Teilen Drucken Lesezeichen hinzufügen

Herrin Clémentine de Fouvent

weiblich


Generationen:      Standard    |    Kompakt    |    Vertikal    |    Nur Text    |    Registerformat    |    Tabellen

Generation: 1

  1. 1.  Herrin Clémentine de Fouvent

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Clémence de Fouvent
    • Titel (genauer): Herrin von Fouvent Herrin von Commercy
    • Titel (genauer): Lady of Fouvent Lady of Commercy
    • Titel (genauer): Dame de Fouvent Dame de Commercy

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Seigneurie_de_Commercy

    Seigneurie de Commercy

    La ville de Commercy, de nos jours sous-préfecture de la Meuse en Lorraine, fut jadis nommée « Comarcey ». Elle tire son nom de commarcha ou commarchia, qui signifie « marche » (marcha) ou « frontière », de sa position en bord de Meuse aux frontières de la Lorraine, du Toulois, du Barrois, du Verdunois (territoires alors dans l'Empire), et du royaume de France (Champagne), lorsqu'elle ne faisait partie d'aucune de ces entités tout en étant dans l'Empire1.

    La première mention de la ville date du ixe siècle lors de sa cession par l'empereur d'Allemagne à l'évêché de Metz, et les évêques eux-mêmes la confièrent à des seigneurs afin d'en garantir la sûreté. À cette époque la ville se compose d'un château entouré de fortifications et servant de citadelle aux habitants. En avant des fossés se situe un "pâquis", c'est-à-dire des pâturages (plus tard place du « fer à cheval »), non loin du château se trouvent quelques habitations ainsi que la halle et la hallotte (où sont tuées et débitées les bêtes) formant le cœur de l'ancienne Commercy ; les abords de l'église contiennent un cimetière et des habitations peu nombreuses, bourgeons d'un futur faubourg. À l'emplacement du quartier "Breuil", séparé de la ville par un étang, s'élèvent un couvent de filles et quelques fermes1.

    Le domaine seigneurial comprend la ville et les villages voisins qui sont Lérouville, Pont, Chonville, Morville, Saint-Aubin, Méligny-le-Grand et le Petit, Ménil-la-Horgne, Laneuville-au-Rupt, Ville-Issey, Vaux-la-Grande, Vaux-la-Petite, Vignot, Reffroy, Saulx1. Les seigneurs de Commercy (cf. la liste et la généalogie à la fin de l'article) sont souvent appelés damoiseaux de Commercy, titre dévolu aux seigneurs du Château-Haut, maîtres de la seigneurie principale.

    Les premières mentions de Commercy 2,3
    La première mention de Commercy se trouve dans une chronique d'Éginhard, auteur de la première biographie de Charlemagne ; dans cette chronique datée de 823 on lit "au diocèse de Toul, en la ville de Commercy, il y eut une fille âgée de douze ans, laquelle, après avoir reçu le précieux corps de notre sauveur J-C, à Pâques, fut par dix mois sans manger pain, et depuis fut trois ans sans boire, et après lesdits trois ans, en novembre 825, retourna à la manière et façon des autres, buvant et mangant". Une autre antique mention est faite en 827 ou 831 lorsque Louis le Pieux s'arrête à Commercy lors de son voyage de retour d'Ingelheim après une assemblée tenue à Worms. Il faut attendre ensuite 967 pour trouver une charte de saint Gérard citant un seigneur de Commercy nommé Louis. Une autre mention est celle de 1037 lors du siège de la ville par le comte de Champagne Eudes II de Blois : lors de la prise de la ville un moine nommé Gervinus courut à Verdun avertir Richard alors abbé de Saint-Vanne dans l'espoir que celui-ci puise faire entendre raison aux deux belligérants. À leur retour à Commercy ils arrivèrent trop tard et ne purent qu'assister à l'embrasement de la ville et de l'église. Ils réussirent à sauver les reliques de saint Pantaléon et de saint Étienne qu'un soldat tentait de subtiliser. La tradition relatait que la relique de Pantaléon de Nicomédie avait été rapportée d'Orient par un des seigneurs de Commercy qui avait accompagné l'archevêque Brunon. En plus des dommages infligés à la ville, le couvent de "Breuil" fut dévasté, les religieuses durent le quitter et une partie d'entre elles partirent à Verdun, les autres rejoignirent un monastère dans le Dauphiné nommé Notre-Dame de Commercy puis abbaye de Vernaison. Quelque temps plus tard les bâtiments laissés à l'abandon furent utilisés par des moines bénédictins de l'abbaye de Molesme avec l'accord de Pibon, évêque de Toul qui leur en fit la donation, et l'acte de cette cession sera considéré par les moines comme l'acte de fondation de leur monastère1.

    Les moines de Breuil profitèrent de la nomination sur le siège épiscopal de Richwin de Commercy, fils du seigneur du lieu, pour lui demander et obtenir le patronage de la cure de l'église de la ville, demande qu'ils n'oublièrent pas de faire renouveler en 1136 par l'évêque Henri Ier de Lorraine, et en 1115 ils devenaient seigneur d'une partie de Ville-Issey. La bonne entente devait prendre une autre tournure lorsqu'en 1186 Simon de Commercy fit des dons importants à des chanoines séculiers, il fallut l'intervention de l'évêque pour faire signer aux deux parties un traité de paix1.

    Au cours du xiie siècle les seigneurs de Commercy font d'importantes donations aux abbayes des environs, après avoir donné l'usage des bois de Morley à celle de Jovilliers (nommée alors Jeand'Heurs), Simon donne la terre de Frosley à celle d'Écurey en 11881.

    En 1071 les villageois vont assiéger la ville de Toul mais se heurtent au comte Gérard Ier de Vaudémont qui les force à la retraite. Pour éviter que cela se reproduise l'évêque de Metz propose d'échanger Commercy contre l'abbaye de Bouzonville qui appartenait au duc Thierry II, mais aucun accord ne put être trouvé1.

    La maison de Broyes
    Simon II de Broyes (Simon Ier de Commercy) entre en possession de Commercy à l'occasion de son mariage avec Nicole, fille de Renaud de Traves et d'Élisabeth de Salins et petite-fille d'Humbert III de Salins (fin du XIIe siècle). Simon est le fils d'Hugues III seigneur de Broyes, Châteauvillain, Arc-en-Barrois, Baye, Neele, Villenose et Champigny-sur-Aube (localités sises alors au comté de Champagne, royaume de France), devenu seigneur de Commercy (dans l'Empire) lors de son mariage vers 1144 avec Stéphanie de Bar-Commercy, dame de Commercy (citée en 1141), fille de Renaud Ier, comte de Bar. Afin d'assurer son emprise sur la ville Simon accorde d'importantes libéralités aux maisons religieuses et en 1186 il finance de façon importante une collégiale de chanoines séculiers composée d'un prévôt et de onze chanoines, il leur offre "deux fours banaux", "quarante sous annuellement sur le droit de foire", des corvées (sur la terre Saint-Pantaléon, sur la terre sous la Perrière, sur les prés à Brassieux), des dîmes (sur les anguilles, les sangliers, les cerfs, les vignes, les fruits, le vin, les troupeaux, le moulin de Commercy), des biens à Vadonville, les cens sur la châtellenie de Commercy, des muids sur les moulin de Morlay et de Commercy et des usages sur des terres à Commercy et à Morlay "soit pour bâtir leurs maisons, soit pour leurs ustensiles" ; de son côté l'évêque de Toul Pierre de Brixey participe en offrant les églises de Vadonville, Malaumont, Chonville et Saint-Aubin. Dans la même donation il est stipulé que les chanoines devront prendre en charge spirituellement les lépreux de Commercy ainsi que leur famille et auront la gestion de la "grange aux lépreux, près de Saint-Aubin". Après ces donations Simon combla l'abbaye d'Écurey en lui confiant les terres de Frosley et de Morley où les religieux bâtirent bientôt un moulin.

