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Alix (Adelheid, Adèle) von Roucy

Alix (Adelheid, Adèle) von Roucy

weiblich

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Generation: 1

  1. 1.  Alix (Adelheid, Adèle) von RoucyAlix (Adelheid, Adèle) von Roucy

    Familie/Ehepartner: Graf Hilduin IV. von Ramerupt (Montdidier). Hilduin (Sohn von Herr Hilduin III. von Ramerupt (Montdidier) und Lessaline von Dammartin) gestorben in 1063. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 2. Herr Andreas von Ramerupt (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1040; gestorben in cir 1118.
    2. 3. Ebles II. (Ebal) von Roucy (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in Mai 1103.
    3. 4. Béatrice (Beatrix) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 2 Sep nach 1129.
    4. 5. Margarete (Marguerite) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1045; gestorben in nach 1103.
    5. 6. Adelheid von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen
    6. 7. Felicia von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1060; gestorben in 1123.


Generation: 2

  1. 2.  Herr Andreas von Ramerupt (Montdidier)Herr Andreas von Ramerupt (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1) wurde geboren in cir 1040; gestorben in cir 1118.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Englischer Name: Andrew of Ramerupt
    • Französischer Name: André de Ramerupt
    • Titel (genauer): Herr von Ramerupt
    • Titel (genauer): Lord of Ramerupt
    • Titel (genauer): Seigneur de Ramerupt

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Montdidier

    Deutsch: https://de.wikipedia.org/wiki/Montdidier_(Adelsgeschlecht)



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Montdidier-Roucy

    La Maison de Montdidier est une famille noble du Moyen Âge qui régna sur les comtés de Montdidier, de Dammartin et de Roucy. Elle est connue à partir du xe siècle et se prolongea par les branches de Roucy et de Ramerupt jusqu'au xiiie siècle.

    Origine de la famille
    Le plus ancien membre certain de la famille de Montdidier est un certain Hilduin, mort avant 956 et qualifié de comte de Montdidier1. Un de ses proches parents, également prénommé Hilduin, peut-être son fils, épousa Hersende, dame de Ramerupt et d'Arcis-sur-Aube.

    Des hypothèses ont été exposées pour préciser et compléter l'origine de la famille, mais se révélèrent sans fondement ou non exploitable. Ainsi :

    Le prénom Manassès, porté par un fils et un petit-fils d'Hilduin et d'Hersende renvoie à la maison de Rethel, mais le lien de parenté entre les deux familles n'est pas connu de manière plus précise. Il existe également au xe siècle un autre Manassès, le père du comte Gilbert de Chalon.
    Le comte de Luçay, dans son livre Le comté de Clermont en Beauvaisis, étude pour servir à son histoire (1878)2, indiquait que le second Manassès était petit-fils d'un comte Guillaume de Ponthieu, mais dont l'existence n'est pas certaine. De toute manière, ce comte Guillaume aurait été le grand-père maternel de Manassès.
    Premières générations
    Hilduin et Hersende avaient eu deux fils, Manassès († 991), qui devint évêque de Troyes et Hilduin II qui devint seigneur de Ramerupt. Hilduin II fit le pèlerinage de Jérusalem en 992 et laissa deux fils :

    Hilduin III, seigneur de Ramerupt, tige de la branche aînée,
    Manassès Calvus, auteur de la branche cadette, qui devint la Maison de Dammartin.
    Hilduin III, mort après 1031, eut quatre fils3 :

    Hilduin IV († 1063), seigneur de Ramerupt et comte de Roucy par son mariage avec Alix de Roucy
    Guillaume
    Manassès, vidame de Reims en 1053, marié à Béatrice de Hainaut, épouse séparée du comte Ebles Ier de Roucy. Il eut lui-même trois fils, Manassès qui fut archevêque de Reims, Guy et Adèle, abbesse de Notre-Dame de Laon.
    Hilduin IV eut plusieurs enfants et deux d'entre eux furent à l'origine d'une branche.

    Branche aînée, dite de Roucy
    Hildouin IV de Montdidier († 1063), qui épousa en 1031 Alix de Roucy († 1062), augmenta le statut de sa lignée au sein la noblesse locale. En effet, sa nouvelle épouse était issue par sa mère des comtes de Hainaut et des rois capétiens. Une consanguinité entre les parents d'Alix avait conduit à l'annulation de leur mariage, le père d'Alix, le comte Ebles Ier de Roucy, était entré dans les ordres et devenu archevêque de Reims. La mère d'Alix devait plus tard se remarier avec un frère d'Hildouin. Hildouin et Alix donnèrent naissance à deux fils, Ebles II, qui hérita de Roucy, et André, qui eut Ramerupt et est l'auteur de la branche cadette, et de nombreuses filles4, mariées dans la noblesse locale; à l'exception de Béatrix, femme du comte Geoffroy II du Perche et de Félicie, qu'Ebles II maria au roi Sancho Ier Ramírez d'Aragón.

    Ebles II de Roucy († 1103) fut avant l'heure un croisé. En effet, en 1063, il conduisit une armée en Espagne et participa à la croisade de Barbastro. Après la prise de la ville, il combattit encore en Espagne et aida le roi d'Aragon Sanche Ramírez à conquérir le trône de Navarre. À cette occasion, sa sœur Félicie épousa le roi. Puis il affronta de nouveau les Maures. Il avait pris part aux affaires d'Espagne dans l'espoir de recevoir un fief important, mais ne put l'obtenir, tous ceux-ci ayant été pourvus. Il partit alors en Italie prêter main-forte à Robert Guiscard, prince de Salerne, mais l'histoire se répéta : il obtint des alliances familiales prestigieuses, puisqu'il épousa la fille de Robert Guiscard, mais n'eut pas de domaine important. Probablement lassé de ces aventures lointaines ou peut-être tout simplement assagi par l'âge, il ne participa pas à la première croisade, lancée par le pape Urbain II en 1095, pas plus que ses fils. Mais il profita de l'absence de ses voisins pour chercher à agrandir ses domaines champenois. Ne pouvant faire face à ses pillages, l'archevêque de Reims appela à l'aide le roi, lequel envoya son fils et héritier le prince Louis pour rétablir l'ordre. Après un siège rapide, le prince Louis parvint à le soumettre en 1102.

    Lui succéda son fils Hugues Cholet († 1160) qui fonda plusieurs établissements religieux et épousa Richilde de Hohenstaufen, nièce de l'empereur Henri V et sœur du futur Conrad III.

    Son fils Guiscard5 partit prêter mais forte aux croisés en 1170. Il mourut en 1180, suivi de son fils aîné Raoul en 1196, puis de son fils cadet Jean, marquant ainsi l'extinction de la branche aînée et de la famille.

    Branche cadette, dite de Ramerupt
    Le comte André de Ramerupt, né vers 1040, mort vers 1118, fils du comte Hilduin IV de Montdidier, et de Alix de Roucy, dont :

    Hugues de Ramerupt
    Olivier de Ramerupt
    Ebles de Ramerupt
    Alix de Ramerupt, mariée au comte Érard Ier de Brienne, mort vers 1125, fils du comte Gauthier Ier de Brienne, et de Eustachie de Tonnerre.
    ...... de Ramerupt, mariée en premières noces au vicomte Jean de Mareuil-sur-Aÿ (vers 1095-vers 1127), vicomte de Mareuil, seigneur de Montmort, fils du vicomte Dudon de Mareuil-sur-Aÿ, et de Adelaide de Châlons, dame du vidamé de Châlons, et en secondes noces en 1151 au seigneur Guy de Bazoches, fils du seigneur Hugues de Bazoches, et de Basilie.

    Familie/Ehepartner: Adèle. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 8. Alix von Ramerupt (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen

    Familie/Ehepartner: Guisemode. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Ebles II. (Ebal) von Roucy (Montdidier)Ebles II. (Ebal) von Roucy (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1) gestorben in Mai 1103.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Ramerupt; Graf von Ramerupt https://de.wikipedia.org/wiki/Ramerupt
    • Titel (genauer): 1063-1103, Roucy; Graf von Roucy https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Roucy

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Ebles_II._(Roucy)

    Ebles II. (Roucy)

    Ebles II. († Mai 1103) war Graf von Roucy und Herr von Ramerupt von 1063 bis 1103.

    Er war ein Sohn Hilduins IV., Graf von Montdidier, Herr von Ramerupt und dessen Ehefrau Gräfin Adelaide von Roucy, und erbte beim Tod seines Vaters die die Grafschaft Roucy, sowie die Herrschaft Ramerupt.

    Leben
    Ebles führte um das Jahr 1073 ein großes Heer, welches laut Suger von Saint-Denis dem eines Königs würdig war, nach Spanien zum Kampf gegen die Mauren. Dieser Heerzug wurde bereits von Papst Alexander II. und dem Abt Hugo von Cluny vorangetrieben seit sich der aragonesische König Sancho Ramírez, nach der Rückeroberung Barbastros durch die Mauren 1065, politisch und religiös an Rom angenähert hatte. Alle Eroberungen Ebles sollten dabei zugunsten St. Peters gemacht werden, außerdem bekam er vollste Absolution für diesen Feldzug zugesichert weshalb dieses militärische Engagement als ein Vorgriff zu den Kreuzzügen betrachtet werden kann. Ebles Schwester, Felicia, war bereits seit etwa 1070 mit dem König von Aragón verheiratet gewesen, den er gemeinsam mit seinem Neffen Rotrou III. von Perche gegen dessen Vetter Sancho IV. von Navarra unterstützte, statt gegen die Mauren zu ziehen.

    Danach zog Ebles nach Unteritalien wo er den Normannenherrscher Robert Guiscard in dessen Kampf gegen das byzantinische Reich unter Alexios I. Komnenos unterstützte. Um das Jahr 1082 heiratete er Guiscards Tochter Sibylle.

    Zurück in Frankreich führte Ebles und sein Sohn Guiscard mehrere Fehden gegen ihre Nachbarn, besonders gegen die Erzbischöfe von Reims deren Land sie verwüsteten. Erst nach einem militärischen Eingreifen des Kronprinzen Ludwig (VI.) 1102 unterwarf sich Ebles und beendete seine Raubzüge.

    Ehe
    Ebles II. von Roucy war seit ca. 1082 verheiratet mit Sibylle de Hauteville, einer Tochter Robert Guiscards und der Sikelgaita von Salerno.

    Mehr unter dem Link oben..

    Ebles heiratete Sibylle von Hauteville (von Apulien) in vor 1082. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 9. Graf Hugo von Roucy (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen

  3. 4.  Béatrice (Beatrix) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)Béatrice (Beatrix) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1) gestorben in 2 Sep nach 1129.

    Béatrice heiratete Graf Gottfried (Geoffrey) II. von Le Perche (von Nogent) in Datum unbekannt. Gottfried (Sohn von Graf Rotrou II. von Nogent (Mortagne und Châteaudun)) gestorben in Okt 1100. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 10. Rotrou III. von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 6/8 Mai 1144 in vor Rouen.
    2. 11. Marguerite von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in nach 1156.
    3. 12. Juliane (Juliette) von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen

  4. 5.  Margarete (Marguerite) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)Margarete (Marguerite) von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1) wurde geboren in cir 1045; gestorben in nach 1103.

    Familie/Ehepartner: Graf Hugo I. (Hugues) von Clermont (von Creil). Hugo (Sohn von Rainald I. (Renaud) von Creil (Clermont) und Ermengarde von Clermont) wurde geboren in 1035; gestorben in 1101. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 13. Ritter Gautier von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen
    2. 14. Graf Rainald II. von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1070; gestorben in vor 1162.
    3. 15. Herrin Richhilde von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen
    4. 16. Alice (Adelize) von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen

  5. 6.  Adelheid von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)Adelheid von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1)

    Familie/Ehepartner: Falko (Kuno) von Grandson. Falko (Sohn von Adalbert von Grandson) gestorben in 1114. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 17. Irmtrud von Grandson  Graphische Anzeige der Nachkommen
    2. 18. Ebal von Grandson  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1130/35.

  6. 7.  Felicia von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier)Felicia von Ramerupt (von Roucy) (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (1.Alix1) wurde geboren in 1060; gestorben in 1123.

    Familie/Ehepartner: Sancho I. (Ramírez) von Aragón (von Navarra) (Jiménez). Sancho (Sohn von König Ramiro I. von Aragón (von Navarra) (Haus Jiménez) und Gilberga (Ermensinde) von Foix (von Carcassonne)) wurde geboren in 1045/46; gestorben am 4 Jun 1094 in vor Huesca; wurde beigesetzt in Mönchsburg Montearagón, dann Abtei San Juan de la Peña. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 19. Ferdinand von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in nach 1086.
    2. 20. König Alfons I. von Aragón (Jiménez), der Krieger  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1073; gestorben am 7 Sep 1134 in Abtei San Juan de la Peña.
    3. 21. König Ramiro II. von Aragón (Jiménez), der Mönch  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1075; gestorben am 16 Aug 1157 in Huesca; wurde beigesetzt in Kloster in Huesca.


Generation: 3

  1. 8.  Alix von Ramerupt (Montdidier)Alix von Ramerupt (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (2.Andreas2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrin von Ramerupt
    • Titel (genauer): Lady of Ramerupt
    • Titel (genauer): Dame de Ramerupt

    Notizen:

    Alix, 1108/43 bezeugt, Dame de Ramerupt, gründet 1143 die Abtei Notre-Dame de Bassefontaine in Brienne-la-Vieille.



    English: https://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Montdidier

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Montdidier-Roucy



    https://de.wikipedia.org/wiki/Montdidier_(Adelsgeschlecht)

    Montdidier war eine Familie des nordfranzösisches Adels, das erstmals Mitte des 10. Jahrhunderts als Grafen von Montdidier auftrat.

    Geschichte
    Durch Heirat gelangten die beiden Linien der Familie in den Besitz der Grafschaft Dammartin und der Grafschaft Roucy, die allerdings beide mangels männlicher Nachkommen im 12. bzw. 13. Jahrhundert wieder verloren gingen.

    Die bekanntesten Familienmitglieder sind Ebles II., der um 1073 in der spanischen Reconquista aktiv war, ein Schwiegersohn des Normannenfürsten Robert Guiscard, seine Schwester Félicie, die 1076 König Sancho I. von Aragón und Navarra heiratete, sowie (in Deutschland) dessen Sohn Hugo, ein Schwiegersohn des Stauferherzogs Friedrich I. von Schwaben.[1]

    Stammliste
    NN
    Hilduin I., † vor 956, nach 923 Graf von Montdidier
    Hilduin, Graf von Arcis-sur-Aube iure uxoris; ∞ Hersende, 970 als Gräfin bezeugt, Dame de Ramerupt
    Manasses, † 991, 970 Bischof von Troyes
    Hilduin II., comes, Seigneur de Ramerupt, 992 bezeugt
    Hilduin III., comes, Seigneur de Ramerupt; ∞ Adèle, † 1062, Erbin von Roucy (Roucy)
    Hilduin IV., 1032 bezeugt, † 1063, Graf von Montdidier, Seigneur de Ramerupt, 1061 Graf von Roucy; ∞ Adèle, Erbin von Roucy, † 1062, Tochter von Ebles I., Graf von Roucy (Haus Roucy)
    Ebles II., † Mai 1103, 1063 Graf von Roucy ; ∞ vor 1082 Sibille, Tochter von Robert Guiskard, Herzog von Apulien (Hauteville (Familie))
    Guiscard
    Hugues Cholet, 1104/58 bezeugt, † wohl 1160, Graf von Roucy, Seigneur de Nizy-le-Comte et de Sévigny; ∞ I Aveline, 1117 bezeugt; ∞ II Richilde von Schwaben, 1139/47 bezeugt, † vor 1154, Tochter von Friedrich I., Herzog von Schwaben (Stammliste der Staufer)
    (I) Ada, 1172 bezeugt; ∞ Gaucher II., Châtelain de Châtillon-sur-Marne, Seigneur de Troissy, de Montjay et de Crécy, 1134 bezeugt, X 19. Januar 1147 in Laodikäa (Haus Châtillon)
    (II) Robert Guiscard, 1147/78 bezeugt, † vor 1181, 1164 Graf von Roucy; ∞ vor 1154 Elisabeth de Mareuil, Dame de Neufchâtel-sur-Aisne, 1132/1207 bezeugt, Tochter von Jean, Vizegraf von Mareuil, Seigneur de Neufchâtel, Witwe von Robert, Seigneur de Montaigu (Haus Pierrepont), heiratete in dritter Ehe vor 1202 Renaud de Montdiviel
    Raoul I., 1166 bezeugt, † 1196, Graf von Roucy; ∞ Isabeau (Melisende) de Coucy, Tochter von Raoul, Seigneur de Coucy (Haus Boves), heiratete in zweiter Ehe Henri III., Graf von Grandpré († 1211)
    Tochter, 1181 Nonne in Plesnois
    Jean I., 1166/91 bezeugt, † 1200, Graf von Roucy
    Eustachie, 1190/1209 bezeugt, † wohl vor 1211, 1206 Gräfin von Roucy; ∞ 1190 Robert, Seigneur de Pierrepont, 1183 exkommuniziert, 1200 bezeugt, † vor 1209 (Haus Pierrepont)
    Ebles, 1180 Kanoniker in Reims
    Henri, † 1196
    Beatrix, † 1180
    (II) Ebles, 1147/54 bezeugt
    (II) Hugues, Seigneur de Thony, Seigneur du Bois 1154/66 ; ∞ Eve de Courlandon – Nachkommen : die Herren von Le Bois, Manre, Villette, Chalendry und Chastay
    (II) Clémence, 1154 bezeugt; ∞ I Renaud, Seigneur de Rozoy-en-Thiérache; ∞ II Guermond de Châtillon, Seigneur de Savigny (Haus Châtillon)
    (II) Havoie
    (II) Sara genannt Agnès, 1154 bezeugt; ∞ Gui, Seigneur de Soupir
    (II) Sibille, 1154 bezeugt
    Thomas, † klein
    Ebles
    Ebles
    Manassès
    Thomas, 1157 bezeugt
    Petronille, 1157 bezeugt; ∞ Raoul, Graf von Vieille-Ville
    Ermengarde, 1157 bezeugt; ∞ Gervais, 1151 Seigneur de Bazoches-sur-Vesles, 1134/67 bezeugt, † vor 1169
    Mabile (Mamilia), † bald nach 1122; ∞ I Hugues du Puiset, Graf von Jaffa, † wohl 1112; ∞ II Albert von Namur, Graf von Jaffa, † kurz vor 1122
    Agnès ; ∞ vor 1119 Simon II. Graf von Clefmont, Seigneur de Ribemont, 1098/um 1130 bezeugt
    André, † nach 1118, Seigneur de Ramerupt et d'Arcis-sur-Aube 1093–1096; ∞ I Adèle; ∞ II Guisemode, Schwester von Baudouin, Mönch in Molesme, Witwe von Hugues, Seigneur de Pleurs
    (I) Hugo Britto, 1102/08 Graf, in Spanien
    (I) Olivier
    (I) Ebles, † 21. Januar 1126, Seigneur de Ramerupt, wohl 1103/04 Archidiakon in Laon, 1121/26 Bischof von Châlons
    (I) Alix, 1108/43 bezeugt, Dame de Ramerupt, gründet 1143 die Abtei Notre-Dame de Bassefontaine in Brienne-la-Vieille; ∞ Erard I., Graf von Brienne, † 1114/25, bestattet in der Abtei Montier-en-Der (Haus Brienne)
    (I) Tochter; ∞ Jean, Vizegraf von Mareuil
    Felicie, † 3. Mai 1123; ∞ 1076 Sancho I. Ramirez, König von Aragón, 1076 König von Navarra, † 4. Juni 1094
    Hugues, 1060 bezeugt
    Beatrix, † 2. September nach 1129; ∞ Godefroid I., Graf von Perche, † Mitte Oktober 1100
    Marguerite ; ∞ Hugues I., Graf von Clermont-en-Beauvaisis, genannt Hugues de Mouchy, 1067 bezeugt (Haus Clermont)
    Ermentrude, 1072/1102 bezeugt; ∞ Thibaut I., Graf von Reynel, † vor 11. April 1101
    Ada, um 1095 bezeugt, bestattet in der Abtei Liessies ; ∞ I Geoffroy, Seigneur de Guise; ∞ II Walter, Herr von Ath; ∞ III Thierry, Seigneur d’Avesnes, † wohl 1106
    Adèle, † 1068/69, bestattet in der Abtei St. Hubert in den Ardennen; ∞ Arnold II., Graf von Chiny, † 16. April 1106 (Haus Chiny)
    Adélaide; ∞ Conon, genannt Falcon de la Sarraz, um 1087/110 bezeugt, † vor 1114
    Manassès Calva Asina, 1031/53 bezeugt, 1053 Vidame de Reims; ∞ Beatrix von Hennegau, geschieden von Ebles I., Graf von Roucy, Tochter von Reginar IV., Graf von Hennegau (Reginare) und Havide von Frankreich (Stammliste der Kapetinger)
    Manassès, 1095/1106 Erzbischof von Reims
    Guy de Neufchâtel, † vor 1103
    Adèle, Äbtissin von Notre-Dame in Laon
    Isabelle; ∞ I Bouchard II. Graf von Corbeil, X vor 1101 (Rolloniden); ∞ II Gui I. le Rouge, Graf von Rochefort, Seigneur de Gournay-sur-Marne (Haus Montlhéry)
    Manassès, X 15. Dezember 1037 Ornel, 1025 Graf von Dammartin, bestattet in Saint-Vannes in Verdun; ∞ Constance (wohl Constance de Dammartin)
    Eudes, Graf von Dammartin nach 1050–60/61
    Hugues I., 1071 Graf von Dammartin, 1075 Seigneur de Bulles, † wohl 1100; ∞ Roharde, Schwester von Ascalin de Bulles
    Sohn, † vor 1081
    Pierre, 1081 bezeugt, † 13. September 1105/06 Château de Rosnay (Champagne), Graf von Dammartin ; ∞ Eustachie, 1107 bezeugt
    Sohn, 1107 bezeugt
    Basilie, 1081 bezeugt
    Adèle de Bulles, 1081/1193 bezeugt ; ∞I Aubri de Mello, † jung (Haus Mello) ; ∞ II Lancelin (wohl Lancelin II. de Beauvais), 1112/16 Verweser der Grafschaft Dammartin – die Nachkommen aus erster Ehe sind die späteren Grafen von Dammartin
    (II) Manassès, 1114/71 bezeugt, 1139 Sire (Vicecomes) de Bulles, gründet 1135 Kloster Beaupré (Picardie), 1142/71 Abt des Klosters Froidmont, bestattet in Beaupré; ∞ Alix de Milly, Tochter von Sagalon, bestattet in Beaupré
    (II) Renaud, 1114/62 bezeugt, † vor 1167, wohl 1138 Graf von Dammartin, 1149 Seigneur de Bulles; ∞ I Marguerite de Senlis, Tochter von Guillaume Loup, Bouteiller de France; ∞ II Euphémie de Picquigny, 1144 bezeugt, 1149 geistlich in Garanville, Tochter von Guermond de Picquigny, Vidame d’Amiens
    (II) Thibaut, 1114/um 1167 bezeugt, † vor 1172, 1149 Seigneur de Bulles, 1123/49 Archidiakon, 1139 Domthesaurarius in Beauvais
    (II) Rohes, 1144 bezeugt
    (II) Lancelin, 1134/49 bezeugt, 1149 Seigneur de Bulles, Graf von Dammartin; ∞ Clémence, 1153 bezeugt
    (II) Beatrix
    (II) Mabilie
    (II) Basilie; ∞ wohl Dreux de Mello, 1136 bezeugt (Haus Mello)
    Eustachie, 1081 bezeugt


    Einzelnachweise
    Schwennicke Band I.1 Tafel 14 (Die Staufer…) führt keine Tochter Friedrichs I. auf, die mit Hugo von Roucy verheiratet war, allerdings in der hier benutzten Tafel; es gilt: (1) Alberich von Trois-Fontaines erwähnt die Ehefrau Hugos ohne Namensnennung als Schwester von Kaiser Konrad ("comes Hugo Cholez" und "ut dicitur, imperatoris Conradi", Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1119, MGH SS XXIII, S. 823.), (2) Hugo beschenkte die Kirche in Épernay für das Seelenheil seiner Ehefrau Richildis mit Einverständnis u. a. seines Sohnes (aus dieser Ehe) Robert Guiscard ("Hugo comes Roceiensis" … "ecclesiam…in Eberneicurte" … "uxoris Richildis pie memorie" … "filiorum meorum Roberti Wiscardi et uxoris eius Elisabeth, Ebali et Hugonis et filiarum mearum Clementie, Sibille et Sare que cognominatur Agnes", Dokument von 1154 (Godefroid Kurth (Hg.) (1903) Chartes de l´abbaye de Saint-Hubert en Ardenne, Band I, XCII, S. 117)
    Literatur
    Père Anselme: Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume...., par le P. Anselme,... ; continuée par M. Du Fourny, 3. Ausgabe (1726–1733) Band 8, S. 861–880 online
    Detlev Schwennicke: Europäische Stammtafeln, Band III.4 (1989) Tafel 675B, 676, 677
    Weblink
    Das Haus Roucy bei web.genealogies

    Familie/Ehepartner: Graf Érard I. (Erhard)Erhard I. von Brienne. Érard (Sohn von Graf Walter I. von Brienne und Eustachia von Tonnerre) wurde geboren in cir 1070; gestorben in vor 1125. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 22. Graf Walter II. von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in cir 1161.
    2. 23. Herrin Félicité von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1178.

  2. 9.  Graf Hugo von Roucy (Montdidier)Graf Hugo von Roucy (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (3.Ebles2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1103-1160, Roucy; Graf von Roucy https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Roucy

    Familie/Ehepartner: Aveline. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 24. Ada von Roucy (Montdidier)  Graphische Anzeige der Nachkommen

    Familie/Ehepartner: Richhilde. [Familienblatt] [Familientafel]


  3. 10.  Rotrou III. von Le PercheRotrou III. von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben am 6/8 Mai 1144 in vor Rouen.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): ab 1100 oder 1101, Grafschaft Le Perche; Graf von Le Perche (Haus Châteaudun)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Rotrou_III._(Perche)

    Rotrou III. (Perche)

    Rotrou III. († 6. (oder 8.) Mai 1144 vor Rouen) war ab 1100 oder 1101 der erste Graf von Le Perche, zudem war er ab 1126 Herr von Bellême. Er war der Sohn von Geoffroy II., Graf von Mortagne und Herr von Nogent-le-Rotrou, das er 1090 zur Grafschaft Le Perche zusammengefasste, und der Beatrix von Roucy.

    Biographie
    Rotrou begann seine militärische Karriere auf der Iberischen Halbinsel im Kampf gegen die Mauren. Er kämpfte in Begleitung seines Onkels Ebles II., Graf von Roucy und auf der Seite des Königs Sancho I. von Aragón (Sancho V. von Navarra; † 1094). Später nahm er im Gefolge von Herzog Robert II. von Normandie am Ersten Kreuzzug teil, vor allem an der Belagerung von Antiochia und der Belagerung von Jerusalem (1099). Sein Vater starb Mitte Oktober 1100, als er noch im Heiligen Land war.

    Kurz nach seiner Rückkehr brach der Konflikt zwischen König Heinrich I. von England und Herzog Robert aus. Rotrou stellte sich auf Roberts Seite, während sein Feind Robert II. de Bellême Heinrich unterstützte. Nachdem er gegen Bellême unterlegen war, wechselte Rotrou auf die Seite des Königs und heiratete 1103 eine seiner unehelichen Töchter. Der Kampf gegen Bellême ging jedoch weiter, bis die beiden Kontrahenten exkommuniziert wurden; für die Aufhebung der Exkommunikation zahlte Rotrou schnell eine Ehrenstrafe.

    Im Jahr 1111 kämpfte er auf Seiten von König Heinrich gegen den König von Frankreich, wiederum gegen den Seigneur de Bellême und diesmal auch gegen den Grafen von Anjou. Er geriet in Gefangenschaft, während Mortagne-au-Perche niedergebrannt wurde. Nach seiner Freilassung ging er ein weiteres Mal nach Spanien, wo er für den König Alfons I. von Aragón kämpfte, musste aber bald wieder nach Hause zurückkehren, um das von Guillaume III. Gouët verwüstete Le Perche zu verteidigen. Von 1115 bis 1118 war er erneut in Spanien, wo er Alfons I. bei der Rückeroberung des aufständischen Navarra unterstützte.

    Nach dem Tod König Heinrichs 1135 und dem Ausbruch des Englischen Bürgerkriegs stellte sich Rotrou anfangs auf die Seite des neuen Königs Stephan und gegen die Tochter des verstorbenen Königs, Matilda. 1141 aber organisierte er eine Zusammenkunft normannischer Barone, die sich dann Matilda und ihrem Ehemann Gottfried Plantagenet anschlossen. Bei der Belagerung Rouens, die Gottfried im Zuge der Eroberung der Normandie, durchführte, wurde Rotrou am 6., vielleicht auch am 8. Mai 1144 von einem Pfeil tödlich getroffen.

    Ehen und Nachkommen
    Rotrou schloss eine erste Ehe, von der aber nicht einmal der Name der Ehefrau überliefert ist. Von ihr bekam er eine Tochter, Béatrice, die später Renaud IV. de Château-Gontier, Seigneur de Château-Gontier, heiratete.

    1103 heiratete er in zweiter Ehe Mathilde (Mahaut), eine uneheliche Tochter von König Heinrich I. von England und seiner Konkubine Edith. Aus dieser Ehe hatte er zwei Töchter, Philippa, die spätere Ehefrau von Elias II. (Hélie II.), Graf von Maine, und Félicie. Mathilde kam am 25. November 1120 beim Untergang der White Ship vor Barfleur ums Leben.

    Vor 1126 schloss Rotrou eine dritte Ehe, jetzt mit Hawise, der Tochter von Walter of Salisbury (Erstes Haus Salisbury) und Sibylle de Chaource. Mit ihr hatte er drei Söhne:

    Rotrou IV., † 27. Juli 1191 bei der Belagerung von Akkon, der 1180 sein Nachfolger als Graf von Le Perche wurde
    Geoffroy, der 1144 bezeugt ist
    Étienne, der bis 1168 Elekt von Palermo und Kanzler des Königreichs Sizilien war und später im Heiligen Land verstarb
    Nach Rotrous Tod heiratete Hawise in zweiter Ehe Robert den Großen, Graf von Dreux und Le Perche, † 11. Oktober 1188 (Stammliste der Kapetinger, Haus Frankreich-Dreux).

    Mehr unter dem Link oben..

    Titel (genauer):
    Le Perche ist eine historische Grafschaft im Norden Frankreichs, deren Name aber auch heute noch als Landschaftsbezeichnung in Gebrauch ist.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Le_Perche#Grafen_von_Le_Perche

    Gestorben:
    Bei der Belagerung Rouens, die Gottfried im Zuge der Eroberung der Normandie, durchführte, wurde Rotrou am 6., vielleicht auch am 8. Mai 1144 von einem Pfeil tödlich getroffen.

    Familie/Ehepartner: Hedwig (Havise) von Salisbury (von Évreux). Hedwig (Tochter von Walter von Salisbury (FitzEdward) und Sibylle von Chaworth) wurde geboren in cir 1118; gestorben in 1152. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 25. Graf Rotrou IV. von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 27 Jul 1191.

  4. 11.  Marguerite von Le PercheMarguerite von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben in nach 1156.

    Marguerite heiratete Henry von Beaumont, 1. Earl of Warwick in vor 1100. Henry (Sohn von Herr Roger von Beaumont (de Vieilles), der Bärtige und Adeline de Meulan) wurde geboren in Le Neubourg, Louviers, Département Eure; gestorben am 20 Jun 1119; wurde beigesetzt in Abtei Saint Pierre de Préaux, Pont-Audemer, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 26. Graf Roger von Beaumont, 2. Earl of Warwick  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1102; gestorben am 12 Jun 1153.

