wurde beigesetzt in Abtei Clairlieu.

  15. 54.  Herzog Friedrich II. von Schwaben (Staufer)Herzog Friedrich II. von Schwaben (Staufer) wurde geboren in 1090 (Sohn von Herzog Friedrich I. von Hohenstaufen (von Schwaben) (von Büren) und Prinzessin Agnes von Deutschland (von Waiblingen)); gestorben in zw 04 und 06 Apr 1147; wurde beigesetzt in St. Walpurgis (Elsass).

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Friedrich_II._(Schwaben)

    Friedrich II., der Einäugige (* 1090; † 4. April (vielleicht auch 6. April) 1147 in Alzey) aus dem Geschlecht der Staufer war von 1105 bis zu seinem Tode 1147 Herzog von Schwaben.
    Sein jüngerer Bruder Konrad wurde 1138 als erster Staufer zum römisch-deutschen König Konrad III. gewählt.
    Friedrichs Söhne waren Kaiser Friedrich I. Barbarossa (1122–1190) und Konrad (1136–1195), Pfalzgraf bei Rhein.

    Leben
    Friedrich war der Sohn von Herzog Friedrich I. von Schwaben und Agnes von Waiblingen, der Tochter Kaiser Heinrichs IV.
    Nach dem Tod des Vaters im Jahre 1105 folgte ihm Friedrich als Herzog von Schwaben nach. Gemeinsam mit Konrad baute Friedrich II. das Territorium der Staufer weiter aus. Damit setzten sie die Politik ihres Vaters fort. Während Konrad vor allem Gebiete im ehemaligen Herzogtum Franken erwarb, konzentrierte Friedrich sich auf den Mittelrhein und das Elsass, wo er zahlreiche Burgen bauen ließ.
    1108 nahm Friedrich am Feldzug gegen Koloman von Ungarn teil. 1110/1111 begleitete er Kaiser Heinrich V. nach Rom zu einer Audienz bei Papst Paschalis II. Da Friedrich dem Kaiser während der oppositionellen Bewegung in Deutschland die Treue gehalten hatte, erklärte dieser ihn und Konrad im Jahre 1116 für die Dauer seiner Italienfahrt zu seinen Stellvertretern (Reichsverwesern). Diese Machtposition nutzten die Brüder, um den staufischen Besitz vor allem in Rheinfranken weiter auszudehnen.
    1120 heiratete Friedrich Judith Welf, die Tochter des Welfen Heinrich des Schwarzen. 1122 wurde ihr Sohn Friedrich geboren.
    Nach dem Tode Heinrichs V. und dem damit verbundenen Aussterben der männlichen Erblinie der Salier versammelten sich am 24. August 1125 die Großen des Reiches in Mainz zur Wahl des Nachfolgers, wobei Friedrich II. einer der Kandidaten war. Die ffrühere Annahme, dass Heinrich Friedrich vor seinem Tod zum Erben der Königskrone bestimmt hatte, wird in der heutigen Forschung meist bestritten. Vielmehr geht man davon aus, dass Friedrich lediglich die Ordnung im Reich aufrechterhalten solltee, bis ein Nachfolger gefunden worden sei. Andererseits waren Friedrich und sein Bruder Konrad über ihre Mutter Agnes die Erben der salischen Territorien. Der Ablauf der Königswahl in Mainz lässt sich heute nicht mehr genau rekonstruieren. Es kam jedenfalls zu Tumulten, in deren Verlauf Herzog Lothar von Sachsen als Lothar III. zum neuen König gewählt wurde. Friedrich II. akzeptierte diese Wahl zunächst und huldigte Lothar, verweigerte aber den Lehnseid. Bald schon kam es zu Auseinandersetzungen um die Unterscheidung zwischen Königsgut und dem salischen Hausgut. Friedrich und Konrad hatten das Hausgut von Heinrich V. geerbt und entlang des Rheins aufgeteilt: linksrheinisch an Friedrich, rechtsrheinisch an Konrad. Die Abgrenzung zum Königsgut, das sie an Lothar hätten zurückgeben müssen, war jedoch umstritten.
    Auf einem Hoftag in Regensburg forderte Lothar im November 1125 die Staufer auf, das Königsgut vom salischen Hausgut zu trennen und an ihn zu übergeben. Als Friedrich und Konrad nicht reagierten, verhängte Lothar im Dezember die Reichsacht über sie. Im Januar 1126 beschlossen mehrere Fürsten in Goslar, die Acht gegen die Staufer militärisch durchzusetzen. Der König und seine Verbündeten besetzten weitgehend ohne Kämpfe Gebiete in Oberlothringen, im Elsass und in Rheinfranken; einen AAngriff auf Schwaben, wohin die Staufer sich zurückgezogen hatten, wagte er aber nicht. Ein Angriff der Welfen auf das staufische Kernland scheiterte. 1127 musste Lothar die Belagerung des staufischen Nürnberg abbrechen. Diese Niederlagen Lotharars und seiner Verbündeten führten dazu, dass ihm mehrere Machthaber Niederlothringens und Frankens ihre Unterstützung entzogen. Während eines Kampfes im Rahmen dieser Feldzüge verlor Friedrich ein Auge und kam damit als Königskandidat nicht mehr in Frage, fehlte ihm doch nun die körperliche Unversehrtheit als eine Grundvoraussetzung. Allerdings ist nicht geklärt, wann genau sich dies ereignete.
    1127 kehrte sein Bruder Konrad von einer Pilgerfahrt ins Heilige Land zurück und wurde damit zur treibenden Kraft auf staufischer Seite. Im Dezember ließ er sich zum König ausrufen und nahm Friedrich damit die Führung ab. Friedrich betätigte sich allerdings weiter als Heerführer und nahm 1128 Speyer ein, während Konrad weitgehend erfolglos in Italien Einfluss zu gewinnen versuchte. 1130 wendete sich das Kriegsglück: Lothar eroberte Speyer zurück, kurz darauf starb Friedrichs Gattin Judith. Im selben Jahr fiel auch Nürnberg mit seinem Umland an Lothar. 1131 verloren die Staufer das gesamte Elsass und waren damit auf Schwaben und Ostfranken zurückgedrängt. Lothar verzichtete darauf, die Staufer weiter anzugreifen, und konzentrierte sich auf den Ausbau der inneren Reichsstruktur und auf die Italienpolitik.
    Um 1132 heiratete Friedrich II. in zweiter Ehe Agnes von Saarbrücken und stellte so eine Verbindung zu einem weiteren in Opposition zu Lothar stehenden Haus her. Nach seiner Rückkehr aus Italien nahm Lothar 1134 die Offensive gegen die Staufer jjedoch wieder auf. Gegen den gleichzeitigen Angriff Lothars von Norden und Heinrichs des Stolzen von Süden konnte sich Friedrich nicht halten. Im Frühjahr 1135 unterwarf er sich Lothar in Bamberg im Büßergewand, Konrad wiederholte diese Geste im Herbst. Gegen ein Treueversprechen und die Zusage der Unterstützung einer Italienfahrt wurden die Staufer wieder in die königliche Huld aufgenommen. Konrad heiratete Gertrud, eine Schwägerin Heinrichs des Schwarzen.
    1147 starb Herzog Friedrich II. in Alzey. Seine letzte Ruhestätte fand er in der Klosterkirche vom Kloster Sankt Walburga im Elsass, wo nach ihm auch seine Ehefrau Agnes bestattet wurde. Die beiden Gräber sind heute nicht mehr vorhanden.
    Sein Sohn Friedrich folgte ihm als Herzog von Schwaben nach und bestieg 1152 als König Friedrich I. Barbarossa den deutschen Thron.