    Des deux premiers fils de Simon, l'aîné, Hugues IV continue la lignée des seigneurs de Broyes, et le cadet, Gaucher Ier de Broyes-Commercy, poursuit les seigneurs de Commercy. En 1243 Gaucher Ier affranchit les habitants de Laneuville-au-Rupt, puis en 1248 ses fils Gaucher II et Henri rendirent foi et hommage pour le fief de Commercy à l'évêque Jacques de Lorraine1. Parmi les enfants de Gaucher Ier de Broyes-Commercy, on trouve Simon (II) de (Broyes)-Commercy (gendre de Simon III comte de Sarrebruck en tant qu'époux de sa fille Mahaut/Mathilde, et père de Simon IV de Sarrebruck-III de Commercy ci-dessous), puis Gaucher II seigneur de Commercy et Henri seigneur de Montrivel, qu'on vient d'évoquer.

    La maison de Sarrebruck
    En 1265, par le mariage d'Elisabeth de Broyes dame de Commercy, fille ou petite-fille supposée de Gaucher II ci-dessus, avec son cousin Simon IV comte de Sarrebruck/Simon II ou III seigneur de Commercy, fils de Simon (II) de (Broyes)-Commercy et de Mahaut héritière de Sarrebruck ci-dessus, la seigneurie de Commercy entre dans les possession des comtes de Sarrebruck de la Maison de Broyes-Commercy. C'est ainsi que Simon IV reçoit l'investiture des terres de Commercy en 1277. En 1289 il assiste à l'assemblée de Saint-Mihiel qui traitait des querelles entre le comte de Bar et l'abbaye de Beaulieu ; l'année suivante il est témoin de l'accord conclu entre le duc de Lorraine et l'abbesse de Remiremont.

    Le successeur de Simon IV, son fils Jean Ier comte de Sarrebruck et seigneur de Commercy, se reconnaît "homme" du duc de Lorraine Ferry III puis à partir de 1301 il rend hommage à l'évêque de Verdun. Le 13 octobre 1318, après avoir contracté un mariage avec Mahaut d'Apremont issue d'une puissante famille tenant une importante baronnie, Jean Ier se lie au roi de France Philippe V en s'engageant à reprendre en son nom la terre de Commercy : "Le comte reprendra du Roi sa terre de Commercy, c'est à savoir ce qu'il a à Vignoy, à Pont, sans la rivière, ce qu'il a à Hueville, à Aulnois, Ville-Issey, la ville de Neuveville-la-grande et la petite, la maison et la ville de la Horgne, ce qu'il a en la ville de Mesnil, Brossy-en-Blois, la garde de la ville de Velleroy, ce qu'il a à Méligny-le-petit, le grand, Vaux-la-grande, la petite, à Saulx, à St-Aubin, Domremy, Malaumont, la garde de l'abbaye de Rievaux et des granges de ladite abbaye, séant en la terre de Commercy, la garde de la maison de Sommières, celle de Launoy, ce qu'il a à Chonville, Lérouville, excepté quatre-vingt livres de terre ès-dits lieux tenues par Hugues de Châlons…et le Roy lui a octroyé qu'il ne peut mettre le fief hors de sa main par quelque manière que ce soit…" ; en complément il s'engage formellement en 1335, avec l'aval de l'évêque de Metz Adhémar de Monteil, en ajoutant le "droit de Récept" dans son château : "nous comte de Sarrebruck et sire de Commercy ci-dessus dit, pour nous et nos successeurs, avons octroyé, baillé, délivré et transporté au Roi, notre dit seigneur, pour lui et ses successeurs, rois de France, et pour leurs gens et pour toujours, retraite dans notre dit château et forteresse de Commercy, chaque fois qu'il plaira audit Roi, notre seigneur, et à ses gens, et à aesdils successeurs, sans contradiction ou empêchement, loyalement et en bonne foi et sans opposition de qui que ce soit, en en outre, nous voulons et octroyons à jamais que lot sergents et autres à ce commis de notre très cher seigneur, le roi de France, et de ses successeurs, puissent demeurer à Commercy pour garder les défilés et les passages, afin qu'il n'y passe rien sans la permission du Roi ou de son bailli de Vitry". Le comte Jean Ier affranchit les habitants de Commercy en 1324 ; deux ans plus tard, en 1326, il règle sa succession en donnant Commercy (le Château-Haut : seigneurie principale des damoiseaux) et ses dépendances à son fils cadet Jean II de Commercy, et le comté de Sarrebruck ainsi qu'une portion de Commercy dite "la part de Sarrebruck ou le Château-Bas" à son petit-fils le comte Jean II de Sarrebruck/Jean IV de Commercy, fils de son fils aîné le comte héritier Simon (Ier ou II de Sarrebruck-Commercy, ou (V) de Sarrebruck, III ou IV de Commercy ; prédécédé dès 1325)1.

    Le Château-Haut et le Château-Bas
    La "part de Sarrebruck ou le Château-Bas" rassemblait les biens suivants : "Les appartenances de Sarrebruche et toutes les terres venant de son ayeul, situées en Allemagne. La terre de Morley. Vignot. La grange de Sommières. Moitié du bois de Tronz. Le Crochet, le Charmoie. La corvée de Rambausel. Le petit meix de la Soulcière. La maison de Hurtebise avec les usages y attachés dans les bois. Tous les prés de son aïeul en Brassieux et à Salagne. Les basses maisons entre le donjon et le moustier des chanoines avec faculté de faire un donjon sauf ne préjudicier à personne. Des granges et marchaucies sous le châtel. Moitié de la grange vers Meuse et les boucheries devant la marchaucie jusqu'à la Parois. La place de treize pieds entre la boucherie et la grange par l'issue aux Chiens. Les maisons vers les fossés jusqu'à la parois qui va de la salle à la chambre par les fossés et la marchaucie. Le droit au pourpris, derrière le donjon des basses maisons ; celui qui va à la rivière et aux porteries, jusqu'à ce que Simon ait fait l'équivalent des maisons qui s'y trouvent. L'eau que l'on dit le ban des Vieux-Moulins jusqu'aux moulins de la porte ; en outre toute la rivière qui est au-dessus et qui appartient au châtel de Commercy. Le droit de pêche des anguilles au moulin de la porte, sans pouvoir pêcher au-dessous du pâquis devant les moulins. Moitié de Commercy". Par cette décision la seigneurie de Commercy devenait pour moitié le lot de la branche aînée de la Maison de Sarrebruck. Par le mariage en 1353 de Jeanne de Sarrebruck-Commercy († 1381) fille de Jean IV-II († 1381 un peu avant sa fille), avec Jean Ier comte de Nassau-Weilburg (1309-1371), cette part passa à la maison de Nassau : vinrent alors s'installer à Commercy des chevaliers et écuyers allemands qu'il fallut pourvoir en fiefs simples, c'est-à-dire sans château, ils prirent donc possessions des villages proches. Un de ces fiefs, dit des Allemands, était constitué d'un manoir situé au centre de la ville près de l'église : c'était à l'origine une des granges du château ; l'écuyer qui l'occupa était un seigneur de Waldecker, de là vint le nom de "fief de Waldeck".