  5. 12.  Juliane (Juliette) von Le PercheJuliane (Juliette) von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (4.Béatrice2, 1.Alix1)

    Juliane heiratete Gilbert de l’Aigle in cir 1091. Gilbert (Sohn von Richard de l'Aigle und Judith von Avranches (Le Goz)) wurde geboren in 1080; gestorben in 1118. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 27. Königin Margarete von Navarra (de l’Aigle)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1104; gestorben am 25 Mai 1141; wurde beigesetzt in Cathédrale Santa Maria, Pamplona, Spanien.

  6. 13.  Ritter Gautier von ClermontRitter Gautier von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (5.Margarete2, 1.Alix1)

  7. 14.  Graf Rainald II. von ClermontGraf Rainald II. von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in 1070; gestorben in vor 1162.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Clermont (1101-1161), Graf von Beauvaisis (ab 1103)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Rainald_II._(Clermont)

    Rainald II. von Clermont (französisch: Renaud II. de Clermont) (1099–1152 bezeugt; † vor 1162) wurde 1101 bzw. 1103 Graf von Clermont-en-Beauvaisis, nachdem er ab 1099 am Ersten Kreuzzug teilgenommen hatte. Er war der Sohn des Hugo (Hugues) von Clermont, genannt Hugo von Mouchy, der seit 1067 Herr von Creil war, und der Margarete (Marguerite) von Montdidier.

    Rainald heiratete 1103 in erster Ehe die Gräfin Adelheid (Adélaide) von Vermandois und Valois aus dem Haus der Karolinger († 28. September 1120/1124), die Witwe von Hugo von Frankreich, einem jüngeren Bruder des Königs Philipp I., dem sie die Grafschaften Vermandois und Valois zuführte, und der auf dem Kreuzzug von 1101 starb; durch diese Ehe war er der Stiefvater des späteren französischen Regenten (1147–1149) Rudolf von Vermandois.

    In zweiter Ehe heiratete Rainald Clementia von Bar († nach 20. Januar 1183), eine Tochter des Grafen Rainald I.

    Familie/Ehepartner: Adelheid (Adélaide) von Valois (von Vermandois) (Karolinger). Adelheid (Tochter von Heribert IV. von Vermandois und Adele von Valois) wurde geboren in 1065; gestorben am 28 Sep 1120/1124. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 28. Margarete von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen

    Familie/Ehepartner: Clementia von Bar, (von Mousson) (Scarponnois). [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 29. Graf Rudolf I. (Raoul) von Clermont-en-Beauvaisis, der Rote  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 15 Okt 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.
    2. 30. Mathilde (Mathildis, Mahaut, Mabile) von Clermont  Graphische Anzeige der Nachkommen

  8. 15.  Herrin Richhilde von ClermontHerrin Richhilde von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (5.Margarete2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Mouchy; Dame de Mouchy https://de.wikipedia.org/wiki/Mouchy-le-Châtel

    Notizen:

    Name:
    In der Stamliste derer von Clermont ist Richhilde nicht aufgeführt ??
    https://de.wikipedia.org/wiki/Clermont_(Adelsgeschlecht)

    Richhilde heiratete Dreux II. de Mello in vor 1101. Dreux (Sohn von Herr Gilbert II. de Mello und Ermentrude ?) gestorben in vor 1146. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 31. Dreux III. de Mello  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in Mello.

  9. 16.  Alice (Adelize) von ClermontAlice (Adelize) von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (5.Margarete2, 1.Alix1)

    Notizen:

    Name:
    Clermont ist eine Familie des französischen Adels vom 11. bis zum 16. Jahrhundert, für die die Stadt Clermont-en-Beauvaisis namengebend war.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Clermont_(Adelsgeschlecht)

    Alice heiratete Lord Gilbert de Clare (FitzRichard, de Tonbridge) in Datum unbekannt. Gilbert (Sohn von Richard de Clare (de Bienfaite, FitzGilbert, of Tonbridge) und Rohese Giffard) gestorben in 1117. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 32. Lord Richard FitzGilbert de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1094; gestorben am 15 Apr 1136 in Abtei Lanthony, Abergavenny, England.
    2. 33. Graf Gilbert de Clare, 1. Earl of Pembroke  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1100 in Tonbridge, Kent, England; gestorben am 6 Jan 1148; wurde beigesetzt in Tintern Abbey, Wales, England.
    3. 34. Adeliza (Alice) de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen

  10. 17.  Irmtrud von GrandsonIrmtrud von Grandson Graphische Anzeige der Nachkommen (6.Adelheid2, 1.Alix1)

    Familie/Ehepartner: Graf Heszelin II. (Heinrich) von Grand-Pré. Heszelin (Sohn von Hermann von Grand-Pré und Judith von Roucy) gestorben in 1097. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 35. Alis (Adelheid) von Grand-Pré  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1090.

  11. 18.  Ebal von GrandsonEbal von Grandson Graphische Anzeige der Nachkommen (6.Adelheid2, 1.Alix1) gestorben in 1130/35.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1049-1059)
    Stiftet die Abtei am Jouxsee.

    Familie/Ehepartner: Adelheid. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 36. Bartholomäus von Grandson  Graphische Anzeige der Nachkommen

  12. 19.  Ferdinand von Aragón Graphische Anzeige der Nachkommen (7.Felicia2, 1.Alix1) gestorben in nach 1086.

  13. 20.  König Alfons I. von Aragón (Jiménez), der Krieger König Alfons I. von Aragón (Jiménez), der Krieger Graphische Anzeige der Nachkommen (7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1073; gestorben am 7 Sep 1134 in Abtei San Juan de la Peña.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1104-1134, Königreich Aragón; König von Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Aragón
    • Titel (genauer): 1104-1134, Königreich Navarra; König von Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Navarra

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Alfons_I._(Aragón)

    Alfons I. der Krieger (spanisch Alfonso el Batallador, aragonesisch Alifonso lo Batallero; * 1073; † 7. September 1134 in San Juan de la Peña) war von 1104 bis 1134 König von Aragón und Navarra aus dem Haus Jiménez. Er war einer der bedeutendsten Herrscher des spanischen Mittelalters und Protagonist der Reconquista, der aufgrund der Eroberung von Saragossa 1118 maßgeblichen Anteil an der Etablierung von Aragón als zweiter christlicher Macht neben León-Kastilien hatte.
    Alfons war der dritte Sohn des Königs Sancho Ramírez von Aragón-Navarra und der zweite aus dessen zweiter Ehe mit Felicia von Roucy, die aus dem nordfranzösischen Adel stammte. Sein älterer Vollbruder Ferdinand war bereits früh gestorben, weshalb er in der Thronfolge an zweiter Stelle nach seinem älteren Halbbruder Peter I. aufrückte.

    Leben
    Ehe mit Urraca
    Über die Jahre vor seiner Thronübernahme im September 1104 ist, bis auf seine Herrschaft in Biel, nichts von Alfons überliefert, obwohl er zu diesem Zeitpunkt bereits über dreißig Jahre alt war.[1] Er folgte seinem Halbbruder Peter I. nach, deder mit den Eroberungen von Huesca (1096) und Barbastro (1100) bereits große Erfolge bei der Expansion Aragóns gegen das muslimische Al-Andalus verzeichnen konnte. Hauptrivale dabei war das mächtige Taifa-Königreich der Banu Hud von Saragossa, an dessen Eroberung Peter I. kurz vor seinem Tod noch gescheitert war. Alfons setzte die Politik seines Halbbruders nahtlos fort, geriet aber dabei wie dieser in Gegensatz zu dem „Imperator über die Nationen von Spanien“ Alfons VI. von León-Kastilien. Denn Saragossa war ein tributpflichtiger Vasall von León-Kastilien und hatte folglich unter dessen Schutz gestanden, was Alfons einstweilen in seine Schranken wies. Eine dynastische Krise im leónesischen Königshaus versetzte ihn aber unverhofft in die Position zur Übernahme des größten christlichen Königreichs und vorherrschenden Macht auf der iberischen Halbinsel. 1107 starb der älteste Schwiegersohn Alfons’ VI., Raimund von Burgund, und im Jahr darauf fiel der einzige Königssohn Sancho Alfónsez im Kampf gegen die Mauren. Damit stieg die älteste Tochter des Königs und Witwe Raimunds, Urraca, zur Haupterbin ihres Vaters auf, der sogleich ihre Wiederverheiratung betrieb und in dem streitbaren König von Aragón den geeigneten Mann für seine Tochter und Beschützer seines Enkels Alfonso Raimúndez sah. Wohl im August 1108 wurde die Verlobung zwischen Alfons und Urraca vereinbart.
    Diese Ehe rief allerdings von Anfang an einen breiten Widerstand innerhalb des leónesisch-kastilischen Adels und Klerus hervor. Der Adel erkannte in Alfons zuallererst einen landesfremden Außenseiter, dem man sich nicht fügen wollte. Außerdem wurde er als Bedrohung der Erbrechte des jungen Alfonso Raimúndez wahrgenommen, um den sich folglich vor allem der galicische Adel sammelte. Dieselben machtpolitischen Vorbehalte vertrat der vom Erzbischof von Toledo angeführte Klerus, wobei der EErzbischof das kanonische Recht als Einwand gegen die Ehe anführen konnte, da das Paar zu nahe miteinander verwandt war; König Sancho III. von Navarra war ihr gemeinsamer Urgroßvater. Bezeichnenderweise hatte der Klerus einst gegen die erste Ehe Urracas mit Raimund von Burgund keinerlei Einwände erhoben, obwohl auch dieser zu nahe mit ihr verwandt gewesen war. Am 1. Mai 1109 starb Alfons VI. und obwohl Urraca nun als Königin, unterstützt von ihren Vasallen, den letzten Willen ihres Vaters übergehen hätte können, bekannte sie sich doch zur Ehe mit Alfons von Aragón, sei es aus Respekt vor ihrem Vater oder aus Furcht vor einem Konflikt mit ihrem Verlobten. Wahrscheinlich übte bei dieser Entscheidung auch der Vertraute der Königin, Graf Pedro Ansúrez, entscheidenden Einfluss aus, der schon seit 1104 als Regent in Urgell ein gutes Einvernehmen mit Alfons gepflegt hatte.[2] Im Oktober 1109 wurde die Hochzeit in Monzón de Campos begangen.[3] Seinen so neu gewonnenen Herrrschaftsanspruch auf León-Kastilien demonstrierte Alfons fortan durch die Aneignung des hispanischen Imperatorentitels (totius Hispaniae imperator), der traditionell mit dem leónesischen Königreich assoziiert war und einen Oberherrschaftsanspruch über ganz Spanien in ideeller Fortführung des Westgotenreichs von Toledo implizierte.[4] Unmittelbar darauf zog das Paar nach Aragón, das von Al-Mustain angegriffen wurde. Am 24. Januar 1110 errang Alfons in der Schlacht von Valtierra einen vollständigen Sieg und tötete den König von Saragossa. Statt aber die Gunst der Stunde zu nutzen und sich Saragossas zu bemächtigen, zogen Alfons und Urraca anschließend nach Galicien, um dort den Aufstand der Opposition zu unterdrücken.[5]
    Im Sommer 1110 kehrte Alfons allein nach Aragón zurück, um den Krieg um Saragossa zu forcieren. Die Inbesitznahme der Stadt durch die Almoraviden im Mai dieses Jahres nötigte ihn zum eiligen Handeln. Faktisch war damit aber auch das Ende seiner Ehe mit Urraca verbunden, was aus politischen und persönlichen Umständen resultierte. Zum einen ging von Papst Paschalis II. die Aufforderung zur Annullierung der Ehe unter Androhung der Exkommunikation ein, die vom leónesisch-kastilischen Klerus gefordert wurde.[6] Zum anderen kam es zwischen den Eheleuten selbst zum persönlichen Bruch, an dem beide Anteil hatten. Während Urraca kaum verhehlend außereheliche Beziehungen pflegte, konnte Alfons kaum sein gewalttätiges Naturell verbergen. Sogar gegenüber seiner Frau soll er physische Gewalt angewandt haben, so lautete zumindest eine von ihr geäußerte Anklage.[7] Überhaupt war Alfons’ Verhältnis zu Frauen schon in der mittelalterlichen Geschichtsschreibung Gegenstand der Beobaachtung. Der muslimische Chronist Ibn al-Athīr († 1233; al-Kāmil fī ʾt-tarīch), der als einziger eine persönliche Charakterisierung des Königs von Aragón vornahm, beschrieb ihn als tatkräftigen Krieger, der sogar beim Schlafen seine Rüstung nicht ablegte und den Umgang mit Männern für geziemender erachtete als den mit Frauen.[8] Auch bemerkte der Autor, dass von Alfons entgegen den seinerzeit akzeptierten gesellschaftlichen Konventionen keinerlei Konkubinate oder außereheliche Kinder bbekannt waren. Jüngere Betrachtungen sind daher zu der Auffassung gelangt, das Alfons homosexuell gewesen sei, wofür auch seine offenkundige Ignoranz bezüglich einer dynastischen Politik spricht.[9] Er war bereits 36 Jahre alt, als er mit Urraca seine erste und zugleich einzige Ehe schloss. Und trotz des Mangels eines Thronfolgers zog er nach dem schnellen Scheitern seiner Ehe keine weitere mehr in Betracht und setzte damit sein Königreich einer ungewissen Zukunft aus. Sein einziger Bruder Ramiro hatte eine klerikale Laufbahn eingeschlagen und war daher als potentieller Nachfolger scheinbar nicht verfügbar.

    Krieg mit Urraca
    Ungeachtet des päpstlichen Richtspruchs und des Scheidungswillens seiner Frau war Alfons nicht dazu bereit, eine Trennung und den damit verbundenen Machtverlust zu akzeptieren, und suchte seine Ehe mittels Waffengewalt aufrechtzuerhalten. Einenen unerwarteten Verbündeten erhielt er in Graf Heinrich von Portugal, dem Schwager Urracas, der sich einen Profit aus dem Ehekrieg erhoffte. Im April 1111 konnte Alfons in der alten westgotischen Hauptstadt Toledo einziehen, worauf seine Frau am 19. September 1111 ihren Sohn Alfonso Raimúndez in Santiago de Compostela zum König weihen ließ, um Alfons’ Alleinherrschaftsanspruch entgegenzuwirken. Am 26. Oktober 1111 kam es in der Schlacht von Candespina zum ersten militärischen Aufeinanndertreffen, aus dem Alfons siegreich hervorging und dabei den Heerführer und Liebhaber seiner Frau, Graf Gómez González, tötete.[10] Anschließend boten die Galicier unter dem Erzbischof Diego Gelmírez ein Heer gegen ihn auf, das er aber in eineem zweiten Treffen bei Viadangos ebenfalls schlug. Dabei konnte er den zweiten Liebhaber seiner Frau, Graf Pedro González de Lara, gefangen nehmen, der dann allerdings doch noch seine Flucht zu bewerkstelligen vermochte.[11] Bis zum Dezember 1111 besetzte Alfons nahezu alle wichtigen Plätze in Kastilien und León und drängte seine Frau nach Galicien ab, bis sein Siegeszug im Frühjahr 1112 ein jähes Ende fand. Nach einem Überraschungszug seiner Frau wurde er von ihr und dem Grafen von Portugal, der inzwischen die Seiten gewechselt hatte, in Astorga eingeschlossen.[12] Zu einem Entscheidungskampf kam es einzig aufgrund von machtpolitischen Erwägungen Urracas nicht, die stattdessen Alfons’ Zwangslage nutzte, um ihn zur Wiederaufnfnahme eines Ehelebens zu drängen. Sie benötigte ihren Mann nun als Gegengewicht zu ihrem Schwager, Graf Heinrich von Portugal, der allerdings noch im selben Jahr an den Wunden starb, die er vor Astorga erhalten hatte. Und nachdem der Abt Pontiuius von Cluny als päpstlicher Legat erschienen war, der noch einmal die Annullierung der Ehe seitens des Papstes verkündete, war die leónesisch-kastilische Ehe endgültig beendet.[13] Geschlagen musste sich Alfons nach Aragón zurückziehen, bis zuzum April 1113 wurden seine Garnisonen aus allen wichtigen Städten Kastiliens wie Toledo und Sahagún vertrieben. Burgos verlor er nach einem militärischen Handstreich Urracas, was besonders von dem muslimischen Geschichtsschreiber Ibn al-Kardabus mit großer Genugtuung kommentiert wurde, war doch dem größten Maurenkämpfer dieser Zeit die schwerste Niederlage von seiner ehemaligen Frau zugefügt worden.[14]
    Ungeachtet des Scheiterns seine Ehe mit Urraca hielt Alfons an den aus ihr resultierenden Herrschaftsansprüchen auf León-Kastilien fest, wenngleich er diese nun nicht mehr militärisch durchzusetzen suchte. So hielt er an dem Imperatorentitel fest und nutzte die innenpolitischen Querelen seiner ehemaligen Frau zum eigenen Vorteil, um insbesondere im altkastilischen Raum Positionen zu gewinnen. Beispielsweise konnte er 1114 wieder Burgos unter seine Kontrolle bringen, als dort die Bevölkerung seinen Bruder Ramiro zum Bischof wählte, in Opposition zu einem von Urraca ernannten Kandidaten.[15] Weiterhin gelang es ihm, einige Ortschaften in Ostkastilien und der Rioja zu halten. Allerdings verlor er bis 1116 die Kontrolle über Burgos wie auch über die Abtei San Benoit von Sahagún wieder an Urraca, die die Unterstützung von Papst Paschalis II. genoss.[16] Alfons konnte dagegen kaum etwas unternehmen, da er seine Kräfte ganz gegen die Mauren von Saragossa richten musste, die seit geraumer Zeit ihren militärischen Druck gegen Aragón erhöht hatten. In dieser Situation ging er gegen Jahresende 1116 einen diplomatischen Ausgleich mit Urraca in Form eines Friedensvertrags ein, indem er die Auflösung seiner Ehe akzeptierte und auf alle Herrscherrechte südlich des Duero einschließlich auf Toledo verzichtete. Im Gegenzug verzichtete Urraca bereitwillig auf die weitere Oberlehnsherrschaft auf Saragossa und gab es damit zur Eroberung frei.[17] Allein auf Burgos und die Rioja erhielt Alfons seinen Anspruch aufrecht, genauso wie auf die imperiale Würde, wenngleich er diese bis zum Jahr 1127 nur noch in vier Urkunden gebrauchte.[18]

    Eroberung von Saragossa
    Nach seinem Sieg bei Valtierra 1110 und dem Tod des letzten muslimischen Taifakönigs von Saragossa hatte Alfons auf einen direkten Zug gegen diese Stadt verzichtet, wovon vor allem die Almoraviden hatten profitieren können; sie hatten die Stadt noch im selben Jahr besetzt. Die Almoraviden waren eine ursprünglich aus Mauretanien stammende Berberdynastie, die in der Mitte des 11. Jahrhunderts ihre Herrschaft über Marokko mit Marrakesch als Hauptstadt ausdehnen konnte. Nachdem König Alfons VI. von León-Kastilien im Jahr 1085 Toledo für die Christenheit erobert hatte, waren die Almoraviden von den Taifakönigen von Al-Andalus zu Hilfe gerufen worden, worauf sie von Afrika nach Spanien übergesetzt waren und dort nacheinander ihreerseits die Taifas ihrem Reich unterwarfen. Saragossa war bis 1110 das letzte Taifa, das sich ihnen widersetzt hatte, bis es schließlich dank der Schlacht von Valtierra als letztes in ihre Hände gefallen war. Die Hauptstoßrichtung der Almoravideen war Toledo, doch auch gegen Aragón erhöhte sich ihr Druck zuletzt, weshalb Alfons 1116 zu seinem Frieden mit seiner Exfrau genötigt war. Im selben Jahr griff der Statthalter von Saragossa, Ibn Tifilwit zuerst das Kloster Rueda an und belagerte anschließend Borja, wo der Erbe der Banu Hud, Imad al-Dawla, als aragónesischer Vasall herrschte. Im Sommer des darauffolgenden Jahres führte Alfons dagegen eine erste Offensive nach Saragossa und belagerte die Stadt. Zwar musste er die Belagerung nach der Ankunft eines Entsatzheeres der Almoraviden abbrechen, doch ging er aus der folgenden Feldschlacht siegreich hervor, in der Ibn Tifilwit getötet wurde.
    Im Frühjahr 1118 konnte Alfons ein großes Heer aufbieten, das neben seinem aragónesischen Aufgebot auch jenes der von ihm auf einem Konzil in Toulouse angeworbenen transpyrenäischen Fürsten aus Frankreich umfasste. Zu Letzteren gehörten der Vizegraf Gaston IV. von Béarn und dessen Bruder, Graf Centulle II. von Bigorre, weiterhin Graf Rotrou III. von Perche, Vizegraf Bernard Aton von Carcassonne sowie die Vizegrafen von Gabarret und Lavedan. Von Papst Gelasius II. wurde der Feldzug nachträglich mit allen Absolutionen eines Kreuzzugs ausgestattet.[19] Im Mai 1118 nahm Alfons erneut die Belagerung von Saragossa auf. Beeinflusst von den Erfahrungen des Vizegrafen von Béarn bei der Eroberung von Jerusalem 1099 auf dem ersten Kreuzzug ließ Alfons dieses Mal Belagerungsmaschinen konstruieren, um die starken Mauern der Stadt überwinden zu können. Dennoch gestaltete sich die Belagerung als so langwierig, dass die Almoraviden erneut ein Entsatzheer von Córdoba heranziehen konnten. Im Oktober oder November besiegte Alfons dieses Heer vor den Mauern der Stadt, worauf die Stadt am 18. Dezember 1118 kapitulierte.[20] Die Eroberung von Saragossa markiert einen bedeutenden Meilenstein in der Geschichte der spanischen Reconquista, wurde doch der nördlichste Eckpfeiler des muslimischen Al-Andalus auf der iberischen Halbinsel eingenommen. Für das kleine Pyrenäenkönigreich Aragón zog es eine beträchtliche territoriale Expansion nach sich, durch die es das Ebrotal sichern und sich als zweite christliche Macht auf der iberischen Halbinsel etablieren konnte. Alfons machte Saragossa sogleich zur neuen Hauptstadt seines Königreichs (regnum Caesaraugustanum) und garantierte der verbliebenen muslimischen Bevölkerung Religionsfreiheit. Zugleich aber ließ er diese in die Vororte umsiedeln, um das befestigte Stadtzentrum nun mit christlichen Siedlern neu zu bevölkern. Die Eroberung rundete er durch die Einnahme von Borja, Tarazona, Soria, Ágreda und schließlich Tudela am 19. Februar 1119 ab.
    Alfons’ Siegeszug nötigte den Almoravidenkönig Ali ibn Yusuf zum zweiten Mal nach 1106 zum Übersetzen nach Spanien, um die Lage vor Ort zu stabilisieren. Er ernannte seinen Bruder Tamim zum neuen Generalstatthalter und betraute ihn mit dem Kampf gegen Alfons. Doch am 17. Juni 1120 errang dieser, unterstützt von Herzog Wilhelm IX. von Aquitanien, in der großen Schlacht von Cutanda einen vollständigen Sieg über das Almoravidenheer, bei dem angeblich 15.000 Mauren getötet oder gefangen ggenommen wurden.[21] In der Folge fielen Alfons auch Calatayud, Daroca und Monreal del Campo in die Hände. Den Maurenkampf führte Alfons in den folgenden Jahren unablässig fort und sicherte die eroberten Gebiete durch den Bau neuer Burgen entlanng des Jalón nach Süden hin. Dies beabsichtigte er auch an der Ostgrenze Aragóns, wo noch die Städte Lleida und Fraga in muslimischer Hand waren. 1123 erbaute er gegenüber der ersteren die Burg Gardeny, um von dieser aus die Belagerung zu leiten. Doch die Einnahme Lleidas scheiterte letztendlich nicht zuletzt wegen der Intervention des Grafen Raimund Berengar III. von Barcelona, der ebenfalls diese Stadt beanspruchte. Im Juli 1124 kehrte Alfons in die Rioja zurück und belagerte dort Haro, eine Burg des Diego López, Herr von Vizcaya, der einst zu Urraca gehalten hatte. Anschließend versicherte er sich seiner Herrschaft in Burgos und Nájera.
    Im September 1125 begann Alfons einen Heerzug bis weit in das maurische Andalusien hinein. An Valencia und Murcia vorbeiziehend konnte er als erster christlicher Feldherr seit der maurischen Invasion 711 überhaupt Granada erreichen. Dabei schlossen sich ihm ganze mozarabische Völkerschaften an, die sich in den Bergen der Alpujarras drei Jahrhunderte lang gegenüber der muslimischen Herrschaft hatten behaupten können. Die Stadt selbst konnte er allerdings nicht belagern, da der almoraviddische Statthalter Tamim sie rechtzeitig in Verteidigungsbereitschaft gesetzt hatte. Alfons zog deshalb nach Córdoba weiter, von Tamim und dessen Heer in sicherem Abstand verfolgt. Am 10. März 1126 unternahmen die Almoraviden auf das auf dem Feld von Arnisol bei Lucena lagernde aragónesische Heer einen Überraschungsangriff, dem Alfons standhalten und die Schlacht am Ende für sich entscheiden konnte.[22] Danach trat er den Heimmarsch nach Aragón an.

    Späte Jahre
    Während Alfons’ Abwesenheit auf dem Feldzug nach Andalusien war Königin Urraca gestorben und deren junger Sohn Alfons VII. (Alfonso Raimúndez) hatte die Alleinherrschaft über León-Kastilien übernommen. Alfons stand zu seinem Stiefsohn in einem feindseligen Verhältnis, war er ihm gegenüber doch während seiner Ehe mit Urraca als Bedrohung seiner Erbrechte aufgetreten. Und sogleich nach der Thronübernahme suchte Alfons VII. die von Aragón besetzten Gebiete in Altkastilien und der Rioja zurückzuerobern. Dabei erhielt er die Unterstützung der lokalen Bevölkerung, die der aragónesischen Besatzung überdrüssig geworden war. Im Herbst 1126 erhoben sich die Bürger von Burgos, vertrieben die Aragónesen aus der Stadtburg und übergaben diese an Alfons VII.[23] Im Juli 1127 marschierte Alfonso deshalb erneut nach Rioja, um Nájera und Castrojeriz zu befestigen. Sofort zog ihm Alfons VII. mit seiner gesamten Heeresmacht entgegen und stellte ihn im Tal von Támara bei Hornillos de CaCameros. Zur Schlacht kam es allerdings nicht, da insbesondere unter den kastilischen Vasallen Alfons’ VII. keine Bereitschaft zum Kampf aufkam. Ihr Wortführer war ausgerechnet Pedro González de Lara, der ebenso von Alfons VII. gehasste Liebhaber seiner Mutter.[24] Stattdessen legten die Könige von León und Aragón ihre Differenzen in einem Friedensvertrag bei, der nicht im Detail überliefert ist.[25] Wahrscheinlich aber beinhaltete er den Verzicht des Königs von Aragón auf Burgos und den Imperatorentitel bei gleichzeitiger Anerkennung des Gewinns von Saragossa. Tatsächlich ließ Alfons sich seither nicht mehr als Imperator titulieren; diese Würde wurde nun allein von Alfons VII. beansprucht. Alfons war nicht zuletzt auch deshalb zum Frieden genötigt, weil zugleich der Graf von Barcelona das aragónesische Monzón eroberte.
    Eine dynastische Allianz zwischen León und Barcelona bedrohte fortan Aragón von zwei Fronten aus, weshalb Alfons ungeachtet des Friedens von Támara im Frühjahr 1129 erneut in Kastilien einfiel und Medina-Sidonia und Morón belagerte. Als jedoch Alfons VII. gegen ihn heranzog, ging er einer Schlacht aus dem Weg und zog sich nach Almazán zurück.[26] Anschließend kehrte er kampflos nach Aragón zurück, ohne dass er je wieder einen Feldzug nach Kastilien unternehmen sollte.[27] Seither befand sich Alfons faktisch mit all seinen Nachbarn im Krieg, im Westen mit León, im Osten mit Barcelona, im Süden mit den Almoraviden und im Norden mit Toulouse. Im Mai 1129 zog er gegen die Almoraviden und begann mit der Belagerung von Valencia. Ein zahlenmäßig weit überlegenes Entsatzheer des Statthalters von Sevilla schlug er in der Schlacht von Cullera vernichtend, doch musste er dabei selbst hohe Verluste hinnehmen und deshalb die Belagerung abbrechen. Dennoch schwächte dieser Sieg die Offensivkraft der Almoraviden für die nächste Zeit erheblich, so dass sich Alfons 1130 einem anderen Gegner zuwenden konnte. Er zog über die Pyrenäen in die Gascogne, um dort Bayonne zu belagern. Dieser Angriff galt dem Grafen Alfons Jordan voon Toulouse, der ein Vetter und Verbündeter von Alfons VII. von León war. Fast ein ganzes Jahr lang belagerte Alfons Bayonne, ohne die Stadt einnehmen zu können.[28] Und während seine Kräfte vor Bayonne gebunden waren, nutzte Alfons VII. von León dies im Oktober 1131 zur Eroberung von Castrojeriz, Almazán und Soria, was für Aragón faktisch den Verlust der Rioja bedeutete.[29]

    Tod und Nachfolge
    Um diese Niederlagen auszugleichen, nahm Alfons den Kampf mit Raimund Berengar III. von Barcelona auf und eroberte die Burg von Monzón zurück. Den Zwist der Christenherrscher untereinander nutzte der almoravidische Statthalter von Valencia zu einer Offensive gegen Aragón und tötete dabei den alten Kreuzzugsveteran Gaston IV. von Béarn. Die neue maurische Bedrohung veranlasste Alfons zur einstweiligen Beilegung seines Streits mit León-Kastilien, um die Planungen zu einem Gegenstoß anzugehen. Erneut zog er ein großes Heer mit Verstärkungen aus Südfrankreich zusammen, mit dem er im Winter 1133 Mequinenza eroberte. Anschließend schritt er an die Belagerung des stark befestigten Fraga, das einen bedeutenden Außenposten an der Ostgrenze Aragóns darstellte. Einmal mehr boten die Almoraviden ihre in al-Andalus zur Verfügung stehenden Streitkräfte auf, um ihre Festung zu entsetzen. Dem konnte Alfons am 17. Juli 1134 in der großen Schlacht von Fraga dieses Mal nichts entgegensetzen; sein Heer wurde von der erdrückenden Übermacht überwältigt und aufgerieben, die Bischöfe von Lescar, Roda-Barbastro und Jaca, sowie andere hohe Prälaten und Adlige wurden getötet.[30] Alfons selbst gelang mit wenigen Rittern die Flucht vom Schlachtfeld, aber offenbar wegen seiner schweren Verwundungen, der Chronica Adefonsi imperatoris nach an gebrochenem Herzen, starb er bereits am 7. September 1134 im Alter von 61 Jahren in der Abtei San Juan de la Peña.[31] Er wurde in der Abtei Jesús Nazareno der Mönchsburg Montearagón bestattet. 1845 wurde sein Leichnam in die Kirche San Pedro el Viejo in Huesca überführt.
    Im Feldlager vor Bayonne hatte Alfons im Oktober 1131 sein Testament verfasst, dessen Inhalt er kurz vor seinem Tod am 4. September 1134 in Sariñena noch einmal bestätigte.[32] In Ermangelung eines Thronerben vermachte er darin sein Königreich den Orden der Templer, Hospitaliter und den Rittern vom Heiligen Grab. Diese Regelung erwies sich allerdings unter seinen aragónesischen und navarresischen Vasallen als nicht annehmbar, die unabhängig voneinander auf ihre Art die Nachfolge regelten. Die Aragónesen holten Ramiro, der noch im August desselben Jahres zum Bischof von Roda-Barbastro gewählt worden war, aus seinem Kloster und proklamierten ihn zum König. Die Navarresen erhoben García Ramírez, einen entfernten Vetter aus dem Haus Jiménez, zu ihrem König. Die seit 1076 bestehende Personalunion zwischen Aragón und Navarra wurde damit aufgehoben und zugleich die historische Union zwischen Aragón und Katalonien eingeleitet. Denn der Mönchskönig Ramiro II. regierte nur soolange, bis ihm aus einer schnell arrangierten Ehe die Tochter Petronella von Aragón geboren wurde, die sogleich mit dem katalanischen Grafen Raimund Berengar IV. von Barcelona verheiratet wurde, der dann die Regentschaft auch in Aragón übernahm. Die Ritterorden wie auch der Heilige Stuhl zu Rom billigten die Übergehung von Alfons’ letztem Willen nachträglich.


