Notizen:

1257-1293 urkundlich bezeugt.

Familie/Ehepartner: Henri de Chevron-Villette. Henri gestorben in 1273. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Philippine Alamand. [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Chevron_Villette

La famille de Chevron Villette, originaire de Savoie, est une famille de la noblesse d'extraction chevaleresque sur preuves de 13282. Elle est issue de l'alliance entre deux familles : la famille de Chevron et une branche de la famille de Villette. Certains de ses membres portent simplement le nom de Villette, invitant parfois à la confusion avec la branche de Tarentaise.
Elle fait partie des Familles subsistantes de la noblesse française depuis 1860, date de l'Annexion de la Savoie à la France, sous le Second Empire. Elle est adhérente de l'ANF, depuis 19603

Titres
Les seigneurs de Chevron Villette portèrent les titres1,4 , selon les périodes de :
• en Tarentaise :
• Seigneurs, puis barons et comtes de Chevron, Barons de Villette (Savoie) ;
• Seigneurs de Fesson (1427, 1447) ;
• en Savoie Propre (Comté de Savoie - Sa), Genevois (Comté de Genève - Ge), Faucigny (Fa), Maurienne (Ma) :
• Seigneurs de Villette en Genevois (Thônex - Ge)
• Seigneurs de Giez (Ge), Marciez (Ma), Thénésol (Sa), Marthod (Sa), Bonvillard (Ma), Arvillard (Ma), Les Molettes, Barons de L'Orme (Planaise) et comtes de Montjoye (Fa) ;
• Seigneurs ou coseigneurs de Puits-Gauthier, Puteville, Saint-Pierre de Soucy (Sa), Montfalcon (La Biolle -Ge), Chignin (Sa) et Clermont en Genevois (Ge) ;
• en Chablais savoyard :
• Seigneurs de Corsinge ;
• en Valais :
• Seigneurs de Pontverre et d'Aigle ;
• en Bugey
• Seigneurs de La Couz et de La Bavoysière ;
Ils occupèrent également les charges1 de :
• vidomnes de Rumilly en Albanais ;
• vidomnes et sénéchaux de Sion, Viège, Ardon, Sierre, Chamoson5.

Possessions
Liste des possessions tenues en nom propre ou en fief des familles Villette, Chevron puis de Chevron Villette :
• château de Chevron, à Mercury, situé à quelques kilomètres d'Albertville, en dessous du col de Tamié ;
• château de Feissons, à Feissons-sur-Isère ;
• château de Gye, à Giez, entre le Lac d'Annecy et Faverges ;
• château d'Héré, à Duingt ;
• château de Montpon, à Alby-sur-Chéran ;
• maison forte de l'Orme, à Planaise, situé à proximité de Montmélian, dans la Combe de Savoie.
Histoire[modifier | modifier le code]
La famille de Chevron Villette trouve son origine dans l'alliance de deux familles probablement à la fin du xiie siècle, puis dans la fusion des deux familles au siècle suivant, l'une originaire de la combe de Savoie, les Chevron, la seconde, de Tarentaise, les Villette.