    Philippe Ier comte de Nassau-Weilburg et de Sarrebruck, après avoir hérité la seigneurie de Commercy-Château-Bas de sa mère Jeanne de Sarrebruck-Commercy ci-dessus, fait rénover le château, nommé alors le Château-Bas par opposition au Château-Haut (appartenant à l'autre branche, celle des damoiseaux), qu'il entoure d'une enceinte et de tours ; de leur côté ses cousins du Château-Haut, Simon III et Amé Ier, tentaient de l'empêcher dans son entreprise en faisant valoir que Philippe n'avait le droit que : "de faire un donjon et non pas chastel ne plus grande forteresse" ; afin de faire taire les querelles il fut convenu en ce qui concernait Philippe : "que le donjon, les braies, le pont, la poterne, pour yssir hors par devers les champs, et les cycles de la poterne, pourraient être élevés sans autre agrandissement ; que la maison lui appartenant, sise au-dessous du château, lui serait rendue ; que le chemin, entre le cimetière de l'église et les braies du château, pour aller à la Grange et Marchaucie, ne serait plus entravé ; enfin que ses sujets particuliers, qui ne seraient pas partis avant deux ans, deviendraient communs." ; en 1403 Philippe abandonne à Amé Ier le chemin et ses alentours en échange de la possibilité pour lui de continuer les fortifications, de s'approprier la porte "Bellependst" et la tour "le chapiron" mais aussi de racheter les maisons situées à proximité de son château. Afin de s'assurer une protection réciproque les deux seigneurs de Commercy ratifient un traité d'aide et de bonne entente le 16 mai 1403 en présence de Raoul de Coucy, évêque de Metz et du duc Robert Ier de Bar : "Nous Philippe comte de Nassaw et de Sarrebruche et Ameis de Sarrebruche, seigneur de Comarcey et de Venizy faisons savoir et connaissance à tous ceux qui ces présentes lettres verront et orront que nous les parties susdites par commun accord par diligent traité et mure délibération sur ce eue par l'avis et conseil de nos seigneurs et communs amis pour bien de par durable paix de accord et benigne volonté et tranquillité que nous desirons a toujours mais être entre nous et nos hoirs qui après nous seront avons fait et juré faisons et jurons nous et un chacun de nous pour nous nos hoirs et successeurs après nous une bonne et loyale bourgfritte sure c'est-à-dire un bon et loyal assurement qui sera dit et appelé trêve et sera tenue et wardée en nos forteresse et ville de Comarcey…"1.

    La branche cadette de Commercy-Sarrebruck, qui tenait la seigneurie de Commercy-Château-Haut (les seigneurs sont les damoiseaux : Jean II ci-dessus < Simon V ou II et Jean III < Simon VI-III et Amé Ier < Robert Ier (le Damoiseau de Commercy, un aventurier redoutable, chef des Ecorcheurs) x 1417 Jeanne de Pierrepont comtesse de Roucy et comtesse de Braine, dame de Montmirail, fille du comte Jean VI de Roucy-Braine : il devient alors le comte Robert III de Roucy et VII de Braine < Amé II < Robert II, comte Robert IV et VIII < Amé III) s'éteint en 1525 avec le décès d'Amé III de Sarrebruck-Commercy qui n'avait eu qu'un fils, Robert, mort en bas âge ; c'est donc sa sœur Philippine qui hérite du Château-Haut et de Montmirail et les apporte à son époux Charles de Silly, seigneur de Rochefort-en-Yvelines : voir plus bas la suite du Château-Haut.

    Quant à "la part de Sarrebruck, Château-Bas", elle continue avec Louis d'Anjou, fils de René d'Anjou et d'Isabelle Ire de Lorraine, qui achète le Château-Bas en 1444 à Jean II de Nassau-(Weilburg)-Sarrebruck fils cadet de Philippe Ier ci-dessus (l'aîné, Philippe II, continue les comtes de Nassau-Weilbourg)1.

    La maison de Lorraine
    En effet, Jean II de Nassau-(Weilburg)-III comte de Sarrebruck-V de Commercy vend le 3 février 1444 la seigneurie du "Château-Bas" à Louis marquis de Pont-à-Mousson, fils de René d'Anjou et d'Isabelle Ire de Lorraine ; après le décès de ce dernier sans enfant, ses biens commerciens sont remis à son père René d'Anjou qui nomme un gouverneur le 12 avril 1466 en la personne de Jehan de Sevigny avec le titre de "châtelain, prévôt, receveur et gruyer" ; à cette époque est réalisé un recensement de la population de Commercy1.

    [afficher]
    Recensement de 1466

    Après le décès du roi René la seigneurie de Commercy-Château-Bas fait partie des possessions de son petit-fils le duc René II de Lorraine. Celui-ci entre en guerre contre Charles le Téméraire qu'il défait au siège de Nancy, en 1477, avec l'aide de Nicolas de Montfort. Ce dernier est membre d'une famille noble italienne qui se hissa jusqu'au rang de vice-roi d'Italie.

    - En remerciement de ses services René nomme Nicolas de Montfort conseiller et chambellan et lui donne, entre autres, la seigneurie de Château-Bas le 5 juillet 1472 : "René par la grace de Dieu roi de Jerusalem, de Sicile, d'Arragon, de l'Île de Sicile, de Valence, Maillorques, Sardaigne et Corseque, Duc d'Anjou, de Bar et Comte de Barcelonne, de Provence, de Forcalquier, de Piemont. À tous ceux qui ces présentes lettres verront, Salut. Comme par autres nos lettres patentes et pour les causes contenues en icelles nous ayons donné et octroyé à notre très cher et feal conseiller et chambellan Nicolas de Montfort comte de Campbas, en notre royaume d'Italie, nos ville, châtel, terre et seigneurie de Commercy, en notre dit duchié de Bar, à sa vie durant…". En 1478, Nicolas de Montfort, comte de Campobasso, seigneur de Commercy, revend sa seigneurie du Château-Bas au duc de Lorraine René II.

    - En 1487 le duc René remet en récompense la seigneurie de Commercy-Château-Bas à son grand-écuyer Gérard d'Avillers. À cette époque Château-Bas est en mauvais état et ne consiste guère qu'en une grosse tour ronde, aussi Gérard d'Avillers entreprend d'important travaux. Il achète tout d'abord une grande quantité de terrains puis fait élever une nouvelle tour carrée et des fortifications constituées de murailles, de tourelles et d'un pont-levis. À sa mort en 1526, sans enfants de sa femme Marguerite d'Haraucourt, la seigneurie retourne encore une fois au duc de Lorraine.

    - Jacques de Larban, dit de Villeneuve, est un chevalier, seigneur de Beauvoisin dans le Gard et gentilhomme au service du duc Antoine de Lorraine. Il épouse Philippine d'Anneville, fille de Jean d'Anneville bailli de Bar qui lui apporte la terre de Kœur. Le 19 août 1530 le duc Antoine lui échange contre celle de Commercy : "…nous Renée Duchesse, désirons ravoir et avons affection à ladite maison de Kœurs pour notre état, comme lieu à nous, plus agréable, délectable, plus solacieux et récréant à notre état que ladite seigneurie de Commercy". Jacques de Larban devient donc seigneur de Commercy-Château-Bas, possession qu'il laissera à sa fille Antoinette en 1542. Antoinette épouse Jean d'Urre, seigneur de Thessière, maître-d'hôtel ordinaire du duc de Lorraine et capitaine "des châteaux, villes et châtellenies de Foug", en 1545, par décision de Christine de Danemark alors duchesse de Lorraine. À la mort d'Antoinette le 29 octobre 1570 la seigneurie est transmise à son fils Charles († 1629, honoré pour sa piété et sa bienfaisance) mais Jean d'Urre en conservera le titre seigneurial jusqu'à sa mort en 15871. La fille de Charles, Dorothée d'Urre de Teyssières épouse Jean des Armoises < Louis grand-sénéchal de Lorraine < Pierre Louis Joseph des Armoises, qui échange en 1722 Commercy-Château-Bas au duc Léopold contre le marquisat de Spincourt : voir plus bas.

    Les guerres à Commercy
    - En 1542 l'empereur Charles Quint tente une incursion dans le duché de Lorraine et marche sur Commercy : aussi, pour assurer sa défense, le gouverneur du château s'applique à mettre celui-ci en état de siège. Malgré tout le duc de Guise entre dans la ville en 1544, la halle est incendiée, les tours du château démantelées, les digues détruites ainsi que le pont de pierre et l'église des chanoines utilisée comme corps de garde. Les envahisseurs restent deux mois, après quoi ils quittent la seigneurie1.