    Literatur
    • Antonio Ubieto Arteta: Historia de Aragon. Creación y desarrollo de la corona de Aragón. Zaragoza, 1987.
    • Alberto Cañada Juste: La Batalla de Cutanda (1120). In: Xiloca. Vol. 20 (1997), S. 37–47.
    • Ambrósio Huici y Miranda: Los Banu Hud de Zaragoza, Alfonso I el Batallador y los Almoravides de Espana (Nuevas aportacionas). In: Estudios de la edad media de la Corona de Aragon. Vol. 7 (1962), S. 7–38.
    • Ramón Menéndez Pidal: Sobre un tratado de paz entre Alfonso el Batallador y Alfonso VII. In: Boletín de la Real Academia de la Historia. Vol. 111 (1943), S. 115–131.
    • José María Lacarra de Miguel: Alfonso el Batallador y las paces de Tamara. Cuestiones cronológicas (1124-1127). In: Estudios dedicados a Aragón (1987), S. 149–161.
    • José María Lacarra de Miguel: La Conquista de Zaragoza por Alfonso I (18 diciembre 1118). In: Al-Andalus. Vol. 12 (1947), S. 65–96.
    • José María Lacarra de Miguel: La repoblación de Zaragoza por Alfonso el Batallador. Madrid, 1949.
    • José María Lacarra de Miguel: Los franceses en la reconquista y repoblación del valle del Ebro en tiempos de Alfonso el Batallador. In: Colonización, parias, repoblación y otros estudios. (1981), S. 150–168.
    • José María Lacarra de Miguel: Vida de Alfonso el Batallador. Zaragoza, 1971.
    • José Angel Lema Pueyo: Colección diplomática de Alfonso I. de Aragón y Pamplona, 1104–1134. San Sebastián, 1990.
    • José Angel Lema Pueyo: Instituciones políticas del reinado de Alfonso I el Batallador: rey de Aragon y Pamplona (1104-1134). Bilbao, 1997.
    • Elena Lourie: The Will of Alfonso I, "El Batallador," King of Aragon and Navarre: A Reassessment, in: Speculum 50 (1975), S. 635–651.
    • Bernard F. Reilly: The Kingdom of León-Castilla under Queen Urraca 1109-1126. Princeton University Press, 1982 (online).
    • Bernard F. Reilly: The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI 1065-1109. Princeton University Press, 1988 (online).
    • Bernard F. Reilly: The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VII, 1126-1157. University of Pennsylvania Press, 1998.
    Anmerkungen
    1 Antonio Ubieto Arteta: Colección diplomática de Pedro I de Aragón y Navarra. (1951), S. 25–29.
    2 Vgl. Reilly (1982), §2, S. 58.
    3 Las crónicas anónimas de Sahagún, hrsg. von Julio Puyol y Alonso in: Boletín de la Real Academia de la Historia. Vol. 76 (1920), §17, S. 122.
    4 Vgl. Lema Pueyo (1997), S. 40–44.
    5 Las crónicas anónimas de Sahagún, hrsg. von Julio Puyol y Alonso in: Boletín de la Real Academia de la Historia. Vol. 76 (1920), §18, S. 242–244.
    6 Las crónicas anónimas de Sahagún, hrsg. von Julio Puyol y Alonso in: Boletín de la Real Academia de la Historia. Vol. 76 (1920), §20, S. 246.
    7 Historia Compostelana, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 20 (1765), S. 116.
    8 Extraits arabe. Ibn el-Athir, in: Recueil des historiens des croisades (1872), Historiens Orientaux I, S. 414.
    9 Vgl. Lacarra (1971), S. 32, Lourie (1975), S. 639, und Reilly (1982), §2, S. 59–60.
    10 Annales toledanos I, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 23 (1767), S. 387. Annales Complutenses, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 23 (1767), S. 314.
    11 Historia Compostelana, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 20 (1765), S. 114–121.
    12 Historia Compostelana, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 20 (1765), S. 128–130.
    13 Charles Julian Bishko: The Spanish Journey of Abbot Ponce of Cluny. In: Ricerche di storia religiosa. Studi in onore di Giorgio La Piaña. Bd. 1 (1957), S. 311–319.
    14 Historia Compostelana, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 20 (1765), S. 157–169. Ibn al-Karadabus, Historia de al-Andalus, hrsg. von Felipe Maíllo Salgado in: Akal Bolsillo 169 (1986), S. 140–141.
    15 Paschalis II, Gelasii II, Calixti II romanorum pontificum epistolæ et privilegia, hrsg. von Jacques Paul Migne in: Patrologiae cursus completus. Series Latina. Bd. 163, Sp. 380.
    16 Las crónicas anónimas de Sahagún, hrsg. von Julio Puyol y Alonso in: Boletín de la Real Academia de la Historia. Vol. 76 (1920), §67, S. 518–519 und Vol. 77 (1921), §70–71, S. 53–59.
    17 Vgl. Reilly (1982), §5, S. 180.
    18 Vgl. Lema Peuyo (1990), S. 341–343, 331–332, 328–329 und 318–320.
    19 Zur Bestätigung der nachträglichen Kreuzzugsabsolution siehe den Brief des Papstes vom Dezember 1118 an den Bischof von Saragossa. Paschalis II, Gelasii II, Calixti II romanorum pontificum epistolæ et privilegia, hrsg. von Jacques Paul Mige in, Patrologiae cursus completus. Series Latina. Bd. 163, Sp. 508.
    20 Ibn al-Karadabus, Historia de al-Andalus, hrsg. von Felipe Maíllo Salgado in: Akal Bolsillo 169 (1986), S. 117–118. Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, hrsg. von Paul Marchegay, Émile Mabille in: Chroniques des églises d’Anjou (1869), S.27–428. Vgl. Huici y Miranda (1962), S. 7–38.
    21 Annales Complutenses, hrsg. von Enríque Flórez in: España Sagrada. Bd. 23 (1767), S. 320. Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, hrsg. von Paul Marchegay, Émile Mabille in: Chroniques des églises d’Anjou (1869), S. 428. Historia de la Coroa de Aragón: Crónica de San Juan de la Peña: Part aragonesa, hrsg. von T. Ximénez de Embún y Val (1876), §19, S. 68.
    22 Historia de la Corona de Aragón: Crónica de San Juan de la Peña: Part aragonesa, hrsg. von T. Ximénez de Embún y Val (1876), §19, S. 76–77.
    23 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §7–8, S. 56–57.
    24 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §9, S. 57.
    25 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §10–11, S. 57–58.
    26 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §13–14, S. 59–60.
    27 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §15–17, S. 60–62.
    28 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §50, S. 78–79.
    29 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §24, S. 66.
    30 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §51–57, S. 79–82.
    31 Chronica Adefonsi imperatoris, hrsg. von Glenn Edward Lipskey in: The Chronicle of Alfonso the Emperor. (1972), Buch I, §58, S. 83. Historia de la Corona de Aragón: Crónica de San Juan de la Peña: Part aragonesa, hrsg. von T. Ximénez de Embn y Val (1876), §19, S. 78. Vgl. Ubieto Arteta (1987), S. 79 und Reilly (1998), S. 43.
    32 Vgl. Lema Pueyo (1990), S. 356–370 und 446–448.
    Weblinks
    Commons: Alfons I. – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Literatur von und über Alfons I. im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek

    Name:
    Alfons I. soll auch "Anfortas" sein, der König in der Gralslegende und Hüter des Grals.
    Seine Sterbe und Grabbesstätte, die Abtei San Juan de la Peña (San Chuan d’a Peña), ist auch historischer Ausgangspunkt der Gralsgeschichte. (ms)

    Gestorben:
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kloster_San_Juan_de_la_Peña

    Alfons heiratete Königin Urraca Alfónsez von León in 1109, und geschieden in 1112. Urraca (Tochter von König Alfons VI. von León (von Kastilien) und Konstanze von Burgund (Kapetinger)) wurde geboren in cir 1080; gestorben am 8 Mrz 1126 in Saldaña, Provinz Palencia; wurde beigesetzt in Abtei San Isidoro in León. [Familienblatt] [Familientafel]


  14. 21.  König Ramiro II. von Aragón (Jiménez), der Mönch König Ramiro II. von Aragón (Jiménez), der Mönch Graphische Anzeige der Nachkommen (7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1075; gestorben am 16 Aug 1157 in Huesca; wurde beigesetzt in Kloster in Huesca.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1134-1157, Königreich Aragón; König von Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Aragón

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Ramiro_II._(Aragón)

    Ramiro II. der Mönch (spanisch Ramiro el Monje, aragonesisch Remiro o Monche; * um 1075; † 16. August 1157 in Huesca)[1] war ein Infant von Aragón aus dem Haus Jiménez, der als jüngerer Sohn zunächst Geistlicher, Bischofselekt aber nach dem Tod seiner Brüder von 1134 bis 1137 (1157) der letzte König von Aragón seines Hauses war.[2]

    Mönch
    Ramiro war der jüngste Sohn des Königs Sancho Ramírez von Aragón-Navarra († 1094) aus dessen zweiter Ehe mit Felicia von Roucy; seine älteren Brüder waren die Könige Peter I. († 1104) und Alfons I. der Krieger († 1134). Offenbar schon von seinen Eltern für eine klerikale Laufbahn vorgesehen, hatte er seine frühen Jahre als Mönch in der südfranzösischen Abtei Saint-Pons-de-Thomières verbracht.[3]
    Im Ehekrieg seines Bruders Alfons I. gegen Königin Urraca von León-Kastilien war Ramiro 1112 als Abt in der königlich-leónesischen Abtei von Sahagún eingesetzt worden, nachdem sich Alfons gewaltsam gegen den Widerstand der Mönche und Bürger in die Kontrolle über sie gesetzt und den zu Urraca haltenden Abt Domingo vertrieben hatte. Von dem anonymen Chronisten der Abtei und Aragónesengegner war Ramiro deshalb als „falscher und böser Mönch“ (falso e mal monje) bezeichnet wurden.[4] Nachdem Urraca 1116 Sahagún wieder unter ihre Kontrolle bringen konnte, musste Ramiro ihr und dem zurückkehrenden Domingo weichen. Ähnlich hatte es sich auch bezüglich der Besetzung des Bischofstuhls von Burgos nach dem Tod des Bischofs García im Oktober 1114 zugetragen. Der für die Bischofswahlen autorisierte Primat der spanischen Kirche, Erzbischof Bernardo von Toledo, hatte noch im selben Monat auf einem Konzil in León im Konsens mit Königin Urraca den bisherigen Erzdiakon von Burgos, Pascual, zum neuen Bischof gewählt. Dies wiederum hatte Alfons nicht akzeptiert, der in der Kontrolle über Burgos stand, und stattdessen Ramiro von dem Domklerikern und Bürgern der Stadt wählen lassen. Nach einem schriftlichen Protest des Erzbischohofs hatte darauf Papst Paschalis II. beide Konfliktparteien zu einem Schiedsgespräch nach Rom zu Ostern 1116 bestellt.[5] Obwohl dieses ausgeblieben war, weil beide Parteien auf eine Romreise verzichtet hatten, hatte sich spätestens 1117 Pascual als amtierender Bischof in Burgos durchsetzen können, als er dort in jenem Jahr an einem allgemeinen Kirchenkonzil teilnehmen konnte. Nach seinem Tod im Oktober 1118 hatte Alfons, der gerade Saragossa belagerte, keine Einwände gegen die Wahl eines neuen Bischofs erhoben.[6] Von einem Amtsanspruch Ramiros war seither keine Rede mehr.

    König von Aragó
    Ramiro hatte danach die Jahre wieder als Mönch in der Abtei San Pedro el Viejo in Huesca verbracht, bis er im August 1134 zum Bischof von Roda-Barbastro gewählt wurde, um den in der Schlacht von Fraga gefallenen bisherigen Bischof zu ersetzen. Nur kurz darauf war am 7. September auch König Alfons I. gestorben, der keinen Erben besaß und deshalb sein Königreich testamentarisch an die Orden der Templer, Hospitaliter und den Rittern vom Heiligen Grab vermacht hatte. Weder der navarresischhe noch der aragónesische Adel war gewillt, diese Erbregelung zu akzeptieren. Nach zwei voneinander separierten Wahlgängen hatten die Großen beider Länder je einen eigenen Prätendenten zu ihrem König proklamiert und damit die seit 1076 bestehende Union zwischen beiden Königreichen aufgelöst. Während die Navarresen mit García IV. Ramírez einen illegitimen Abkömmling der Jiménez-Dynastie wählten, hatten die Aragónesen den Mönch Ramiro als den letzten legitim geborenen Angehörigen des aragónesischen Zweigs der Dynastie gewählt.[7] Obwohl dieser bereits geistliche Weihen empfangen hatte, war dieser Vorgang in aller Eile und ohne Rückfrage mit dem Papst, dessen Dispens nach kanonischem Recht erforderlich gewesen wäre, vonstattengegangen. Der seit dem 13. Jahrhundert vielzitierten, aber als legendenhaft einzustufenden Erzählung nach habe es unter den Aragónesen auch Widerstand gegen die Thronerhebung eines Mönches gegeben. Als Ramiro davon erfuhr, habe er das Gerücht verbbreiten lassen, in Huesca eine Glocke (Campana de Huesca) gießen zu wollen, deren Klang durch das ganze Königreich schallen werde. Nachdem die Großen daran Anteil haben wollten und in Huesca eingetroffen waren, habe Ramiro nacheinander jene zwölf ihm widerstrebenden Adligen zu Privataudienzen zu sich rufen lassen, um sie in seinem Gemach eigenhändig zu enthaupten. Nachdem er elf der Köpfe zu einem Kreis angeordnet hatte, hatte er den Kopf des Anführers der Rebellen als Glockenklöppel mittig über dem Kreis aufhängen lassen. Und nachdem die anderen Adligen dieses Exempels ansichtig geworden waren, sei jeder weitere Widerstand verstummt.[8][9]
    Gleich nach seiner Wahl hatte Ramiro sich im Frühjahr 1135 mit García IV. von Navarra bei Vadoluongo getroffen, um dort die Trennung von Navarra und Aragón formal anzuerkennen. Dabei hatte sich jedoch der neue navarresische König als „Sohn“ in ein Adoptionsverhältnis zu Ramiro als seinem „Vater“ begeben und diesem einen Führungsanspruch zugestanden. Zugleich schien Ramiro damit auch eine Erbregelung angestrebt zu haben, die in absehbarer Zeit wieder zu einer Vereinigung Aragóns mit Navarra geführt hätte. Dieses Ansinnen war allerdings von García schnell wieder zunichtegemacht worden, als dieser noch im selben Jahr gegenüber König Alfons VII. von León-Kastilien als seinem Oberherren huldigte. Im Spätjahr 1135 war der leónesiscche König, der sich zuvor zum „Kaiser von ganz Spanien“ hat krönen lassen, unter Begrüßung des Bischofs und der Stadtoberen in Saragossa eingezogen, was Ramiro hinnehmen musste.[10] Als muslimisches Taifa-Königreich war Saragossa einst ein Vasalll von León-Kastilien gewesen, bis es 1118 von Alfons I. für Aragón erobert worden war. Und eben dessen Stiefsohn Alfons VII. forderte nun die Rückkehr des „Königreichs Saragossa“ (regnum Cesaraugustanum) unter die Lehnshoheit seines Reiches ein. Dazu hatte er Vorbereitungen zur Belehnung des ihm scheinbar treuen Königs von Navarra mit Saragossa in die Wege geleitet. Ramiro hatte von Jaca aus dem tatenlos zusehen müssen und hatte um dieselbe Zeit sich mit Agnes (Inés) verheiratet, einener Tochter des Herzogs Wilhelm IX. von Aquitanien. Indes im Sommer 1136 hatte sich die Lage erneut geändert, als García von Navarra sich gegen den „Kaiser“ erhob. Dieser hatte nun die Annäherung an Ramiro gesucht und ihm dazu Saragossa als Lehen zurückerstattet, womit die Eroberungen der ersten Könige Aragóns für das Königreich bewahrt werden konnten.
    Im Juli 1136 hatte Agnes die Tochter Petronella geboren, die Ramiro sogleich zu seiner Erbin bestimmte und ihre Verheiratung plante. Im Konsens mit den aragónesischen Großen hatte Ramiro am 11. August 1137 in Barbastro seine Tochter mit dem mächtigen katalanischen Grafen Raimund Berengar IV. von Barcelona verlobt, womit der Erbfall Aragóns an das Haus Barcelona und damit die historische Vereinigung mit Katalonien zur „Krone Aragón“ eingeleitet wurde. Nur wenige Monate darauf, am 13. September 1137, hatte Ramiro in Saragossa die Regierungsgewalt über Aragón an seinen Schwiegersohn übertragen und sich wieder in das Kloster San Pedro el Viejo in Huesca zurückgezogen, um wieder dem Leben eines Mönchs nachzugehen. Die Ehe mit Agnes hatte offenbar schon kurz nach der Geburt von Petronella faktisch keinen Bestand mehr gehabt; sie wird in einer Urkunde vom Oktober 1136 letztmals in Aragón genannt. Sie taucht erst fünf Jahre später als Nonne in der Abtei Fontevrault wieder auf, wo sie um 1159 gestorben war. Ramiro selbst ist am 16. August 1157 in seinem Kloster in Huesca gestorben, wo er auch bestattet wurde. Den Königstitel hatte er noch bis zu seinem Tod weitergeführt.



    Literatur
    • Thomas N. Bisson: The Medieval Crown of Aragon: A Short History. Clarendon Press, Oxford 2000
    • Ana Isabel Lapena Paúl: Ramiro II de Aragón. El rey monje (1134-1137). Trea, Gijón 2008
    • Antonio Ubieto Arteta: La fecha de la muerte de Ramiro II de Aragón. In: Estudios de Edad Media de la Corona de Aragón. Band 3, 1947/48, S. 474–475.
    • Antonio Ubieto Arteta: Navarra-Aragón y la idea imperial de Alfonso VII de Castilla. In: Estudios de Edad Media de la Corona de Aragón. Band 6, 1953/55, S. 41–82.
    • Antonio Ubieto Arteta: Los esponsales de la reina Petronilla y la creación de la Corona de Aragón. Zaragoza, 1987.
    • Josep Serrano Daura: La donación de Ramiro II de Aragón a Ramón Berenguer IV de Barcelona, de 1137, y la institución del „casamiento en casa“. In: Hidalguía. Band 270, 1998, S. 709–719.
    • Elena Lourie: The Will of Alfonso I, "El Batallador," King of Aragon and Navarre: A Reassessment, in: Speculum 50, 1975, S. 635–651.
    • Szabolcs de Vajay: Ramire II le Moine, roi d’Aragon, et Agnès de Poitou dans l’histoire et dans la legend. In: Mélanges offerts à René Crozet. Band 2, 1966, S. 727–750.
    • Bernard F. Reilly: The Kingdom of León-Castilla under Queen Urraca 1109-1126. Princeton University Press, 1982 (online).
    Anmerkungen[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
    1 Zum Sterbedatum vgl. Ubieto Artea (1947/48), S. 475.
    2 Charles Cawley, Medieval lands [1]
    3 T. Ximénez de Embún y Val (Hrsg.): Historia de la Corona de Aragón: Crónica de San Juan de la Peña: Part aragonesa. 1876, §20, S. 80.
    4 Julio Puyol y Alonso (Hrsg.): Las crónicas anónimas de Sahagún. In: Boletín de la Real Academia de la Historia. Band 76, 1920, §27, S. 339–343.
    5 Jacques Paul Migne (Hrsg.): Paschalis II papæ epistolæ et privilegia. In: Patrologiae cursus completus. Series Latina. Band 163, Sp. 380.
    6 Vgl. Reilly (1982), §8, S. 232–235.
    7 Glenn Edward Lipskey (Hrsg.): Chronica Adefonsi imperatoris. In: The Chronicle of Alfonso the Emperor. 1972, Buch I, §62, S. 84–85 (online).
    8 T. Ximénez de Embún y Val (Hrsg.): Historia de la Corona de Aragón: Crónica de San Juan de la Peña: Part aragonesa. 1876, §20, S. 86–87.
    9 Eine kurze Notiz in den Annales Toledanos bestätigt für das Jahr 1136 (Era MCLXXIV) den gewaltsamen Tod mehrerer „mächtiger Männer“ in Huesca, allerdings bleiben die genauen Umstände dieses Ereignisses im unklaren. Enríque Flórez (Hrsg.): Annles Toledanos I. In: España Sagrada. Band 23, 1767, S. 388.
    10 Glenn Edward Lipskey (Hrsg.): Chronica Adefonsi imperatoris. In: The Chronicle of Alfonso the Emperor. 1972, Buch I, §63-66, S. 85–87.
    Weblinks
    Commons: Ramiro II. – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Eintrag auf Medieval Lands

    Name:
    Als Mönch zum König erhoben, gab er die Regentschaft 1137 an seinen Schwiegersohn Raimund Berengar ab und zog sich wieder zurück. Den Königstitel führte er bis zu seinem Tod.

    Familie/Ehepartner: Agnes (Inés) von Aquitanien. Agnes (Tochter von Herzog Wilhelm VII. (IX.) Aquitanien Aquitanien (von Poitou) und Gräfin Philippa von Toulouse (Raimundiner)) gestorben in cir 1159 in Abbaye Fontevrault; wurde beigesetzt in Abbaye Fontevrault. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 37. Petronella von Aragón (Jiménez)  Graphische Anzeige der Nachkommen


Generation: 4

  1. 22.  Graf Walter II. von BrienneGraf Walter II. von Brienne Graphische Anzeige der Nachkommen (8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in cir 1161.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1125-1161, Grafschaft Brienne; Graf von Brienne https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Brienne

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 38. Graf Érard II. (Erhard) von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

  2. 23.  Herrin Félicité von BrienneHerrin Félicité von Brienne Graphische Anzeige der Nachkommen (8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in 1178.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrin von Ramerupt
    • Titel (genauer): Lady of Ramerupt
    • Titel (genauer): Dame de Ramerupt

    Familie/Ehepartner: S.I. de Broyes. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 39. Herr Hugues III. de Broyes  Graphische Anzeige der Nachkommen

    Familie/Ehepartner: Herr Geoffroy III. (Gottfried) von Joinville. Geoffroy (Sohn von Herr Roger von Joinville und Adélaïde von Vignory) gestorben in 1188. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 40. Herr Gottfried IV. von Joinville  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in Aug 1190 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.
    2. 41. Gertrude von Joinville  Graphische Anzeige der Nachkommen

  3. 24.  Ada von Roucy (Montdidier)Ada von Roucy (Montdidier) Graphische Anzeige der Nachkommen (9.Hugo3, 3.Ebles2, 1.Alix1)

    Familie/Ehepartner: Walter II. (Gaucher) von Châtillon. Walter (Sohn von Herr Heinrich (Henri) von Châtillon und Irmgard von Montjay) gestorben in 1148. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 42. Guido II. (Guy) von Châtillon-Saint Pol  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1170/1172.

  4. 25.  Graf Rotrou IV. von Le PercheGraf Rotrou IV. von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (10.Rotrou3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben am 27 Jul 1191.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1144 bis 1191, Grafschaft Le Perche; Graf von Le Perche (Haus Châteaudun)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Rotrou_IV._(Perche)

    Rotrou IV. († 27. Juli 1191 vor Akkon) war Graf von Le Perche.

    Seine Eltern waren Graf Rotrou III. der Große und Hawise von Salisbury.

    Nach dem Tod seines Vaters 1144 übernahm während Rotrous Unmündigkeit der zweite Ehemann seiner Mutter, Graf Robert I. von Dreux, die Regentschaft in der Grafschaft Le Perche. Mit der Unterstützung seines Stiefvaters führte Rotrou eine Fehde gegen seinen Nachbarn, Graf Wilhelm III. Talvas von Alençon, was zu gegenseitigen Verwüstungen ihrer Ländereien führte. 1172 unterstützte er den jüngeren Heinrich gegen Heinrich II. Plantagenet und 1183 gegen Richard Löwenherz. Dadurch verlor er aber die Burgen von Moulins-la-Marche und Bonsmoulins an Heinrich II. Plantagenet.

    Zusammen mit seinem ältesten Sohn schloss er sich König Philipp II. von Frankreich zum Dritten Kreuzzug an, auf dem er bei der Belagerung von Akkon starb.

    Ehe
    Rotrou war verheiratet mit Mathilde von Blois († 1184), einer Tochter des Grafen Theobald II. von Champagne.

    Titel (genauer):
    Nach dem Tod seines Vaters 1144 übernahm während Rotrous Unmündigkeit der zweite Ehemann seiner Mutter, Graf Robert I. von Dreux, die Regentschaft in der Grafschaft Le Perche.



    Le Perche ist eine historische Grafschaft im Norden Frankreichs, deren Name aber auch heute noch als Landschaftsbezeichnung in Gebrauch ist.
    Bereits in karolingischer Zeit war im Perche eine Grafschaft (comté) eingerichtet worden. In der Mitte des 10. Jahrhunderts war das Land allerdings zwischen dem Grafen Theobald dem Betrüger von Blois und dem Normannenherzog Richard Ohnefurcht (reg. 942–996) hart umkämpft. In der Folge wurde es politisch zweigeteilt. Der westliche Teil, wo sich die Herren von Bellême etablierten, blieb unter normannischem Einfluss; der östliche Teil um Nogent-le-Rotrou aber blieb unter der Kontrolle des Grafen Theobald dem Betrüger.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Le_Perche

    Rotrou heiratete Mathilde von Champagne (Blois) in Datum unbekannt. Mathilde (Tochter von Graf Theobald II. (IV.) (Diebold) von Champagne (Blois) und Gräfin Mathilde von Spanheim (von Kärnten)) gestorben in 1184. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 43. Graf Gottfried (Geoffrey) III. von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1202 in Soissons, Frankreich.

  5. 26.  Graf Roger von Beaumont, 2. Earl of Warwick Graf Roger von Beaumont, 2. Earl of Warwick Graphische Anzeige der Nachkommen (11.Marguerite3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in 1102; gestorben am 12 Jun 1153.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Warwickshire; 2. Earl of Warwick - Erste Verleihung -

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Roger_de_Beaumont,_2._Earl_of_Warwick

    Roger de Beaumont, 2. Earl of Warwick (* 1102; † 12. Juni 1153) war der älteste Sohn von Henry de Beaumont, 1. Earl of Warwick, und Marguerite, Tochter von Geoffrey II. von Perche und Beatrix von Montdidier. Er ist auch als Roger de Newburg bekannt.

    Er erbte 1119 von seinem Vater den Titel Earl of Warwick und den Großteil von dessen anderen englischen Gütern. 1138 überließ er seinem jüngeren Bruder Henry de Neubourg die Herrschaft Gower in Wales.[1] Roger wird im Allgemeinen als ein gläubiger und frommer Mann erachtet. Eine Chronik aus dieser Periode, die Gesta Regis Stephani, spricht von ihm als einen Mann sanften Gemüts (engl. man of gentle disposition). Die Borough Warwick gedenkt seiner als Gründer des Hospital of S. Michael für Leprakranke, welches er mit dem Zehnten von Wedgnock und anderen Besitz ausstattete. Ferner unterstützte er das Templerhaus jenseits der Brücke. In der Regierungszeit von König Stephan errichtete er eine Priory bei Llangennilth, Glamorgan, die dem Heiligen Kenned gewidmet war, und der Abtei St. Taurin in Évreux in der Normandie unterstand.

    Name:
    Er ist auch als Roger de Newburg bekannt.

    Titel (genauer):
    Earl of Warwick ist ein erblicher britischer Adelstitel, der viermal verliehen wurde und einen der angesehensten Titel Großbritanniens darstellt.
    Erste Verleihung (1088)
    Die Earlswürde wurde in der zweiten Jahreshälfte 1088 in der Peerage of England für Henry de Beaumont errichtet, den jüngeren Sohn von Roger de Beaumont und Bruder von Robert de Beaumont, 1. Earl of Leicester. Der Titel und das dazugehörige Lehen war auch in weiblicher Linie erblich. Die Earlswürde war traditionell mit Warwick Castle verbunden, und, als der 11. Earl die unveräußerliche Vererblichkeit der Burg auf seine männlichen Nachkommen beschränkte, beabsichtigte er damit vermutlich das Gleiche mit der Earlswürde selbst. Der 14. Earl wurde am 14. April 1445 zum Duke of Warwick erhoben. Da er keine Söhne hatte, erlosch das Dukedom bereits bei seinem Tod am 11. Juni 1446, das Earldom fiel hingegen an seine Tochter Anne Beauchamp als 15. Countess. Edward of York, 17. Earl of Warwick wurde 1499 wegen Hochverrates hingerichtet und ihm sein Titel durch Parlamentsbeschluss (Bill of Attainder) im Januar 1504 formell aberkannt.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Warwick
    https://de.wikipedia.org/wiki/Warwickshire

    Roger heiratete Gundred (Gundrada) de Warenne in 1130. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 44. Waleran (Valéran) von Beaumont, 4. Earl of Warwick  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in cir 24 Dez 1203.
    2. 45. Gundred von Beaumont  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1135; gestorben in 1206/1208.

  6. 27.  Königin Margarete von Navarra (de l’Aigle)Königin Margarete von Navarra (de l’Aigle) Graphische Anzeige der Nachkommen (12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in 1104; gestorben am 25 Mai 1141; wurde beigesetzt in Cathédrale Santa Maria, Pamplona, Spanien.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1130, Navarra; Königin von Navarra (durch Heirat)

    Notizen:

    Zitat aus: https://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_de_l%27Aigle

    Marguerite de l'Aigle, née en 1104, morte le 25 mai 1141. Elle devint reine de Navarre par son mariage en 1130.

    Biographie
    Elle est la fille de Gilbert de l'Aigle et de Juliette du Perche. Par sa mère elle est aussi petite-nièce de Félicie de Roucy, reine d'Aragon et de Navarre par son mariage avec Sanche Ier d'Aragon et donc cousine du roi Alphonse le Batailleur. Enfin, son oncle Rotrou III du Perche a de nombreux intérêts en Navarre.

    Marguerite de l'Aigle épouse en 1130 le prince Garcia de Navarre, petit-fils du Cid campeador.

    En 1134, à la mort sans enfants d'Alphonse le Batailleur, Garcia, favorisé par son lignage et ayant l'appui de son oncle par alliance Rotrou III, est élu roi de Navarre, son épouse Marguerite devenant donc la nouvelle reine. L'Aragon désigne toutefois un autre souverain, Ramire II.

    Le couple royal s'efforce par la suite d'affermir la restauration de la Navarre indépendante face à l'émergence de l'État catalano-aragonais.