Famille de Villette
Les Villette sont des seigneurs bannerets des comtes de Savoie6, originaires de Villette, proche d’Aime, en Tarentaise7.
Félix Bernard (1883-1972), historien local, en fait une branche cadette de la famille de Briançon (ou Briançon-Aigueblanche), vicomte de Tarentaise8, puisque les deux familles apparaissent à la même période dans les différentes actes de la vallée9.
Les seigneurs de Villette sont vassaux des archevêques-comtes de Tarentaise9. Ils possèdent la seigneurie de Villette, où ils possèdent des biens notamment les tours de Villette, la tour dite de Montmayeur à Aime, mais également dans les environs d'Aigueblanche9, tout comme les Briançon-Aigueblanche. Les membres de la famille se font enterrer au prieuré de Saint-Martin d'Aime9.
Leurs liens avec la famille de Chevron restent troubles selon les historiens9, notamment le comte Amédée de Foras1. Cette alliance remonterait au début du xiiie siècle7,9. Surtout que le patronyme est utilisé indifféremment par la branche des Villette restés en Tarentaise et ceux s'étant fondue avec les Chevron7,9.
L'historien Léon Menabrea (1804-1857) mentionne un Thibaud de Villette vers 1150 dans un acte entre le comte de Maurienne Humbert III10. Il note ainsi que ce seigneur marie ses deux fils, vers 1189, aux héritières de la famille de Chevron, faisant ainsi passer les possessions de ces derniers dans celles des Villette10.
En 1308, un Jean de Villette vend le fief familial de Villette, tenu selon ses dires en alleu, à l'archevêque-comte de Tarentaise, Bertrand Ier de Bertrand9. Jean de Villette est ensuite investit du fief, tout en se reconnaissant homme-lige du prélat9. L'année suivante, François de Villette reconnaît à son tour détenir ses droits sur Villette, ainsi que le quart de la seigneurie et de la juridiction de l'archevêque9.
Si la branche des Chevron Villette fait hommage aux comtes, puis aux ducs de Savoie, les Villette de Tarentaise font hommage aux archevêques-comtes9.

Famille de Chevron
La tradition familiale, reprise par quelques érudits locaux, indiquerait qu'un Wilfried de Chevron, présent lors de la prieuré de Lémenc (sur les hauteurs de Chambéry) en 1029 par le roi Rodolphe III de Bourgogne4. Toutefois, le comte Amédée de Foras, à propos de cette filiation, considère qu'il est «««««««« inutile de la faire remonter, avec des généalogistes d'imagination, à Wilfrid de Chevron, surnommé de Cuynes »»»»»»»»1. Une seconde tradition plus répandue rattache à cette famille le pape Nicolas II, qu'elle fait naître dans le château de Chevron11,12. Mais la plupart des historiens, sans remettre en cause cette présentation, rappellent qu'aucune source ne permet de le justifier, notamment Amédée de Foras1,13.
La famille de Chevron réside principalement dans son château de Châteauvieux (disparu au xive siècle et remplacé par un manoir), ainsi que dans celui de Chevron, tous deux situés dans la paroisse de Mercury4,14. Ces châteaux permettent le contrôle de la Haute-Combe de Savoie, avec les seigneuries de Mercury, Allondaz, Thénésol, du col de Tamié, par la voie romaine transversale Genève-ad Publicanos (proche d'Albertville) et l'entrée de la Tarentaise, permettant de rejoindre le col du Petit-Saint-Bernard4,15.
La fondation de l'abbaye de Tamié, en 1132, est possible grâce à l'octroi d'un domaine par les seigneurs et frères de Petro, Willelmo, Aymardo (Pierre, Guillaume et Aymard) de Cavreduno (Chevron)16,17. Aymard est indiqué comme absent le jour de la transaction1,16.
Le seigneur de Chevron participe avec son suzerain, le comte de Maurienne Amédée III, à la deuxième croisade14. Certains auteurs du xixe siècle contribuent à la confusion sur le nom de la famille, en indiquant la participation de Chevron-Villette18.
Les seigneurs de Chevron de par leur position gardent une certaine autonomie en cette période, qui fait dire à l'historien Henri Ménabréa (1882-1968), «««««««« quelques-uns, les Chevron et les sires de Miolans devaient affirmer longtemps qu'ils ne dépendaient que de l'Empire, c'est-à-dire de personne »»»»»»»»19.