    - Pendant la Fronde, 1652 va voir "l'armée des princes" commandée par Condé, venir s'emparer de Bar et de Ligny et par la même occasion mettre le siège devant Commercy. L'ennemi avait envoyé quarante dragons pour recevoir la reddition du Château-Haut ; cela fait, une garnison de cinq cents hommes avec à sa tête le baron de Berlot prend possession de la ville. Dans le même temps des troupes françaises viennent d'arriver dans les environs et un ancien militaire de Commercy connu sous le nom de "la Grande Rose" se propose pour entrer en contact avec elles et les introduire dans la place. Le 4 décembre, à cinq heures du matin, plusieurs escadrons escaladent les murailles et prennent le corps de garde. Le Château-Haut est le lieu de rudes combats qui durent jusqu'au 6 décembre. Alors la ville est soumise au pillage tant des envahisseurs que des troupes françaises ; la population n'a que le temps de fuir. Pendant tout ce temps le baron de Berlot était resté dans le Château-Bas qu'il avait fait fortifier. Le pillage terminé il se rend maître de la ville, qu'il devait quitter le 8 juillet 1652 pour être remplacé par le commandant Dumont et quatre-vingts hommes. Apprenant cela les Français tentent une nouvelle incursion dans la ville. Profitant d'une fenêtre ouverte dans la muraille quelques soldats pénètrent dans la ville et ouvrent une porte dans la rue de Chanoines pour permettre à d'autres de les rejoindre. Tous se cachent dans l'église et attendent le passage de la ronde de nuit afin de s'emparer des clés permettant d'ouvrir les portes de la ville. Après avoir neutralisé le guet, les Français se rendent au pied des murailles du Château-Bas et entreprennent de desceller quelques pierres de la muraille. Pénétrant dans le donjon ils forcent les occupants à faire retraite dans la Tour-Noire beaucoup plus difficile à prendre mais dépourvue d'artillerie. Après toute une nuit de fusillade la garnison se rend à six heures du matin et sort honteuse sous les moqueries de ceux qui tenaient encore Château-Haut qui leur crient "qu'il n'y avait pas de quoi épouvanter un agneau et qu'on a fait peur à un mouton". Puis c'est au tour du Château-Haut d'être l'objet d'un siège des Français, ceux-ci construisent un pont de bateaux sur la rivière ainsi qu'un chemin couvert depuis la chapelle Sainte-Anne. Une batterie de canons est installée devant la même chapelle et ouvre le feu dès le 25 juillet à quatre heures du matin. Fort peu nombreux et moins bien armés, les occupants de Château-Haut se rendent à seize heures4.

    Mehr unter obenstehendem Link..

    Familie/Ehepartner: Herr Guillaume de de Vergy. Guillaume (Sohn von Herr Hugues de Vergy und Gillette de Trainel) gestorben in cir 1241. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 2. Hugues de Vergy  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1210.
    2. 3. Herrin Agnes de Vergy  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in cir 1261.


Generation: 2

  1. 2.  Hugues de VergyHugues de Vergy Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Clémentine1) wurde geboren in 1210.

    Notizen:

    Name:
    Das Haus Vergy ist eine burgundische Familie, die im Mittelalter in der Region eine herausragende Rolle spielte. Es hat seinen Namen von der aus dem 11. Jahrhundert stammenden Ruine Château de Vergy auf dem Combe de Vergy in Reulle-Vergy zwischen Dijon und Beaune im heutigen Département Côte-d’Or.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Haus_Vergy

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Herrin Agnes de VergyHerrin Agnes de Vergy Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Clémentine1) gestorben in cir 1261.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Agnès de Vergy
    • Titel (genauer): Herrin de Beauffremont (durch die erste Heirat)
    • Titel (genauer): Lady of Beauffremont (by first marriage)
    • Titel (genauer): Dame de Beauffremont (par son premier mariage)

    Notizen:

    Gestorben:
    spätestens Oktober 1268

    Agnes heiratete Graf Ulrich von Pfirt in cir 1233. Ulrich (Sohn von Friedrich II. von Pfirt und Heilwig von Urach) gestorben am 1 Feb 1275. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 4. Adelheid von Pfirt  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in zw 1311 und 1314.
    2. 5. Beatrix von Pfirt  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in spätestens 1287.
    3. 6. Irmgard von Pfirt  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1272 in Hohenpfirt, Ferrette, Haut-Rhin, Alsace, France; gestorben in cir 1329.


Generation: 3

  1. 4.  Adelheid von PfirtAdelheid von Pfirt Graphische Anzeige der Nachkommen (3.Agnes2, 1.Clémentine1) gestorben in zw 1311 und 1314.

    Notizen:

    Adelheid erscheint im Bericht ihres Gatten Ulrich I. In der Stammliste der Pfirt wird sie jedoch nicht aufgeführt??

    Aus der Stammliste von Regensberg:

    • Ulrich I. (* vor 1250, † 1280), Sohn von Lütold V. und vermutlich sein Nachfolger. Verheiratet mit Berta von Klingen, einem der angesehensten hochfreien Geschlechter des Thurgaus, und nach deren Tod mit Adelheid aus dem sundgauischen Grafengechlecht von Pfirt. Gesichert ist Bischof Rudolf von Konstanz als sein Onkel.

    Aus der Stammliste von Pfirt:

    Die Grafen von Pfirt (Auszug)
    Friedrich I., 1105 bezeugt, † 19. August wohl 1160, 1125 Graf von Pfirt, begraben in der Abtei Oelenberg; ∞ 1 vor 1101 Petrissa von Zähringen, † wohl 1115, Tochter von Berthold II., Herzog von Zähringen (Zähringer); ∞ II Stephanie von Vaudémont, † 4. Dezember 1160/88, Tochter von Gerhard I., Graf von Vaudémont (Haus Châtenois) – Vorfahren siehe oben
    (II) Ludwig I., 1144 bezeugt, † 1180, 1161 Graf von Pfirt, Vogt von Lüders (Lure (Haute-Saône); ∞ Richenza von Habsburg, 1168/80 bezeugt, † Dezember 1180, Tochter von Werner II., Graf im Oberelsass (Habsburger)
    Ulrich I., † ermordet 27. September 1197, 1194 Graf von Pfirt, 1160 Seigneur de Vadans
    Ludwig II., † 1189 auf dem Kreuzzug, Graf von Pfirt, Seigneur de Vadans 1187/88
    Friedrich II., † 25. Januar 1234, 1194 Graf von Pfirt; ∞ I NN von Egisheim, Gründerin von Abtei Valdieu; ∞ II Heilwig von Urach, Tochter von Egino IV., Graf von Urach, 1215/62 bezeugt
    (I) Alix, † vor 1268, Dame de Belfort; ∞ Dietrich III., Graf von Mömpelgard, † 1283 (Haus Montfaucon)
    (I) Agnes, 1227/71 bezeugt, † vor Juli 1272, Frau von Münsterol (Montreux-Château); ∞ vor 1227 Friedrich V. Graf von Toul, 1194/1248 bezeugt, † vor 1250 (Haus Châtenois)
    (I oder II) Ulrich II., † 1. Februar 1275, 1216 Landvogt im Elsass, 1227 Graf von Pfirt, 1256 Herr von Blumenberg (Florimont)
    (I) Friedrich, 1232/67 bezeugt, Herr von Rougemont-le-Château (Rothenberg)
    (I) Agnes, † vor 1249; ∞ Wilhelm, Graf von Vienne, † 1255 (Haus Burgund-Ivrea)
    (II) Theobald, † 1310/11, 1271 Graf von Pfirt, 1292/97 Landvogt im Elsass,
    Ulrich III., † 11. März 1324, 1311 Graf von Pfirt; ∞ I Johanne von Mömpelgard, † 1347/49, Tochter von Reinald von Burgund, Graf von Mömpelgard (Haus Burgund-Ivrea)
    Johanna, † 15. Januar 1352; 1324 Gräfin von Pfirt, ∞ 1324 Albrecht II., Herzog von Österreich, 1324 Graf von Pfirt, † 1358 (Habsburger)
    Ursula, † 5. Mai nach 1367, 1347–1350 Dame de Belfort; ∞ I Hugo I Graf von Hohenberg, † 26. Mai 1354 (Stammliste der Grafen von Hohenberg); ∞ II Wilhelm II. Graf von Montfort in Bregenz, † 1373/74 (Montfort (Adelsgeschlecht))
    (I) Fine (Sophie), † 25. März 1344; ∞ Ulrich III., Graf von Württemberg, † 11. Juli 1344 (Haus Württemberg)
    (II) Stephanie, † 23. September 1276; ∞ Konrad Werner III. von Hattstatt, 1274/80 Landvogt im Elsass, † wohl 1324
    (II) Ludwig, 1259/62 bezeugt, Herr von Florimont; ∞ Gertrud, 1262/81 bezeugt, Tochter von Ulrich II. von Rappoltstein
    Ludwig III. der Grimmel, † 1236, Graf von Pfirt,
    Berthold, † 10. Dezember 1262, 1243/49 Propst von Moutier-Grandval, 1248 Koadjutor und 1248 Bischof von Basel
    Adalbert, 1235/51 bezeugt, 1241 Vogt von Masmünster; ∞ NN de Chalon, Tochter von Johann der Weise, Graf von Burgund, Herr von Salins (Haus Chalon)