    Margarete heiratete König García IV. Ramírez von Navarra, der Restaurator in nach 1130. García (Sohn von Herr Ramiro Sánchez von Navarra und Cristina Rodríguez de Vivar) wurde geboren in cir 1112; gestorben am 21 Nov 1150. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 46. König Sancho VI. von Navarra, der Weise  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1133; gestorben am 27 Jun 1194 in Pamplona.
    2. 47. Prinzessin Blanka von Navarra  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1133; gestorben am 12 Aug 1156; wurde beigesetzt in Kloster Santa Maria la Real, Nájera.

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  7. 28.  Margarete von ClermontMargarete von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1)

    Margarete heiratete Graf Karl I. von Flandern (von Dänemark), der Gute in vor 1117. Karl (Sohn von König Knut IV. von Dänemark, der Heilige und Königin Adela von Flandern) gestorben in 1127 in in der Kirche St. Donatus in Brügge. [Familienblatt] [Familientafel]

    Familie/Ehepartner: Graf Hugo III. von Saint Pol (Haus Candavène). Hugo (Sohn von Hugo II. (Hugues) Saint Pol (Haus Candavène) und Hélissende von Ponthieu) wurde geboren in vor 1132; gestorben in nach 1145. [Familienblatt] [Familientafel]


  8. 29.  Graf Rudolf I. (Raoul) von Clermont-en-Beauvaisis, der Rote Graf Rudolf I. (Raoul) von Clermont-en-Beauvaisis, der Rote Graphische Anzeige der Nachkommen (14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben am 15 Okt 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1153, Creil; Herr von Creil https://de.wikipedia.org/wiki/Creil
    • Titel (genauer): 1162, Clermont-en-Beauvaisis; Graf von Clermont-en-Beauvaisis
    • Militär / Gefecht: 1191, Schlachtfeld vor Akkon, Israel; Teilnehmer an der Belagerung von Akkon

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Rudolf_I._(Clermont) (Jul 2023)

    Rudolf I. von Clermont genannt der Rote (frz: Raoul Ier de Clermont dit le Roux, † 15. Oktober 1191 vor Akkon) war seit 1153 Herr von Creil, seit spätestens 1162 Graf von Clermont(-en-Beauvaisis) und seit 1163 durch Ehe Herr von Breteuil. Er war der Sohn des Grafen Rainald II. von Clermont und der Clementia von Bar.

    König Ludwig VII. machte Rudolf 1164 zum Connétable von Frankreich. Im Sommer 1190 begab er sich in einer Vorausabteilung des Dritten Kreuzzugs unter Führung von Heinrich II. von Champagne ins Heilige Land, wo er an der Belagerung von Akkon teilnahm. Die Stadt fiel im 12. Juli 1191, nachdem auch König Philipp II. August mit seinem Hauptheer eingetroffen war. Er blieb im Heer, das den Dritten Kreuzzug weiterführte, als der König bereits am 31. Juli 1191 nach Europa zurückgekehrt war. Er fiel am 15. Oktober 1191 bei einem Gefecht vor Akkon.

    Name:
    Die Grafschaft Clermont ging nach Rudolfs Tod an seine Tochter Katharina über; deren Sohn, Graf Theobald VI. von Blois, verkaufte den Besitz 1218 an König Philipp II. August.

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Clermont-en-Beauvaisis war eine nordfranzösische Grafschaft im Raum Beauvais. Hauptort war Clermont-en-Beauvaisis. Die Grafen von Clermont-en-Beauvaisis sollten nicht mit den Grafen von Clermont in der Auvergne verwechselt werden (hier ist das spätere Clermont-Ferrand gemeint), ein Titel, den die Dauphins von Auvergne zeitweise trugen.
    Nachdem zu Beginn des 11. Jahrhunderts die Grafschaft Beauvais an die Grafen von Blois gelangt war, trat Graf Odo II. von Blois 1015 dem Bischof von Beauvais den Titel und die Stadt Beauvais ab, und bildete 1023 aus dem Rest die Grafschaft Clermont-en-Beauvaisis für seinen Schwiegersohn Balduin (Baudouin), den Ehemann der Adelheid von Champagne.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Clermont-en-Beauvaisis

    Militär / Gefecht:
    Die Belagerung von Akkon (28. August 1189 bis 12. Juli 1191) war das wichtigste Ereignis des Dritten Kreuzzuges im Heiligen Land. Nach zweijähriger, verlustreicher Belagerung gelang den Kreuzfahrern schließlich die Rückeroberung der strategisch wichtigen Stadt Akkon, die für die folgenden 100 Jahre die Hauptstadt des Königreichs Jerusalem wurde.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Belagerung_von_Akkon_(1189–1191)

    Gestorben:
    Gefallen bei der Belagerung von Akkon.

    Rudolf heiratete Alice (Adele) Le Puiset (von Breteul) in 1153. Alice (Tochter von Graf Valeran III. (Waleran) Le Puiset (von Breteul) und Adèle (Adelheid, Alix) von Dreux) gestorben in nach 1195/97; wurde beigesetzt in Varilille. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 48. Philippe von Clermont-en-Beauvaisis  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1178.
    2. 49. Gräfin Katharina von Clermont-en-Beauvaisis  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in vor 1178; gestorben am 19/20 Sep 1212/1213.

  9. 30.  Mathilde (Mathildis, Mahaut, Mabile) von ClermontMathilde (Mathildis, Mahaut, Mabile) von Clermont Graphische Anzeige der Nachkommen (14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1)

    Familie/Ehepartner: Graf Aubry II. (Alberich) von Dammartin (Haus Mello). [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 50. Graf Rainald I. von Dammartin (Haus Mello)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1165; gestorben in 1227.
    2. 51. Graf Simon von Dammartin (von Ponthieu)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1239.

  10. 31.  Dreux III. de MelloDreux III. de Mello Graphische Anzeige der Nachkommen (15.Richhilde3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in Mello.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1136)

    Familie/Ehepartner: Basilie ? von Beauvais (von Bulles). [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 52. Herr Dreux IV. de Mello  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1137/38 in Mello; gestorben am 3 Mrz 1218.

  11. 32.  Lord Richard FitzGilbert de ClareLord Richard FitzGilbert de Clare Graphische Anzeige der Nachkommen (16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in 1094; gestorben am 15 Apr 1136 in Abtei Lanthony, Abergavenny, England.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Cardigan, Ceredigion, England; Lord von Cardigan
    • Besitz: Gründer der Abtei Tonbridge

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Richard_FitzGilbert_de_Clare (Sep 2021)

    Richard FitzGilbert de Clare (* 1094; † 15. April 1136) aus der Familie Clare war der Sohn von Gilbert Fitz Richard de Clare, Lord von Clare, Tonbridge und Cardigan, und Alice (Adeliza) de Clermont. Er war der Gründer der Abtei Tonbridge. Sein Neffe war der Heerführer Richard de Clare, 2. Earl of Pembroke.

    Richard war Lord von Cardigan (Ceredigion in Wales). Als 1135 in Südwales ein Aufstand gegen die Herrschaft der Normannen ausbrach, in dem am 1. Januar 1136 zwischen Loughor und Swansea die Waliser einen Sieg über lokale normannische Truppen errangen, war Richard de Clare außer Landes. Er kehrte an die Landesgrenzen zurück und drang mit einer kleinen Streitmacht ungeachtet der Warnungen Richtung Ceredigion vor. Er war noch nicht weit gekommen, als er in der Nähe der Abtei von Lanthony bei Abergavenny in einen Hinterhalt von Männern aus Gwent unter der Führung von Iorwerth ab Owain und seinem Bruder Morgan, Enkel von Caradog ap Gruffydd, geriet, bei dem er getötet wurde.

    Die Nachricht von Richards Tod brachte Owain Gwynedd, den Sohn von Gruffydd ap Cynan, König von Gwynedd dazu, in Ceredigion einzufallen. Mit seinem Verbündeten Gruffydd ap Rhys von Deheubarth errang er einen vernichtenden Sieg über die Normannen in der Schlacht von Crug Mawr außerhalb von Aberteifi; der Ort wurde danach erobert und niedergebrannt, Richards Witwe Adeliza musste in die Burg von Cardigan fliehen. Sie wurde von Miles of Gloucester befreit, der sie nach England in Sicherheit brachte.

    Titel (genauer):
    https://de.wikipedia.org/wiki/Cardigan_(Wales)

    Gestorben:
    Aus einem Hinterhalt ermordet.

    Familie/Ehepartner: Adeliza le Meschin. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 53. Roger de Clare, 2. Earl of Hertford  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1173.

  12. 33.  Graf Gilbert de Clare, 1. Earl of Pembroke Graf Gilbert de Clare, 1. Earl of Pembroke Graphische Anzeige der Nachkommen (16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in 1100 in Tonbridge, Kent, England; gestorben am 6 Jan 1148; wurde beigesetzt in Tintern Abbey, Wales, England.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Pembroke Castle, Wales; 1. Earl of Pembroke (Erste Verleihung)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Gilbert_de_Clare,_1._Earl_of_Pembroke

    Gilbert Fitz Gilbert de Clare, 1. Earl of Pembroke, genannt Strongbow (* 1100 in Tonbridge; † 6. Januar 1148) war ein anglo-normannischer Adliger.

    Er war der zweite Sohn von Gilbert FitzRichard, Lord of Clare, (Haus Clare), und dessen Frau Adelisa de Clermont. Sein Bruder war Richard FitzGilbert de Clare.

    Von seinem Onkel väterlicherseits, Roger de Clare, erbte er nach 1131 die Herrschaften Bienfaite und Orbec in der Normandie. Von seinem weiteren Onkel väterlicherseits, Walter (Gautier) de Clare, erbte er 1138 die Herrschaft Nether Gwent mit der Burg Strigoil in Wales. 1138 ernannte ihn König Stephan von England zum Earl of Pembroke[1] und gab ihm die Burg Pevensey. Bereits 1135 hatte König Stephan ihn zu seinem Marschall ernannt.

    Er heiratete um 1130 die vormalige Mätresse König Heinrichs I. von England, Isabel de Beaumont († nach 1172), Tochter des Robert de Beaumont, Graf von Meulan, Herr von Beaumont-le-Roger, Earl of Leicester, und seiner Frau Isabel de Vermandois.

    Titel (genauer):
    Earl of Pembroke ist ein erblicher britischer Adelstitel in der Peerage of England, benannt nach der Ortschaft Pembroke bzw. der naheliegenden Burg Pembroke Castle in Wales. Außerdem wurde auch einmal der Titel eines Marquess of Pembroke verliehen (siehe Anne Boleyn).
    Der Titel wurde insgesamt zehnmal verliehen. Erstmals erfolgte dies 1138 durch den englischen König Stephan an Gilbert de Clare. Mit dem Aussterben dieser Linie des Hauses Clare erlosch der Titel 1185.
    Die zweite Verleihung erfolgte nur vier Jahre später an Sir William Marshal aus der Familie Marshal, einen der berühmtesten und besten Ritter seiner Zeit. Dieser hatte die älteste Tochter des zweiten Earls der vorhergehenden Verleihung geheiratet. Der Titel erlosch 1245, als der letzte Sohn Marshals ohne Erben starb.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Pembroke

    Begraben:
    Gilbert wurde in der Abtei von Tintern begraben, die sein Onkel Walter 1131 gestiftet hatte.

    Gilbert heiratete Isabel von Beaumont in cir 130. Isabel (Tochter von Robert I. von Beaumont (von Meulan), 1. Earl of Leicester und Elisabeth (Isabel) von Vermandois) wurde geboren in cir 1113; gestorben in nach 1172. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 54. Graf Richard de Clare, 2. Earl of Pembroke  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1130 in Tonbridge, Kent, England; gestorben am 20 Apr 1176 in Dublin, Irland.

  13. 34.  Adeliza (Alice) de ClareAdeliza (Alice) de Clare Graphische Anzeige der Nachkommen (16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1)

    Adeliza heiratete Aubrey II. de Vere in Datum unbekannt. Aubrey (Sohn von Aubrey I. de Vere) wurde geboren in cir 1080; gestorben am 15 Mai 1141; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 55. Graf Aubrey III. von Vere, 1. Earl of Oxford  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1115; gestorben am 26 Dez 1194; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England.
    2. 56. Alice (de Vere ?)  Graphische Anzeige der Nachkommen
    3. 57. Juliana de Vere  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1199/1200.

  14. 35.  Alis (Adelheid) von Grand-PréAlis (Adelheid) von Grand-Pré Graphische Anzeige der Nachkommen (17.Irmtrud3, 6.Adelheid2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1090.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1130)

    Familie/Ehepartner: Graf Gottfried von Durbuy. Gottfried gestorben in spätestens 1124. [Familienblatt] [Familientafel]

    Familie/Ehepartner: Gottfried von Esch. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 58. Bartholomäus von Esch  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in spätestens 1192.

  15. 36.  Bartholomäus von GrandsonBartholomäus von Grandson Graphische Anzeige der Nachkommen (18.Ebal3, 6.Adelheid2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Belmont-sur-Lausanne, VD, Schweiz; Herr von Belmont
    • Titel (genauer): La Sarraz; Herr von La Sarraz https://de.wikipedia.org/wiki/La_Sarraz

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1141-1158)

    Zog nach Palästina

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 59. Ebal von Grandson  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in spätestens 1186.

  16. 37.  Petronella von Aragón (Jiménez)Petronella von Aragón (Jiménez) Graphische Anzeige der Nachkommen (21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1137-1164, Königreich Aragón; Königin von Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Aragón https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Aragón

    Familie/Ehepartner: Graf Raimund Berengar IV. von Barcelona. Raimund (Sohn von Graf Raimund Berengar III. von Barcelona und Gräfin Dulcia von der Provence (Gévaudan)) wurde geboren in cir 1113; gestorben am 6 Aug 1162 in Borgo San Dalmazzo. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 60. König Alfons II. (Raimund) von Aragón (von Barcelona)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 25 Mrz 1157 in Huesca; gestorben am 25 Apr 1196 in Perpignan.
    2. 61. Prinzessin Dulce von Barcelona  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1158/1159; gestorben am 1 Sep 1198 in Coimbra.


Generation: 5

  1. 38.  Graf Érard II. (Erhard) von BrienneGraf Érard II. (Erhard) von Brienne Graphische Anzeige der Nachkommen (22.Walter4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Érard II. de Brienne
    • Titel (genauer): 1161-1191, Grafschaft Brienne; Graf von Brienne https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Brienne

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Érard_II._(Brienne)

    Érard II. († 1190 vor Akkon) war ein Graf von Brienne aus dem Haus Brienne. Er war ein Sohn des Grafen Walter II. von Brienne.
    Gemeinsam mit seinem Bruder Andreas erreichte Érard mit einem Vorauskommando des dritten Kreuzzuges unter der Führung des Grafen Robert II. von Dreux im September 1189 die Belagerung von Akkon.[1] Der Bruder fiel dort bereits am 4. Oktober in einer Schlacht gegen Saladin, in der sich Érard selbst laut dem Autor des Itinerarium Regis Ricardi wie ein Feigling verhalten habe und vor dem Feind geflüchtet sei.[2] Die Schlacht hatte er jedenfalls überlebt, dennoch starb Érard im weiteren Verlauf der Belagerung im Jahr 1190.[3]

    Érard war verheiratet mit Agnes, einer Tochter des Grafen Amadeus II. von Montfaucon-Montbéliard.


    Quellen
    • Gesta Regis Henrici Secundis et Gesta Regis Ricardi Benedicti abbatis, hrsg. von William Stubbs in: Rolls Series 49 (1867), Vol. 2 („Gesta“)
    • Roger von Hoveden, Chronica, hrsg. von William Stubbs in: Rolls Series 51 (1870), Vol. 3 („Chronica“)
    Einzelnachweise
    1 Gesta, S. 94; Chronica, S. 20
    2 Itinerarium peregrinorum et gesta regis Ricardi Liber I, Cap. XXX, hrsg. von William Stubbs: Chronicles and Memorials of the Reign of Richard I, in: Rolls Series 38 (1864), Vol. 1, S. 71
    3 Gesta, S. 96 und 148; Chronica, S. 88

    Familie/Ehepartner: Agnes von Montfaucon (Mömpelgard). [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 62. Graf Walter III. von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 14 Jun 1205 in Sarno; wurde beigesetzt in Kirche Santa Maria della Foce, Sarno.
    2. 63. Johann von Brienne (von Jerusalem)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in ca 1169 / 1174; gestorben am 23 Mrz 1237 in Konstantinopel; wurde beigesetzt in ? Kirche San Francesco von Assisi.
    3. 64. Alix von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen

  2. 39.  Herr Hugues III. de BroyesHerr Hugues III. de Broyes Graphische Anzeige der Nachkommen (23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1)

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Broyes
    • Titel (genauer): Lord of Broyes
    • Titel (genauer): Seigneur de Broyes Seigneur de Châteauvillain Seigneur d'Arc

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Hugh_III_of_Broyes



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_III_de_Broyes

    Hugues III de Broyes, (vers 1125 - 1199), seigneur de Broyes, seigneur de Châteauvillain et seigneur d'Arc. Il est le fils de Simon Ier, seigneur de Broyes, († 1132) et de Félicité de Brienne († 1178), fille d'Erard Ier, comte de Brienne.

    Biographie
    Hugues III de Broyes participe à la Deuxième Croisade. Avant ce départ en 1147 il faisait, comme son père, des donations à l'Abbaye Notre-Dame-d'Andecy1, l'étang et le moulin à Chevergny. Il renouvelait ce geste, de concert avec Jean de Pleurs d'un droit d'usage de la forêt de Montmort, en 1154 puis un terrage entre Champaubert et Bannay vers 1160.

    Il faisait aussi élever des châteaux à Baye et Châteauvillain vers 1160. En 1189 un conflit envers son suzerain Henri II de Champagne laissait son château de Broyes en ruines.

    Union
    Il épouse avant le 22 octobre 1144 Stéphanie de Bar, (vers 1125 - avant 1178), dame de Commercy, fille de Renaud Ier, comte de Bar. Quatre enfants du premier mariage :

    Simon II, seigneur de Broyes et de Commercy (1145 † 1202/08.,
    Emeline.
    Sophie.
    Agnès, (1160 - 1221), dite aussi "Agnès de Neufchâteau", elle épouse en premières noces Simon de Brixey, (vers 1125 - 1190), seigneur de Bourlémont, puis en secondes noces vers 1180 Henri de Fouvent, (? - avant 1229), seigneur de Fouvent, de Fontain et de Champlitte.
    Il épouse en secondes noces en 1178 Isabeau de Dreux, dame de Baudement (1160 † 1239), fille de Robert Ier de Dreux et d'Agnès de Baudemont.

    Deux enfants du deuxième mariage :

    Emeline, (? - 1248/49), elle épouse en premières noces vers 1202 Eudes II de Champlitte, (? - Constantinople avant le 16 mai 1204), puis en secondes noces en 1205 Erard II de Chacenay, (? - 16 juin 1236).
    Simon Ier, "le Jeune", (? - 1259/60), seigneur de Châteauvillain.
    Notes et références
    ↑ Aristide Millard, Histoire de l'abbaye d'Andecy , Châlons-sur-Marne : F. Thoville, tome II 1890, p. 25.
    Sources
    Médiéval Généalogie : Seigneurs de Broyes [1] [archive]
    Geneall, Hugues III, seigneur de Broyes [2] [archive]
    Fabpedigree, Hugues III de Broyes [3] [archive]
    Roglo, Hugues de Broyes [4] [archive]



    Liste des seigneurs de Broyes
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_seigneurs_de_Broyes

    Hugues heiratete Stéphanie de Bar-Commercy in vor 22 Okt 1144. Stéphanie (Tochter von Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige und Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen)) wurde geboren in cir 1125; gestorben in vor 1178. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 65. Agnes de Neufchâteau  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1160 in Commercy, Frankreich; gestorben in 1221 in Fouvent, Frankreich.

    Familie/Ehepartner: Isabeau von Dreux. Isabeau (Tochter von Robert I. von Dreux und Gräfin Agnes de Baudement) wurde geboren in 1160; gestorben in 1239. [Familienblatt] [Familientafel]


  3. 40.  Herr Gottfried IV. von JoinvilleHerr Gottfried IV. von Joinville Graphische Anzeige der Nachkommen (23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in Aug 1190 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrschaft Joinville; Herr von Joinville

    Notizen:

    Titel (genauer):
    Der Bau der Burg von Joinville im Jahre 1027 durch Étienne de Vaux steht am Beginn der Herrschaft. Die Herren von Joinville stiegen im hohen Mittelalter zum führenden Adel der Champagne auf. Seit Gottfried III. ist das Amt eines Seneschalls der Champagne in der Familie erblich. Dessen Urenkel, Jean de Joinville, wurde als Biograph König Ludwigs des Heiligen bekannt.
    Für François de Lorraine wurde Joinville im Jahr 1552 durch König Heinrich II. in den Rang eines Fürstentums erhoben, mit dem der Titel Prince de Joinville verbunden war.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Herren_und_Fürsten_von_Joinville (Sep 2023)

    Gestorben:
    starb während der Belagerung von Akkon.

    Familie/Ehepartner: Hélius (Helvide) von Dampierre. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 66. Herr Gottfried V. von Joinville  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in vor 1173; gestorben in 1203/1204 in am Krak des Chevaliers in Syrien.
    2. 67. Herr Simon von Joinville  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in Mai 1233.
    3. 68. Yolande von Joinville  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1223.

  4. 41.  Gertrude von JoinvilleGertrude von Joinville Graphische Anzeige der Nachkommen (23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1)

    Gertrude heiratete Graf Gerhard II. von Vaudémont in Datum unbekannt. Gerhard (Sohn von Graf Hugo I. von Vaudémont und Aigeline (Aline, Anna) von Burgund) gestorben in 1188. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 69. Graf Hugo II. von Vaudémont  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1167; gestorben in 1242.

  5. 42.  Guido II. (Guy) von Châtillon-Saint PolGuido II. (Guy) von Châtillon-Saint Pol Graphische Anzeige der Nachkommen (24.Ada4, 9.Hugo3, 3.Ebles2, 1.Alix1) gestorben in 1170/1172.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Crécy-en-Brie, Frankreich; Graf von Crécy https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Crécy
    • Titel (genauer): Châtillon; Herr von Châtillon https://de.wikipedia.org/wiki/Châillon_(Adelsgeschlecht)
    • Titel (genauer): Montjay-la-Tour; Herr von Montjay-la-Tour
    • Titel (genauer): Troissy; Herr von Troissy https://de.wikipedia.org/wiki/Troissy

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Châtillon

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Châtillon



    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Châtillon_(Adelsgeschlecht)

    Châtillon (Adelsgeschlecht)

    Das Haus Châtillon war eines der langlebigsten Adelshäuser in Frankreich, das vom 11. bis in das 19. Jahrhundert existierte. Der namensgebende Stammsitz war Châtillon-sur-Marne (Dépt. Marne), etwa 25 km südwestlich von Reims. Ursprünglich dem Stand der Burgherren der Champagne angehörend, erlangte die Familie während des Mittelalters eine herausragende Prominenz, die mehrere Schlachtenteilnehmer, Kreuzritter, Offiziere des Königs und Feudalfürsten hervorbrachte. Dagegen nahm ihre Bedeutung in der Neuzeit ab; erst die letzten zwei Vertreter des Hauses wurden in den Stand der Pairs von Frankreich erhoben. Die letzte Angehörige dieser Familie starb 1840.

    Ursprünge
    Bis in das 20. Jahrhundert hinein ist das Bild über die genealogischen Ursprünge des Hauses Châtillon durch eine weitgehend kritiklose Reproduktion der genealogischen Forschung zu dieser Familie des Historikers André Duchesne († 1640) aus dem 17. Jahrhundert geprägt wurden.[1] Der konstruierte einen bis in das frühe 11. Jahrhundert reichenden Stammbaum, als dessen Stammvater ein „Miles Seigneur de Chastillon & de Basoches“ genannt wird, der wiederum ein Bruder des Erzbischofs Guido von Reims (1033–1055) gewesen sei. Nun vermied es Duchesne seine Erkenntnisse durch Primärquellen zu fundieren, womit deren Richtigkeit nicht gewährleistet ist. Die Anfechtbarkeit seiner Konstruktion offenbart sich schon in der Behauptung der in Châtillon-sur-Marne geborene Papst Urban II. (siehe Haus Lagery) sei ein Sohn des ominösen Stammvaters Miles gewesen, was mehr als ein Jahrhundert später widerlegt wurde. Tatsächlich lässt sich ein klares genealogisches Bild über die frühsten Generationen des Hauses Châtillon anhand des bis heute überlieferten Schriftguts nicht zeichnen.

    Die ältesten schriftlichen Erwähnungen zu einer „Burg über der Marne“ und ihres ersten Herrn stammen aus den Annalen und der Kirchengeschichte des Flodoard von Reims aus dem 10. Jahrhundert.[2] Erzbischof Herive von Reims (franz: Hervé; † 922) war im Machtkampf um die Herrschaft im Westfrankenreich zwischen den Karolingern und Robertinern ein Parteigänger des Karolingers Karl III. dem Einfältigen. In seiner Amtszeit in Reims veräußerte er der Kirche gehörende Landgüter an seinen Bruder Odo und ihren Neffen Herive, welcher über der Marne eine Burg errichtete (castrum…super fluvium Maternam) . Nach dem Tod des Onkels verweigerte Herive der Jüngere die geforderte Restitution dieser Güter in den Kirchenbesitz, worauf er von Erzbischof Artold mit dem Kirchenbann belegt wurde. Von seiner Burg aus befehdete Herive in diesen Jahren die Kirche von Reims, deren Güter er überfiel und plünderte. 940 wurde seine Burg vom Erzbischof im Verbund mit König Ludwig IV. angegriffen und zerstört, doch konnte Herive seine Raubzüge fortsetzten. Erst im Jahr 947 wurde er vom erzbischöflichen Vasallen Graf Ragenold und dessen Bruder Dodon zum Kampf gestellt und getötet.

    Ob der Fehdemann Herive ein früher Ahn des Hauses Châtillon, ja ob seine „Burg über der Marne“ überhaupt am selben Ort wie das heute bekannte Châtillon-sur-Marne stand, kann nicht mehr mit Sicherheit bestimmt werden. Denn das älteste bekannte Schriftzeugnis zu einem „von Châtillon“, welches auch von Duchesne zitiert werden konnte, ist erst über ein Jahrhundert nach ihm aufgesetzt wurden. Die Bestätigungsurkunde König Philipps I. aus dem Jahr 1076 zur Gründung der Abtei Saint-Jean-des-Vignes bei Soissons ist unter anderem von einem Guido von Châtillon (Wido de Castellonio) bezeugt wurden.[3] Zu Lebzeiten jenes Guidos ist Papst Urban II. († 1099) in der „Burg über der Marne“ geboren wurden (natus de Castellione super Maternam), was die Historiker späterer Zeiten dazu verleitete, in ihm ein Mitglied der Burgherrenfamilie zu erkennen. Nach Guido I. von Châtillon treten dann in zwei Urkunden, von denen eine in das Jahr 1103 datiert, ein Walter von Châtillon (Walcherus de Castellione), Guermond von Châtillon (Guarmundus de Castellione) und Jakob von Châtillon (Iacobi de Castellione) auf, die vielleicht Brüder als Söhne Guidos I. waren.[3] Von Guermond stammten die Herren von Savigny ab, während sich über Walter die Herren von Châtillon fortgesetzt haben dürften.

    1117 erscheint Heinrich von Châtillon erstmals in den Urkunden, der sich 1127 auch Herr von Montjay (Montjay-la-Tour in Villevaudé, Dépt. Seine-et-Marne) nennt.[3][4] In einer Urkunde des Erzbischofs von Reims aus dem Jahr 1130 wird er schließlich als Ehemann der Ermengarde und mit ihrem Sohn Walter II. von Châtillon genannt, womit dies die erste urkundlich verbürgte Filiation des Hauses Châtillon darstellt.[3] Von da an ist die weitere Stammlinie des Hauses durch überlieferte Urkunden und erzählende Chroniken lückenlos nachzuverfolgen.

    Bedeutung

    Der Aufstieg zu den führenden Geschlechtern Frankreich begann durch die Ehe Guidos II. von Châtillon mit einer Nichte König Ludwigs VII. († 1180), durch welche die Châtillons die Sphären des königsnahen Adels erreichten. In den folgenden Generationen konnten sie dank vorteilhafter Erbheiraten die Kreise des nachgeordneten Burgadels der Champagne verlassen und in den hohen Feudaladel Frankreichs aufrücken. Verschiedene Familienzweige sind so in den Besitz bedeutender Lehen gekommen, die sie zu unmittelbaren Vasallen der Krone machten. Dies waren:

    Grafschaft Saint-Pol (1205–1360)
    Grafschaft Blois (1231–1391)
    Grafschaft Chartres (1269–1286)
    Grafschaft Porcéan (1303–1395)
    Grafschaft Soissons (1350–1391) mit Beaumont und Chimay
    Vizegrafschaft Limoges (1384–1481)
    Grafschaft Penthièvre (1384–1485)
    Während des bretonischen Erbfolgekrieges ist mit Karl von Blois ein Châtillon als Prätendent auf die Herrschaft über das Herzogtum Bretagne aufgetreten, doch ist er in der entscheidenden Schlacht von Auray 1364 gefallen.

    Dagegen entsprach die Herrschaft der Familie in Châtillon-sur-Marne einer einfachen Burgherrschaft, die auf dem bloßen Besitz der von ihr erbauten Burg gründete. Die Kastellanei aber, also die Herrschaft über den Burgbezirk und den Ort selbst, lag in der Hand der Grafen der Champagne. Neben ihrer Bedeutung als Familienstammsitz hatte die Burg für die Châtillons kaum einen besonderen Stellenwert eingenommen, besonders im Vergleich zur Herrschaft von Crécy, die sie seit dem 12. Jahrhundert zur Gänze besaßen. Als die Familie im 13. Jahrhundert in den Besitz der Grafschaften von Saint-Pol und Blois gekommen war ist es deshalb bei ihr üblich geworden, ihre vergleichsweise unbedeutende Burg Châtillon an den jeweils jüngsten Sohn weiterzureichen. Durch die Heirat der letzten Gräfin der Champagne, Johanna I., mit König Philipp IV. von Frankreich ist die Grafschaft Champagne und mit ihr die Kastellanei von Châtillon-sur-Marne in den Besitz der Krone übergegangen. Im Jahr 1290 vereinbarten König Philipp IV. und Walter V. von Châtillon ein Tauschgeschäft, wonach letzterer die Herrschaft Crécy an die Krone abtrat und dafür die Kastellanei für Châtillon-sur-Marne erhielt, also die vollumfängliche Herrschaft über Ort und Bezirk.[5] Nur dreizehn Jahre darauf gab Walter V. diese in einem neuen Tauschgeschäft wieder auf und erstattete die Kastellanei für den Erhalt der Grafschaft Porcéan an die Krone zurück.[6] So wieder auf den bloßen Burgbesitz beschränkt, mussten sich mit diesem wieder die jüngeren Söhne der Familie abfinden. Die Burg selbst wurde dabei als Wohnsitz aufgegeben, baulich nicht erweitert und dem Verfall ausgesetzt.