Famille de Chevron Villette
L'apparition du nom Chevron Villette fait suite au mariage entre les fils de Thibaud de Villette marie ses deux fils, Amédée (Vullielme ?) et Humbert4, aux deux héritières de la famille de Chevron, Guillermine et Julienne, vers 1189, selon l'historien Jean-Louis Grillet (1756-1812)13,20,21. Ces dernières sont les filles de Guillaume (II) de Chevron, et d'une dame de Villette, sans descendance mâle[réf. nécessaire]. Les titres et biens des Chevron se fondent dés lors dans ceux des Villette10. À partir de cette date de mariage, les descendants semblent utiliser le nom composé de Chevron Villette21, toutefois il semble être indifféremment utilisé, et alterné avec l'usage simple de Chevron ou de Villette, auquel il faut ajouter la branche de Villette restée en Tarentaise7,9.
Le nom des deux frères, Amédée (Vullielme ?) et Humbert, se retrouvent dans de nombreux actes au cours de cette période (1195-1218)10. Ainsi, Amédée passe un accord en 1216 avec les chanoines de la cathédrale Saint-Pierre de Moûtiers pour des «««««««« biens situés sous le château de Chevron. »»»»»»»»9
Selon Jean-Louis Grillet, un Hu(m)bert de Chevron Villette, seigneur de Montailleur, épouse en 1226, dame Béatrix, héritière de la famille de Giez20. Leur fils, Henri, semble être à l'origine de l'achat du vidomnat de Rumilly20. Les liens entre la famille de Chevron Villette et Giez remontent au xiiie siècle22. Ainsi un Humbert II de Chevron Villette fait un don à l'abbaye de Tamié à partir de ses biens détenus sur Giez22.
En 1275, une transaction relative à la juridiction de Villette est passée entre Humbert de Villette, seigneur de Chevron, et Humbert de Villette9.
Selon des sources différentes, le 523 ou les 6 mars 130624, «««««««« Amédée V aurait acheté à Humbert (IV) de Villette la suzeraineté immédiate de la terre de Chevron »»»»»»»», reprenant l'historien Jean-Louis Grillet20. Grillet indique par ailleurs que cet Humbert est comte de Romont et «««««««« vidome et grand sénéchal de la ville de Sion »»»»»»»»20. Le Humbert IV de Grillet correspond dans sa description et les titres au Humbert V, dont il est questio ci-après.
Des reconnaissances passées entre un Jean de Villette, de la branche de Villette, et l'archevêque-comte de Tarentaise, Bertrand Ier de Bertrand, en 1308, indiquent que les seigneurs de Chevron possédaient encore des droits sur et dans la seigneurie9.
Humbert IV et son fils Humbert V combattent auprès de leur suzerain durant la guerre delphino-savoyarde, opposant le dauphin de Viennois, Guigues VIII, maître du Faucigny, et le comte de Savoie, Aymon14,Note 1. La forteresse de Châteauvieux est détruite en 1334-133514. Les pierres serviront à la construction du château de Chevron à Mercury4.
Le chevalier Humbert (V) († entre 1361 et 1367) est seigneur de Chevron, Villette, Giez, Thénésol, Bonvillard, Rovagny (actuel hameau de Giez), etc.4. Il est fait bailli du Chablais, en résidence au château de Chillon, à deux reprises au cours du xive siècle, avant d'hérité du vidomnat de Sion, à la suite de son mariage avec Amphélise, héritière de Pierre (lI) d'Aigle25. Leur fille, Marguerite, mariée, vers 1367, à Humbert, surnommé le bâtard de Savoie (fils du comte Aymon de Savoie)4,20,26. Ce dernier avait épousé en premières noces, Andize d'Arvilars26. De la seconde union avec Marguerite de Chevron Villette naît un fils, Amé, qui épouse une Marguerite de Villette, sans postérité26. Leurs descendants héritent de la charge de vidomne de Sion sur six générations, avant que les différents droits de la famille en Valais passent aux Montheys entre 1532 et 157721.
En 1384, un Humbert de Chevron prête hommage au comte de Savoie, Amédée27. L'année suivante, ce même Humbert, prête serment à l'archevêque de Tarentaise, Édouard de Piémont, suite à la demande du comte de Savoie9.
Au cours du xve siècle, Pierre de Villette devient seigneur du mandement d'Ugine22. Son fils, Philippe, est investi du château comtal d'Ugine22,28. Un Urbain de Villette agrandit ce château22.
Le 20 octobre 1440, Philippe de Savoie, comte de Genevois et baron de Faucigny, investit Urbain de Villette des châteauc et mandement d'Ugine29.
En 1437, un Urbain de Villette donne la juridiction qu'il possède sur Villette au duc de Savoie9. Il semble être le même qui passe le même accord pour le mandement et le château de Chevron, en 14639.
Au xvie siècle, la veuve du seigneur Urbain II de Villette


Mehr unter obenstehendem Link..

