Teilen Drucken Lesezeichen hinzufügen
Graf Folmar III. von Metz

Graf Folmar III. von Metz

männlich - 1034

Generationen:      Standard    |    Vertikal    |    Kompakt    |    Rahmen    |    Nur Text    |    Ahnenliste    |    Fächer-Diagramm    |    Medien

Generation: 1

  1. 1.  Graf Folmar III. von MetzGraf Folmar III. von Metz (Sohn von Graf Folmar II. von Lunéville und Berta); gestorben in spätestens 1034.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Bliesgau; Graf im Bliesgau https://de.wikipedia.org/wiki/Bliesgau
    • Besitz: Saint Rémy in Lunéville; Gründer der Abtei St. Rémy https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Rémy_de_Lunéville
    • Titel (genauer): 995-1026, Metz; Graf von Metz https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Metz

    Notizen:

    Citation de: https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Rémy_de_Lunéville

    L'abbaye Saint-Rémy de Lunéville est fondée au xe siècle, aussi ancienne que la ville de Lunéville elle-même. Plusieurs communautés religieuses se succèdent dans cette abbaye , reconstruite au xviiie siècle et sécularisée sous la Révolution. L'église abbatiale est devenue l'actuelle église Saint-Jacques. L'emplacement des bâtiments conventuels est occupé par l'hôtel de ville depuis le début du xixe siècle.

    Origine et développement
    Au xe siècle, le comte Folmar le Vieux de Lunéville († 995) fonde un monastère d'hommes dédié à saint Rémy, tandis que s'édifie un castrum protégeant le pont sur la Meurthe. Ces trois éléments forment ainsi l'embryon de la ville de Lunéville.

    Dès le siècle suivant, les moines, indignes, sont chassés par deux fils de Folmar, qui les remplacent par des moniales dont ils augmentent les possessions, notamment avec Bénaménil et Adoménil, alors village indépendant. L'une des abbesses fonda le premier hôpital de Lunéville.

    En 1140, les moniales furent à leur tour remplacées par des chanoines réguliers de saint Augustin venus de la proche abbaye de Belchamp, et qui pouvaient prendre en charge une mission pastorale dans la ville en plein essor et dans ses alentours. L'abbaye reçut en outre la paroisse de la ville, dédiée à saint Jacques, qu'ils devaient desservir.

    L'abbaye accueillit en 1622 le premier noviciat de la nouvelle congrégation de Notre-Sauveur instituée par saint Pierre Fourier, réformateur des chanoines réguliers.

    Apogée au xviiie siècle
    L'église et le palais abbatial (un temps presbytère) furent reconstruits pour les chanoines à partir de 1730, dans le style classique un peu provincial alors courant en Lorraine. L'architecte n'en est pas connu avec certitude, Jean Nicolas Jadot ou Jean-Nicolas Jennesson étant les plus probables.

    L'église abbatiale occupe un point central dans la disposition d'ensemble des bâtiments. Elle remplaçait l'ancienne abbatiale, vétuste et détruite en 1729. Les seuls revenus des chanoines ne suffisant pas à achever la construction, le roi Stanislas qui séjourne souvent à Lunéville demande à son premier architecte Emmanuel Héré de la mener à bien, et prend sur sa cassette personnelle pour en couvrir les frais. À partir de 1745, il impose aux chanoines d'y rattacher leur paroisse Saint-Jacques, l'église paroissiale dont ils avaient la charge menaçant à son tour de s'effondrer : c'est bien comme église Saint-Jacques qu'elle est aujourd'hui connue des Lunévillois. Les tours de l'église sont achevées en 1747, dans un style rococo qui rappelle l'Europe centrale chère à Stanislas.

    Avant la Révolution, les chanoines avaient également commencé la reprise des bâtiments conventuels existants (à l'est de l'église) et projetaient d'importantes extensions vers la rue Banaudon.

    Destinée après la Révolution
    L'abbaye fut sécularisée à la Révolution, et une partie des bâtiments conventuels fut détruite pour ouvrir la rue des Templiers. En 1798, le bâtiment conventuel devint hôtel de ville, tandis que le logis abbatial, propriété lui aussi de la ville, fut affecté au presbytère de la paroisse Saint-Jacques en 1802.