    → Hauptartikel: Herrschaft Châtillon
    Das hohe Prestige des Namens Châtillon genierte sich nicht zuletzt aus der weithin bekannten ritterlichen Gesinnung seiner Angehörigen. In allen großen Schlachten des hohen Mittelalters, in welche die französische Ritterschaft gezogen war, ob bei Bouvines (1214), bei Taillebourg (1243), bei Westkapelle (1253), bei der mit den goldenen Sporen (1302), bei Crécy (1346), bei Roosebeke (1382), oder bei Azincourt (1415) war immer mindestens ein Châtillon mit dabei. Ebenso konnte kaum eine andere Familie auf ein nur annähernd hohes Engagement mit entsprechendem Blutzoll in den Kreuzzügen verweisen. Schon Walter I. von Châtillon ist auf dem Kreuzzug von 1101 gestorben. Seinem Beispiel folgend haben sich fast alle Generationen nach ihm zu allen folgenden „bewaffneten Pilgerfahrten“ in das Heilige Land begeben. Zur historischen Wahrheit gehört dazu, dass der berühmteste in jenem Kontext überhaupt auftretende Châtillon gar kein Familienmitglied war. Der 1187 von Sultan Saladin bei den Hörnern von Hattin enthauptete Rainald von Châtillon war ein Angehöriger des burgundischen Hauses von Semur-Donzy.[7]

    Pair von Frankreich
    Das Ende des Mittelalters war für das Haus Châtillon mit einem Bedeutungsverlust einhergegangen. Seine bedeutendsten Familienzweige waren im Mannesstamm erloschen und die von ihnen gehaltenen Feudalterritorien gingen so verloren. Sogar die namensgebende Burg von Châtillon-sur-Marne ist durch einen Erbfall an eine andere Familie gefallen. Zu Beginn des 17. Jahrhunderts bestand nur noch ein Nebenzweig, der eine Reihe kleinerer Grundherrschaften sein Eigen nennen konnte und den niedrigen Titel des Ritters (franz: chevalier) führte. Dem damals lebenden Gilles de Châtillon widmete André Duchesne sein 1621 vollendetes Werk über die Geschichte des Hauses Châtillon.

    Erst etwa ein Jahrhundert später gelang der Familie der Aufstieg in der Ranghierarchie des Hofes von Versailles, wobei sich die Nähe der Familie zum Haushalt des Philippe de France, duc d’Orléans bezahlt machte. Alexis Henri de Châtillon soll einer der Liebhaber des „Monsieur“ gewesen sein. Sein Neffe Alexis Madeleine Rosalie de Châtillon († 1754) war in erster Ehe verheiratet mit einer Tochter des Kriegsministers und Kanzlers Daniel Voysin de La Noiraye. Als Offizier konnte er sich 1734 ganz der Familientradition folgend in der Schlacht bei Guastalla auszeichnen. Im Jahr darauf zum Gouverneur des Haushalts des Dauphin befördert, folgte schon im März 1736 seine Aufnahme unter die Pairs von Frankreich. Dazu wurde ihm die Baronie Mauléon im Poitou übertragen und mit dem erblichen Titel eines Herzogs von Châtillon (franz: duc de Châtillon) versehen. Schon mit dem zweiten Herzog von Châtillon ist noch vor der Revolution der letzte Nachkomme in agnatischer Linie des Burgherrn Guido I. von Châtillon gestorben, dessen zwei Töchter so zu den letzten Angehörigen des Hauses Châtillon wurden.

    In den Niederlanden wurden von den Châtillon Familien, neben den Blois van Treslong, auch die Familie de Cocq genannt van Haeften in den Niederlanden ansässig.

    Großoffiziere von Frankreich
    Gaucher V. de Châtillon (1249–1329), Seigneur de Châtillon, Connétable de France (1302–1329)
    Jean I. de Châtillon (1283–1363), Seigneur de Châtillon, Grand Maître de France (1350–1363)
    Hugues de Châtillon († 1389), seigneur de Dampierre, Grand maître des arbalétriers de France (1382–1386)
    Jacques de Châtillon (X 1415), Seigneur de Dampierre, Amiral de France (1408–1415)
    Wappen
    Das Stammwappen des Hauses Châtillon ist erstmals auf einem Siegel Walters III. von Châtillon aus dem Jahr 1206 nachzuweisen.[8] Seine Blasonierung (De gueules, à trois pals de vair, au chef d'or) wurde von allen Linien der Familie beibehalten und lediglich durch heraldische Symbole in seinem goldenen Schildhaupt individuell ergänzt. Die farbliche Gestaltung des Wappens ist vom Dedikationsbild des um 1285 von Girard d’Amiens geschriebenen Meliacin ou le Cheval de fust bekannt, auf dem unter anderem Walter V. von Châtillon abgebildet ist.

    Mehr, auch Stammliste, unter dem Link oben..

    Familie/Ehepartner: Adèle (Adelheid, Alix) von Dreux. Adèle (Tochter von Robert I. von Dreux und Hedwig (Havise) von Salisbury (von Évreux)) wurde geboren in 1144/1145; gestorben in vor 1210. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 70. Herr Guido III. (Guy) von Châtillon  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.
    2. 71. Graf Walter III. (Gaucher) von Châtillon-Saint Pol  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in Okt 1219.
    3. 72. Marie von Châtillon  Graphische Anzeige der Nachkommen

  6. 43.  Graf Gottfried (Geoffrey) III. von Le PercheGraf Gottfried (Geoffrey) III. von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (25.Rotrou4, 10.Rotrou3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben in 1202 in Soissons, Frankreich.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Le Perche; Graf von Le Perche (Haus Châteaudun)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_III._(Perche)

    Gottfried III. († 1202 in Soissons) war ein Graf von Le Perche. Er war ein Sohn des Grafen Rotrou IV. († 1191) und der Mathilde von Blois.

    Gottfried war seit 1189 verheiratet mit Mathilde (Richenza) von Sachsen, eine Tochter des Herzogs Heinrich des Löwen.[1] Die Braut war eine Nichte von Richard Löwenherz, wodurch Gottfried näher an die Plantagenets geführt werden sollte. Mathilde wurde dafür mit englischen Gütern als Mitgift ausgestattet.

    Gottfried nahm am Dritten Kreuzzug teil, in dessen Verlauf sein Vater starb. Nach seiner Rückkehr unterstützte er Prinz Johann Ohneland bei dessen Revolte gegen den in Deutschland gefangenen Richard Löwenherz, wodurch er 1194 die seinem Vater verloren gegangenen Burgen von Moulins-la-Marche und Bonsmoulins zurückgewann. Nachdem Richard aus der Gefangenschaft freikam, verlor Gottfried alle englischen Besitzungen und wurde von Richard gefangen genommen. Aber schon im Herbst 1195 erhielt er Besitz und Freiheit zurück. Durch den Vertrag von Le Goulet (1200) bekam Gottfried von Johann Ohneland seinen Besitzstand bestätigt.

    Gottfried nahm zusammen mit seinem jüngeren Bruder, Stephan, das Kreuz zum Vierten Kreuzzug. Er starb aber bevor der Zug begann.

    Titel (genauer):
    Le Perche ist eine historische Grafschaft im Norden Frankreichs, deren Name aber auch heute noch als Landschaftsbezeichnung in Gebrauch ist.
    Bereits in karolingischer Zeit war im Perche eine Grafschaft (comté) eingerichtet worden. In der Mitte des 10. Jahrhunderts war das Land allerdings zwischen dem Grafen Theobald dem Betrüger von Blois und dem Normannenherzog Richard Ohnefurcht (reg. 942–996) hart umkämpft. In der Folge wurde es politisch zweigeteilt. Der westliche Teil, wo sich die Herren von Bellême etablierten, blieb unter normannischem Einfluss; der östliche Teil um Nogent-le-Rotrou aber blieb unter der Kontrolle des Grafen Theobald dem Betrüger.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Le_Perche

    Gottfried heiratete Mathilde (Mahaut) Richenza von Sachsen in Datum unbekannt. Mathilde (Tochter von Herzog Heinrich von Sachsen (von Bayern) (Welfen), der Löwe und Mathilde von England (Plantagenêt)) gestorben in vor 1210. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 73. Graf Thomas von Le Perche  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1193; gestorben am 20 Mai 1217 in Schlachtfeld bei Lincoln.

  7. 44.  Waleran (Valéran) von Beaumont, 4. Earl of Warwick Waleran (Valéran) von Beaumont, 4. Earl of Warwick Graphische Anzeige der Nachkommen (26.Roger4, 11.Marguerite3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben in cir 24 Dez 1203.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Warwickshire; 4. Earl of Warwick - Erste Verleihung -

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Waleran_de_Beaumont,_4._Earl_of_Warwick (Jul 2023)

    Waleran de Beaumont, 4. Earl of Warwick († um 24. Dezember 1203) war ein englischer Magnat.

    Waleran de Beaumont entstammte dem anglonormannischen Adelsgeschlecht Beaumont. Er war ein jüngerer Sohn von Roger de Beaumont, 2. Earl of Warwick und von dessen Frau Gundred de Warenne. Sein Vater starb 1153. In der Schlacht von Bourgthéroulde 1124 unterlag er Heinrich I. (England). Nach dem kinderlosen Tod seines Bruders William 1184 erbte er die Besitzungen der Familie sowie den Titel Earl of Warwick. Wie sein Bruder trat er jedoch politisch kaum in Erscheinung. Bei der Krönung von König Johann 1199 trug er eines der Staatsschwerter.

    Titel (genauer):
    Earl of Warwick ist ein erblicher britischer Adelstitel, der viermal verliehen wurde und einen der angesehensten Titel Großbritanniens darstellt.
    Erste Verleihung (1088)
    Die Earlswürde wurde in der zweiten Jahreshälfte 1088 in der Peerage of England für Henry de Beaumont errichtet, den jüngeren Sohn von Roger de Beaumont und Bruder von Robert de Beaumont, 1. Earl of Leicester. Der Titel und das dazugehörige Lehen war auch in weiblicher Linie erblich. Die Earlswürde war traditionell mit Warwick Castle verbunden, und, als der 11. Earl die unveräußerliche Vererblichkeit der Burg auf seine männlichen Nachkommen beschränkte, beabsichtigte er damit vermutlich das Gleiche mit der Earlswürde selbst. Der 14. Earl wurde am 14. April 1445 zum Duke of Warwick erhoben. Da er keine Söhne hatte, erlosch das Dukedom bereits bei seinem Tod am 11. Juni 1446, das Earldom fiel hingegen an seine Tochter Anne Beauchamp als 15. Countess. Edward of York, 17. Earl of Warwick wurde 1499 wegen Hochverrates hingerichtet und ihm sein Titel durch Parlamentsbeschluss (Bill of Attainder) im Januar 1504 formell aberkannt.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Warwick
    https://de.wikipedia.org/wiki/Warwickshire

    Familie/Ehepartner: Margery (Margaret) de Bohun. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 74. Henry von Beaumont, 5. Earl of Warwick  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1192; gestorben am 10 Okt 1229.

  8. 45.  Gundred von BeaumontGundred von Beaumont Graphische Anzeige der Nachkommen (26.Roger4, 11.Marguerite3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1135; gestorben in 1206/1208.

    Gundred heiratete Graf Hugh Bigod, 1. Earl of Norfolk in Datum unbekannt. Hugh (Sohn von Roger Bigod und Alice de Tosny) wurde geboren in vor 1107; gestorben in zw 1176 und 9 Mrz 1177. [Familienblatt] [Familientafel]

    Gundred heiratete Roger de Glanville in Datum unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  9. 46.  König Sancho VI. von Navarra, der Weise König Sancho VI. von Navarra, der Weise Graphische Anzeige der Nachkommen (27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in 1133; gestorben am 27 Jun 1194 in Pamplona.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1150-1194, Königreich Navarra; König von Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Navarra

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Sancho_VI.

    Sancho VI. der Weise (baskisch Antso Jakituna, spanisch Sancho el Sabio; * 1133; † 27. Juni 1194 in Pamplona) war von 1150 bis 1194 König von Navarra aus dem Haus Jiménez. Er war ein Sohn des Königs García IV. und der Marguerite de l'Aigle.

    Leben
    Sanchos Herrscherzeit war geprägt von einem ständigen Kampf um den Fortbestand seines kleinen Königreichs, das neben dem Land um Pamplona auch die Landschaften Álava und Guipúzcoa umfasste, gegenüber seinen großen Nachbarn Kastilien und Aragónón, die Navarra unter sich aufzuteilen beabsichtigten. Diesen gegenüber hatte er den machtpolitischen Nachteil, dass seine wie auch schon seines Vaters Königsherrschaft keine uneingeschränkte Anerkennung besaß. Aus der Übergehung der Erbverfügunng Alfons’ des Kriegers von 1134 resultierend, wurden Sancho und seinem Vater vor allem durch den Heiligen Stuhl die Anerkennung als rechtmäßige Könige Navarras versagt und damit ihr Land faktisch zur Übernahme freigegeben. Um dies zu verhindern, führte Sancho zunächst die politische Linie seines Vaters fort, ordnete sich bereitwillig der kastilischen Oberhoheit des „Kaisers“ Alfons VII. († 1157) unter und heiratete dazu eine von dessen Töchtern. Diese Politik ließ er beim Tod seines Schwagers Sancho III. († 1158) fallen, da er in der Unmündigkeit seines Neffen Alfons VIII. und der daraus resultierenden Anarchie in Kastilien die Chance zur Emanzipation und Expansion erkannte. Ziel war die Rückeroberung der Landschaft Rioja, die in früheren Generationen zu Navarra gehört hatte, dann aber von Kastilien annektiert worden war. In dem Jahr 1162/63 gelang es ihm, mehrere Ortschaften wie Logroño, Navarrete, Miranda de Ebro und Briviesca einzunehmen.
    Der Expansion ging die Suche nach einer neuen Schutzmacht einher, die Sancho in der aufstrebenden Macht der Plantagenêts nördlich der Pyrenäen (siehe Angevinisches Reich) erkannte. 1172 zog er dazu an den Hof der Eleonore von Aquitanien nach Poiitiers, um diese und deren Sohn Richard Löwenherz, der gerade als Herzog von Aquitanien inthronisiert wurde, für ein Bündnis zu gewinnen.[1] Diese Bestrebungen wurden allerdings vom Ehemann der Herzogin, Heinrich II. von England, durchkreuzt, der ein Bündnis mit Kastilien bevorzugte und dazu eine seiner Töchter mit Alfons VIII. verheiratete. Dieser wurde 1177 mündig und nahm sofort den Kampf gegen Sancho um die umstrittenen Gebiete der Rioja auf. Um eine Eskalation des Krieges zu vermeiden, ersuchten beide noch im März desselben Jahres Heinrich II. von England um ein Schiedsgericht, der Sancho zur Herausgabe der von ihm gehaltenen Städte in der Rioja an Alfons VIII. aufforderte, wofür er als Entschädigung eine jährliche Geldzahlung von 3000 Maravedís aus der kastilischen Staatskasse erhalten sollte.[2] Die Schlichtung erwies sich letztlich als nicht tragfähig und der Konflikt zwischen Navarra und Kastilien begann wieder aufzuflammen. Um sich seinem Gegner erwehren zzu können, leitete Sancho eine Reihe von infrastrukturellen Maßnahmen für sein Königreich ein. So gründete er 1180 an der Küste von Guipúzcoa den Hafen San Sebastián, über den Navarra Anschluss an den Seehandel finden sollte. Zur Absicherung der Provinz Álava gründete er 1181 die alte westgotische Stadt Vitoria neu (Nueva Victoria) und befestigt sie.
    Am 5. Oktober 1186 verbündeten sich Alfons VIII. von Kastilien und Alfons II. von Aragón in Berdejo gegen Navarra und beschlossen dabei dessen Aufteilung untereinander, ähnlich wie es schon im Jahr 1067 von beiden Mächten aufgeteilt worden war.[[3] Erneut suchte Sancho gegen diese Bedrohung die Nähe zu den Plantagenets und nahm zu Richard Löwenherz Kontakt auf. Wahrscheinlich schlug er diesem zu diesem Anlass erstmals eine dynastische Verbindung vor, gleichwohl Richard bereits mit einer Schwester des Königs Philipp II. von Frankreich verlobt war.[4] 1190 kam es auf der iberischen Halbinsel zu einer unerwarteten Veränderung der Lage, die Sancho zum Vorteil gereichte, als Alfons VIII. von Kastilien einen fünfjährigen Waffenstilillstand mit den Almohaden abschloss. Nun fühlte sich auch Alfons II. von Aragón von der wachsenden Macht Kastiliens bedroht, kündigte seine Allianz mit diesem auf und verbündete sich im September des Jahres in Borja nun mit Sancho. Beide führten im Juli 1191 einen Angriff gegen die kastilische Stadt Soria aus.[5] Bereits im Sommer 1190 nahm Sancho die Gelegenheit zu erneuten Verhandlungen mit Richard Löwenherz wahr, als dieser kurz vor Antritt zum dritten Kreuzzug im benachbarten Bigoorre verweilte, und Richards Verheiratung mit seiner Tochter Berengaria in die Wege leiten zu können. Offenbar vermochte ihn Richard von der Ernsthaftigkeit seines Versprechens zu dieser Ehe zu überzeugen, obwohl er nach wie vor mit der Schwester des Königs von Frankreich verlobt war.[6] Jedenfalls vertraute Sancho seine Tochter der Obhut der Eleonore von Aquitanien an, die gemeinsam noch im Spätjahr 1190 dem vorausreisenden Richard bis nach Sizilien nachzogen. Dort verlobte sich das Paar schließlich offiziell, um dann am 12. Mai 1191 auf Zypern zu heiraten.
    Das Bündnis mit Richard Löwenherz garantierte das Überleben Navarras als eigenständiges Königreich, da die dynastische Bande zu diesem Alfons VIII. von Kastilien in seine Schranken verwies, der nicht minder von seiner Allianz mit dem Plantageneet profitiert hatte und diese nicht durch einen Angriff auf Navarra leichtfertig aufs Spiel zu setzen bereit war. Sancho dankte dies seinem Schwiegersohn mit politischer wie militärischer Unterstützung während dessen Abwesenheit auf dem Kreuzzug. So entsandte er 1192 seinen ältesten Sohn mit einem Heer nach Aquitanien, um dort rebellierende Barone niederzuringen.[7] Im Frühjahr 1194 stellte er gar seinen zweiten Sohn Fernando dem Kaiser Heinrich VI. als Geisel, als Bürge für die Einhaltung der Vertragsbedingungen, zu denen sich Richard als Preis seiner Freilassung aus deutscher Gefangenschaft verpflichtet hatte.[8] Noch im selben Jahr starb Sancho; er wurde in der Kathedrale von Pamplona bestattet.

    Titel und Wappen
    In einer Urkunde vom 18. Januar 1162 verwendete Sancho VI. letztmals die von den nationalbaskischen Königen aus den Häusern Íñiguez und Jiménez traditionell geführte Titulatur „König von Pamplona“ (Pampilonensium rex).[9] Er ersetzte sie in einer Urkunde aus dem Oktober desselben Jahres durch den neuen Titel „König von Navarra“ (Navarre rex), der danach von allen nachfolgenden Königen gebraucht wurde.[10]
    Sancho VI. ist der erste König Navarras, dem das Führen eines Wappens zugeschrieben werden kann, wenngleich das dafür zugrunde liegende Siegel (Bild 1), das für eine von ihm im Oktober 1189 ausgestellte Urkunde angefertigte wurde, eine Kopie aus dem späten 13. Jahrhundert ist. Das Siegel zeigt ihn zu Pferde reitend und in der linken Hand einen Normannenschild tragend, auf dem eine Lilienhaspel aufgetragen ist, die offensichtlich als Schildversteifung diente. Die farbliche Gestaltung des Wappens bleibt unbekannt, wenngleich die Lilienhaspel in der Regel in Gold aufgetragen auf einem roten Schild (Bild 2) reproduziert wird, um das Wappen in Kontinuität zum Motiv der Navarrakette zu stellen, die erstmals im Urkundenwesen von Sanchos Enkel, Theobald I. (1234–1253), belegt ist.

    Ehe
    Verheiratet war Sancho VI. seit dem 20. Juli 1153 mit Sancha († 5. August 1177), einer Tochter des Königs Alfons VII. von Kastilien. Sie wurde nach ihrem Tod in der Kathedrale von Pamplona bestattet.


    Literatur
    • Béatrice Leroy: Sancho VI. In: Lexikon des Mittelalters (LexMA). Band 7, LexMA-Verlag, München 1995, ISBN 3-7608-8907-7, Sp. 1358.
    • Juan Francisco Elizari: Sancho VI el Sabio, Rey de Navarra. Editorial Mintzoa, Iruña 1991.
    • Jon Andoni Fernández de Larrea Rojas: La conquista castellana de Álava, Guipúzcoa y el Duranguesado (1199-1200). In: Revista Internacional de los Estudios Vascos. Band 45, 2000, S. 425–438.
    • Ángel J. Martín Duque: El Fuero de San Sebastián. Tradición manuscrita y edición crítica. In: Príncípe de Viana. Band 63, 2002, S. 695–716.
    • Ángel J. Martín Duque: Sancho VI el Sabio y el Fuero de Vitoria. In: Príncípe de Viana. Band 63, 2002, S. 773–790.
    • Faustino Menéndez Pidal de Navascués: Los primeros sellos reales de Navarra. In: Príncípe de Viana. Band 68, 2007, S. 501–510.
    • Dieter Berg: Richard Löwenherz. Wissenschaftliche Buchgesellschaft, Darmstadt 2007.
    Anmerkungen[
    1 Vgl. Berg (2007), S. 71.
    2 Roger von Hoveden; William Stubbs (Hrsg.): Chronica magistri Rogeri de Houedene. In: Rolls Series. Nr. 51, Band 2, 1868, S. 120–131. Vgl. Berg (2007), S. 91.
    3 Vgl. Fernández de Larrea Rojas (2000), S. 469–470.
    4 Vgl. Berg (2007), S. 110.
    5 Vgl. Berg (2007), S. 144.
    6 Vgl. Berg (2007), S. 145–146.
    7 Vgl. Berg (2007), S. 181–182.
    8 Anton Chroust (Hrsg.): Historia de expeditione Friderici Imperatoris. In: Monumenta Germaniae Historica. SS rer. Germ. N.S. 5 (1928), S. 107, Anm. 1. Der Sohn des Königs von Navarra (filius regis Navariensis) wird hier fälschlich mit dem Namn Alfons identifiziert.
    9 Archivo Catedral de Pamplona, Libro Redondo, f. 71v–72r.
    10 Archivo Catedral de Pamplona, Libro Redondo, f. 76r. Vgl. dazu Martín Duque (2002), S. 782, Anm. 38.
    11 Joseph de Moret: Investigaciones históricas de las antigùedades del Reino de Navarra. Pamplona 1766, S. 727.
    12 Zu Fernandos Sterbedatum siehe: Enríque Flórez (Hrsg.): Annales Compostellani. In: España Sagrada. Band 23, 1767, S. 322.
    Weblinks
     Commons: Sancho VI. – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

    Familie/Ehepartner: Sancha von Kastilien. Sancha (Tochter von König Alfons VII. von León (von Kastilien) und Berenguela von Barcelona) gestorben am 5 Aug 1177; wurde beigesetzt in Kathedrale, Pamplona. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 75. Königin Berengaria von England (von Navarra)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in zw 1165 und 117i0 in Königreich Navarra; gestorben am 23 Dez 1230.
    2. 76. König Sancho VII. von Navarra  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 7 Apr 1234.
    3. 77. Gräfin Blanka von Navarra  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1229.

  10. 47.  Prinzessin Blanka von NavarraPrinzessin Blanka von Navarra Graphische Anzeige der Nachkommen (27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in nach 1133; gestorben am 12 Aug 1156; wurde beigesetzt in Kloster Santa Maria la Real, Nájera.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Prinzessin von Navarra

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Blanka_von_Navarra_(Kastilien)

    Blanka von Navarra (* nach 1133; † 12. August 1156) war eine Prinzessin von Navarra.
    Blanka war die Tochter von García IV. und Marguerite de l’Aigle. Am 4. Februar 1151 heiratete sie Sancho III., den Sohn von Alfons VII., König von Kastilien und León. Die beiden hatten mehrere Kinder, die kurz nach der Geburt wieder verstarben. Nur ein Sohn, der am 11. November 1155 geborene Alfons VIII., überlebte.
    Da spanische Königinnen traditionsgemäß alle königlichen Dokumente bestätigten, ist ihr Leben von der Hochzeit 1151 an gut belegt. Doch von der Geburt ihres Sohnes bis zu ihrem Tod am 12. August 1156 gibt es keine weiteren Aufzeichnungen mehr vovon ihr. Sie wurde im Kloster Santa Maria la Real in Nájera begraben. In der Grabinschrift ihres Sarkophags wird die Geburt von Alfons als Grund für ihren Tod angegeben, der lange Zeitraum von 9 Monaten zwischen Geburt und Tod hingegen lässt Raum für Spekulationen, dass sie erst an den Folgen einer weiteren Fehlgeburt starb.

    Nachkommen]
    • unbekannte Anzahl Kinder, die kurz nach der Geburt verstarben
    • Alfons VIII. (Alfonso) (* 11. November 1155; † 6. Oktober 1214), König von Kastilien
    • möglicherweise Garcías (*; † 12. August 1156), bei dessen Geburt Blanka starb

    Weblinks
     Commons: Blanche of Navarre (+1156) – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Elizabeth Valdez del Alamo: Lament for a lost queen: the sarcophagus of Dona Blanca in Najera In: The Art Bulletin, Juni 1996

    Blanka heiratete König Sancho III. von Kastilien, der Ersehnte am 4 Feb 1151. Sancho (Sohn von König Alfons VII. von León (von Kastilien) und Berenguela von Barcelona) wurde geboren in 1134; gestorben am 31 Aug 1158 in Toledo, Spanien. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 78. König Alfons VIII. von Kastilien  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 11 Nov 1155 in Soria; gestorben am 05/06 Okt 1214 in Gutierre-Muñoz, Provinz Ávila.

  11. 48.  Philippe von Clermont-en-BeauvaisisPhilippe von Clermont-en-Beauvaisis Graphische Anzeige der Nachkommen (29.Rudolf4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in nach 1178.

  12. 49.  Gräfin Katharina von Clermont-en-BeauvaisisGräfin Katharina von Clermont-en-Beauvaisis Graphische Anzeige der Nachkommen (29.Rudolf4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in vor 1178; gestorben am 19/20 Sep 1212/1213.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1192 bis 1212/1213, Clermont-en-Beauvaisis; Gräfin von Clermont-en-Beauvaisis

    Notizen:

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Clermont-en-Beauvaisis war eine nordfranzösische Grafschaft im Raum Beauvais. Hauptort war Clermont-en-Beauvaisis. Die Grafen von Clermont-en-Beauvaisis sollten nicht mit den Grafen von Clermont in der Auvergne verwechselt werden (hier ist das spätere Clermont-Ferrand gemeint), ein Titel, den die Dauphins von Auvergne zeitweise trugen.
    Nachdem zu Beginn des 11. Jahrhunderts die Grafschaft Beauvais an die Grafen von Blois gelangt war, trat Graf Odo II. von Blois 1015 dem Bischof von Beauvais den Titel und die Stadt Beauvais ab, und bildete 1023 aus dem Rest die Grafschaft Clermont-en-Beauvaisis für seinen Schwiegersohn Balduin (Baudouin), den Ehemann der Adelheid von Champagne.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Clermont-en-Beauvaisis

    Katharina heiratete Graf Ludwig von Blois in 1184. Ludwig (Sohn von Graf Theobald V. von Champagne (Blois) und Prinzessin Alix von Frankreich (Kapetinger)) wurde geboren in 1171/1172; gestorben am 14 Apr 1205 in Adrianopel. [Familienblatt] [Familientafel]


  13. 50.  Graf Rainald I. von Dammartin (Haus Mello)Graf Rainald I. von Dammartin (Haus Mello) Graphische Anzeige der Nachkommen (30.Mathilde4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1165; gestorben in 1227.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Boulogne (1190 bis 1211), Graf von Dammartin (1200 bis 1211), Graf von Aumale (1204 bis 1206), Graf von Mortain (bis 1211)
    • Titel (genauer): Grafschaft Dammartin; Graf von Dammartin (Haus Mello)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Rainald_I._von_Dammartin

    Rainald I. von Dammartin (franz: Renaud de Dammartin), in den Chroniken zumeist Rainald von Boulogne genannt (* um 1165; † 1227), war von 1190 bis 1211 Graf von Boulogne, von 1200 bis 1211 Graf von Dammartin, von 1204 bis 1206 Graf von Aumale und von 1206 bis 1211 Graf von Mortain. Er war ein Sohn des Grafen Aubry II. von Dammartin und der Mathilde de Clermont. Sein jüngerer Bruder war Simon von Dammartin.
    Er wurde vor allem für seinen mehrmaligen Verrat an König Philipp II. August von Frankreich bekannt.

    Leben
    Aufgewachsen am französischen Hof wurde er ein Jugendfreund des späteren Königs Philipp II. August, kämpfte zunächst aber – auf Anordnung seines Vaters – unter der Fahne der Plantagenet. Nach dem Tod Heinrichs II. Plantagenet 1189 unterwarfen sich die Dammartin der Krone. Rainald heiratete eine Kusine des Königs, Marie von Châtillon, Tochter des Herren Guido II. von Châtillon und der Alix von Dreux.

    Aber auf Anraten König Philipps II. verstieß Rainald um 1190 seine Frau und entführte Ida von Elsass († 1216), Tochter des Matthäus von Elsass und der Maria von Blois. Ida war die Gräfin von Boulogne und schon zwei Mal verwitwet. Durch die erzwungene Ehe mit Ida 1191 kam er in den Besitz von Boulogne, das bis dahin ein Lehen des Grafen von Flandern war. Rainald aber nahm die Grafschaft als Lehen direkt vom König von Frankreich, der somit den mächtigen Grafen von Flandern schwächen wolllte. Durch die Trennung von seiner ersten Frau hatte sich Rainald allerdings deren familiären Anhang aus dem Hause Dreux, namentlich Bischof Philipp von Beauvais, zum Feind gemacht. Zu ihnen gesellte sich auch der benachbarte Graf von Guînes, der zuvor mit Ida verlobt gewesen war. Nach einer Fehde mit dem Grafen Hugo IV. von Saint-Pol 1197 wechselte Rainald auf die Seite Richard Löwenherz’, kehrte nach dessen Tod 1199 aber wieder an die Seite König Philipps II. zurück, von dem er in Gnaden aufgenommen wurde. Seine Freundschaft zum König schützte ihn einstweilen vor seinen Feinden. 1201 verlobte er seine Tochter mit dem Königssohn Philipp Hurepel, 1204 erhielt er zusätzlich die Grafschaft Aumale übertragen, die er 1206 an seinen Bruder Simon weiterreichte und dafür die Grafschaft Mortain erhielt. Rainald wurde dadurch einer der mächtigsten Herren Nordfrankreichs.

    Die Fehde mit Bischof Philipp von Beauvais führte allerdings 1210 zum Bruch mit dem König, den Rainald vor dem versammelten Hof bedroht hatte. Der König eröffnete ein Hofgerichtsverfahren gegen Rainald und besetzte 1211 die Burg von Mortain, die Rainald gegen eine königliche Verfügung befestigt hatte. Anschließend nahm der König auch Boulogne ein, was Rainald zusammen mit seinem Bruder Simon zur Flucht aus Frankreich nötigte. Zusammen mit dem Grafen Ferrand von Flandern zog er im Herbst 1213 an den Hof König Johanns Ohneland nach England, dem sie dort huldigten und damit gegenüber dem König von Frankreich Felonie (Hochverrat) begingen.

    Im Frühjahr 1214 kehrten die Verräter mit einem englischen Heer unter dem Grafen von Salisbury nach Flandern zurück und nahmen den Kampf gegen Frankreich auf. Rainald griff im Januar 1214 Cassel an und verwüstete die Grafschaft Guînes im Mai, Anschließend vereinten sie sich mit dem Heer Kaiser Ottos IV. und zogen dem König von Frankreich entgegen. Am 27. Juli 1214 kam es zur entscheidenden Schlacht bei Bouvines, in der Rainald den rechten Flügel des englisch-welfischen Bündnisses anführte. Angeblich soll er von der Schlacht abgeraten haben, da er nicht an einem Sonntag kämpfen wollte, worüber er mit seinem Mitstreiter Hugo von Boves in einen Streit geriet.

