Teilen Drucken Lesezeichen hinzufügen
Herr Gottfried II. von Joinville

Herr Gottfried II. von Joinville

männlich - 1096

Generationen:      Standard    |    Vertikal    |    Kompakt    |    Rahmen    |    Nur Text    |    Ahnenliste    |    Fächer-Diagramm    |    Medien

Generation: 1

  1. 1.  Herr Gottfried II. von JoinvilleHerr Gottfried II. von Joinville (Sohn von Herr Gottfried I. von Joinville und Blanche von Reynel (von Mosellane)); gestorben in 1096.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Geoffroy II de Joinville
    • Titel (genauer): Herr von Joinville comes Ioviniaci (Graf von Joigny?)
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_II._(Joinville)

    Gottfried II. von Joinville (frz. Geoffroy II.; † 1096) war Herr von Joinville und comes Ioviniaci (Graf von Joigny?).

    Er war ein Sohn des Gottfried I. von Joinville und der Blanka von Reynel. Wie schon sein Vater und Großvater bereicherte er sich rücksichtslos, meist durch Erpressung, an den ihm zum Schutze anvertrauten Kirchengütern. Mit ihm näherten sich die Herren von Joinville zunehmend den Grafen von Champagne an die ihn zu ihrem Vermittler ihrer Rechtsstreite mit den Äbten der Klöster der Champagne machten.

    Gottfried ging zudem eine, für die Joinvilles, bedeutende Ehe ein. Er heiratete Hoderine von Courtenay, deren Bruder Joscelin von Courtenay später als Graf von Edessa zu einem berühmten Kreuzfahrerfürsten aufstieg. Über ihre Mutter, Elisabeth von Montlhéry, entstammte sie zudem einer der mächtigsten Familien der Île-de-France.

    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 28–38 (Textarchiv – Internet Archive).



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_II_de_Joinville

    Geoffroy II, décédé vers 1096 est un seigneur de Joinville.

    De même que son grand-père Etienne de Vaux et que son père Geoffroy I, il fut avoué de l'abbaye de Montier-en-Der pour la vallée de la Blaise. Comme eux, il se considérait comme maître des biens et territoires qui avaient été confiés à sa protection. De plus, il s'attribuait bien volontiers, par ses menaces, des biens et contributions qu'il n'était pas en droit de lever.

    Sachant qu'il était un familier du comte de Champagne, l'abbé appela ce seigneur puissant pour régler ces litiges.

    Goeffroy II, craignant une sentence sévère, et profitant de l'absence du comte lors de la tentative de conciliation, conclut avec l'abbé un accord semblable à celui qui, en son temps, avait évité à Etienne de Vaux d'être frappé par l'anathème.

    Les moines, toutefois instruits par l'expérience, exigèrent des garanties, qu'ils n'avaient pas osé demander à Etienne de Vaux : dix hommes libres du seigneur de Joinville durent jurer de veiller à l'exécution du pacte, avec obligation de réparer sous 40 jours les dommages que leur suzerain pourrait causer à l'abbaye. Cet accord était perpétuel : à la mort d'un de ces hommes, le seigneur de Joinville devait en désigner un autre, et solvable...

    On peut ici noter la rapide ascension sociale des seigneurs de Joinville. Alors qu'Etienne de Vaux, quelque soixante quinze ans plus tôt, fréquentait les comtes de Brienne, puissants seigneurs de la région, son petit-fils tenait un rang dans l'entourage des Comtes de Champagne, suzerains dominants.

    Il épousa Hodierne, fille de Jocelin de Courtenay.

    Sources
    Gallica Delaborde, Henri-François (1854-1927). Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive]
    Notes et références
    1 (en) Charles Cawley, « Champagne Nobility » [archive], sur Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2016.
    2 Pierre Ulrich, Guy de Joinville, évêque de Châlons, in Mémoires de la socièté d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne, tome 77, 1962, Chalons-sur-Marne.
    Voir aussi
    Liste des comtes de Champagne
    Liste des seigneurs puis princes de Joinville

    Familie/Ehepartner: Hoderine von Courtenay. [Familienblatt] [Familientafel]

    Notizen:

    Gottfried II. und Hoderine hatten 5 Kinder, 3 Söhne und 2 Töchter.
    - Gottfried († vor seinem Vater)
    - Rainald (letztmals am 29. Mai 1103 urkundlich erwähnt), genannt comes Ioviniaci (vielleicht identisch mit Graf Rainald III. von Joigny)
    - Roger († um 1124) Herr von Joinville
    - Hedwig († nach 1141) ∞ Gobert III. von Apremont
    - Laure, Äbtissin

    Kinder:
    1. Herr Roger von Joinville gestorben in cir 1137.