    L'hôtel de ville bénéficia ensuite d'une extension vers la rue des Templiers, qui complétait la symétrie des bâtiments existants par rapport au chevet de l'église ; la façade était unifiée, couronnée d'une balustrade, contribuant à l'allure majestueuse de l'ensemble.

    L'ancien logis abbatial libéré par la paroisse attend sa nouvelle affectation. L'église a quant à elle subi une restauration complète, et son orgue, unique en son genre par son décor théâtral masquant la tuyauterie, est de nouveau fonctionnel.

    Plus sous le lien ci-dessus ..

    Familie/Ehepartner: Gerberga von (Verdun ?). [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. Graf Folmar IV. von Metz
    2. Pfalzgraf Gottfried von Metz

Generation: 2

  1. 2.  Graf Folmar II. von LunévilleGraf Folmar II. von Lunéville (Sohn von Folmar I. von Lunéville und Amance); gestorben in spätestens 995.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 982-995, Metz; Graf von Metz https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Metz (Konflikt: In den Jahren 982-1033 sollen neben den Folmaren auch Matfriede Grafen von Metz gewesen sein ??)

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (977-982)
    Auch Graf des Blies- und Saargaus.

    Folmar + Berta. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Berta

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (995-996)

    Kinder:
    1. 1. Graf Folmar III. von Metz gestorben in spätestens 1034.


Generation: 3

  1. 4.  Folmar I. von Lunéville und AmanceFolmar I. von Lunéville und Amance

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Lun%C3%A9ville

    Lunéville

    Lunéville [ly.ne.vil] (veraltet auch Lünstadt)[1] ist eine französische Gemeinde im Département Meurthe-et-Moselle in der Region Grand Est (bis 2015 Lothringen). Lunéville ist Sitz der gleichnamigen Unterpräfektur, Hauptort der Kantone Lunéville-1 und Lunéville-2.

    Lunéville liegt an der Einmündung der Vezouze in die Meurthe, etwa 30 Kilometer entfernt von Nancy. Mit 19.020 Einwohnern (Stand 1. Januar 2015) ist Lunéville nach Nancy die zweitgrößte Stadt im Département Meurthe-et-Moselle

    Geschichte
    Lunéville war einst eine kleine Grafschaft und gehörte seit dem 15. Jahrhundert zum Herzogtum Lothringen. Seinen Aufschwung verdankte es Leopold Joseph von Lothringen, der 1702 nach Lunéville zog, weil seine Hauptstadt Nancy von französischen Truppen besetzt wurde. Er ließ sich vom Architekten Germain Boffrand das Rokokoschloss errichten und die Stadt zu einer würdigen Residenz ausbauen. Eine Steingutfabrik wurde im Jahre 1730 hier gegründet, die bald als königlich anerkannt wurde. Sie stellt noch heute weltberühmte keramische Produkte her.

    Danach regierte Stanislaus I. Leszczyński – der letzte Fürst von Lothringen – das Herzogtum bis zu seinem Lebensende (23. Februar 1766) auch von Lunéville aus. Lothringen fiel nach ihm vertragsgemäß an die französische Krone. Am 9. Februar 1801 unterzeichneten hier Joseph Bonaparte für die Französische Republik und Johann Ludwig Graf Cobenzl für Österreich den Vertrag von Lunéville. Dieser Friedensschluss markiert das Ende des Zweiten Koalitionskrieges und den Sieg Frankreichs. Inhaltlich bereitet dieser Friedensvertrag den Reichsdeputationshauptschluss (1803) vor.

    1827 wurde Fürst Ludwig Aloys zu Hohenlohe-Waldenburg-Bartenstein zum Marschall und Pair von Frankreich ernannt. Für seine Verdienste erhielt er das Schloss Lunéville zeitlebens als Residenz. Er war Kommandeur des Regiments Hohenlohe, das 1831 in die französische Fremdenlegion einging. Ludwig Aloys starb in Lunéville am 31. Mai 1829.

    Besonders zu Anfang des Ersten Weltkriegs war die Umgebung der Stadt stark umkämpft. Der Durchbruchsversuch der deutschen 6. Armee auf Épinal scheiterte Ende August 1914 an der auf starke Befestigungen gestützten französischen Verteidigung im Raum Nancy/Lunéville.

    Mehr unter dem Link oben..

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (933-950)

    Kinder:
    1. 2. Graf Folmar II. von Lunéville gestorben in spätestens 995.