    Von den Verbündeten kämpfte Rainald bis zuletzt, auch nachdem sich die Niederlage abgezeichnet hatte. Er wurde schließlich wie auch der Graf von Flandern gefangen genommen und zunächst in einen Kerker in Péronne eingesperrt. Später wurde er in ddie Burg von Goulet überführt, wo er bis zu seinem Tod 1227 in Haft blieb. Kurz zuvor hatte die Regentin Blanka von Kastilien den Grafen von Flandern freigelassen. Gegenüber einer Freilassung Rainalds zögerte sie allerdings, da sie auf ein gutes Einvernehmen mit ihrem Schwager Philipp Hurepel, der inzwischen die Besitzungen seines Schwiegervaters übernommen hatte, angewiesen war. Angeblich soll Rainald die Aussichtslosigkeit seiner Begnadigung erkannt und darauf Selbstmord begangen haben.

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Dammartin mit dem Hauptort Dammartin-en-Goële lag zwischen Paris und dem Valois.
    Sie entstand im 10. Jahrhundert als Herrschaft und wurde um 1025 von Manasses von Dammartin zur Grafschaft erhoben, als dieser den entsprechenden Titel annahm.
    Beim Tod der Mathilde (Mahaut) von Dammartin 1259, der Witwe von Philipp Hurepel, ging Dammartin an das Haus Trie.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Dammartin

    Gestorben:
    Angeblich Selbstmord in Haft.

    Familie/Ehepartner: Marie von Châtillon. [Familienblatt] [Familientafel]

    Rainald heiratete Gräfin Ida von Elsass in 1191. Ida (Tochter von Graf Matthäus von Elsass (von Flandern) und Gräfin Maria von Boulogne (von Blois)) wurde geboren in 1160/61; gestorben am 21 Apr 1216. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 79. Gräfin Mathilde von Dammartin (Haus Mello)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1259.

  14. 51.  Graf Simon von Dammartin (von Ponthieu)Graf Simon von Dammartin (von Ponthieu) Graphische Anzeige der Nachkommen (30.Mathilde4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1239.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrschaft, Grafschaft Aumale; Graf von Aumale
    • Titel (genauer): Grafschaft Ponthieu; Graf von Ponthieu (durch Heirat)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Simon_von_Dammartin (Feb 2022)

    Simon von Dammartin († 1239) war ein Graf von Aumale und Ponthieu. Er war ein Sohn des Grafen Aubry II. von Dammartin, sein älterer Bruder war Graf Rainald I. von Dammartin.

    Leben
    Zusammen mit seinem Vater und Bruder stand Simon Ende des 12. Jahrhunderts auf der Seite der Haus Plantagenets gegen den französischen König Philipp II. August. Nach dem Tod Richards Löwenherz 1199 wechselte er mit seinem Bruder die Seite und unterstützte König Philipp im Kampf gegen Johann Ohneland. Als Lohn für seine Dienste erhielt er dafür die Belehnung mit der Grafschaft Aumale im Jahr 1206, die hatte seit 1196 Rainald gehört der nun aber die Grafschaften Mortain erhalten hatte. Zusätzlich konnte Simon im Jahr 1208 Marie († 1250), die einzige Tochter und Erbin des Grafen Wilhelm II. Talvas von Ponthieu und Nichte des Königs, heiraten und sich somit die Anwartschaft auf deren Erbe sichern.
    In den folgenden Jahren aber distanzierten sich Simon wie auch sein Bruder von König Philipp, der die Macht des Lehnsadels zugunsten der königlichen Autorität eingeschränkt hatte. 1211 stellten sie sich in offener Rebellion gegen den König und sschlossen sich mit dem Grafen Ferrand von Flandern der englisch-welfischen Allianz gegen Frankreich an. Am 27. Juli 1214 kämpften sie glücklos in der Schlacht bei Bouvines, Rainald wurde gefangen genommen und Simon musste in das Exil nach England fliehen. Seine Besitzungen wurden von König Philipp eingezogen und an dessen Sohn Philipp Hurepel vergeben.
    Nachdem im Jahr 1223 König Philipp August gestorben war versuchte Simon von England aus die Grafschaft Ponthieu zu erobern, auf das er seit dem Tod seines Schwiegervaters 1221 einen Anspruch erhob. Er konnte kurzzeitig Abbeville einnehmen, allerdings wurde er von der Bevölkerung der Stadt und einem Entsatzheer König Ludwigs VIII. wieder vertrieben. Wenig später unterwarf er sich dem König und erhielt mit seiner Frau deren Erbe ausgehändigt, allerdings stark verringert indem sie Saint-Riquier und Doullens an den Grafen von Alençon, der ein Verwandter Marias war, aushändigen mussten. 1234 erhielt Simon sogar Aumale nach dem Tod Philipp Hurepels zurückerstattet.
    Simon wurde nach seinem Tod in der Zisterzienserabtei von Valloires bestattet. Seine Enkelin, Eleonore von Kastilien, war mit dem englischen König Eduard I. verheiratet.

    Titel (genauer):
    Ponthieu ist die Familie der Grafen von Ponthieu und Montreuil von der Mitte des 9. bis zum Ende des 11. Jahrhunderts.
    Der erste Graf ist Herluin, der 863 als Graf auftritt, nachdem er bereits zehn Jahre zuvor königlicher missus für Rouen und Ponthieu auftrat. Die Grafschaften Ponthieu und Montreuil wurden knapp 140 Jahre vom Vater auf den Sohn vererbt, bis mangels männlicher Nachkommen das Haus Montgommery in Person von Robert de Bellême durch Heirat die Nachfolge antrat.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ponthieu_(Adelsgeschlecht)



    Ponthieu (flämisch: Ponteland) ist der Name einer alten französischen Grafschaft. Ihre Hauptstadt war Abbeville, ihre stärkste Festung Montreuil.
    Heute ist Ponthieu ein Pays, also eine Art freiwillige Planungsregion ohne die Eigenschaft einer eigenständigen Gebietskörperschaft im Sinne des Gesetzes vom 4. Februar 1995[1] bzw. im Sinne der Folgeregelung im Loi Pasqua (LOADDT) vom 25. Juni 1999. Das Gebiet liegt ziemlich genau zwischen der Somme und der Authie und wird im Westen durch den Marquenterre begrenzt. Ponthieu umfasst die Kantone Crécy-en-Ponthieu, Nouvion-en-Ponthieu und Ailly-le-Haut-Clocher.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ponthieu



    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Aumale, später Herzogtum Aumale, lag in der Normandie westlich von Amiens.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Herzogtum_Aumale

    Simon heiratete Gräfin Marie von Ponthieu (von Montgommery) in 1250. Marie (Tochter von Graf Wilhelm IV. von Ponthieu (Talvas) (von Montgommery) und Prinzessin Alix von Frankreich) wurde geboren am 17 Apr 1199; gestorben am 21 Sep 1250 in Abbeville, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 80. Gräfin Johanna von Dammartin (von Ponthieu)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1279.
    2. 81. Marie de Dammartin (Haus Mello)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in nach 1279.

  15. 52.  Herr Dreux IV. de MelloHerr Dreux IV. de Mello Graphische Anzeige der Nachkommen (31.Dreux4, 15.Richhilde3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in 1137/38 in Mello; gestorben am 3 Mrz 1218.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Saint-Bris und Baulche Herr von Mello, Kastellan von Loches und Châtillon-sur-Indre Stallmeister von Frankreich (1193)
    • Titel (genauer): Seigneur de Baulche et de Saint-Bris Connétable von Frankreich (1193)

    Notizen:

    Zitat aus. https://de.wikipedia.org/wiki/Dreux_IV._de_Mello

    Dreux IV. de Mello

    Dreux IV. von Mello (* 1138; † 3. März 1218) war Herr von Saint-Bris und Baulche, später Herr von Mello, Kastellan von Loches und Châtillon-sur-Indre, sowie Connétable von Frankreich.

    Er war der Sohn von Dreux III. de Mello und dessen Gattin Basilie von Beauvais, seine Großmutter mütterlicherseits war eine Tante des Connétables von Frankreich, Graf Rudolf I. von Clermont. Der Connétable namens Dreux, der bis 1106 im Amt war, war vermutlich sein Vorfahr. Sein älterer Bruder Guillaume I. de Mello (* 1134; † 1191) hatte die väterliche Herrschaft Mello geerbt. Dreux hatte die Herrschaften Saint-Bris und Baulche erhalten. Beide waren sie Vasallen des Grafen von Beaumont.

    Zusammen mit Guillaume II. des Barres verteidigte Dreux im August 1189 Châteauroux gegen Richard Löwenherz.[1] Mit seinem Bruder Guillaume nahm er im Gefolge des Königs Philipp II. August am dritten Kreuzzug teil.[2] Nach der Eroberung von Akkon wurde ihm die Bewachung jener Gefangenen überantwortet, die dem französischen König zugesprochen wurden.[3][4] Im weiteren Verlauf des Kreuzzuges starb Guillaume, womit Dreux die Herrschaft Mello erbte. Er blieb im heiligen Land zurück als König Philipp II. nach Frankreich zurückreiste und kämpfte 1191 mit in der Schlacht von Arsuf.[5]

    Zurück in Frankreich wurde Dreux von König Philipp II. zum königlichen Connétable ernannt. Als solcher nahm er 1194 die Friedensgespräche mit Richard Löwenherz auf, nachdem dieser im Gefecht von Fréteval über den französischen König gesiegt hatte.[6] In diesem Amt eroberte für die Krone Loches und Châtillon-sur-Indre, wo er 1204 Kastellan wurde.

    Mehr unter dem Link oben..

    Name:
    Es ist unklar, wie dieser Dreux IV. de Mello in die Familie einzuordnen ist. Einerseits wird er als Sohn von Dreux de Mello († 1138) und Agnès de Toucy angesehen, andererseits als Sohn von Dreux III. de Mello (1136 bezeugt) und Basilie? von Beauvais (von Bulles).

    (Ich habe hier beide Versionen dargestellt. ms)

    Siehe auch Stammliste der von Mello:
    https://de.wikipedia.org/wiki/Mello_(Adelsgeschlecht)

    Geburt:
    https://de.wikipedia.org/wiki/Mello_(Oise)

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 82. Giullaume de Mello  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1249.
    2. 83. Herr Dreux de Mello, der Jüngere  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben am 8 Jan 1249 in Zypern.
    3. 84. Agnès de Mello  Graphische Anzeige der Nachkommen

  16. 53.  Roger de Clare, 2. Earl of Hertford Roger de Clare, 2. Earl of Hertford Graphische Anzeige der Nachkommen (32.Richard4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1173.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Hertford; 2. Earl of Hertford

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Roger_de_Clare,_2._Earl_of_Hertford (Sep 2021)

    Roger de Clare, 2. Earl of Hertford († 1173) war ein anglonormannischer Adliger.

    Er war ein Sohn von Richard FitzGilbert de Clare und dessen Frau Adeliza, Tochter von Ranulph le Meschin, 1. Earl of Chester. Nach dem Tod seines älteren Bruders Gilbert, der 1152 ohne männliche Nachkommen starb, erbte er die südenglischen Besitzungen Clare und Tonbridge und den Titel eines Earl of Hertford. Der von König Stephan geschaffene Titel wurde vom neuen König Heinrich II. bestätigt, dennoch wurde Roger oft auch Earl de Clare genannt.

    Kampf um die walisischen Besitzungen
    Roger versuchte die von seinem Großvater Gilbert de Clare eroberten Besitzungen im walisischen Ceredigion zurückzuerlangen, die nach dem Tod seines Vaters und der Schlacht von Crug Mawr 1136 wieder von Walisern erobert worden waren. 1157 nahm er am Feldzug Heinrichs II. nach Nordwales teil, wo er während eines Gefechts am Coleshill die von Henry d’Essex verlorene königliche Standarte rettete. Nach dem Frieden Heinrichs mit dem walisischen Fürsten Lord Rhys erwarb er 1158 Cardigan, Aberdyfi und eine Reihe von anderen walisischen Burgen. Eine dieser Burgen, Castell Hywel wurde jedoch von Rhys Neffen Einion erobert und geplündert. 1159 versuchte Roger vergeblich mit vier weiteren englischen Earls sowie einer Allianz walisischer Fürsten Lord Rhys aus dem südwalisischen Cantref Mawr zu vertreiben. Als Einion 1163 heimtückisch im Schlaf von einem seiner Gefolgsmänner ermordet wurde, nahm Roger den Mörder auf. Lord Rhys verdächtigte Roger deshalb der Anstiftung zu dem Mord und griff seine Besitzungen in Ceredigion an. Nach dem fehlgeschlagenen walisischen Feldzug Heinrichs II. von 1165 konnte Lord Rhys im Gegenzug Cardigan Castle und ganz Ceredigion erobern. Damit waren die walisischen Besitzungen seines Vaters für Roger endgültig verloren.

    Gefolgsmann des Königs und Streit mit Thomas Becket
    Roger begleitete den König mindestens zweimal nach Frankreich, einmal vermutlich 1156, als er bei der Belagerung von Chinon anwesend war, und im Winter von 1160 bis 1161. Bei dieser Reise geriet Roger mit Thomas Becket in Streit, der gerade Erzbischof von Canterbury geworden war und deswegen Rogers Huldigung für Tonbridge Castle forderte. Roger verweigerte diese, was zu einem fortdauernden Streit führte, bis Erzbischof Hubert Walter 1194 die Huldigung von Rogers Sohn und Erben erhielt. Dieser Streit war mit eine Ursache für das Zerwürfnis zwischen dem König und dem Erzbischof, da der König Rogers Haltung unterstützte. Roger nahm an dem Treffen in Clarendon im Januar 1164 teil, als Becket mit den Constitutions of Clarendon konfrontiert wurde, deren Zustimmung er verweigerte.

    1171 begleitete er den König bis Pembroke, von wo dieser sich nach Irland einschiffte. Während der Rebellion der Söhne Heinrichs gegen ihren Vater verhielt er sich unentschlossen, da die Familie seiner Frau sich der Rebellion anschloss. Der König versuchte ihn auf seine Seite zu ziehen, in dem er ihm weitere Ländereien gab, doch er starb, bevor er eindeutig Partei ergreifen musste. Er wurde in Stoke bei Clare in Suffolk begraben. Sein Nachfolger und Erbe wurde sein Sohn Richard.

    Familie und Nachkommen
    Er war mit Matilda (auch Maud genannt) verheiratet, einer Tochter von James de St Hilaire (oder St Hilary), einem englisch-bretonischen Grundbesitzer.

    Seine Witwe Matilda heiratete in zweiter Ehe William d’Aubigny, 2. Earl of Arundel.

    Titel (genauer):
    Earl of Hertford war ein erblicher britischer Adelstitel, der dreimal in der Peerage of England und einmal in der Peerage of Great Britain verliehen wurde und der nach der Stadt Hertford benannt ist.
    Der Titel wurde erstmals um 1138 in der Peerage of England an Gilbert de Clare verliehen. Sein Großneffe, der 4. Earl, erbte 1217 von seiner Tante Isabel, 3. Countess of Gloucester auch den Titel 4. Earl of Gloucester. Beide Titel erloschen schließlich, als der 8. Earl am 24. Juni 1314 kinderlos in der Schlacht von Bannockburn fiel.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Hertford

    Roger heiratete Matilda (Maud) de St. Hilaire (St. Hilary) in Datum unbekannt. Matilda (Tochter von James de St Hilaire) wurde geboren in Le Harcouet, Picardie, France. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 85. Graf Richard de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in wohl 1153; gestorben am 28 Nov 1217.
    2. 86. Aveline de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in zw 1220 und 1225.

  17. 54.  Graf Richard de Clare, 2. Earl of Pembroke Graf Richard de Clare, 2. Earl of Pembroke Graphische Anzeige der Nachkommen (33.Gilbert4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in 1130 in Tonbridge, Kent, England; gestorben am 20 Apr 1176 in Dublin, Irland.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Pembroke Castle, Wales; 2. Earl of Pembroke (Erste Verleihung)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Richard_de_Clare,_2._Earl_of_Pembroke

    Richard Fitz Gilbert de Clare, genannt Strongbow (* 1130 in Tonbridge, Kent, England; † 20. April 1176 in Dublin, Irland), war 2. Earl of Pembroke, Lord of Striguil, Lord of Leinster und Marschall von England. Bekannt wurde er als Heerführer beim Feldzug nach Ostirland 1169–1171 unter König Heinrich II. von England.

    Herkunft
    Richard entstammte der normannischen Adelsfamilie Clare, die mit Wilhelm dem Eroberer nach England gekommen war. Er war der Sohn von Gilbert de Clare, 1. Earl of Pembroke (auch Gilbert FitzGilbert de Clare genannt), und seiner Frau Isabel de Beaumont. Sein Onkel war Richard FitzGilbert de Clare.

    Leben
    Nach dem Tod seines Vaters 1148 erbte er dessen Titel und die Besitzungen in Wales, die er aber 1168 wieder verlor. Er wurde jedoch von König Heinrich II. dazu bestimmt, einen Feldzug nach Irland vorzubereiten. Er sollte Dermot MacMurrough, den König des irischen Teilkönigreiches Leinster, bei der Wiedergewinnung seiner Herrschaft gegen irische Rebellen unterstützen. Im Jahre 1170 setzte er von England nach Irland über und eroberte Waterford und Dublin. Richard heiratete im selben Jahr Aoife, die Tochter Dermot MacMurroughs.

    Für Heinrich II. von England war Strongbow nun aber zu mächtig geworden. Er rief daher seine Truppen zurück. Als nunmehr Dermot MacMurrough ohne männlichen Erben starb, wurde Richard, genannt Strongbow, sein Nachfolger aus dem Recht seiner Ehefrau (iure uxoris). Damit begann die Herrschaft der Anglo-Normannen in Irland. Sogleich kam es aber zu einem Aufstand, den Richard nur mühsam unterdrücken konnte. Er musste die Hilfe Heinrichs II. suchen, der ihn im Jahr 1171 aller seiner Ämter entkleidete und im Jahr 1172 selbst einen Feldzug nach Irland durchführte.

    1173 war der König jedoch wieder auf die Hilfe Strongbows angewiesen, als seine Söhne Heinrich der Jüngere, Richard Löwenherz und Gottfried gegen ihren Vater rebellierten. Strongbow wurde wieder in seine Ämter eingesetzt und verteidigte seine Besitzungen gegen die irischen Aufständischen.

    Als Strongbow im Jahr 1176 starb, ging der Titel auf seinen minderjährigen Sohn Gilbert über, der 1185 im Alter von 12 Jahren starb. Der Titel wurde später dem Mann seiner Tochter Isabel, Sir William Marshal, neu verliehen, der die zweite Linie der Earls of Pembroke begründete.

    Titel (genauer):
    Earl of Pembroke ist ein erblicher britischer Adelstitel in der Peerage of England, benannt nach der Ortschaft Pembroke bzw. der naheliegenden Burg Pembroke Castle in Wales. Außerdem wurde auch einmal der Titel eines Marquess of Pembroke verliehen (siehe Anne Boleyn).
    Der Titel wurde insgesamt zehnmal verliehen. Erstmals erfolgte dies 1138 durch den englischen König Stephan an Gilbert de Clare. Mit dem Aussterben dieser Linie des Hauses Clare erlosch der Titel 1185.
    Die zweite Verleihung erfolgte nur vier Jahre später an Sir William Marshal aus der Familie Marshal, einen der berühmtesten und besten Ritter seiner Zeit. Dieser hatte die älteste Tochter des zweiten Earls der vorhergehenden Verleihung geheiratet. Der Titel erlosch 1245, als der letzte Sohn Marshals ohne Erben starb.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Pembroke

    Richard heiratete Aoife MacMurrough in 1170 in Irland. Aoife wurde geboren in cir 1145 in Irland; gestorben in 1188 in Irland. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 87. Gräfin Isabel de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in zw 1171 und 1176; gestorben in 1220; wurde beigesetzt in Tintern Abbey, Wales, England.

  18. 55.  Graf Aubrey III. von Vere, 1. Earl of Oxford Graf Aubrey III. von Vere, 1. Earl of Oxford Graphische Anzeige der Nachkommen (34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1115; gestorben am 26 Dez 1194; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Besitz: Ickleton, Cambridgeshire, England
    • Titel (genauer): 1137 bis 1144/46, Grafschaft Guînes; 7. Graf von Guînes (Haus Guînes)
    • Titel (genauer): 1141 bis 1194, Hedingham Castle, Essex, England; 1. Earl of Oxford (als Aubrey I.)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Aubrey_de_Vere,_1._Earl_of_Oxford

    Aubrey de Vere, 1. Earl of Oxford (* um 1115; † 26. Dezember 1194) war ein englischer Adliger, der in den Thronfolgestreit zwischen König Stephan und Kaiserin Matilda Mitte des 12. Jahrhunderts, genannt die Anarchie, verwickelt war.

    Er war der Sohn von Aubrey II. de Vere, Master Chamberlain, und Alice de Clare, Tochter von Gilbert de Clare. 1136 oder 1137 heiratete er Beatrix de Bourbourg, Tochter von Henri, Kastellan von Bourbourg († 1168), sowie Enkelin und Erbin von Manassès, Graf von Guînes. Nach dem Tod von Manassès 1137 reiste Aubrey nach Guînes, huldigte Dietrich von Elsass, Graf von Flandern, und wurde aus dem Recht seiner Ehefrau (iure uxoris) als Graf von Guînes bestätigt.[1]

    Am 15. Mai 1141 beerbte Aubrey seinen Vater, der im Streit zwischen Stephan und Matilda in London von einem Mob erschlagen worden war.[2] König Stephan war bei der Schlacht von Lincoln im Februar 1141 gefangen genommen worden, so dass Aubrey nun Matilda huldigte. Sein Schwager Geoffrey de Mandeville, 1. Earl of Essex scheint die Vergabe eines Earldoms an Aubrey im Juli 1141 erreicht zu haben, das von ihrem Sohn Henry fitz Empress in der Normandie bestätigt wurde. Dessen Urkunde sah vor, das Aubrey de Vere den Titel Earl of Cambridge erhalten solle, es sei denn, Cambridgeshire werde vom König von Schottland gehalten, in welchem Fall er die Auswahl aus vier anderen Titeln haben solle. Als der Fall eintrat, entschied sich Aubrey für den eines Earl of Oxford.[3] Als König Stephan Ende 1141 aus der Gefangenschaft frei kam, schloss Geoffrey de Mandeville Frieden mit ihm, und Aubrey de Vere scheint es ihm gleichgetan zu haben.

    Im Jahr 1143 jedoch verhaftete der König die Earl of Essex und Oxford in St Albans. Beide wurden gezwungen, ihre Burgen dem König zu übergeben, um ihre Freiheit wiederzugewinnen. Essex revanchierte sich, indem er sich gegen den König auflehnte; es scheint aber, dass Oxford seinen Schwager dabei nicht aktiv oder offen unterstützt hat.

    Seine Ehe mit Beatrix de Bourbourg scheint unterdessen aufgrund von Beatrix’ schwacher Gesundheit nicht vollzogen worden zu sein. Irgendwann zwischen 1144 und 1146 einigte sich Oxford mit seinem Schwiegervater auf die Scheidung von Beatrix, wodurch Aubrey de Vere auch auf den Titel eines Grafen von Guînes verzichtete.[4] Spätestens 1151 heiratete er Euphemia, König Stephan und Königin Mathilda gaben ihm das Anwesen von Ickleton in Cambridgeshire als Euphemias Mitgift. Die Ehe war nur von kurzer Dauer, da Euphemia 1154 bereits ohne Nachkommen verstorben war; sie wurde in Colne Priory in Earls Colne bestattet. Am 3. Mai 1152 starb Königin Mathilda in Hedingham Castle, der Burg Aubreys.[5], im Winter 1152/53 nahm de Vere an Stephans Belagerung von Wallingford Castle teil, wo er 1153 wichtige Urkunden als „Earl Aubrey“ unterzeichnete.

    1162 oder 1163 schloss er eine dritte Ehe mit Agnes of Essex, Tochter von Henry of Essex, Constable of England und Lord of Rayleigh. Zu dieser Zeit war Agnes vermutlich 12 Jahre alt. Kurz nach der Hochzeit wurde Aubreys Schwiegervater wegen Verrats angeklagt, er kämpfte und verlor die juristische Auseinandersetzung. Bis 1165 versuchte Aubrey nun, die Ehe annullieren zu lassen, angeblich, weil Agnes mit seinem Bruder Geoffrey de Vere verlobt gewesen war, wahrscheinlicher aber, weil ihr Vater in Ungnade gefallen und ruiniert worden war. Oxford „verbot seiner Frau den Mund und erlaubte ihr nicht, in die Kirche zu gehen oder auszugehen, und weigerte sich, mit ihr zusammenzuleben“, so der Bischof von London in einem Brief an den Papst über den Fall, nachdem die junge Countess sich an die Römische Kurie gewandt hatte. Der Papst schloss sich Agnes‘ Position an und erklärte die Ehe für gültig, aber der Earl weigerte sich weiterhin, sie als seine Frau zurückzunehmen. Agnes' Freunde wandten sich an den Bischof von London und letztendlich an Papst Alexander III., der den Bischof 1171 oder 1172 anwies, Oxford zu befehlen, Agnes‘ ehelichen Rechte wiederherzustellen, oder ihn bei Weigerung zu exkommunizieren.[6]

    Von Agnes bekam Oxford schließlich vier Söhne, Aubrey de Vere, 2. Earl of Oxford, Ralph de Vere, Robert de Vere, 3. Earl of Oxford und Henry de Vere, sowie die Tochter Alice de Vere.[7]

    Im Bürgerkrieg von 1173/74 half Oxford, Robert de Beaumont, 3. Earl of Leicester abzuwehren, der mit einer Truppe am 29. September 1173 in Suffolk gelandet war.[8]

    1184 erhielt er die Vormundschaft über Isabel de Bolebec, der Tochter von Walter de Bolebec nicht aber die Verwaltung ihrer Güter übertragen. 1190 zahlte er 500 Mark für das Recht, sie mit seinem ältesten Sohn und Erben, Aubrey de Vere, später 2. Earl of Oxford zu verheiraten.[9] Sie ist nicht zu verwechseln ist mit ihrer Tante Isabel de Bolebec (1164–1245), Witwe von Henry de Nonant, Lord of Totnes, und Tochter von Hugh de Bolebec, Lord of Whitchurch (Buckinghamshire), die Robert de Vere, den späteren 3. Earl of Oxford heiratete.

    Am 3. September 1189 nahm Aubrey de Vere an der Krönung von König Richard I. teil.[10] Er starb am 26. Dezember 1194 und wurde in Colne Priory bestattet. Agnes überlebte in und wurde später an seiner Seite begraben.

    Titel (genauer):
    1136 oder 1137 heiratete Aubrey Beatrix de Bourbourg, Tochter von Henri, Kastellan von Bourbourg († 1168), sowie Enkelin und Erbin von Manassès, Graf von Guînes. Nach dem Tod von Manassès 1137 reiste Aubrey nach Guînes, huldigte Dietrich von Elsass, Graf von Flandern, und wurde aus dem Recht seiner Ehefrau (iure uxoris) als Graf von Guînes bestätigt.

    Titel (genauer):
    Earl of Oxford war einer der ältesten erblichen britischen Adelstitel in der Peerage of England. Familiensitz der Earls war Hedingham Castle in Essex.
    Der Titel wurde im Juli 1142 durch Letters Patent von König Stephan an Aubrey III. de Vere verliehen. Er war der Sohn von Aubrey II. de Vere aus der Familie de Vere. In der ursprünglichen Verleihungsurkunde hieß der Titel noch Earl of Cambridge wurde aber kurz darauf in Earl of Oxford geändert, infolge eines Einspruches König Davids I. von Schottland, der Cambridge als Teil des als Apanage seiner Gattin ihm gehörigen Earldoms of Huntingdon betrachtete.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Oxford

    Aubrey heiratete Beatrix von Bourbourg in 1136/37, und geschieden in 1144/1146. [Familienblatt] [Familientafel]

    Aubrey heiratete Euphemia in cir 1151. Euphemia gestorben in 1154; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England. [Familienblatt] [Familientafel]

    Aubrey heiratete Agnes von Essex in 1162/63. Agnes (Tochter von Henry von Essex und Cecily) wurde geboren in cir 1150; gestorben in nach 1206; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 88. Aubrey IV. de Vere, 2. Earl of Oxford  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1163; gestorben in Okt 1214.
    2. 89. Robert de Vere, 3. Earl of Oxford  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1164; gestorben in vor 15 Okt 1221.

  19. 56.  Alice (de Vere ?)Alice (de Vere ?) Graphische Anzeige der Nachkommen (34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1)

    Notizen:

    Geburt:
    Filation nicht sicher ?
    Laut Bericht über Henry of Essex war seine zweite Ehefrau, Alice, die Witwe oder Tochter eines Robert de Vere († um 1151).

    Im Bericht über Aubrey II. de Vere erscheint Alice als dessen Tochter und somit Schwester des Robert..??

    In diesem Falle wäre Alice die Schwester des Ehemannes der Tochter Agnes von Henry of Essex und dessen ersten Ehefrau Cecily..?

    Alice heiratete Henry von Essex in Datum unbekannt. Henry (Sohn von Robert Fitzsweyn von Essex und Gunnora Bigod) gestorben in nach 1163. [Familienblatt] [Familientafel]


  20. 57.  Juliana de VereJuliana de Vere Graphische Anzeige der Nachkommen (34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1199/1200.

    Juliana heiratete Graf Hugh Bigod, 1. Earl of Norfolk in Datum unbekannt. Hugh (Sohn von Roger Bigod und Alice de Tosny) wurde geboren in vor 1107; gestorben in zw 1176 und 9 Mrz 1177. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 90. Graf Roger Bigod  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1143; gestorben in vor 2 Aug 1221.

  21. 58.  Bartholomäus von EschBartholomäus von Esch Graphische Anzeige der Nachkommen (35.Alis4, 17.Irmtrud3, 6.Adelheid2, 1.Alix1) gestorben in spätestens 1192.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1175-1184)

    Familie/Ehepartner: von Bettingen. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 91. Heinrich von Esch  Graphische Anzeige der Nachkommen

  22. 59.  Ebal von GrandsonEbal von Grandson Graphische Anzeige der Nachkommen (36.Bartholomäus4, 18.Ebal3, 6.Adelheid2, 1.Alix1) gestorben in spätestens 1186.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Belmont-sur-Lausanne, VD, Schweiz; Herr von Belmont https://de.wikipedia.org/wiki/Belmont-sur-Lausanne
    • Titel (genauer): La Sarraz; Herr von La Sarraz https://de.wikipedia.org/wiki/La_Sarraz

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1154-1174)

    Herr von La Sarraz und Belmont, scheint eine Fahrt ins heilige Land unternommen zu haben.

    Familie/Ehepartner: Jordane. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 92. Ebal von Grandson  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1235/38.