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Habsburg:

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2459



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Ludwig II. der Stammler:

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2107

    Familie/Ehepartner: Ulrich von Regensberg. Ulrich (Sohn von Lütold V. von Regensberg und Berta von Neuenburg) gestorben in 1281. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 7. Adelheid von Regensberg  Graphische Anzeige der Nachkommen

  2. 5.  Beatrix von PfirtBeatrix von Pfirt Graphische Anzeige der Nachkommen (3.Agnes2, 1.Clémentine1) gestorben in spätestens 1287.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1267)

    Filiation nicht sicher ??

    Familie/Ehepartner: Graf Rudolf von Thierstein-Pfeffingen. Rudolf (Sohn von Graf Rudolf von Thierstein und Sophie von Froburg (Frohburg)) gestorben am 27 Aug 1318; wurde beigesetzt in Münster Basel, BS, Schweiz. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 8. Pfalzgraf Ulrich von Thierstein-Pfeffingen  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in spätestens 1330.

  3. 6.  Irmgard von PfirtIrmgard von Pfirt Graphische Anzeige der Nachkommen (3.Agnes2, 1.Clémentine1) wurde geboren in 1272 in Hohenpfirt, Ferrette, Haut-Rhin, Alsace, France; gestorben in cir 1329.

    Notizen:

    Geburt:
    Konflikt.. Filiation nicht sicher..?
    Auf FS ist Irmgard die Tochter von Theobald von Pfirt und Agnes de Vergy, ohne Quellenangaben.
    Bei mir ist Agnes de Vergy aufgrund anderer Quellen jedoch mit Ulrich von Pfirt verheiratet?
    Ich stelle also Irmgard vorläufig als deren Tochter dar und werde die Situation später überprüfen.. (ms)

    https://www.familysearch.org/tree/pedigree/portrait/GXKG-GLS
    https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Pfirt
    https://de.wikipedia.org/wiki/Herren_von_Pfirt
    https://de.wikipedia.org/wiki/Haus_Vergy

    Irmgard heiratete Eberhard II. von Grüningen-Landau in 1291 in Burg Landau. Eberhard (Sohn von Eberhard I. von Grüningen-Landau und Richenza von Löwenstein) wurde geboren in 1259 in Burg Landau; gestorben in 1345. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 9. Eberhard III. von Landau  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1306 in Burg Landau; gestorben in 1368.


Generation: 4

  1. 7.  Adelheid von RegensbergAdelheid von Regensberg Graphische Anzeige der Nachkommen (4.Adelheid3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1)

    Notizen:

    Freiin



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Landenberg-Greifensee, von Regensberg, von Kyburg, von Dillingen..

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I4831



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    von Sachsen (Liudolfinger):

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I1287



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Ludwig II. der Stammler:

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2107

    Familie/Ehepartner: Ulrich von Altenklingen. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 10. Ulrich von Altenklingen  Graphische Anzeige der Nachkommen
    2. 11. Amalia von Altenklingen  Graphische Anzeige der Nachkommen

  2. 8.  Pfalzgraf Ulrich von Thierstein-PfeffingenPfalzgraf Ulrich von Thierstein-Pfeffingen Graphische Anzeige der Nachkommen (5.Beatrix3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) gestorben in spätestens 1330.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1267-1320)

    Familie/Ehepartner: von Geroldseck am Wasichen ?. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 12. Pfalzgraf Walram II. (I.) von Thierstein-Pfeffingen  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in spätestens 1330.

  3. 9.  Eberhard III. von LandauEberhard III. von Landau Graphische Anzeige der Nachkommen (6.Irmgard3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) wurde geboren in cir 1306 in Burg Landau; gestorben in 1368.

    Notizen:

    Name:
    Die Grafen von Grüningen-Landau, zunächst Grüningen, dann nur noch Grafen von Landau, zuletzt nur noch Herren von Landau, waren ein Zweig der Grafen von Württemberg. Wegen ihrer Bedeutung in der Genealogie des Hauses Württemberg überwiegt in der Literatur die Bezeichnung Grüningen-Landau. Die Entwicklung der Dynastie zeigt, dass die Zugehörigkeit zum Dynastenadel nicht zwangsläufig zur Ausbildung einer Landesherrschaft führen musste, sondern auch in der Bedeutungslosigkeit enden konnte. Eine Linie der Herren von Landau war im 16. und 17. Jahrhundert auch in Niederösterreich ansässig. Die Familie ist dort 1690 ausgestorben.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Grüningen-Landau

    Eberhard heiratete Guta von Gundelfingen in 1330 in Burg Landau. Guta (Tochter von Berthold von Gundelfingen, der Jüngere und von Becht) wurde geboren in cir 1302 in Gundelfingen, Münsingen, DE; gestorben in 1363 in Binswangen, Dillingen an der Donau, Bayern, DE. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 13. Guta von Landau  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1330 in Binswangen, Dillingen an der Donau, Bayern, DE; gestorben am 1 Jun 1384.

    Familie/Ehepartner: Elisabeth. [Familienblatt] [Familientafel]



Generation: 5

  1. 10.  Ulrich von AltenklingenUlrich von Altenklingen Graphische Anzeige der Nachkommen (7.Adelheid4, 4.Adelheid3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Klingen_(Adelsgeschlecht)

    Die Freiherren von Klingen (auch Hohenklingen, Alten-Klingen und Klingnau) waren ein im Mittelalter bedeutendes Adelsgeschlecht aus dem Thurgau.

    Herkunft
    Die erste urkundliche Erwähnung eines Geschlechts von Klingen geht angeblich zurück auf das Jahr 925, wo beim Einfall der Ungarn in das Gebiet am Hochrhein die heilige Wiborada, Klausnerin bei St. Gallen erschlagen wurde, die sich angeblich von Klingen nannte.

    Stammsitz
    Das Stammhaus der Herren von Klingen war die Burg Altenklingen bei Wigoltingen im Thurgau, welche um 1200 zum Schloss umgebaut wurde. Neben Schloss Altenklingen zählt auch die von den Freiherren von Klingen um das Jahr 1225 umgebaute Burg Hohenklingen sowie das 1239 errichtete Schloss Klingnau in der gleichnamigen Ortschaft, als Sitze der Herren von Klingen. All diese Burgen sind, wenn auch zu späteren Zeit umgebaut, heute noch erhalten.

    Wappen
    Das Stammwappen zeigt in einem schwarzen, mit silbernen Schindeln bestreuten Schild einen gold gekrönten und rot gezungten aufrechten silbernen Löwen. Auf dem Helm mit silbern-schwarzen Decken ein wachsender, gold gekrönter und rot gezungter silberner Löwe, hinten mit einem ausgekerbten roten Schirmbrett besteckt, dessen Spitzen mit Pfauenfedern bestückt sind.