    Nachkommen
    Friedrich II. heiratete 1120 Judith Welf († 22. Februar wohl 1130/31), Tochter Heinrichs des Schwarzen, die ebenfalls im Kloster Walburg beerdigt wurde, und mit der er zwei Kinder hatte:
    • Friedrich I. Barbarossa (1122–1190)
    • Bertha (Judith) († zwischen 18. Oktober 1194 und 25. März 1195), ∞ vor dem 25. März 1139 Herzog Matthäus I. von Lothringen aus dem Haus Châtenois († 13. Mai 1176); beide wurden im Kloster Clairlieu begraben
    Etwa 1132/33 ging er eine neue Ehe ein; seine zweite Ehefrau war Agnes von Saarbrücken, eine Tochter des Grafen Friedrich im Saargau; mit ihr hatte er drei Kinder:
    • Jutta (1133–1191) ∞ Ludwig II., Landgraf von Thüringen
    • Konrad (um 1134/36–1195), Pfalzgraf bei Rhein
    • Luitgard († wohl nach 1155)



    Literatur
    • Hagen Keller: Schwäbische Herzöge als Thronbewerber: Herzog Hermann II. (1002), Rudolf von Rheinfelden (1077), Friedrich von Schwaben (1125). Zur Entwicklung von Reichsidee und Fürstenverantwortung, Wahlverständnis und Wahlverfahren im 11. ud 12. Jahrhundert, in: Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins Bd. 131 (1983), S. 123–162.
    • Hansmartin Schwarzmaier: Pater imperatoris. Herzog Friedrich II. von Schwaben, der gescheiterte König. In: Jürgen Petersohn (Hrsg.), Mediaevalia Augiensia: Forschungen zur Geschichte des Mittelalters (Vorträge und Forschungen 54), Stuttgart 201, S. 247–284.
    • Hansmartin Schwarzmaier: Friedrich II.. In: Neue Deutsche Biographie (NDB). Band 5, Duncker & Humblot, Berlin 1961, ISBN 3-428-00186-9, S. 589 f. (Digitalisat).
    • Hansmartin Schwarzmaier: Friedrich II., Herzog von Schwaben (1090–1147). In: Lexikon des Mittelalters (LexMA). Band 4, Artemis & Winkler, München/Zürich 1989, ISBN 3-7608-8904-2, Sp. 959 f.
    • Christoph Waldecker: Friedrich II. (Schwaben). In: Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon (BBKL). Band 25, Bautz, Nordhausen 2005, ISBN 3-88309-332-7, Sp. 447–458.
    • Paul Friedrich von Stälin: Friedrich II. (Herzog von Schwaben). In: Allgemeine Deutsche Biographie (ADB). Band 8, Duncker & Humblot, Leipzig 1878, S. 32–34.
    • Christoph Waldecker: Herzog Friedrich II. von Schwaben als Reichsregent 1116–1118. In: Sabine Happ und Christoph Waldecker (Hrsg.): Vergangenheit lebendig machen. Festgabe für Ingrid Heidrich zum 60. Geburtstag von ihren Schülerinnen und Schüern.Bonn 1999, S. 50–61.
    Weblinks
    Commons: Friedrich II. – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