Familie/Ehepartner: Philippine N.. [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

Humbert de Chevron Villette ( entre 1361 et 1367), fils d'Humbert IVde Villette. Il pouse la fille du seigneur Pierre d'Aigle, vidomne etsnchal de Sion. Il est fait bailli du Chablais par le comte de Savoie(1319, 1328-1330). Il hrite du vidomnat de Sion la mort de sonbeau-pre en 1343) marquant l'implantation de la famille en Valais.

Humbert heiratete Ancilésie (Amphilésie) de Sion in 1328. Ancilésie (Tochter von Sénéchal Pierre de Sion (d'Aigle) und Catherine de Pontverre) gestorben in zw 1377 und 1378. [Familienblatt] [Familientafel]

Anderer Ereignisse und Attribute:

• Beruf / Beschäftigung: Sitten, Wallis, Schweiz; Bischöflicher Viztum und Seneschall in Sitten
• Titel (genauer): Herr zu Chevron

Notizen:

Herr zu Chevron; bischöflicher Viztum und Seneschall in Sitten; Ritter; testierte 29.10.1411; 1343-1414 urkundlich bezeugt.

Name:
Testierte 29.10.1411; 1343-1414 urkundlich bezeugt.

Familie/Ehepartner: Catharina Asperlin. [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

Name:
Lehenträger des Bischofs von Sitten

Familie/Ehepartner: Perronnette de la Bastie (Bâtiaz). Perronnette (Tochter von Perrod de la Bastie (Bâtiaz) und Johanna oder Juliana N.) gestorben in nach 1421. [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

Name:
Mit ihren Schwestern Batrice und Marguerite im Testament ihres Grossvaters Pierre de Chevron-Villette genannt.

Isabelle heiratete Christof von Silenen in 1427. Christof (Sohn von Arnold von Silenen und Verena von Hunwil) gestorben in nach 1445 in Küssnacht. [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

Albin, Bruder des Bischofs, war 1475 Hauptmann der Besatzung von Yverdon, 1476 Hauptmann der Luzerner Truppen in der Schlacht bei Murten und 1477 bei Nancy, wo er zum Ritter geschlagen wurde. Er erwarb die Herrschaft Rüssegg, die er dann der Stadt Luzern verkaufte. Als Befehlshaber der Luzerner Truppen im Eschental, wo Jost eine Herrschaft für ihn errichten wollte, fiel er 1494 in diesem Feldzug; er wurde in Sitten begraben.

http://www.gondo.ch/downloads/crevola525.pdf - Schlacht bei der Brücke von Crevola