    Das Wappen der Klingen im Codex Manesse zeigt ebenfalls auf Schwarz den silbernen Löwen, die Schindeln sind jedoch golden. Auf dem Helm mit roten Helmdecken zwei auswärts gekehrte silberne (eiserne) Beile; die Schneiden der Beilklingen sind mit Pfauenfedern bestückt.

    Nach der Teilung des Geschlechts um 1225 wählten der Zweig derer von Hohenklingen ein eigenes Wappen. Es zeigt einen fünfblättrigen Eichenzweig auf goldenem Grund und einer roten mit weissen Schuppen eingerahmten Scheibe als Helmzier.

    Bedeutende Namensträger
    Fides von Klingen († 1358), Fürstäbtissin des Fraumünsterklosters in Zürich
    Walther von Klingen († 1286), Minnesänger

    Literatur
    Walther von Klingen und Kloster Klingental zu Wehr. Jan Thorbecke Verlag, 2010, ISBN 978-3-7995-0850-6.
    Franz Josef Mone: Das ehemalige sanktblasianische Amt Klingenau. In: Zeitschrift für die Geschichte des Oberrhein. Band 1.
    Wilhelm Wackernagel: Walther von Klingen, Stifter des Klingenthals und Minnesänger. Basel 1848.
    J. A. Pupikofer: Geschichte der Freiherren zu Alten-Klingen, Klingnau und Hohenklingen. In: Thurgauische Beiträge zur Vaterländischen Geschichte. Band 10. (in der Google Buchsuche)
    Weblinks
    Commons: Klingen (Adelsgeschlecht) – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    Martin Leonhard: Klingen, von. In: Historisches Lexikon der Schweiz.
    Klingen. In: Julius Kindler von Knobloch: Oberbadisches Geschlechterbuch. Band 2, Heidelberg 1905, S. 297–299.
    Wappen der Zollikofer von Altenklingen (St. Gallen)



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Landenberg-Greifensee, von Regensberg, von Kyburg, von Dillingen..

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I4831



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    von Sachsen (Liudolfinger):

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I1287



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Ludwig II. der Stammler:

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2107

    Familie/Ehepartner: Freiin von Regensberg. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 14. Verena von Altenklingen  Graphische Anzeige der Nachkommen

  2. 11.  Amalia von AltenklingenAmalia von Altenklingen Graphische Anzeige der Nachkommen (7.Adelheid4, 4.Adelheid3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1)

    Notizen:

    Name:
    Filiation ist nicht gesichert ??

    Familie/Ehepartner: Albrecht von Bussnang. Albrecht (Sohn von Ritter Konrad von Bussnang und von Krenkingen) gestorben am 12 Mai 1352 in Ilanz. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 15. Klara von Bussnang  Graphische Anzeige der Nachkommen

  3. 12.  Pfalzgraf Walram II. (I.) von Thierstein-PfeffingenPfalzgraf Walram II. (I.) von Thierstein-Pfeffingen Graphische Anzeige der Nachkommen (8.Ulrich4, 5.Beatrix3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) gestorben in spätestens 1330.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1309-1347)

    Erhielt nachträglich Dispens wegen Ehe im vierten Grad Verwandtschaft.

    Familie/Ehepartner: Gräfin Agnes von Aarberg-Aarberg. Agnes (Tochter von Graf Wilhelm von Aarberg-Aarberg und von Wädenswil) gestorben in spätestens 1345. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 16. Graf Walram III. (II.) von Thierstein-Pfeffingen  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in vor 1339; gestorben am 22 Mai 1403.
    2. 17. Katharina von Thierstein-Pfeffingen  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1385.

  4. 13.  Guta von LandauGuta von Landau Graphische Anzeige der Nachkommen (9.Eberhard4, 6.Irmgard3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) wurde geboren in 1330 in Binswangen, Dillingen an der Donau, Bayern, DE; gestorben am 1 Jun 1384.

    Notizen:

    Name:
    Die Grafen von Grüningen-Landau, zunächst Grüningen, dann nur noch Grafen von Landau, zuletzt nur noch Herren von Landau, waren ein Zweig der Grafen von Württemberg. Wegen ihrer Bedeutung in der Genealogie des Hauses Württemberg überwiegt in der Literatur die Bezeichnung Grüningen-Landau. Die Entwicklung der Dynastie zeigt, dass die Zugehörigkeit zum Dynastenadel nicht zwangsläufig zur Ausbildung einer Landesherrschaft führen musste, sondern auch in der Bedeutungslosigkeit enden konnte. Eine Linie der Herren von Landau war im 16. und 17. Jahrhundert auch in Niederösterreich ansässig. Die Familie ist dort 1690 ausgestorben.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Grüningen-Landau

    Guta heiratete Albrecht von Aichelberg in 1350 in Aichelberg, Baden-Württrmberg, DE. Albrecht (Sohn von Graf Diepold II. von Aichelberg und Gräfin Agnes von Rechberg) wurde geboren in 1310 in Eichelberg, Östringen, Baden-Württemberg, DE; gestorben am 15 Jun 1365 in Köngen, Baden-Württemberg, DE. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 18. Anna von Aichelberg  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1350 in Aichelberg, Baden-Württemberg, DE; gestorben am 27 Jun 1404 in Esslingen am Neckar, Baden-Württemberg, DE.


Generation: 6

  1. 14.  Verena von AltenklingenVerena von Altenklingen Graphische Anzeige der Nachkommen (10.Ulrich5, 7.Adelheid4, 4.Adelheid3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1)

    Notizen:

    1371-1379 urkundlich bezeugt.



    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Altenklingen_Castle

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_d%27Altenklingen



    https://de.wikipedia.org/wiki/Schloss_Altenklingen

    Das Schloss Altenklingen ist ein Schloss im Spätrenaissance Stil im Kanton Thurgau in der Schweiz. Es liegt auf dem Gebiet der Gemeinde Wigoltingen und ist in Privatbesitz.

    Ältere Geschichte
    An der Stelle des heutigen Schlosses stand einst ein Verteidigungswerk, das gegen 1200 von den Herren von Klingen erbaut wurde. Bis 1395 diente die Burg den Herren von Klingen als Wohnsitz. Als eines der ältesten Freiherrengeschlechter des Thurgaus gründeten diese mehrere Ortschaften und Klöster, so zum Beispiel das Dorf von Klingenzell, die Klöster von Feldbach bei Steckborn am Bodensee und Sion bei Klingnau im Aargau sowie das Priorat Klingenzell bei Eschenz. Vom 11. Jahrhundert bis 1396 übten die Freiherren von Klingen die niedere Gerichtsbarkeit von Märstetten und Illhart aus. Zudem erhielten sie vom Domkapitel die Gerichtsbarkeit über Wigoltingen.

    Im 13. Jahrhundert standen die von Klingen im Dienst der Habsburger. Walther von Klingen (1240–1286), dessen Name in den Dokumenten ab 1240 erscheint, war ein Vertrauter des Grafen Rudolf, des zukünftigen Königs Rudolf I. von Habsburg. Walther von Klingen war Minnesänger, der Codex Manesse enthält acht seiner Kompositionen. Weiter wird dort von Klingen als siegreicher Turnierritter erwähnt. Er hatte seinen Wohnsitz zuerst im Städtchen Klingnau, später in Basel, wo er auch starb. Die fromme Klausnerin und frühere Aebtissin des Klosters St. Mangen in St. Gallen Wiborada von Klingen erlitt beim Einfall der Hunnen im Jahre 926 in ihrer Zelle den Märtyrertod. Sie wurde deshalb 1047 von Papst Klemens II als erste Frau überhaupt heiliggesprochen. Dank ihrer Voraussicht wurde die berühmte Stiftsbibliothek des Klosters St. Gallen vor der Zerstörung durch die Hunnen bewahrt, indem sie den Mönchen des Klosters die Evakuierung der Bibliothek auf die Insel Reichenau nahegelegt hatte. Sie wird deshalb heute als Schutzpatronin der Bibliotheken verehrt. Das Wappen des Herrn von Klingen, ein silberner Löwe auf schwarzem Grund, ist heute das Wappen von Engwang; ein Dorf auf dem Gemeindegebiet von Wigoltingen. Auch das Wappen von Wigoltingen führt den silbernen Löwen.