Generation: 2

  1. 2.  Herr Gottfried I. von JoinvilleHerr Gottfried I. von Joinville (Sohn von Herr Stephan von Joinville und von Brienne); gestorben in 1080.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Geoffroy Ier de Joinville
    • Titel (genauer): Herr von Joinville comes Ioviniaci (Graf von Joigny?)
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_I._(Joinville)

    Gottfried I. von Joinville (fr. Geoffroy I.; † 1080) war Herr von Joinville und comes Ioviniaci (Graf von Joigny?).

    Wie sein Vater, Stephan von Joinville, war Gottfried für seine Raubzüge gegen Kirchengüter in der Region Champagne bekannt und wie dieser, war er von der Exkommunikation durch Papst Leo IX. bedroht. Gegen Ende seines Lebens gab Gottfried jedoch große Teile der von ihm geraubten Güter den Eigentümern zurück.

    Er war mit Blanche de Reynel (auch Blanche de Mosellane), Schwester des Arnoul, Kanonikus von Verdun, verheiratet.

    Siehe auch
    Joinville, Residenzhauptstadt der Adelsfamilie
    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 19–27 (Textarchiv – Internet Archive).



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_Ier_de_Joinville

    Geoffroy Ier de Joinville († 1080) fut un seigneur de Joinville, fils d'Étienne de Vaux.

    Biographie
    La guerre de Bologne
    Dans le deuxième tiers du xie siècle (en 1055 suivant Aubry de Trois-Fontaines), le seigneur de Joinville convoitait le territoire du Bolenois appartenant alors aux comtes du Bolenois, seigneurs de Sexfontaines. À la suite d'une bataille, en 1055, Geoffroy fut fait prisonnier, et son fils Houdouin de Nully tué. Dans sa chronique, Aubry nous informe qu'il vécut encore vingt-six ans et que son fils laissa trois jeunes enfants :

    Geoffroy et le monde religieux
    Geoffroy reprit à son compte les mauvaises habitudes de son père, et il n'hésitait pas à s'attribuer biens et revenus des religieux dont il avait les avoueries, particulièrement ceux des moines de l'abbaye de Montier-en-Der.

    Son père Étienne avait déjà été menacé d'excommunication pour ses exactions envers les religieux, le pape Léon IX (Brunon, ancien évêque de Toul) réitéra ses menaces d'anathème contre Geoffroy.

    Deux églises avaient été déjà rendues par Étienne, et Geoffroy, plus tard, un peu plus respectueux des moines, essaya de « régulariser la situation ». Il demanda à l'abbé du Der de lui abandonner le bénéfice de quelques églises, et pour montrer sa bonne volonté, il lui restitua spontanément celle de Dommartin.

    Les moines, fort satisfaits, accordèrent à Geoffroy et à deux de ses héritiers, pour leur vie, les églises de Trémilly, Ragecourt et Fays, (qu'Étienne n'avait pas rendu de ses précédentes spoliations), ainsi que celle de Gourzon.

    Était-ce de la générosité de la part des moines ?

    On peut en douter, car, sur la charte de concession, on trouve une formule qui précède la signature de nombre des fidèles compagnons de Geoffroy :« signum Goffridi,cum fidelibus sui »

    Geoffroy fait signer après lui, ses amis… portant l'épée…

    Que pouvaient faire les pauvres moines qui n'avaient pour se défendre que des menaces d'excommunication contre des chevaliers puissants ? d'autant plus que les Comtes de Champagne s'étaient mis, eux aussi à piller régulièrement les terres de l'abbaye.

    Toutefois, à la fin de sa vie, Geoffroy changea complètement sa conduite. S'apercevant un jour que des laïcs ne peuvent posséder d'églises, il restitua celle de Wassy, que ses aïeux avaient tenu des évêques de Châlons.