Die "Edlen Freiherren von Silenen"
Im Dörfli, dem sogenannten Obersilenen, ein Weiler von nationaler Schutzwürdigkeit, erhebt sich die 5-stöckige Turmruine – erbaut ca. 1240 – der ««««««««Edlen Freiherren von Silenen»»»»»»»», die als sogenannte Meier amteten und die Einzüge von Zehnten uund Zinsen an das Fraumünster besorgten. Der erste Meier, 1243-1258, war Ritter Werner, dann Ritter Arnold, 1290-1294, zugleich Landammann von Uri und Mitbeschwörer des Ewigen Bundes 1291 auf dem Rütli. Der erste, 1251 nachweisbare Landammann von Uri, war Burkhard Schüpfer, von der Schüpfen zu Silenen. Aus diesem Stamm der ««««««««von Silenen»»»»»»»», der sich nach Schwyz, Luzern und Wallis ausbreitete, ging auch Jost von Silenen hervor, der in Rom Theologie studierte, zum Priester geweiht Probst zu Beromünster wurde, dann königlicher Rat Ludwig XI., franz. Gesandter in der Schweiz, Bischof und Parlamentspräsident von Grenoble, schliesslich Bischof von Sitten und Graf und Präfekt vom Wallis. In den Wirren der Vorreformationszeit wurde er abgesetzt und starb erst 53-jährig, als Verbannter 1498 in Frankreich. Seine Brüder: Andreas, Domherr zu Sitten, wurde daselbst hinter dem Hochaltar ermordet; Albin, der Heerführer in den Feldzügen ins Eschental, erlag in Verzelli an der Seuche. Mit dem ersten Gardehauptmann zu Rom, ««««««««Kaspar von Silenen»»»»»»»», gestorben 1562, erlosch das ruhmreiche Familiengeschlecht. Mit der 1081 erstmals urkundlich erwähnten 14-Nothelfer-Kapelle dürften damals nebenan auch die ersten ««««««««von Silenen»»»»»»»» und späteren Meier des Frauenklosters, Felix und Regula in Zürich, mit dem Bau eines Wohnturmes begonnen haben. Die 1666 nach einem Brand wieder hergestellte Kapelle erweist sich heute, nach Abschluss der Renovationsarbeiten, als ein Gotteshaus von erhöhter Rangordnung, nachdem unter mehreren Übermalungen, namentlich im Chorbereich, Fresken aus dem 16. Jahrhundert zutage traten.

Familie/Ehepartner: Verena Netstaler. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Hans Ulrich III Segesser von Brunegg. Hans (Sohn von Hans (Johann) Ulrich II Segesser von Brunegg und Regula Schwend) wurde geboren in Mellingen, AG, Schweiz; gestorben in 1524. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Margareta von Münsingen ?. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Anna von Randegg (Tauber). [Familienblatt] [Familientafel]

Notizen:

Zitat aus: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D20052.php

Segesser von Brunegg [Segesser, von Segesser]
Ab Mitte des 13. Jh. bezeugtes aarg. Ministerialengeschlecht, das zuerst im Dienst der Kyburger, später der Habsburger stand und in der kyburg. Stadt Mellingen über Eigenbesitz verfügte. Burg und Herrschaft Brunegg kamen 1473 als bern. Lehen an die S., die damals bereits die Vogteirechte für Brunegg besassen. 1538 wurden die S. im Nachgang der Reformation dazu gedrängt, Brunegg an Bern zu übertragen, das daraufhin Burg und Herrschaft dem Landvogt von Lenzburg unterstellte. Über Erbschaften und Heiratsverbindungen mit landsässigem Adel im Aargau kamen die S. zu weiterem Besitz, v.a. im Reusstal, längerfristig in Mellingen, Aarau, Tägerig und im zuger. Steinhausen. Ab dem 15. Jh. waren sie Bürger in den Landstädten Aarau und Mellingen sowie in eidg. Städteorten, u.a. in Luzern, und verheirateten sich mit Töchtern städt. Notabelnfamilien. Bis ins 16. Jh. dominierten bei den S. ministeriale Ämter. Die damit verbundene Habsburgtreue brachte dem Geschlecht 1442 die Nobilitierung durch Friedrich III. ein. Später kamen die S. über ihre Zugehörigkeit zu den städt. Räten auch in kommunale Ämter und wurden mit der Verwaltung gemeiner Herrschaften betraut.