    Die von Klingen starben 1395 aus, nachdem mehrere von ihnen als Soldaten an der Seite von Leopold von Österreich den Tod bei der Schlacht von Sempach gefunden hatten.

    Im Laufe der folgenden Zeit wechselte die Burg mehrmals ihre Besitzer. So gehörte das Schloss einst den Bussnangs und den von Enne. Diese hatten das Schloss durch Ehe erworben und konnten es 1407 erfolgreich verteidigen, als es während der Appenzellerkriege von den Appenzellern und den Bürgern von Sankt Gallen angegriffen wurde. Dann gelangte Altenklingen in den Besitz der von Muntprat von Konstanz und der von Breitenlandenberg.

    1559, nach dem Tod von Hans Ulrich von Landenberg, kam das Schloss in den Besitz seiner Schwester Rosina, Ehefrau von Eberhard Brümsi. Ihr Sohn Berthold, Gerichtsherr in Berg TG verkaufte das Schloss 1585 an den Sankt Galler Stadtrichter, Ratsherrn und Seckelmeister Leonard Zollikofer für den Preis von 25.500 Gulden.

    mehr unter obengenanntem Link..



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Landenberg-Greifensee, von Regensberg, von Kyburg, von Dillingen..

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I4831



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    von Sachsen (Liudolfinger):

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=I1&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I1287



    Verwandtschaft / Relationship / Parenté
    Ludwig II. der Stammler:

    http://www.stammler-genealogie.ch/relationship.php?altprimarypersonID=&savedpersonID=&secondpersonID=I1&maxrels=1&disallowspouses=0&generations=50&tree=StammlerBaum&primarypersonID=I2107

    Familie/Ehepartner: Ulrich von Landenberg-Greifensee. Ulrich (Sohn von Ulrich von Landenberg-Greifensee) wurde geboren in Zürich, ZH, Schweiz; gestorben am 24 Apr 1413. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 19. Ulrich VIII von Landenberg-Greifensee  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1407 in Zürich, ZH, Schweiz; gestorben in 1424.

  2. 15.  Klara von BussnangKlara von Bussnang Graphische Anzeige der Nachkommen (11.Amalia5, 7.Adelheid4, 4.Adelheid3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Bussnang

    Bussnang (lokal Busslig genannt) ist eine politische Gemeinde im Bezirk Weinfelden des Kantons Thurgau in der Schweiz.

    Geographie
    Bussnang liegt am Südufer der Thur gegenüber der Stadt Weinfelden. Zu Bussnang gehören die Dörfer und Weiler Friltschen, Lanterswil, Mettlen, Neuberg, Niederhof, Oberbussnang, Oberoppikon, Oppikon, Puppikon, Reuti, Rothenhausen, Schmidshof, Stehrenberg, Unteroppikon, Weingarten sowie Wertbühl.

    Bussnang grenzt im Nordwesten an Amlikon-Bissegg, im Norden an Weinfelden, im Nordosten an Bürglen, im Südosten an Schönholzerswilen, im Süden an Wuppenau, im Südosten an Braunau und im Osten an Affeltrangen.

    Geschichte
    Die erste urkundliche Nennung von Bussnang datiert vermutlich aus dem Jahre 822 als Pussinwanc.

    Im Jahre 1978 wurden nach dem Thurhochwasser oberhalb des Ganggelistegs, einer schmalen, 1882 erbauten Hängebrücke nach Bussnang, die Überreste einer römischen Holzbrücke gefunden, die seit dem Jahre 124 nach Christus die Thur überquerte.

    Im frühen Mittelalter war die grösste Grundbesitzerin in Bussnang das Kloster St. Gallen. Im späten Mittelalter erhielten die Freiherren von Bussnang die Rechte über die Gegend. Diese mussten ihren Besitz nach den Appenzellerkriegen jedoch verkaufen, wodurch die Rechte im Jahre 1442 an Weinfelden übergingen.

    Die heutige politische Gemeinde Bussnang entstand am 1. Januar 1996 durch Zusammenlegung der früheren Munizipalgemeinde Bussnang mit deren ehemaligen Ortsgemeinden Friltschen, Lanterswil, Mettlen, Oberbussnang, Oppikon, Reuti und Rothenhausen.

    Mehr unter dem Link oben..

    Familie/Ehepartner: Johannes Truchsess von Diessenhofen, der Ältere . Johannes (Sohn von Johannes Truchsess von Diessenhofen und Elisabeth von Reinach (Rinach)) gestorben in 1357/58. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 20. Johann Truchsess von Diessenhofen  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1394/99.

  3. 16.  Graf Walram III. (II.) von Thierstein-PfeffingenGraf Walram III. (II.) von Thierstein-Pfeffingen Graphische Anzeige der Nachkommen (12.Walram5, 8.Ulrich4, 5.Beatrix3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) wurde geboren in vor 1339; gestorben am 22 Mai 1403.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Pfeffingen; Herr zu Pfeffingen https://de.wikipedia.org/wiki/Pfeffingen_BL
    • Besitz: Burg Pfeffingen; Besitzer der Burg https://de.wikipedia.org/wiki/Ruine_Pfeffingen

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Walram_von_Thierstein

    Walram von Thierstein

    Graf Walram III. von Thierstein-Pfeffingen (auch Walram oder Walraff von Thierstein; * vor 1339; † 22. Mai 1403) war Herr zu Pfeffingen aus dem Geschlecht der Grafen von Thierstein.

    Bekannt wurde der Graf im Zusammenhang mit einer Legende um das grosse Erdbeben von Basel im Jahr 1356.

    Legende vom Erdbeben
    Am Dienstag, dem 18. Oktober 1356 ritt der Graf zusammen mit dem Ritter von Bärenfels von Pfeffingen gegen die Stadt Basel. Nach einer erfolgreichen Jagd waren die beiden sehr ausgelassen und beachteten zuerst den pilgernden Priester nicht, der ihnen bei Reinach auf der staubigen Strasse entgegenkam. Der Priester musste sich durch einen Sprung vor den daherkommenden Reitern in Sicherheit bringen. Der Graf und der Ritter zügelten darauf ihre Pferde und begrüssten den zu Tode erschrockenen Priester vergnügt. Dieser beruhigte sich und ermahnte die beiden Reiter, ruhiger und vorsichtiger zu sein, damit nicht wirklich noch ein Unglück geschehe.

    Der Ritter von Bärenfels jedoch brach in ein spöttisches Lachen aus und schliesslich verhöhnten beide den Priester und entfernten sich von ihm. Auf dem weiteren Weg Richtung Basel wurde der Graf Walram immer nachdenklicher und bedrückter. Er begann sich Vorwürfe über ihr Verhalten zu machen und das schlechte Gewissen plagte ihn immer mehr. Kurz vor den Toren der Stadt Basel entschloss er sich umzukehren und wendete nach einer kurzen Verabschiedung vom Ritter von Bärenfels sein Pferd. Er wollte nach Hause zurückkehren und dabei den Gottesmann suchen und sich bei ihm für sein Verhalten entschuldigen. Er konnte den Priester nicht mehr finden und ritt weiter zurück zu seiner Burg. Als er gerade ein weites Feld überquerte, vernahm er ein dumpfes Rollen und der Boden unter seinen Füssen begann heftig zu zittern. Angstvoll bäumte sich sein Pferd auf und der Graf sah mit Schrecken, wie ringsherum die stolzen Burgen von Pfeffingen, Reichenstein, Birseck und Dorneck in sich zusammenfielen und grosse Rauchwolken in den Himmel stiegen. Nach den stärksten Erdstössen ritt der verstörte Graf schnell zu seiner Burg Pfeffingen, welche grosse Schäden erlitten hatte. Zum Glück aber war seine Familie unversehrt geblieben und das jüngste Kind lag in seiner Wiege zwischen den Trümmern der Burg.