  23. 60.  König Alfons II. (Raimund) von Aragón (von Barcelona)König Alfons II. (Raimund) von Aragón (von Barcelona) Graphische Anzeige der Nachkommen (37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren am 25 Mrz 1157 in Huesca; gestorben am 25 Apr 1196 in Perpignan.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): - König von Aragonien (1162 bis zu seinem Tod) - Graf von Barcelona, Girona, Osona, Besalu, Cerdagne, Tarragona und Roussillon als Alfons I. ( ab 1163) - Graf von Provence (seit 1166) - Vizegraf von Millau und Carlat

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Alfons_II._(Aragón) (Okt 2017)

    Alfons II. von Aragón, genannt der Keusche (el Casto) (* 25. März 1157 in Huesca[1] (Aragonien, Spanien); † 25. April 1196[2] in Perpignan) war ab 1162[3] bis zu seinem Tod König von Aragonien und ab 1163[4] als Alfons I. Graf von Barcelona, Girona, Osona, Besalu, Cerdagne, Tarragona und Roussillon; Marquis von Lérida und Tortosa, Graf des Gevaudan, Vicomte von Millau und Carlat, sowie seit 1166 auch Graf von Provence[5]

    Leben
    Als zweiter Sohn nach dem als Kind verstorbenen Peter geboren, wurde er nach seinem Vater auf den Namen Raimund getauft. Auf Betreiben seiner Mutter wurde er nach dem Tod des Kronprinzen in Alfons umbenannt.
    Alfons war beliebt als Beschützer der ständischen Freiheiten und Gönner der Trobadors. Alfons dichtete selbst, in einer Kanzone feiert er das Glück der Liebe.
    Im Jahr 1172 eroberte er von Navarra aus die Grafschaft Roussillon und erwarb auch einen Teil der Provence durch Erbrecht.[6] Er gewann Saragossa zurück, eroberte Caspe und gründete die Stadt Teruel.
    Alfons konnte sich aus der Lehnsoberhoheit des kastilischen Königs lösen und vereinbarte mit ihm die beiderseitigen Interessenssphären im maurischen Spanien, wobei er sich das Königreich Valencia sicherte, das er lange bekriegte.
    Der König galt als eifriger Förderer des Dritten Standes, der in Aragonien - als einem der ersten europäischen Länder - große politische Bedeutung erlangte.
    Alfons II. wurde im Monestir de Santa Maria de Poblet in der Familiengruft der klösterlichen Kirche beigesetzt. Körperteile wurden mutmaßlich auch in der Kirche des Klosters Santa Maria de Vilabertran bestattet; dort befindet sich eine Grabplatte des Königs mit der Inschrift: Teil der Überbleibsel, die am wichtigsten sind.

    Familie/Ehepartner: Eudokia Komnena (Byzanz, Komnenen). [Familienblatt] [Familientafel]

    Alfons heiratete Sancha von Kastilien am 18 Jan 1174 in Saragossa. Sancha (Tochter von König Alfons VII. von León (von Kastilien) und Richeza von Everstein (von Polen)) wurde geboren in 21 Sep 1154 oder 1155; gestorben am 9 Nov 1208 in Villanueva de Sigena. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 93. Peter II. von Aragón, der Katholische  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1178; gestorben am 13 Sep 1213 in vor Muret.
    2. 94. Königin Konstanze von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1179 / 1184; gestorben am 23 Jun 1222 in Catania; wurde beigesetzt in Dom (Kathedrale) zu Palermo.
    3. 95. Graf Alfons II. (Berengar) von der Provence (von Aragón)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1180; gestorben am 2 Feb 1209 in Palermo, Sizilien, Italien.
    4. 96. Eleonore von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1186; gestorben in 1226.
    5. 97. Sancha von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1186; gestorben in 1242.

  24. 61.  Prinzessin Dulce von BarcelonaPrinzessin Dulce von Barcelona Graphische Anzeige der Nachkommen (37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1158/1159; gestorben am 1 Sep 1198 in Coimbra.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1185 bis 1198, Königreich Portugal; Königin von Portugal (durch Heirat)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Dulce_von_Barcelona (Jun 2017)

    Dulce von Barcelona (* 1158/1159; † 1. September 1198 in Coimbra) war eine aragonesische Prinzessin und ab 1185 bis zu ihrem Tode Königin von Portugal.
    Dulce von Barcelona wurde als Tochter des Grafen Raimund Berengars IV. von Barcelona und der Königin Petronella von Aragón geboren. Sie hatte vier Geschwister, darunter König Alfons II.

    1175 heiratete sie den portugiesischen Thronfolger, der 1185 als Sancho I. den portugiesischen Thron bestieg. Seitdem führte sie den Titel einer Königin von Portugal (als Ehefrau des Königs, nicht als Herrscherin eigenen Rechts).

    Dulce heiratete König Sancho I. von Portugal, der Besiedler in 1175. Sancho (Sohn von König Alfons I. Henriques von Portugal und Gräfin Mathilde (Mafalda) von Savoyen und Maurienne) wurde geboren am 11 Nov 1154 in Coimbra; gestorben am 26 Mrz 1211 in Coimbra. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 98. Theresia von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1178 in Coimbra; gestorben am 18 Jun 1250 in Lorvão; wurde beigesetzt in Klosterkirche, Lorvão.
    2. 99. König Alfons II. von Portugal, der Dicke  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 23 Apr 1185 in Coimbra; gestorben am 25 Mrz 1223 in Coimbra.
    3. 100. Graf Peter (Pedro) von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 23 Feb 1187; gestorben am 2 Jun 1258.
    4. 101. Prinzessin Berengaria von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1194; gestorben in 1221.
    5. 102. Fernando (Ferdinand, Ferrand) von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 24 Mrz 1188; gestorben am 26 Jul 1233; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei von Marquette.


Generation: 6

  1. 62.  Graf Walter III. von BrienneGraf Walter III. von Brienne Graphische Anzeige der Nachkommen (38.Érard5, 22.Walter4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben am 14 Jun 1205 in Sarno; wurde beigesetzt in Kirche Santa Maria della Foce, Sarno.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Brienne; Graf von Brienne

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Walter_III._(Brienne) (Sep 2023)

    Der Vater starb 1190 während des dritten Kreuzzuges, worauf Walter als Graf von Brienne nachfolgte.

    Anlässlich eines 1199 durch den Grafen von Champagne ausgerichteten Turniers in Écry-sur-Aisne, auf dem der Wanderprediger Fulko von Neuilly eine mitreißende Ansprache zu dem ein Jahr zuvor durch Papst Innozenz III. ausgerufenen vierten Kreuzzug hielt, entschloss sich Walter gemeinsam mit seinem Bruder Johann das Kreuz zu nehmen. Im Jahr darauf aber heiratete er mit Elvira († nach 1216) die Tochter des Königs Tankred von Sizilien, die nach der Entmachtung ihrer Familie durch Kaiser Heinrich VI. in Frankreich im Exil lebte.[1] Durch sie erhielt Walter einen Anspruch auf das Fürstentum Tarent und die Grafschaft Lecce im Königreich Sizilien, das allerdings von dem noch unmündigen Staufer Friedrich II. regiert wurde.

    Friedrich II. war der von Papst Innozenz III. anerkannte König Siziliens, der zugleich der Lehnsherr und Beschützer des Kindkönigs war. In der Zeit der Unmündigkeit Friedrichs II. sollte eigentlich der Papst die Regierung in Sizilien für ihn führen, doch tatsächlich wurde das Land von deutschen Rittern beherrscht, die einst mit Kaiser Heinrich VI. nach Italien gekommen waren und sich nicht der Autorität des Papstes beugen wollten. Die bedeutendsten von ihnen waren Markward von Annweiler, der auf der Insel Sizilien regierte, und Diepold von Schweinspeunt, der in Unteritalien herrschte. Papst Innozenz III. beabsichtigte diese Männer auszuschalten, wobei ihm Walter von Brienne dabei gelegen kam.

    Der Papst entband Walter von seinem Kreuzzugsgelübde und deklarierte stattdessen einen regelrechten Kreuzzug gegen die Deutschen in Unteritalien. Noch im Jahr 1200 marschierte Walter mit einem Heer nach Rom. Auf dem Mont Cenis kreuzte er den Weg des Marschalls Gottfried von Villehardouin, der gerade auf der Rückreise von Venedig war, wo er für den vierten Kreuzzug ein Transportabkommen ausgehandelt hatte. In Rom wurde Walter vom Papst förmlich mit Tarent und Lecce belehnt. Anschließend marschierte er nach Kalabrien vor und siegte im Mai 1201 in einer ersten Schlacht gegen Diepold von Schweinspeunt bei Capua. Dies wiederholte er im Juni in der Schlacht von Agnella, anschließend siegte er im Oktober 1201 auf dem historischen Feld von Cannae über die Truppen des sizilianischen Kanzlers und Papstgegners Walter von Pagliara. Danach gelang ihm die Eroberung fast ganz Apuliens und somit die Sicherung seines Erbes. Dabei erhielt er die Unterstützung einiger Ritter des vierten Kreuzzuges, die sich geweigert hatten, an der gleichzeitig stattfindenden Belagerung von Zara teilzunehmen. Walters Kampf gegen die deutschen Machthaber löste eine Welle der Begeisterung unter den jungen Italienern aus, die sich ihm anschlossen. Unter ihnen befand sich der junge Francesco aus dem umbrischen Assisi, der um das Jahr 1204 seine Rittersporen an Walters Seite verdienen wollte. Aber noch bevor er an den Kämpfen teilnahm, schwor Francesco in einem Gesinnungswandel dem Schwerte ab und kehrte in seine Heimatstadt zurück.

    Die lang propagierte Invasion der Insel Sizilien blieb in den folgenden Jahren jedoch aus. Zum einen wegen Geldmangels, aber auch wegen des zurückhaltenden Einwirkens des Papstes auf Walter. Der Papst hielt nämlich nach wie vor an Friedrich II. als König von Sizilien fest, da ihm Walter durch eine erfolgreiche Eroberung der Insel zu mächtig geworden wäre und sich vielleicht stark genug gefühlt hätte, um selbst nach der Krone zu greifen. Außerdem war die Lage in Unteritalien noch nicht beruhigt. 1204 wurde Walter in der Festung Terracina von Diepold von Schweinspeunt belagert, wobei er zwar ein Auge durch einen Pfeilschuss verlor, aber letztlich die Belagerung aufheben und Diepold in die Flucht schlagen konnte. Doch am 11. Juni 1205 geriet Walter bei Sarno in einen Hinterhalt, als er von Diepold während des Nachtlagers überfallen und schwer verwundet wurde. Er starb in deutscher Gefangenschaft drei Tage später an seinen Wunden und wurde in der Kirche Santa Maria della Foce in Sarno bestattet.

    Name:
    frz.: Gauthier de Brienne, ital.: Gualtiero di Brienne

    Geburt:
    Er war der älteste Sohn des Grafen Érard II. und der Agnes von Montbéliard, sein jüngerer Bruder war Johann von Brienne, der spätere König von Jerusalem und lateinischer Kaiser von Konstantinopel.

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Brienne war ein kleines mittelalterliches Feudalterritorium in Frankreich gelegen in der historischen Landschaft Champagne. Mit der Gemeinde Brienne-le-Château als Zentrum hatte sie deren nähere Umgebung umfasst, entsprechend dem Süden des heutigen Kantons Brienne-le-Château im Département Aube. Sie grenzte im Süden an die Grafschaften von Bar-sur-Seine und Bar-sur-Aube sowie im Westen an die Grafschaft Troyes und im Norden an die Grafschaft Rosnay.
    Zitat vom Sep 2023 aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Brienne

    Gestorben:
    Walter geriet bei Sarno in einen Hinterhalt, als er von Diepold während des Nachtlagers überfallen und schwer verwundet wurde. Er starb in deutscher Gefangenschaft drei Tage später an seinen Wunden und wurde in der Kirche Santa Maria della Foce in Sarno bestattet.

    Walter heiratete Maria Elvira von Sizilien (Hauteville) in 1200. Maria (Tochter von König Tankred von Sizilien (Lecce, Hauteville) und Sibylle von Acerra (Medania-Aquino)) gestorben in nach 1216. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 103. Graf Walter IV. von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1205; gestorben in 1246; wurde beigesetzt in 1250 in Johanniterkirche St. Johannis, Akkon.

  2. 63.  Johann von Brienne (von Jerusalem)Johann von Brienne (von Jerusalem) Graphische Anzeige der Nachkommen (38.Érard5, 22.Walter4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) wurde geboren in ca 1169 / 1174; gestorben am 23 Mrz 1237 in Konstantinopel; wurde beigesetzt in ? Kirche San Francesco von Assisi.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): König des Königreichs Jerusalem (1210 bis 1212)

    Notizen:

    Johann von Brienne heiratete dreimal.

    1. Ehefrau: Maria von Montferrat, eine Tochter
    2. Ehefrau: Stephanie von Armenien, ein Sohn der jung starb
    3. Ehefrau: Berengaria von Kastilien, vier Kinder, drei Söhne und eine Tochter

    https://de.wikipedia.org/wiki/Johann_von_Brienne

    Johann von Brienne (französisch Jean de Brienne; * um 1169/74; † 23. März 1237 in Konstantinopel) war ein französischer Kreuzritter, der als Ehemann der Königin Maria von 1210 bis 1212 als König des Königreichs Jerusalem amtierte. Weiterhin führhrte er für seine unmündige Tochter, Königin Isabella II., von 1212 bis 1225 die Regentschaft in Outremer. Anschließend wurde er der Schwiegervater des römisch-deutschen Kaisers Friedrich II., mit dem er sich allerdings verfeindete und diesen als Feldherr des Papstes auch bekämpfte. Im Jahr 1231 wurde Johann schließlich zum Kaiser des lateinischen Reichs von Konstantinopel gewählt, wo er formell mit seinem unmündigen Schwiegersohn Balduin II. eine Co-Herrschaft führte.
    Ein gealterter Paladin, treuliebend und immer mittellos, war er ein typischer fahrender Ritter, dessen Reisen ihn durch ganz Europa und nacheinander auf die Throne von Jerusalem und Konstantinopel führten.

    Herkunft und frühe Jahre
    Johann wurde als jüngster Sohn des Grafen Érard II. von Brienne und der Agnes von Montbéliard geboren. Seine Familie konnte eine lange Kreuzfahrertradition vorweisen, Graf Érard I. hatte schon am ersten Kreuzzug teilgenommen, Graf Érard II. wiie auch dessen Bruder Andreas kämpften auf dem dritten Kreuzzug. Diesem Vorbild folgend schlug auch Johann ein Leben als Ritter ein, obwohl für ihn als dem jüngsten Grafensohn eine geistliche Laufbahn vorherbestimmt worden sein dürfte. Die kleine Grafschaft Brienne in der Champagne ging an seinen ältesten Bruder Walter III., während er selbst auf kein größeres Erbe hoffen konnte.
    Nach der Weltchronik des Burchard von Ursberg begleitete Johann seinen Bruder im Jahr 1200 bis nach Rom. Walter beabsichtigte mit der Unterstützung des Papstes gegen die Regentschaft deutscher Herren und um das Erbe seiner Frau im Königreich Sizizilien zu kämpfen. Johann aber schloss sich dem gleichzeitig von Venedig aus startenden vierten Kreuzzug an, der 1204 zur Eroberung von Konstantinopel führte.[1] Von ihm wird aus dem Kreuzzugsverlauf nichts weiter berichtet, aber während er wohl in Griechenland kämpfte, fiel sein Bruder 1205 in Apulien. Johann trat 1209 erneut als Kreuzritter zu Beginn des Albigenserkreuzzuges auf. In dem Canso de la crozada des Guilhem de Tudèla wird er bei der Belagerung von Béziers genannt. In dieser Zeit hatte er seit dem Tod seines Bruders auch die Verwaltung der Grafschaft Brienne inne, für seinen Neffen Walter IV., der erst 1205 geboren war.

    König von Jerusalem
    Im Jahr 1208 entsandte der Haute Cour des Königreichs Jerusalem eine Gesandtschaft an König Philipp II. August mit der Bitte, einen Ehemann für die noch unmündige Königin Maria, die Tochter von Königin Isabella I. und des Konrad von Montferratt, zu bestimmen. Seine Wahl fiel auf Johann von Brienne, welchem er 40.000 Livre in Silber als Morgengabe für die Ehe schenkte. Vermutlich erkannte Philipp II. deshalb in ihm den geeigneten Kandidaten, da Johann über seine Cousins von Montbéliard bereits verwandtschaftlich in Outremer vertreten war. Walter von Montbéliard war einst mit den Brienne-Brüdern nach Italien gezogen, um anschließend in der Levante Karriere zu machen.
    Am 13. September des Jahres 1210 erreichte Johann das Königreich Jerusalem, das allerdings tatsächlich nur noch über einen Küstenstreifen gebot, seit Saladin die heilige Stadt Jerusalem 1187 erobert hatte. Der Estoire de Eracles des Ernoul zufolge habe Johann 300 Ritter mit sich geführt, was allerdings als wenig glaubwürdig erachtet wird.[2] Schon am Folgetag, zum Fest der Erhöhung des heiligen Kreuzes am 14. September, heiratete er in der Kirche des heiligen Kreuzes von Akkon die Königin Maria, um mit ihr am 2. Oktober 1210 in Tyrus feierlich gekrönt zu werden. Gemäß geltendem Recht übernahm Johann darauf die Regentschaft im Königreich für seine unmündige Gattin. Um seine Position zu stärken, protegierte er vor allem seine nnächste Verwandtschaft. So nahm er den auf Zypern in Ungnade gefallenen Walter von Montbéliard an seinem Hof auf und verheiratete seine Schwägerin Philippa de Champagne mit seinem Cousin Érard von Brienne-Ramerupt, womit er sich allerdings Gegner unter dem alteingesessenen Feudaladel machte.
    Eine wichtige Angelegenheit, die Johanns Königtum sofort in Anspruch nahm, war die Vorbereitung eines großen Kreuzzuges zur Rückeroberung Jerusalems. Die Initiative ging vor allem von Papst Innozenz III. aus, für den es ein persönliches Anliegeen war und mit dem Johann seit seiner Krönung in Kontakt stand. 1211 entsandte er Walter von Montbéliard mit einer kleinen Aufklärungsexpedition in das Nildelta zur Auskundschaftung geeigneter Landeplätze für einen Angriff auf Kairo. Dies war diie dritte Expedition solcher Art, welche die fränkischen Herren Outremers seit Beginn des 13. Jahrhunderts durchgeführt hatten. Ein Angriff auf Kairo als die Hauptresidenz des ägyptisch-syrischen Sultanats der Ayyubiden wurde mittlerweile als die aussichtsreichste Alternative zur Rückgewinnung der heiligen Stadt angesehen.

    Regent von Jerusalem
    Im Jahr 1212 starb Königin Maria im Kindbett bei der Geburt ihrer Tochter und der nunmehrigen Königin Isabella II. (Jolante). Johanns Königtum fand damit ein Ende, da er dieses nur dem Namen seiner Frau nach innegehabt hatte, doch als Vater deer neuen Königin fiel ihm nun die Vormundschaftsregierung über das Königreich zu. Allerdings brach nun auch der angestaute Unmut mehrerer Barone gegen ihn aus. Die zwei mächtigen Ibelin-Brüder Philipp und „der alte Herr“ Johann zogen nach Zypern, wo sie sehr einflussreich wurden. Auch der junge Balian von Sidon wandte sich von ihm ab, wenngleich dieser erst einige Jahre später (1218) durch die Ehe mit Johanns Nichte, Marguerite de Reynel, wieder versöhnt werden konnte.
    Um Verbündete zu gewinnen und in der Aussicht auf eine neue Krone verheiratete sich Johann 1214 mit der armenischen Prinzessin Stephanie (Rita), der ältesten Tochter und Thronerbin des armenischen Königs von Kilikien Leon II., welcher sich kurz nach der Hochzeit persönlich mit Johann in Akkon traf. Damit geriet er allerdings in weitere Konflikte mit seinen fränkischen Nachbarn, besonders mit dem Fürsten Bohemund IV. von Antiochia, der sich in Erbstreitigkeiten mit den Armeniern befannd. Im Sommer 1216 nutze Leon II. die Abwesenheit des Fürsten Bohemund IV. um Antiochia am Orontes zu besetzen und um dort seinen Vetter Raimund Ruben als Fürsten einzusetzen. Johann schaltete sich nicht in den Konflikt ein, aber es war vor allem der Autorität des Papstes zu verdanken, dass sich die Lage nicht zu einem regelrechten Krieg der Franken Outremers untereinander entwickelte. Dem bereits 1215 auf dem vierten Laterankonzil beschlossenen Kreuzzug musste alles andere untergeordnet werden.

    Kreuzzug von Damiette
    → Hauptartikel: Kreuzzug von Damiette
    Im Sommer 1217 trafen der König Andreas II. von Ungarn und der Herzog Leopold VI. von Österreich mit ihren Kreuzfahrerkontingenten in Akkon ein. Neben ihnen schlossen sich auch König Hugo I. von Zypern und Bohemund IV. von Antiochia dem Heer an. Erste kämpfe gegen die Ayyubiden wurden in Palästina geführt, die allerdings erfolglos verliefen. Weder konnte das sarazenische Heer gestellt noch die strategisch bedeutende Burg auf dem Berg Tabor erobert werden. Zudem traten Spannungen in der Einheit unter den Kreuzfahrern auf, die sich an der Frage des Oberbefehls entzündet hatten, den Johann als König-Regent von Jerusalem für sich als selbstverständlich reklamierte. Dies führte so weit, dass die Könige Andreas und Hugo im Frühjahr 1218 ihre Teilnahme beendeten und die Heimreise antraten, was einen herben Verlust an Personal mit sich zog. Zumindest aber verblieb die Mehrheit der zypriotischen Ritterschaft beim Heer, dessen unumstrittener Anführer nun Johann war.
    Nachdem im Mai 1218 niederländische und lothringische Ritter unter dem Grafen von Holland in Akkon eingetroffen waren, entschied sich Johann zum Angriff auf Ägypten. Am 24. Mai setzte er Segel und erreichte die am 27. Mai die Küste vor Damiette, deren Belagerung er sofort aufnahm. Am 6. Juni zog Sultan al-Adil I. Abu Bakr (Saphadin) mit seinem Heer heran und lagerte südlich von Damiette. Johann gelang es zwei Angriffe der Sarazenen auf das christliche Lager abzuwehren. Im Oktober wurdden die Christen durch ein italienisches Kontingent aus Genua verstärkt. Ende August gelang es ihnen den Kettenturm von Damiette zu erobern, mit dem der Hafen der Stadt abriegelt werden konnte. Nur wenige Tage darauf starb der Sultan, worauf sich die Ayyubiden durch dynastieinterne Machtkämpfe zerstritten.
    Im Frühjahr 1219 traf der apostolische Legat Pelagius von Albano im Lager der Kreuzfahrer ein, mit dem Johann sofort in einen Streit um den militärischen Oberbefehl geriet. Um den eigenen Führungsanspruch zu untermauern ließ Johann sogar Münzen in Damiette mit eigenem Namen prägen. Somit aber schwächten die Christen ihre eigene Position gegenüber Sultan al-Kamil, welcher sich angesichts des Machtkampfes mit seinen Brüdern verhandlungsbereit zeigte und sogar die Übergabe Jerusalems für einen Abzug der Franken aus Damiette anbot. Während Johann und die Barone Outremers bereit waren dieses Angebot anzunehmen, schlugen Pelagius und die ihn unterstützenden europäischen Ritter jede Verhandlungen mit den Ungläubigen aus und bestanden auf eine Fortführung des Kampfes. Am 5. November 1219 konnte Damiette schließlich vollständig eingenommen werden.
    Trotz des Erfolges konnte unter den Christen keine Einigkeit hergestellt werden. Im Februar 1220 erreichte ein Brief von Papst Honorius III. Damiette, indem er seinem Legaten die vollste Entscheidungsgewalt zuerkannte, in der Voraussicht den zu erwartenden Erfolg des Kreuzzuges der Kirche anrechnen zu können. Darauf verließ Johann am 19. März die Kreuzfahrer und kehrte nach Akkon zurück, wo er mit anderen Problemen konfrontiert war. Im April 1220 starb seine Frau Stephanie von Armenien, Gerüchten zufolge weil Johann sie mit eigenen Händen totgeschlagen hatte, weil sie ein Attentat auf seine Tochter, der Königin Isabella II., geplant habe um ihren eigenen Sohn auf den Thron zu setzen. Dieser selbst starb nur kurz darauf, worauf dem Haus Brienne die Anwartschaft auf die Krone der Armenier verloren ging. Auch König Leon II. starb noch im selben Jahr, worauf ihm seine zweite Tochter Isabella auf den Thron folgte. Danach musste Johann die Abwehr der Angriffe des syrischen Sultans al-Mu'azzam, dem Bruder al-Kamils, organisieren. Dieser hatte die Abwesenheit der fränkischen Barone in Damiette genutzt um ihre Besitzungen zu erobern. Bis zum November 1220 gelang es ihm al-Mu'azzam von Akkon und Château Pèlerin zurückzuschlagen, nur das besetzte Caesarea Maritima konnte er nicht befreien.
    Im November 1220 wurde in Rom der junge Stauferherrscher Friedrich II. zum neuen römischen Kaiser gekrönt, der darauf ein Kreuzzugsgelübde ablegte und erste Vorauskommandos von Sizilien aus nach Damiette entsandte. Mit dem persönlichen Eingreifeen des Kaisers verbanden die Kreuzfahrer, die sich bis dahin noch nicht aus Damiette herausgewagt hatten, den endgültigen Sieg über die Sarazenen. Unterdessen wurde ihr Heer durch zuziehende französische Ritter verstärkt und im Mai 1221 erreichte der Herzog von Bayern mit einem größeren Kontingent den Ort des Geschehens. Darauf kehrte auch Johann im Juli 1221 wieder nach Damiette zurück, aufgrund einer persönlichen Bitte des Legaten Pelagius. Erneut stritten beide um die Annahme des Friedensangebotes des Sultans, doch letztlich konnte sich Pelagius mit der Unterstützung des Herzogs von Bayern, welcher gekommen war, um zu kämpfen, durchsetzen.
    Am 17. Juli setzte sich das Heer in Richtung Kairo in Marsch, auf den Kaiser wurde nicht mehr gewartet, da dieser mehrfach seinen Kreuzzug verschoben hatte. In der Nähe von al-Mansura, inmitten des verästelten Systems der Nilarme, geriet das Heeer aber in eine Falle der Sarazenen. Sultan al-Kamil hatte das alljährlich einsetzende Nilhochwasser genutzt und die Deiche zerstechen lassen, wodurch das Aufmarschgebiet der Kreuzfahrer überschwemmt wurde. Eingeschlossen von Sumpf und Morast und bedrängt von den Kriegern des Sultans, der von seinen Brüdern verstärkt wurde, hatten die Ritter keine andere Chance als sich zu ergeben. Trotz einer jahrelangen intensiven Vorbereitung endete der Kreuzzug nach drei Jahren in einem Desaster, mmit einem hohen Verlust an Mensch und Material als Resultat. Zum Preis ihres freien Abzuges mussten die Franken am 8. September 1221 Damiette an den Sultan aushändigen. Außer einen achtjährigen Waffenstillstand konnte kein einziger Erfolg erzielt werden, die Rückeroberung Jerusalems lag ferner den je.

    Schwiegervater und Feind des Kaisers
    Nachdem Johann im folgenden Jahr die Verteidigungsbereitschaft des Jerusalemer Reststaates wiederhergestellt hatte, beabsichtigte er persönlich nach Italien zu reisen, um dort mit Papst Honorius III. und Kaiser Friedrich II. über einen neuen Kreuzzug zu verhandeln. Obwohl nicht von ihm beabsichtigt, sollte er nie wieder in das christliche Outremer zurückkehren; zu seinem Stellvertreter ernannte er seinen Vetter Odo von Montbéliard. Im März 1223 kamen in Ferentino der König-Regent von Jerusalem, der Kaiser und der Papst zusammen und man wurde sich darin einig, dass so bald wie möglich ein neuer großer Kreuzzug in den Orient geführt werden sollte. Der Papst ließ dafür in Deutschland, Frankreich und England predigen, und der Kaiaiser verpflichtete sich, als dessen Anführer im Juni 1225 in See zu stechen. Um zusätzlich seinen ernsthaften Willen zu untermauern, verlobte sich Kaiser Friedrich II. mit Königin Isabella II., womit seine persönlichen Interessen auch untrennbar mit Outremer verbunden werden sollten.
    Um für den Kreuzzug zu werben, bereiste Johann persönlich die Höfe Europas. Aber schon in England stieß er auf weitgehendes Desinteresse, denn König Heinrich III. befand sich in andauernden Machtkämpfen mit den eigenen Baronen. In Paris traf Johhann auf den sterbenden Philipp II. August, und auch dessen Sohn, Ludwig VIII., zeigte kein Interesse, persönlich ins heilige Land zu ziehen. Von Frankreich war lediglich eine finanzielle Unterstützung zu erwarten. Nach diesen Misserfolgen machthte sich Johann zu einer Pilgerfahrt nach Santiago de Compostela auf. Auch von König Ferdinand III. von Kastilien-Léon erhielt er keine Zusage für den Kreuzzug, dafür aber heiratete er im 1224 in Toledo dessen zwanzigjährige Schwester Berengaria. Nach einem weiteren längeren Aufenthalt in Frankreich war Johann im Mai 1225 wieder in Kalabrien, wo er sich erneut mit Friedrich II. traf. Aufgrund der geringen Resonanz kamen beide überein, dass der Kreuzzug verschoben werden sollte. Dazu sollte sich Johann mit dem Großmeister der Deutschritter, Hermann von Salza, und dem Patriarchen von Jerusalem, Gerold, beim Papst um einen Aufschub des kaiserlichen Gelübdes einsetzen. Darin erfolgreich verhandelnd wurde mit dem August 1227 ein neuer Starttermin für den Kreuzzug festgelegt.
    Im August 1225 ließ sich Friedrich II. per Ferntrauung mit der in Akkon weilenden Königin Isabella II. verheiraten. Sein Admiral Heinrich von Malta hatte ihn dort vertreten, welcher auch sogleich die Königin nach Brindisi brachte, wo sich der Kaiser am 9. November mit seiner Braut persönlich trauen ließ. Von Rechts wegen war nun Friedrich II. im Namen seiner Frau König von Jerusalem, verbunden mit dem Anspruch auf die Regentschaft; die anwesenden Barone Outremers huldigten ihm auch umgehend als ihren neuen Regenten. Offenbar aber hatte sich Johann den Erhalt seiner Regentschaft in Akkon erhofft, möglicherweise aufgrund einer Zusage des kaiserlichen Beraters Hermann von Salza, da er davon ausging, dass der Kaiser nach Beendigugung des Kreuzzuges nach Europa zurückkehren werde. Der aber hatte die Absicht, die Regierung in Akkon eigenen Vertrauensleuten zu übergeben, worüber nun Johann mit seinem Schwiegersohn in einen erbitterten Streit geriet, bei dem es auch zu einem beleidigenden Wortwechsel gekommen sein soll. Laut Salimbene von Parma habe dabei Johann seinen Schwiegersohn als einen „fi de becer“ (Sohn eines Metzgers) bezeichnet, in Anspielung auf die Gerüchte rund um dessen Geburt in Jesi.[3] Unmittelbar darauf setzte sich Johann in das Patrimonium Petri an die Seite des Papstes ab, mit dem der Kaiser seit einiger Zeit in einem unterschwelligen Konflikt verbunden war.