In Luzern etablierte sich eine Linie des Geschlechts im 16. und 17. Jh. im Kl. Rat und schliesslich als patriz. Geschlecht. Die Luzerner S. begründeten ihren Aufstieg durch das geschickte Ausnutzen von Sold- und Pensionenwesen. Als Kleinräte befehligten einige S. Kompanien in fremden Diensten und wurden zuweilen zu Rittern geschlagen. Sie verwalteten angesehene Luzerner Landvogteien wie Ruswil, Beromünster, Willisau, Rothenburg, Habsburg und Entlebuch und versahen begehrte städt. Ämter, etwa diejenigen des Bannerherrn, Schützenhauptmanns oder Schultheissen; ferner vertraten sie Luzerns Interessen als Gesandte. Von der Luzerner Linie, die bis ins 21. Jh. Nachfahren aufweist, spalteten sich Mitte 16. Jh. eine röm. und eine dt. Linie ab, von denen Erstere Anfang 17. Jh. erlosch, Letztere zu Beginn des 19. Jh. Alle Linien blieben nach der Reformation katholisch und wiesen viele Ordens- und Weltgeistliche auf, so Maria Franziska Hortensia ( -> 14) oder Franz ( -> 5). Zudem gehörten Vertreter der Fam. vermehrt Ritterorden an. Ein 1737 für den Fall des Erlöschens einer Linie gestiftetes Fideikommiss regelte den Güterrückfall innerhalb des Geschlechts und half den Besitzstand längerfristig zu wahren.

In Luzern kamen die S. mit der Restauration 1814 erneut in die Regierung. Fortan besetzten sie neben kant. auch eidg. Ämter, v.a. in Militärwesen und Justiz. Heinrich Viktor ( -> 8) zeichnete als Architekt für einige Luzerner Grossbauten verantwortlich. Ende 19. Jh. und Anfang 20. Jh. hielten Philipp Anton ( -> 16), Hans Albrecht (gestorben 1935) sowie Agnes ( -> 1) ihre Familiengeschichte historisch oder genealogisch fest.


Archive
– StALU, Fideikommissarchiv S.
Literatur
– Schweiz. Geschlechterbuch 2, 491-508, 831-833; 5, 570-575; 10, 497-504
– GHS 3, 191-232, 416-418 (mit Stammtaf.)
– K. Messmer, P. Hoppe, Luzerner Patriziat, 1976

Autorin/Autor: Tina Maurer

https://query-staatsarchiv.lu.ch/detail.aspx?ID=1041017

Segesser von Brunegg, Familie (Provenienz)

Seit 1250 nachweisbares aargauisches Ministerialgeschlecht. Alter Allodialbesitz in der Gegend von Mellingen deutet auf seinen freien Ursprung. Der ursprüngliche Name "Segenser" folgte der dialektischen Urformung. Durch Heiraten und Erbe kam im 13. Jahrhundert der ganze 1259 bezeugte Besitz der Elisabeth, Frau Ulrichs, kiburgischen Marschalls zu Mellingen, dann um 1275 von den Schenken von Brunegg die Vogtei Wolenschwyl, und zwischen 1295 und 1303 von den Herren von Iberg das Burghaus "Iberg" zu Mellingen an die Segesser. Von 1320-1588 war die Schultheissenwürde zu Mellingen in der Familie so gut wie erblich.
Nach der Eroberung des Aargau den Habsburgern true geblieben, wurden die Segesser am 26.09.1442 druch König Friederich III. auf dem Reichstag in Zürich zu freien, erblichen Reichsdienstmannen erhoben. Die drei Linien erwarben 1536, 1559 und 1566 in Luzern das Bürgerrecht. Dort traten die Luzerner- und die Römerlienie in die patrizische Regierung ein. Erstere gehörte ihr bis 1798 an und trat bei der Restauration 1814-1831 wieder in die Regierung ein.

Name:
Brachte ihrem Gemahl die Twingherrschaft sowie das Meier- und Kelleramt in die Ehe.