    Der Ritter von Bärenfels hingegen wurde beim Durchreiten des Stadttores vom Erdbeben überrascht und von einem herunterfallenden Stein erschlagen.

    Nach dem Erdbeben ließ der Graf aus Dankbarkeit für seine wunderbare Rettung in Reinach, am Ort der Begegnung mit dem Priester, ein Kreuz errichten. Dieses schiefe Kreuz erinnert seither die Menschheit an die reumütige Umkehr des Grafen Walram, an den schicksalhaften Tod des Ritters von Bärenfels und an das grosse Erdbeben, das die Stadt Basel und die nahe Region im Jahr 1356 in Schutt und Asche legte. Das Kreuz wurde mehrmals erneuert und beim letzten Mal um einige Meter versetzt, weg von der stark befahrenen Hauptstrasse zwischen Pfeffingen und Basel.

    Mehr unter dem Link oben..



    Zitat aus: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D19544.php

    Thierstein [Tierstein], von
    Grafenfamilie in der Nordwestschweiz, die im 11. und 12. Jh. stammesgleich mit den Gf. von Homberg ist und sich wechselnd nach Homberg, T. und Frick nennt, was auf Mobilität deutet. Die Burg Alt-Thierstein oberhalb von Oberfrick diente vermutlich vom 11. Jh. an als Sitz. Als erster Namensträger wird Rudolfus de Dierstein in den Acta Murensia (um 1160) zum Jahr 1082 erwähnt. Zu Beginn des 12. Jh. waren die T. Kastvögte des Basler Klosters St. Alban für den linksrhein. Besitz und Hochvögte des Bistums Basel. Diese Rechte gingen bei der Teilung, die vermutlich zwischen den Brüdern Rudolf IV. und Werner I. erfolgte, an die von Homberg. Die teilweise Beerbung der Gf. von Saugern brachte den T. Güter und Rechte im Birstal, im Schwarzbubenland und im Berner Seeland ein, so die Kastvogtei über die Klöster Beinwil, Frienisberg und Kleinlützel, ferner die Burgen Pfeffingen, Dorneck und Bello (später Neu-Thierstein). Die Belehnung mit Burg und Herrschaft Pfeffingen durch den Basler Bischof in der 1. Hälfte des 13. Jh. verstärkte die Position im unteren Birstal und das damit verbundene Pfalzgrafenamt des Domstifts Basel führte zugleich zu engeren Beziehungen mit der Stadt. Nördlich von Gelterkinden entstand um 1330 zur Verwaltung der neuhomberg. Erbschaft die Farnsburg.

    Die thierstein. Hausteilung in die Linien Farnsburg und Pfeffingen muss zwischen 1300 und 1350 stattgefunden haben. Der Linie auf Farnsburg mit ihrem Besitz im Sisgau und im Fricktal gelang in der 2. Hälfte des 14. Jh., u.a. dank des bischöfl. Lehens der Landgrafschaft Sisgau, die Ausbildung einer geschlossenen Landesherrschaft. Durch Konnubium kamen die Gf. von T.-Farnsburg 1376 in den Lehensbesitz der Landgrafschaft Buchsgau. Mit Otto II. (erw. ab 1367), der als habsburg. Landrichter 1396 im Thurgau und 1399 im Aargau amtierte, starb diese Linie indes bereits 1418 aus.

    In der Linie der Gf. von T.-Pfeffingen sind bis gegen Mitte des 14. Jh. die engen Beziehungen zum Domstift Strassburg auffällig, dem bei der Versorgung der nachgeborenen Söhne grosse Bedeutung zukam. Einen Höhepunkt bezüglich des polit. Einflusses und der wirtschaftl. Potenz erreichte sie mit Oswald ( -> 1) in der 2. Hälfte des 15. Jh. In den Wirren nach der Schlacht bei St. Jakob an der Birs von 1444 geschädigt, verschuldete sich die Fam.; 1510 wurden die Sisgauer Grafschaftsrechte endgültig an die Stadt Basel übertragen. Mit Oswalds Söhnen erlosch das Geschlecht, als Letzter starb Heinrich II. 1519.


    Literatur
    – GHS 1, 127-144, 407-409; 3, 406 (mit Stammtaf.)
    – C. Roth, Die Auflösung der Tierstein. Herrschaft, 1906
    – J. Schneider, Die Gf. von Homberg, 1977, 17-28, 36 f., 185-189, 271-273
    – Europ. Stammtaf., NF 11, hg. von D. Schwennicke, 1986, Taf. 132 f.
    – D.A. Christ, Zwischen Kooperation und Konkurrenz, 1998

    Autorin/Autor: Franziska Hälg-Steffen

    Mehr unter dem Link oben..

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1345)

    Wurde 1366 wieder mit allen Freiheiten und Rechten an der Pfalzgrafschaft Basel belehnt, trotzdem er sich unebenbürtig verheiratet und von andern als Fürsten Lehen entgegengenommen hatte.

    Konflikt: Bei Rübel-Blass hat er zwei Frauen, Anna von Fürstenberg und Gisela von Kaisersberg.
    Im Bericht über Adrian I. von Bubenberg heisst seine Frau von Rappoltstein, welche auch die Mutter von Verena sein soll ?? (ms)
    http://www.stammler-genealogie.ch/getperson.php?personID=I12318&tree=StammlerBaum

    Familie/Ehepartner: Anna von Fürstenberg. [Familienblatt] [Familientafel]

    Walram heiratete Gisela von Kaisersberg (Kaysersberg) in vor 16 Aug 1380. Gisela gestorben am 22 Dez 1381. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 21. Gräfin Verena von Thierstein-Pfeffingen  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in cir 1417.

    Familie/Ehepartner: von Rappoltstein ?. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 17.  Katharina von Thierstein-PfeffingenKatharina von Thierstein-Pfeffingen Graphische Anzeige der Nachkommen (12.Walram5, 8.Ulrich4, 5.Beatrix3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) gestorben in 1385.

    Familie/Ehepartner: Markgraf Rudolf II. von Hachberg-Sausenberg. Rudolf (Sohn von Markgraf Rudolf I. von Hachberg-Sausenberg und Agnes von Rötteln) wurde geboren in 1301; gestorben in 1352. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 22. Markgraf Rudolf III. von Hachberg-Sausenberg  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1343; gestorben am 8 Feb 1428; wurde beigesetzt in Rötteln, Loerrach, Baden, DE.

  5. 18.  Anna von AichelbergAnna von Aichelberg Graphische Anzeige der Nachkommen (13.Guta5, 9.Eberhard4, 6.Irmgard3, 3.Agnes2, 1.Clémentine1) wurde geboren in 1350 in Aichelberg, Baden-Württemberg, DE; gestorben am 27 Jun 1404 in Esslingen am Neckar, Baden-Württemberg, DE.

    Notizen:

    Name:
    Aichelberg (auch Grafen von Aichelberg) ist der Name eines alten schwäbischen Adelsgeschlechts.
    Die Herkunft der Grafen von Aichelberg ist nicht eindeutig geklärt. Vieles spricht dafür, dass sie sich im 12. Jahrhundert als Nebenlinie der Grafen von Berg-Schelklingen (Stadt Ehingen, Alb-Donau-Kreis) abzweigten und durch Heirat mit einer Zähringer Erbtochter in den Besitz des Albvorlandes gelangten.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Aichelberg_(Adelsgeschlecht)

    Anna heiratete Ritter Hans Thumb von Neuburg in 1382 in Köngen, Baden-Württemberg, DE. Hans (Sohn von Ritter Hans Thumb von Neuburg) wurde geboren in 1354 in Untervaz, GR, Schweiz; gestorben am 17 Jul 1401 in Neuburg, GR, Schweiz. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 23. Guta Thumb von Neuburg  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1385 in Untervaz, GR, Schweiz; gestorben in Schorndorf, Jagstkreis, Württemberg, DE.