    Situation de famille
    Geoffroy Ier était marié à Blanche, fille d'Arnoul, comte de Reynel. Lesquels eurent1 :

    Houdouin de Nully, ou Hilduin de Nuilly2tué en 1055, époux de ... dont : Gautier, Wicher, et Hesceline3.
    Geoffroy II de Joinville dit senex, épouse Hodierne4
    Étienne de Joinville, abbé de l'Abbaye Saint-Pierre de Bèze
    Bibliographie
    Du Cange, Généalogie de la Maison de Joinville
    Henri-François Delaborde, Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville suivi d'un catalogue de leurs actes, Paris, Imprimerie Nationale, 1894,
    Sources
    Gallica Delaborde, Henri-François (1854-1927). Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive]
    Notes et références
    1 (en) Charles Cawley, « Champagne Nobility » [archive], sur Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2016.
    2 Cabinet des manuscrits, Trésor généalogique, fol 86v°. D'après le Cartulaire de Boulancourt, fol 23
    3 Les Cahiers Haut-Marnais - n°190 - 1992 - p. 4 (pour quelques informations sur la revue : [1])
    4 Charte de donation de la Chapelle de Vaucouleurs

    Gottfried + Blanche von Reynel (von Mosellane). [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Blanche von Reynel (von Mosellane)

    Notizen:

    Gottfried und Blanche hatten 4 Söhne.
    - Gottfried II. (der seinen Vater beerbte)
    - Rainard († nach 1096)
    - Hilduin (X 1055, in der Schlacht von Boulogne)
    - Stephan

    Kinder:
    1. 1. Herr Gottfried II. von Joinville gestorben in 1096.


Generation: 3

  1. 4.  Herr Stephan von JoinvilleHerr Stephan von Joinville wurde geboren in cir 1000; gestorben in cir 1060.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Étienne de Vaux
    • Titel (genauer): Herr von Joinville (der erste)
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville (le premier)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Stephan_von_Joinville

    Stephan von Joinville (fr. Étienne de Vaux; * um 1000; † um 1060) war der erste Herr von Joinville, sowie Stammvater der gleichnamigen französischen Adelssippe, deren bekanntestes Mitglied der Chronist Jean de Joinville war.

    Er stammte aus der Ortschaft Vaux-sur-Saint-Urbain an der Maas zwischen Neufchateau und Vaucouleur im heutigen Département Haute-Marne. Der Chronist Alberich von Trois-Fontaines nannte ihn in seiner Chronik Stephanus de Vallibus, juxta abbatiam Sancti Urbani. Er wird auch Stephan von Neufchateau (Stephanus de Novo Castello) genannt.

    Stephan hatte den Ruf eines besonders streitlustigen Kriegers, der sich, zusammen mit den Grafen von Brienne, mit denen er verschwägert war, durch seine Raubzüge in der Region einen Namen machte. Er gelangte in den Besitz der Abtei von Saint-Urbain und teilte sich die Einkünfte der Abtei Montier-en-Der mit den Grafen von Brienne. 1018 wurde er vom Bischof von Toul exkommuniziert, nachdem er die Mönche von Saint-Blin beraubt hatte.[1]

    Mit Hilfe seines Schwiegervaters, Graf Engelbert II. von Brienne, erbaute Stephan die neue Burg (Novo Castello) von Joinville, von der aus er rücksichtslos die Klöster und Abteien der Umgebung ausraubte. Nachdem er trotz des Eingreifens der königlichen Autorität nur einen Teil des von ihm geraubten Kirchengutes zurückgab, drohte sogar Papst Leo IX. selbst, in dieser Angelegenheit zu intervenieren. Von König Robert II. wurde er schließlich 1027 angehalten, das von der Abtei Montier-en-Der rechtswidrig angeeignete Gut zurückzuerstatten.[2]