    Friedrich heiratete Herzogin Judith Welf (von Bayern) in cir 1121. Judith (Tochter von Herzog Heinrich IX. von Bayern (Welfen), der Schwarze und Wulfhild von Sachsen) wurde geboren in cir 1100; gestorben am 22.2.1131 od 1132; wurde beigesetzt in Kloster Lorch. [Familienblatt] [Familientafel]


  16. 55.  Herzogin Judith Welf (von Bayern)Herzogin Judith Welf (von Bayern) wurde geboren in cir 1100 (Tochter von Herzog Heinrich IX. von Bayern (Welfen), der Schwarze und Wulfhild von Sachsen); gestorben am 22.2.1131 od 1132; wurde beigesetzt in Kloster Lorch.

    Notizen:

    1130 urkundlich bezeugt

    https://de.wikipedia.org/wiki/Judith_Welf

    Judith Welf (* um 1100; † 22. Februar 1130 oder 1131), auch Judith von Bayern genannt, war Herzogin von Schwaben.[1]
    Sie war Tochter des Welfen Heinrich des Schwarzen. Um 1119/1120 heiratete sie den Staufer Herzog Friedrich II. von Schwaben. 1122 wurde ihr erster Sohn geboren, der spätere Kaiser Friedrich I. Barbarossa.[1]
    Um 1123/24 kam eine Tochter namens Berta zur Welt, die später Herzog Matthäus I. von Lothringen heiratete. Über die weiteren Kinder fehlen genaue Angaben.[1]
    Eine besondere Rolle spielte ihr Vater Heinrich der Schwarze bei der Königswahl 1125. Zunächst schien er die Kandidatur seines Schwiegersohnes Friedrich II. von Schwaben gefördert zu haben. Im Verlauf der Diskussionen über den geeigneten Kandidaten änderte er jedoch seine Meinung und trat schließlich für Herzog Lothar von Sachsen ein, der dadurch als Lothar III. zum römisch-deutschen König gewählt wurde.[2]
    Bestattet wurde Judith Welf in der von ihrem Schwiegervater Herzog Friedrich I. gestifteten Staufergrablege im Kloster Lorch.[3] Dort ließ Abt Nikolas Schenk von Arberg 1475 sämtliche Staufergräber im Mittelschiff, vor den Stufen des Chores und im Chor öffnen und die Überreste in einer Tumba zusammentragen, die im Mittelschiff der Klosterkirche steht.[3] Ihr Herz ist möglicherweise in der Benediktinerabtei in Walbourg beigesetzt worden, wo auch ihr Ehemann und dessen zweite Frau Agnes liegen.[4] In der Kirche Sankt Walburga sind diese Grabstätten heute nicht mehr zu sehen.[3]



    Anmerkungen
    1 Hansmartin Decker-Hauff: Das Staufische Haus. In: Württembergisches Landesmuseum (Hrsg.): Die Zeit der Staufer. Geschichte - Kunst - Kultur. Stuttgart 1977, Band III, S. 349 u. S. 352
    2 Knut Görich: Friedrich Barbarossa. Eine Biographie. München 2011, S. 52
    3 Peter Koblank: Staufergräber. Nur wenige der prominentesten Staufer sind in Deutschland bestattet. auf stauferstelen.net. Abgerufen am 10. September 2014.
    4 So z.B. Karl Rudolf Schnith: Mittelalterliche Herrscher in Lebensbildern. Von den Karolingern zu den Staufern. Graz 1990, S. 263

    Kinder:
    1. Kaiser Friedrich I. (Barbarossa) von Schwaben (von Staufen) wurde geboren in cir 1122; gestorben am 10 Jun 1190 in im Fluss Saleph nahe Seleucia, Kleinarmenien.
    2. 27. Bertha von Schwaben wurde geboren in cir 1123; gestorben in 1195.

  17. 56.  Graf Guy von Chalon (Thiern)Graf Guy von Chalon (Thiern) (Sohn von Vizegraf Guillaume II. (Wilhelm) von Thiern und Adelheid von Chalon (Semur)); gestorben in cir 1113.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Chalon-sur-Saône

    Kinder:
    1. 28. Graf Wilhelm I. von Chalon (Thiern) wurde geboren in cir 1113; gestorben in cir 1171.
    2. Guy von Chalon (Thiern) gestorben in 1113.