Familie/Ehepartner: Conrad Hasfurter. Conrad (Sohn von Heinrich Hasfurter und Margaretha Friedberg?) gestorben in 1518. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Agatha von Hertenstein. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Johannes von Fleckenstein. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Ritter Ludovic (Ludwig) Pfyffer von Altishofen. Ludovic (Sohn von Leodegar Pfyffer und Elisabeth Kiehl) wurde geboren in 1524 in Luzern, LU, Schweiz; gestorben am 17 Mrz 1594 in Luzern, LU, Schweiz. [Familienblatt] [Familientafel]

Anderer Ereignisse und Attribute:

• Wohnort: Altdorf, Uri, Schweiz
• Stammbuch Uri: - Imhof von Blumenfeld 11d, 13

Dorothea heiratete Landammann Kaspar (Caspar) Imhof von Blumenfeld, der Jüngere in 1537. Kaspar (Sohn von Landammann Waltert Imhof von Blumenfeld und Barbara Christen) wurde geboren am 31 Dez 1513 in Altdorf, Uri, Schweiz; gestorben am 19 Feb 1562 in Altdorf, Uri, Schweiz. [Familienblatt] [Familientafel]

Familie/Ehepartner: Kaspar Kündig. Kaspar (Sohn von Ludwig Kündig und Anna Tammann) gestorben in 1617. [Familienblatt] [Familientafel]

Anderer Ereignisse und Attribute:

• Wohnort: Altdorf, Uri, Schweiz

Anna heiratete Landammann Heinrich Püntener in Datum unbekannt. Heinrich (Sohn von Landvogt Heinrich Püntener und Magdalena von Beroldingen) wurde geboren in nach 1515; gestorben in 1580. [Familienblatt] [Familientafel]

Anderer Ereignisse und Attribute:

• Wohnort: Altdorf, Uri, Schweiz
• Beruf / Beschäftigung: 1575-1581, Uri, Schweiz; Landesseckelmeister
• Beruf / Beschäftigung: 1582-1584, Bezirk Riviera, Tessin, Schweiz; Landvogt der Riviera Vogtei Riviera
• Beruf / Beschäftigung: 1584-1586, Bellinzona, TI, Schweiz; Kommissar zu Bellenz
• Beruf / Beschäftigung: 1588-1590, Uri, Schweiz; Landesstatthalter
• Ehrung: 1594, Rom, Italien; Vom Papst zum Ritter des goldenen Sporn geschlagen. https://de.wikipedia.org/wiki/Orden_vom_Goldenen_Sporn
• Beruf / Beschäftigung: von Okt 1593 bis Jan 1594, Rom, Italien; Gesandter an Papst Clemens VIII. bei welchem Anlass er zum Ritter vom goldenen Sporn geschlagen wurde. https://de.wikipedia.org/wiki/Clemens_VIII._(Papst)
• Besitz: cir 1595, Haus zum Blumenfeld, Altdorf, Uri, Schweiz; Erbaut das Haus im Blumenfeld
• Beruf / Beschäftigung: 1604, Mailand; Gesandter nach Mailand zur Bestätigung des Bündnisses.
• Beruf / Beschäftigung: 1590-1592 & 1603-1605, Uri, Schweiz; Der 51. Landammann von Uri (Amtsperioden 96 und 103)
• Beruf / Beschäftigung: 1587-1608; Tagsatzungsgesandter

Notizen:

Verwandschaft / Relations / Relation

https://stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2480



Name:
Erbaut das Haus im Blumenfeld, wovon der Beinamen stammt. Dieser Zweig des Geschlechts Imhof trägt also erst ab diesem Zeitpunkt den Beinamen "im Blumenfeld".

Gestorben:
Am Zehntausendrittertag

Waltert heiratete Katharina Püntener in 1565. Katharina (Tochter von Landammann Heinrich Püntener und Anna Dietli (oder Dittli)) wurde geboren in Altdorf, Uri, Schweiz. [Familienblatt] [Familientafel]

Waltert heiratete Maria Elisa von Roll in 1585. [Familienblatt] [Familientafel]

Aloisia heiratete Landvogt Peter Jauch in Datum unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]

Anderer Ereignisse und Attribute:

• Stammbuch Uri: Imhof von Blumenfeld 13b - Zumbrunnen 11f, 14

Dorothea heiratete Mansuetus Zumbrunnen in Datum unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]