    Stephan von Joinville war mit einer Tochter des Grafen Engelbert II. von Brienne verheiratet. Mit ihr hatte er einen Sohn und Erben, Gottfried. Die Mutter seiner Ehefrau war Adelaide (Alix) von Sens, ihrerseits Witwe des Grafen Gottfried I. von Joigny. Wie Alberich von Trois-Fontaines berichtet, beanspruchte Stephan nach dem Tod der Schwiegermutter mit Hilfe des Schwiegervaters die Herrschaft über die Burg Joigny gegen die Halbgeschwister seiner Frau, was seine Titulierung als comes Ioviniaci erklärt.[3] Es ist nicht unwahrscheinlich, dass ihm dies auch gelang, allerdings dürfte die Herrschaft der Joinville auf Burg Joigny nicht von Dauer gewesen sein, da im März 1042 mit Graf Gottfried II. wieder ein Sohn der Adelaide aus deren erster Ehe über Joigny gebot.[4] Bei Alberich hat die Geschichte von der Erbfehde um Joigny wegen dessen im Lateinischen ähnlich lautenden Schreibweise mit Joinville zu einer Konfusion im genealogischen Sachverhalt zwischen den beiden Herrenfamilien geführt, indem er die ersten Generationen derer von Joinville als identisch mit denen von Joigny identifizierte. Tatsächlich aber waren es zwei unterschiedliche Familien, die einzig mit Adelaide von Sens als verbindendes Glied miteinander verschwägert waren. Die Herren von Joinville hatten sich in ihren Urkunden niemals als Grafen von Joigny tituliert.

    Literatur
    Jules Simonnet: Essai sur l’histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes – Internet Archive. F. Dangien, Langres 1875, S. 1–18 ().
    Henri-François Delaborde, Recherches critiques sur les premiers seigneurs de Joinville, in: Bibliothèque de l’école des chartes, Bd. 51 (1890). S. 618–629.
    Einzelnachweise
    Variorum Epistolæ IX, in: Recueil des Historiens des Gaules et de la France 10 (1874), S. 495. Hier Stephanus de Novo Castello genannt.
    Variorum Epistolæ XLII, in: Recueil des Historiens des Gaules et de la France 10 (1874), S. 613
    Vgl. Alberich von Trois-Fontaines, Chronica, hrsg. Paul Scheffer-Boichorst in: Monumenta Germaniae Historica SS 23 (1874), S. 790.
    Vgl. Maximilien Quantin, Cartulaire générale de l’Yonne, Bd. 1 (1854), Nr. XCIII, S. 178f.
    Weblink
    Seigneurs de Joinville bei Foundation for Medieval Genealogy.ac (englisch)



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_de_Vaux_(seigneur_de_Joinville)

    Étienne de Vaux décédé après 1027, est le premier sire de Joinville connu. Jean de Joinville, le chroniqueur de Louis IX est l’un de ses descendants.

    Il serait originaire de Vaux-sur-Saint-Urbain, petit village situé à une quinzaine de kilomètres de Joinville. (Aubry de Trois Fontaines, un des premiers à avoir écrit sur les Seigneurs de Joinville, au xiie siècle, nomme Étienne ainsi : Stephanus de Vallibus, juxta abbatiam Sancti Urbani).

    Très apprécié pour ses qualités guerrières, particulièrement par ses puissants voisins, la Maison de Brienne, connus pour leurs brigandages dans la région, il devint le commensal et l’ami du comte de Brienne, dont il épousa une sœur, fille de Engelbert III de Brienne et d'Alix de Sens. Déjà en possession de l'avouerie de l'abbaye de Saint-Urbain, il reçoit du comte de Brienne une partie de l’avouerie de l’abbaye de Montier-en-Der et celle de la vallée de la Blaise.

    Il s'installa par la suite non loin du lieu de sa naissance, à Joinville, dont il commença la construction du grand château vers 1030.

    Les avantages qu’il tirait de ces fonctions étaient maigres et Étienne de Vaux n’hésita pas à s’attribuer terres et revenus supplémentaires, en spoliant de leurs biens les moines et autres religieux de la région, biens que justement il devait protéger pour eux.

    Malgré les plaintes répétées de l’Église, outrée par ses excès, Étienne de Vaux, imitant en cela les Brienne, ne s’arrêtait pas.

    Il fallut que l'autorité royale demande l’excommunication pour qu’il cesse ses spoliations et restitue (en partie seulement) les acquisitions malhonnêtes qu’il avait faites. Le pape Léon IX dut également intervenir. Le rang des médiateurs renseigne sur la puissance d’Etienne de Vaux et de ses premiers descendants. Bien plus tard, les avoueries seront retirées à Jean de Joinville au profit du roi Louis IX

    D’Étienne de Vaux à Jean de Joinville
    Étienne
    Geoffroy Ier
    Geoffroy II
    Roger
    Geoffroy III
    Geoffroy IV
    Geoffroy V
    Simon
    Jean
    Le fief d'Étienne de Vaux, ancêtre d’une illustre famille, mariée aux Lorraine et aux Guise, sera érigé en principauté en 1551 par Henri II.

    Bibliographie
    Henri-François Delaborde (1854-1927), Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville [archive], Gallica

    Stephan + von Brienne. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 5.  von Briennevon Brienne (Tochter von Herr Engelbert II. von Brienne und Adelaide (Alix, Wandalmodis) von Sens).
    Kinder:
    1. 2. Herr Gottfried I. von Joinville gestorben in 1080.


Generation: 4

  1. 10.  Herr Engelbert II. von BrienneHerr Engelbert II. von Brienne (Sohn von Herr Engelbert I. von Brienne); gestorben in vor 1027/31.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Engelbert II de Brienne
    • Titel (genauer): Grafschaft Brienne; Herr von Brienne https://de.wikipedia.org/wiki/Brienne_(Adelsgeschlecht)
    • Titel (genauer): Comte de Brienne (au xe siècle)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Engelbert_II._(Brienne)

    Engelbert II. († vor 1027/31) war ein Graf von Brienne aus dem Haus Brienne.

    In Erinnerung an die guten Beziehungen seines namensgleichen Vorgängers und wahrscheinlichen Vaters zur Abtei Montier-en-Der, hat Engelbert II. gemeinsam mit seiner Frau Adelaide (Alix) Schenkungen an diese getätigt. Die dazugehörende Urkunde ist auf der Burg Brienne (Breona castello) aufgesetzt worden und datiert nur vage in die Herrscherzeit König Roberts II. (996–1031), doch muss diese Schenkung in den Zeitraum vor 1018 zu legen sein.[1] Denn gemäß der Überlieferung des Chronisten Alberich von Trois-Fontaines hat Engelbert nach dem Tod der Adelaide seinen Schwiegersohn Stephan von Joinville im Kampf um die Grafschaft Joigny und beim Bau dessen „neuer Burg“ (Joinville) unterstützt, welche bis spätestens 1018 errichtet war.[2]

    Adelaide hatte dem Grafenhaus von Sens angehört und aus dessen Erbe die Burg Joigny erhalten. In einer ersten Ehe war sie mit Gottfried I. von Joigny verheiratet gewesen, mit dem sie drei Söhne hatte. Engelbert II. von Brienne dürfte seinen Schwiegersohn Stephan von Joinville im Kampf um Joigny nicht zuletzt aus machtpolitischen Gründen unterstützt haben, um seine angeheirateten Stiefsöhne zugunsten eines mit ihm unmittelbar Verwandten von dort zu vertreiben. Allerdings sollte der Allianz Brienne-Joinville in diesem Konflikt kein dauerhafter Erfolg beschieden sein, denn spätestens im März 1042 ist mit Graf Gottfried II. wieder ein Sohn der Adelaide aus deren erster Ehe im Besitz von Joigny bezeugt.[3]

    Die zwischen den Jahren 1027 und 1031 urkundlich auftretenden Brüder Graf Engelbert III. und Guido dürften die Söhne Engelberts II. gewesen sein, zumal als deren Schwager Stephan von Joinville auftritt. Ihre Mutter aber war laut einer genealogischen Abhandlung zum Grafenhaus von Anjou aus dem frühen 12. Jahrhundert nicht Adelaide von Sens, sondern eine Frau namens Wandalmodis, welche mütterlicherseits von der Herrenfamilie von Salins abstammte.[4]

    Literatur
    Henri d’Arbois de Jubainville, Catalogue d’actes des comtes de Brienne 950–1356, in: Bibliothèque de l’école des chartes, Bd. 33 (1872), S. 141–186.
    Anmerkungen
    1 Vgl. Jean Mabillon, Annales ordinis S. Benedicti occidentalium monachorum patriachæ, Bd. 4 (1707), S. 268.
    2 Vgl. Alberich von Trois-Fontaines, in: MGH Scriptores (in folio) 23, S. 790.
    3 Vgl. Maximilien Quantin, Cartulaire générale de l’Yonne, Bd. 1 (1854), Nr. XCIII, S. 178f. Der Erbstreit um Joigny und die eintretende Gleichheit in den Namen zwischen dessen Grafenfamilie mit der Herrenfamilie Joinville dürfte Alberich von Trois-Fontaines dazu verleitet haben, in beiden ein und dieselbe Identität zu erkennen, indem er die Herren von Joinville zugleich als Grafen von Joigny tituliert hat. Tatsächlich aber hat es sich in diesem Fall um zwei verschiedene Familien gehandelt, die einzig über Adelaide von Sens als verbindendes Glied miteinander verschwägert waren. Vgl. Henri-François Delaborde, Recherches critiques sur les premiers seigneurs de Joinville, in: Bibliothèque de l’école des chartes, Bd. 51 (1890). S. 618–629.
    4 Vgl. Louis Halphen und René Poupardin, Genealogiæ comitum Andegavensium, in: Chroniques des comtes d’Anjou et des seigneurs d’Amboise, (1913), S. 249.



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Engelbert_II_de_Brienne

    Engelbert II de Brienne, mort après 980, est comte de Brienne au xe siècle.

    Il est le fils d'Engelbert Ier de Brienne ( ? - ap. 968 ), premier comte de Brienne connu.

    Il a pour fils Engelbert III de Brienne.

    Notes et références
    Les comtes de Brienne sur le site généalogique FMG [archive]

    Engelbert + Adelaide (Alix, Wandalmodis) von Sens. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 11.  Adelaide (Alix, Wandalmodis) von SensAdelaide (Alix, Wandalmodis) von Sens

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Sens

    Die Grafschaft Sens mit dem Hauptort Sens bestand bereits zur Zeit der Karolinger. Mitte des 11. Jahrhunderts wurde sie vom französischen König erworben und in die Domaine royal eingegliedert.

    Arnulf (* wohl 794, † nach März/April 841), außerehelicher Sohn des Kaisers Ludwigs des Frommen, war Graf von Sens.

    Richard der Gerichtsherr († 921), erster Herzog von Burgund seit 918, eroberte die Grafschaft 894/895 im Rahmen der Konsolidierung seines späteren Herzogtums.

    Nach dem Tod von Richards Sohn, des französischen Königs Rudolf im Jahr 936, wollte sein Bruder Hugo der Schwarze († 952), Herzog von Burgund seit 923, die Autorität des Robertiners Hugo der Große, Herzogs von Franzien seit 936, nicht anerkennen. Die folgende militärische Auseinandersetzung führte zur Unterwerfung Hugos des Schwarzen, der in diesem Zusammenhang die Grafschaft Sens abtreten musste.

    Im Jahr 1055 wurde die Grafschaft Sens von König Heinrich I. erworben und in die Domaine royal eingegliedert.

    Grafen von Sens

    Hugo, Graf von Tours, war vermutlich auch Graf von Sens, er wurde 828 abgesetzt
    Arnulf (* wohl 794, † nach März/April 841) (Karolinger)
    Konrad († 882) (Welfen)
    Richard der Gerichtsherr (858–921), Graf von Sens 895/896–921 (Buviniden)
    Warnarius (X 6. Dezember 924) 895 Vizegraf von Sens, 895/896 Graf von Troyes; ∞ Teutberga von Arles, Schwester des Hugo I. König von Italien (Bosoniden)
    Rudolf von Burgund († 936), Sohn Richards, Graf von Sens 921–923
    Hugo der Schwarze († 952), dessen Bruder, Graf von Sens 923–936/940
    Richard († vor 948), Sohn von Warnarius, Vizegraf von Sens und Graf von Troyes bis 933
    Hugo der Große († 956) Graf von Sens 936/940–956 (Robertiner)
    Fromond I. († 948), vermutlich ein Sohn von Warnarius, Vizagraf dann Graf von Sens
    Rainald I. der Alte († 996), dessen Sohn, Graf von Sens
    Fromond II. († 1012), dessen Sohn, Graf von Sens
    Rainald II. († 1055), dessen Sohn, Graf von Sens

    Kinder:
    1. Herr Engelbert III. von Brienne gestorben in vor 28 Dez 1035.
    2. Guido von Brienne
    3. 5. von Brienne


Generation: 5

  1. 20.  Herr Engelbert I. von BrienneHerr Engelbert I. von Brienne

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Brienne; Herr von Brienne https://de.wikipedia.org/wiki/Brienne_(Adelsgeschlecht)

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (951 und 968)

    Kinder:
    1. 10. Herr Engelbert II. von Brienne gestorben in vor 1027/31.