    Feldhauptmann des Papstes
    1226 zog Friedrich nach Norditalien, um dort seine Herrschaftsrechte gegen den lombardischen Städtebund geltend zu machen. Die Lombarden waren traditionell antikaiserlich eingestellt und damit auch ganz im Einvernehmen des Papstes, welcher eine starke Kaisermacht in Italien grundsätzlich ablehnte, besonders seit die Stauferkaiser auch im Königreich Sizilien herrschten und so den Kirchenstaat umklammerten. Im Dienste des Papstes wirkte Johann nun bei den Lombarden gegen seinen Schwiegersohn, und das mit Erfolg. So gelang es ihm, im Sommer 1226 Faenza zu einem Beitritt in den Lombardenbund zu bewegen. Dem Kaiser gelang es nicht, die Lombarden unter seiner Botmäßigkeit zurückzubringen, womit vor allem dessen Verbindung nach Deutschland unterbrochen wurde.
    Am 18. März 1227 verstarb Papst Honorius III. und bereits am folgenden Tag wurde mit Gregor IX. ein Nachfolger gewählt. Unterdessen geriet der Kaiser wegen des Kreuzzuges in Verzug. Nachdem Anfang September der Landgraf von Thüringen verstorbeen war, entschloss sich Friedrich II. für eine weitere Verzögerung seiner Abreise und entsandte lediglich einige Vorauskommandos unter dem Herzog von Limburg und Hermann von Salza nach Akkon. Dieses Mal aber erhielt er keine Nachsicht seitens des Papstes und wurde am 29. September 1227 exkommuniziert. Im März 1228 wiederholte der Papst seinen Bannspruch und drohte, die Herrschaft Friedrichs II. im Königreich Sizilien zu beenden. Am 5. Mai starb Königin Isabella II. nach der Geburt ihres einzigen Kindes, des späteren Königs Konrad IV. Mit dem Tod seiner Tochter verlor Johann endgültig jede Rechtsgrundlage für seinen Herrschaftsanspruch im Königreich Jerusalem. Am 28. Juli stach der Kaiser trotz seiner Bannung mit seiner Kreuzzugsflotte in See in Richtung heiliges Land (siehe: Kreuzzug Friedrichs II.).
    Die Abwesenheit des Kaisers nutzte der Papst sogleich, um gegen ihn in Unteritalien vorzugehen. Am 31. Juli 1228 entband er dort alle Untertanen von ihrem Treueid zu ihm, was einer faktischen Absetzung gleichkam. Zugleich begannen die Kämpfe gegen des Kaisers Statthalter. Johann amtierte bereits seit Dezember 1227 als Gubernator des Papstes im Norden des Kirchenstaates und wurde nun zum Befehlshaber eines Heeres päpstlicher Söldner ernannt, welche aufgrund ihres Banners auch „Schlüsselsoldaten“ genannt wurden. Mit ihnen zog Johann zunächst in die Mark Ancona, um Herzog Rainald von Spoleto zu vertreiben, der dort zuvor eingefallen war. Zeitgleich drang ein weiteres päpstliches Heer unter der Führung von Johanns einstigem Gegneer Pelagius von Albano in das Königreich Sizilien vor. Im April 1229 beendete der Kaiser seinen Kreuzzug; er hatte Jerusalem per Vertrag für die Christenheit zurückgewonnen und trat seine Heimreise an. Johann konnte zeitgleich Rainald von Spoleteto in Sulmona einschließen und einige Küstenorte Apuliens besetzen, um eine Anlandung seines Schwiegersohnes zu verhindern. Nichtsdestotrotz löste die Nachricht von der Rückkehr des Kaisers Panik in der päpstlichen Partei aus. Auf den Befehl des Pelagius musste Johann die Belagerung Sulmonas abbrechen und stattdessen die Festung Caiazzo bei Capua belagern. Doch auf die Nachricht vom Herannahen des Kaisers musste er sich im September 1229 auch von Caiazzo zurückziehen und sich nach Norden in den Kirchenstaat absetzen. Friedrich II. konnte letztlich über seine Gegner siegen und sich im Vertrag von San Germano (9. Juli 1230) einstweilen wieder mit dem Papst versöhnen

    Kaiser von Konstantinopel
    Bereits zu Jahresbeginn 1229 wurde Johann auf Vermittlung des Papstes von den Baronen des lateinischen Kaiserreichs von Konstantinopel, das er einst als Kreuzfahrer über fünfundzwanzig Jahre zuvor mitbegründet hatte, zu ihrem Prokurator gewählt worden, was in etwa der Stellung eines Mitkaisers bedeutete. Im Jahr zuvor war dort Kaiser Robert gestorben, auf den der unmündige Kaiser Balduin II. gefolgt war. Johann hatte im April 1229 mit den Abgesandten der lateinischen Barone in Perugigia über die Art seiner Herrschaft in Konstantinopel verhandelt und dabei seine Erhebung zum Kaiser ausgehandelt. Im Gedenken an seine Erfahrungen mit seinem Schwiegersohn bezüglich des Königreichs Jerusalem setzte er weiterhin durch, dass er bis zu seinem Lebensende in dieser Würde verbleiben sollte, auch nachdem Balduin II. die Mündigkeit erreicht habe. Um diese Herrschaftsteilung dynastisch zu festigen, sollte sein künftiger Co-Kaiser seine Tochter aus dritter Ehe heiraten.
    Im März 1230 siegten die Bulgaren unter Iwan Assen II. in der Schlacht von Klokotintza gegen den griechischen Despoten von Thessalonike und unterwarfen somit große Teile von Thrakien, Makedonien und Albanien. Damit geriet auch das lateinische Kaaiserreich in unmittelbare Gefahr, da es sich ausschließlich auf die Stadt Konstantinopel samt Umland beschränkte. Während es von Europa her nun von den Bulgaren bedrängt wurde, musste es von Asien her gegen den byzantinischen Exilkaiser Johannes III. Dukas Vatatzes behaupten, welcher eine Rückeroberung Konstantinopels anstrebte.
    Erst nachdem Johann seine letzten Kämpfe gegen seinen verhassten Schwiegersohn beendet hatte, konnte er nach Konstantinopel aufbrechen. Er führte 500 Ritter und 5000 Infanteristen mit sich, die der Papst finanziert hatte. Im Herbst 1231 wurde er in der Hagia Sophia zum Kaiser gekrönt. Sofort ging er daran, die schier hoffnungslose Lage der Stadt zu verbessern. Er versicherte sich des militärischen Beistandes von Venedig durch weitgehende Handelsprivilegien, wenngleich er damit Genua an die Seite von Vatatzes trieb. 1233 führte er einen Feldzug gegen das Kaiserreich Nikaia, der allerdings keine Erfolge erzielte. 1235 ging Vatatzes ein formelles Bündnis mit Iwan Assen II. ein und setzte nach Europa über, wo er das venezianische Gallipoli nach blutigem Kampf und die Festung Chorlu eroberte. Zugleich wurde Konstantinopel von der byzantinischen Flotte zur See abgeriegelt und Iwan Assen II. marschierte mit seinen Bulgaren vor die Mauern der Stadt, die Johann mit nicht meehr als 160 Rittern verteidigte. Mit der fortdauernden Belagerung gelang es Johann seine Gegner mit diplomatischen Mitteln zu entzweien. Iwan Assen II. konnte davon überzeugt werden, dass ein schwaches lateinisches Konstantinopel ihm ein besserer Nachbar wäre als ein starkes byzantinisches. Darauf gab er die Belagerung auf und zog sich auf den Balkan zurück. Die byzantinische Flotte vor dem goldenen Horn wurde anschließend von einer venezianischen Flotte und Schiffen des Fürsten Gottfried II. von Achaia in die Flucht geschlagen, Johannes Vatatzes musste sich nach Kleinasien zurückziehen.
    Die Rettung des lateinischen Konstantinopel wurde an den Höfen der westlichen Fürsten als eine Heldentat vernommen. Von dem flämischen Dichter Philippe Mouskes wurde Johann deswegen, wenn auch übertrieben, mit Ajax, Hektor, Roland, Ogier dem Dänen und Judas Makkabäus verglichen.

    Tod
    Johann von Brienne starb nach einem abenteuerlichen Leben am 27. März 1237 in Konstantinopel, auf dem Sterbebett trat er noch dem dritten Orden der Franziskaner bei. Zu diesem jungen Bettelorden stand er bereits seit dessen Gründertagen in Verbindung. Während des Kreuzzuges von Damiette hatte er im April 1219 den heiligen Franz von Assisi persönlich kennen gelernt und diesen im Februar 1220 ein zweites Mal getroffen. Franziskus hatte sich dem Kreuzzug angeschlossen, um den Sultan zu bekehren. Höchstwahrscheinlich war Johann auch 1228 in Assisi bei der Kanonisation des Franziskus durch Papst Gregor IX. zugegen.
    In der Kirche San Francesco von Assisi befindet sich ein prunkvolles im 14. Jahrhundert errichtetes Grabmonument, das einem lateinischen Kaiser von Konstantinopel als Ruhestätte dient. Die jüngere kunstgeschichtliche Forschung ist sich heute weitgehend darüber einig, dass es sich dabei um das Grab Johanns von Brienne handelt. Offenbar hatte der in Italien ansässige Graf Walter VI. von Brienne den Leichnam seines berühmten Urgroßonkels von Konstantinopel, das 1261 wieder griechisch-byzantinisch geworden war, nach Assisi transferieren lassen.[4]

    Ehen und Nachkommen
    Johann von Brienne heiratete dreimal. Von seiner ersten Frau, Maria von Montferrat († 1212), hatte er eine Tochter:
    • Jolante / Isabella II. (* 1212; † 1228), Königin von Jerusalem.
    Mit seiner zweiten Frau, Stephanie von Armenien († 1220), hatte er einen Sohn, der jung starb:
    • Johann (* 1216; † 1220).
    Von seiner dritten Frau, Berengaria von Kastilien († 12. April 1237), hatte er vier Kinder:
    • Alfons von Akkon († 1270), der Marie d'Issoudun, Gräfin von Eu, heiratete und als Ehemann Graf von Eu wurde, darüber hinaus Großkämmerer von Frankreich;
    • Johann von Akkon († 1273), der 1258 Großmundschenk von Frankreich wurde;
    • Ludwig von Akkon († 1297), der Agnes von Beaumont heiratete und als ihr Ehemann Vizegraf von Beaumont wurde;
    • Maria († 1275), ∞ 1229/1234 mit Kaiser Balduin II. von Konstantinopel.
    Johanns dritte Ehefrau starb nur wenige Wochen nach ihm. Die Nachkommen ihres ältesten Sohnes Alfons waren als Grafen von Eu noch für mehrere Generationen im französischen Hochadel vertreten. Über den jüngeren Sohn Ludwig hatte er auch Nachkommen, sowohl in Frankreich als auch in England (Lords Beaumont).



    Literatur
    • Joseph François Lafitau: Histoire de Jean de Brienne, Roy de Jérusalem et Empereur de Constantinople. Moette u. a., Paris 1727.
    • Gregory Fedorenko: The Crusading Career of John of Brienne, c. 1210–1237. In: Nottingham Medieval Studies. Vol. 52, 2008, ISSN 0078-2122, S. 43–79, doi:10.1484/J.NMS.3.428.
    • Sylvia Schein: Johann V. v. Brienne. In: Lexikon des Mittelalters (LexMA). Band 5, Artemis & Winkler, München/Zürich 1991, ISBN 3-7608-8905-0, Sp. 498 f.
    • Ludwig Böhm: Johann von Brienne, König von Jerusalem, Kaiser von Konstantinopel (um 1170-1237). Heidelberg 1938.
    • Wolfgang Stürner: Friedrich II. 1194–1250. Sonderausgabe. 3. bibliographisch vollständig aktualisierte und um ein Vorwort und eine Dokumentation mit ergänzenden Hinweisen erweiterte Auflage in einem Band. Primus-Verlag, Darmstadt 2009, ISBN 98-3-89678-664-7.
    Weblinks
     Commons: Johann von Brienne – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    Einzelnachweise
    1 Burchardi Praeposti Ursperbegenis Chronicon, MGH, Scriptores Rerum Germanicarum S. 86–88.
    2 Eracles XXX, 14, RHC Occ, II, 308.
    3 Chronica, MGH SS32, S. 42f.
    4 siehe dazu: Edgar Hertlein: Das Grabmonument eines lateinischen Kaisers von Konstantinopel. In: Zeitschrift für Kunstgeschichte. 29, 1966, ISSN 0044-2992, S. 1–50 und Jürgen Wiener: Das Grabmal des Johann von Brienne. Kaiser von Konstantinopl und König von Jerusalem. Droste, Düsseldorf 1998, ISBN 3-7700-0834-0 (Studia Humaniora 29).

    Johann heiratete Königin Maria von Montferrat am 14 Sep 1210 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel. Maria wurde geboren in cir 1192 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel; gestorben in Apr 1212 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 104. Königin Jolante (Isabella II.) von Brienne (von Jerusalem)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1212 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel; gestorben am 25 Apr 1228 in Andria, Apulien; wurde beigesetzt in Krypta der Kathedrale von Andria.

    Familie/Ehepartner: Stephanie von Armenien. Stephanie gestorben in 1220. [Familienblatt] [Familientafel]

    Johann heiratete Kaiserin Berenguela (Berengaria) von León (von Kastilien) in 1224 in Toledo, Spanien. Berenguela (Tochter von König Alfons IX. von León (von Kastilien) und Königin Berenguela von Kastilien) wurde geboren in 1201; gestorben am 12 Apr 1237 in Konstantinopel. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 105. Kaiserin Maria von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in Apr 1225 in Capua; gestorben in 1275; wurde beigesetzt in Kathedrale Saint-Denis, Paris.
    2. 106. Graf Alfons von Brienne  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1227; gestorben am 25 Aug 1270 in vor Tunis.

  3. 64.  Alix von BrienneAlix von Brienne Graphische Anzeige der Nachkommen (38.Érard5, 22.Walter4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1)

    Notizen:

    Geburt:
    Filiation nicht sicher..?
    Alix soll eine Tochter des Érard II. sein laut:
    https://man8rove.com/fr/profile/bj434r1if-alix-de-brienne

    In dessen Bericht wird sie jedoch nicht erwähnt..?
    https://de.wikipedia.org/wiki/Érard_II._(Brienne)

    Alix heiratete Archambaud IV. von Sully (von Blois) in Datum unbekannt. Archambaud (Sohn von Herr Gilon III. von Sully (von Blois) und Luce de Charenton-du-Cher) gestorben am 23 Aug 1240 in Sully. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 107. Henri I. von Sully (von Blois)  Graphische Anzeige der Nachkommen
    2. 108. Alix von Sully  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1180; gestorben in 1207.

  4. 65.  Agnes de NeufchâteauAgnes de Neufchâteau Graphische Anzeige der Nachkommen (39.Hugues5, 23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1160 in Commercy, Frankreich; gestorben in 1221 in Fouvent, Frankreich.

    Familie/Ehepartner: Henri I. de Fouvent. Henri (Sohn von Humbert III. de Fouvent und Clementine de Monigny) wurde geboren in cir 1165; gestorben in 1228 in Fouvent, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 109. Herrin Clémentine de Fouvent  Graphische Anzeige der Nachkommen

  5. 66.  Herr Gottfried V. von JoinvilleHerr Gottfried V. von Joinville Graphische Anzeige der Nachkommen (40.Gottfried5, 23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) wurde geboren in vor 1173; gestorben in 1203/1204 in am Krak des Chevaliers in Syrien.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Englischer Name: Geoffrey V of Joinville
    • Französischer Name: Geoffroy V de Joinville
    • Titel (genauer): Herr von Joinville Seneschall der Grafschaft Champagne
    • Titel (genauer): Lord of Joinville (from 1190 until his death in late 1203 or early 1204). Seneschal of Champagne
    • Titel (genauer): Seigneur de Joinville Sénéchal de Champagne Chevalier croisé

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Geoffrey_V_of_Joinville

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_V_de_Joinville



    https://de.wikipedia.org/wiki/Gottfried_V._(Joinville)

    Gottfried V. von Joinville (französisch Geoffroy V de Joinville; * vor 1173; † 1203/1204 am Krak des Chevaliers in Syrien) war Herr von Joinville, Seneschall der Grafschaft Champagne sowie Teilnehmer am Dritten und Vierten Kreuzzug.

    Leben
    Gottfried V. kam als ältestes Kind Gottfrieds IV. von Joinville und dessen Frau Héluis de Dampierre (auch Helvide de Dampierre genannt) zur Welt. Gemeinsam mit seinem Vater nahm er im Gefolge des Grafen Heinrich II. von Champagne am dritten Kreuzzug teil, um das Kreuzfahrerheer bei der Belagerung von Akkon zu unterstützen.

    Nachdem Gottfried IV. im August 1190 im heiligen Land gestorben war, verließ Gottfried V. den Kreuzzug, um den Leichnam seines Vaters in die Heimat zu überführen und sein Erbe anzutreten. Als neuer Herr von Joinville bestätigte er die Verfügungen seines Vaters, mit denen dieser wichtige Besitzungen der Abtei von Montier-en-Der überlassen hatte. Auch Gottfried selbst machte großzügige Schenkungen an viele kirchliche Institutionen der Champagne, um auf diese Art einen schon seit Generationen bestehenden Konflikt zwischen seiner Familie und dem geistigen Stand beizulegen, denn viele seiner Vorfahren hatten sich durch Raubzüge und Erpressungen widerrechtlich Kirchengüter angeeignet.

    Als Seneschall der Champagne stand Gottfried stets loyal zu seinem jeweiligen Lehnsherrn, und geriet dadurch in den Konflikt zwischen dem französischen König Philipp II. August und dem englischen König Richard Löwenherz um englische Besitzungen in Frankreich. Heinrich II. von Champagne schlug sich in diesem Streit auf die Seite Richards, und Gottfried V. tat es ihm gleich. Nachdem Heinrich II. 1197 verstorben war, folgte ihm sein jüngerer Bruder Theobald III. als Graf von Champagne nach, regierte anfangs jedoch unter der Vormundschaft seiner Mutter Marie de Champagne. Diese entschied sich während ihrer Regentschaft aber für die Seite des französischen Königs. Die damit verbundene Politik wurde von ihrem Sohn nach dem Tod seiner Mutter 1198 fortgesetzt, so dass Gottfried V. als treuer Gefolgsmann seines neuen Lehnsherrn seit jener Zeit wieder auf der Seite Philipps II. zu finden war.

    Anlässlich eines durch Theobald III. 1199 ausgerichteten Turniers in Écry-sur-Aisne, auf dem der Wanderprediger Fulko von Neuilly eine mitreißende Ansprache zu dem ein Jahr zuvor durch Papst Innozenz III. ausgerufenen Vierten Kreuzzug hielt, entschloss sich Gottfried V., gemeinsam mit seinem Bruder Robert ein weiteres Mal als Kreuzritter ins Heilige Land zu ziehen. Als er dorthin aufbrach, überließ er die Verwaltung seines Besitzes in Frankreich seinen beiden jüngeren Brüdern Simon und Guillaume; letzterer sollte 1219 Erzbischof von Reims werden. Im Gegensatz zum größten Teil des Kreuzfahrerheeres, das nach Konstantinopel aufbrach, reiste Gottfried jedoch nach Syrien, wo er Ende 1203 oder Anfang 1204 bei den Kämpfen um den Krak des Chevaliers starb und in der Kapelle dieser mächtigen Festung bestattet wurde.

    Gottfried war nicht verheiratet und hinterließ auch keine Nachkommen. In der Seigneurie Joinville folgte ihm deshalb sein Bruder Simon als Herrscher nach.

    Das Wappen Gottfrieds V.
    Gottfrieds Vater nahm das Wappen der Herren von Broyes als eigenes an, da er davon ausging, dass die Familien de Joinville und de Broyes gemeinsame Vorfahren hatten.

    Gottfried V. ergänzte dieses Wappen im oberen Teil um einen roten Löwen auf silbernem Grund, dieses Emblem war das Wappen der Grafschaft Poitou, das der englische König führte. Nach einem durch Jean de Joinville verfassten Epitaph im Kloster Clairvaux, gab Richard Löwenherz seinem mehrmaligen Parteigänger als Anerkennung für seine Verdienste und Heldentaten die Genehmigung, Richards Wappen dem seinigen hinzuzufügen.

    Die Gemeinde Joinville führt noch heute dieses von Gottfried V. kreierte Wappen.

    Aller Wahrscheinlichkeit nach besuchte Jean de Joinville im Sommer 1253 das Grab seines Onkels im Krak des Chevaliers. Jedenfalls war der Schild Gottfrieds V., den er auf seinem Kreuzzug mitgeführt hatte, seit der Zeit des Mittelalters in der Kollegienkirche Saint-Laurent in Joinville hinterlegt. Der Schild wurde 1544 von den deutschen Söldnern Kaiser Karls V. gestohlen, als diese Joinville plünderten.

    Literatur
    Henri-François Delaborde: Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville. Librairie Picard et fils, Paris 1894, S. 37–46 (online).
    Jaroslav Folda: Crusader art in the Holy Land, from the Third Crusade to the fall of Acre, 1187–1291. Cambridge University Press, Cambridge u. a. 2005, ISBN 0-521-83583-6.
    Jules Simonnet: Essai sur l'histoire de la généalogie des sires de Joinville (1008–1386) accompagné de chartes. F. Dangien, Langres 1875, S. 79–89 (online).


  6. 67.  Herr Simon von JoinvilleHerr Simon von Joinville Graphische Anzeige der Nachkommen (40.Gottfried5, 23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in Mai 1233.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Beruf / Beschäftigung: - Seneschall von Champagne - Kreuzfahrer
    • Titel (genauer): Herrschaft Joinville; Herr von Joinville

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_de_Joinville



    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Simon_(Joinville) (Jun 2018)

    Simon von Joinville († Mai 1233) war Herr von Joinville und Seneschall von Champagne. Er war ein jüngerer Sohn des Herren Gottfried IV. von Joinville und dessen Ehefrau Hélius von Dampierre.

    Biographie
    Simon folgte um 1204 seinem im heiligen Land gefallenen Bruder Gottfried V. als Herr von Joinville nach. Zwischen dem Juni 1209 und dem März 1210 ist Simon im Heer des Albigenserkreuzzuges engagiert und nahm an Kämpfen in der Region um die Burg Montségur teil.

    In seiner Heimat war Simon seit 1216 in den Erbfolgekrieg um die Champagne verwickelt. Er hatte die Partei der Prätendentin Philippa (eine Tochter Graf Heinrichs II.) und deren Ehemann Érard de Brienne ergriffen, gegen seinen amtierenden Grafen Theobald IV. und dessen Mutter Blanka. Grund war das Amt eines Seneschalls der Grafen von Champagne, in dem Simon 1206 erstmals überliefert ist. Dieses Amt war in seiner Familie de facto erblich, Simon aber wollte diesen Zustand rechtsgültig machen was ihm aber von Gräfin Blanka verwehrt wurde. Er wurde dafür, wie alle Aufständischen, sowohl von Papst Honorius III. als auch dem Bischof von Châlons exkommuniziert. Nachdem auch der mächtigste Unterstützer der Aufständischen, Herzog Theobald I. von Lothringen, 1218 durch Kaiser Friedrich II. geschlagen wurde, musste sich auch Simon unterwerfen, die Exkommunikation gegen ihn wurde darauf im Juli 1218 aufgehoben. Dennoch erhielt er von Gräfin Blanka die Erblichkeit des Seneschallats zugesagt, worauf Simon seinen Lehnsherren in Zukunft treu bleiben sollte.

    Noch im Juli 1218 hatte Simon das Kreuz genommen und nahm am Fünften Kreuzzug teil, von dem er im September 1220 in die Heimat zurückkehrte.[1] Dort schlichtete er 1221 als Seneschall einen Streit zwischen der Gräfin Blanka und dem Grafen von Rethel. Gemeinsam mit Graf Theobald IV. schloss er sich 1226 den rebellischen Baronen Frankreichs gegen die Regentschaft der Königin Blanka von Kastilien an, wechselte aber im Januar 1227 mit seinem Grafen auf ihre Seite über. Die Barone richteten daher ihren Kampf auf die Champagne, wo Simon 1229 Troyes gegen die Grafen von Bar und Boulogne erfolgreich verteidigte und anschließend das Barrois verwüstete, wofür er von dem Bischof von Toul (ein Verbündeter des Grafen von Bar) exkommuniziert wurde. Die Kämpfe endeten 1230 nach einer Intervention von Königin Blanka.

    Im März 1233 wurde Simon von Graf Theobald IV. erneut die Erblichkeit des Seneschallats für das er lange gekämpft hatte verbrieft, wenige Tage danach verstarb er.

    Titel (genauer):
    Der Bau der Burg von Joinville im Jahre 1027 durch Étienne de Vaux steht am Beginn der Herrschaft. Die Herren von Joinville stiegen im hohen Mittelalter zum führenden Adel der Champagne auf. Seit Gottfried III. ist das Amt eines Seneschalls der Champagne in der Familie erblich. Dessen Urenkel, Jean de Joinville, wurde als Biograph König Ludwigs des Heiligen bekannt.
    Für François de Lorraine wurde Joinville im Jahr 1552 durch König Heinrich II. in den Rang eines Fürstentums erhoben, mit dem der Titel Prince de Joinville verbunden war.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Herren_und_Fürsten_von_Joinville (Sep 2023)

    Familie/Ehepartner: Ermengarde von Montclair. Ermengarde gestorben in 1218. [Familienblatt] [Familientafel]

    Familie/Ehepartner: Beatrix von Auxonne (Chalon). Beatrix (Tochter von Graf Stephan III. von Auxonne (von Chalon) und Beatrix von Chalon (Thiern)) gestorben am 20 Mrz 1261. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 110. Gottfried von Joinville (von Geneville)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in zw 1225 und 1233; gestorben am 21 Okt 1314 in Trim, Irland.

  7. 68.  Yolande von JoinvilleYolande von Joinville Graphische Anzeige der Nachkommen (40.Gottfried5, 23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) gestorben in 1223.

    Yolande heiratete Graf Raoul III. von Soissons (Nesle) in Datum unbekannt. Raoul (Sohn von Herr Radulf (Raoul) von Nesle und Gertrude von Montaigu) gestorben in 1236; wurde beigesetzt in Abtei Longpont, Picardie, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 111. Johann II. (Jean) von Soissons (Nesle)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in vor 8 Okt 1286.

  8. 69.  Graf Hugo II. von VaudémontGraf Hugo II. von Vaudémont Graphische Anzeige der Nachkommen (41.Gertrude5, 23.Félicité4, 8.Alix3, 2.Andreas2, 1.Alix1) wurde geboren in 1167; gestorben in 1242.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Militär / Gefecht: 1180er, Heiliges Land; Hugo zog in den 1180er Jahren als Kreuzritter in das heilige Land. Dort kämpfte er 1187 in der berühmten Schlacht bei Hattin, nach der er in die Gefangenschaft Saladins geriet. Um das Jahr 1189 kehrte er in seine lothringische Heimat zurück und übernahm sein väterliches Erbe. An dem zur gleichen Zeit beginnenden dritten Kreuzzug nahm er nicht teil.
    • Titel (genauer): Grafschaft Vaudémont; Graf von Vaudémont

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Hugo_II._(Vaudémont) (Sep 2023)

    Hugo befand sich in einem langjährigen Konflikt mit den Herzögen von Lothringen, gegen die er sein Territorium zu erweitern versuchte. Dafür erkannte er sogar 1202 die Lehnshoheit der Grafen von Bar über Vaudémont an, um diese als Verbündete gegen den Herzog zu gewinnen. Das hinderte ihn aber nicht daran weiter eine eigenständige Politik zu verfolgen. Im Erbfolgekrieg um die Champagne (1215–1221) ergriff er Partei für den Prätendenten Érard von Brienne, während der Graf von Bar die Seite der Gräfin Blanka und deren Sohn Theobald IV. unterstützte.

    Geburt:
    Sohn des Grafen Gerhard II. († 1188) und dessen Ehefrau, Gertrude von Joinville.

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Vaudémont (heute im Département Meurthe-et-Moselle) war bereits im 9. Jahrhundert als Grafschaft Saintois bekannt. Sie gehörte zur Grafschaft Toul, von der sie sich im 10. Jahrhundert löste. Zur Grafschaft Vaudémont gehörte das Soulossois.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Vaudémont (Sep 2023)

    Hugo heiratete Hedwiga von Reynel in cir 1189. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 112. Graf Hugo III. von Vaudémont  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in vor 1231; gestorben in cir 1244.

  9. 70.  Herr Guido III. (Guy) von ChâtillonHerr Guido III. (Guy) von Châtillon Graphische Anzeige der Nachkommen (42.Guido5, 24.Ada4, 9.Hugo3, 3.Ebles2, 1.Alix1) gestorben in 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Montjay-la-Tour; Herr von Montjay-la-Tour

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Guido_III._von_Châtillon

    Guido III. von Châtillon (frz: Guy; † 1191 vor Akkon) war ein Herr von Châtillon, Troissy, Crécy, Montjay und Broigny. Er war ein Sohn von Guido II. von Châtillon († um 1170) und der Alix von Dreux, einer Tochter des Grafen Robert I. von Dreux.
    Als Angehöriger eines Vorauskommandos französischer und englischer Kreuzritter nahm Guido am dritten Kreuzzug teil und erreichte im Juli 1190 die Belagerung von Akkon, in deren Verlauf er starb. Sein jüngerer Bruder Walter III. übernahm die Châtillon-Besitzungen.
    Quellen[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
    • Itinerarium peregrinorum et gesta regis Ricardi Liber I, Cap. XLII, hrsg. von William Stubbs in: Chronicles and Memorials of the Reign of Richard I, Rolls Series 38 (1864), Vol. 1, S. 93
    • Gesta Regis Henrici Secundis et Gesta Regis Ricardi Benedicti abbatis, hrsg. von William Stubbs in: Rolls Series 49 (1867), Vol. 2, S. 149
    • Roger von Hoveden, Chronica, hrsg. von Henry T. Riley: The annals of Roger de Hoveden (1853), Vol. 2, S. 188

    Gestorben:
    Gestorben/Gefallen? bei der Belagerung bei Akkon.


  10. 71.  Graf Walter III. (Gaucher) von Châtillon-Saint PolGraf Walter III. (Gaucher) von Châtillon-Saint Pol Graphische Anzeige der Nachkommen (42.Guido5, 24.Ada4, 9.Hugo3, 3.Ebles2, 1.Alix1) gestorben in Okt 1219.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Crécy-en-Brie, Frankreich; Graf von Crécy https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Crécy
    • Titel (genauer): Herrschaft Châtillon; Herr von Châtillon
    • Titel (genauer): Montjay-la-Tour; Herr von Montjay-la-Tour
    • Titel (genauer): Herr von Pierrefonds
    • Titel (genauer): 1205-1219, Grafschaft Saint-Pol; Graf von Saint-Pol durch Heirat https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Saint-Pol

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Walter_III._von_Châtillon

    Walter III. von Châtillon (frz. Gaucher; † Oktober 1219) war ein Herr von Châtillon, Troissy, Crécy, Montjay, Broigny und Pierrefonds, sowie durch Heirat Graf von Saint-Pol.
    Er war ein Sohn von Guido II. von Châtillon und der Adèle von Dreux, einer Tochter des Grafen Robert I. von Dreux.

    Leben
    Zusammen mit seinem älteren Bruder, Guido III. von Châtillon, begleitete Walter den König Philipp II. von Frankreich auf den Dritten Kreuzzug, wo der Bruder bei der Belagerung von Akkon 1191 starb. Nach seiner Rückkehr unterstützte er den Köninig im Kampf gegen die Plantagenets in der Normandie. 1192 erbte er von einer entfernten Verwandten die Burg von Pierrefonds, die er aber schon ein Jahr später beim König für Clichy eintauschte.[1] Walter heiratete 1196 Elisabeth († um 1240), die Erbtochter des Grafen Hugo IV. von St. Pol. Nachdem dieser 1205 gestorben war, übernahm das Paar die Grafschaft Saint-Pol als Erbe.
    Walter förderte die Gründung eines Trinitarierklosters in der Nähe von Cerfroi durch den heiligen Felix von Valois. Von Graf Theobald III. wurde er zu einem Großkämmerer der Champagne und von Herzog Odo III. zu einem Seneschall von Burgund ernannt. Während des Erbfolgekrieges in der Champagne unterstützte er die Partei der Gräfin Blanka und deren Sohn.
    1209 nahm Gaucher am Albigenserkreuzzug teil und kämpfte bei den Belagerungen von Béziers und Carcassonne. Im Jahr 1214 kämpfte er in der siegreichen Schlacht bei Bouvines für den König von Frankreich. Im Jahr 1219 nahm er mit dem Prinzen Ludwig den Löwen erneut das Kreuz zum Albigenserkreuzzug und nahm an dem Massaker von Marmande teil.[2] Kurz danach starb er.


    Literatur
    • Theodore Evergates: The aristocracy in the county of Champagne. 1100–1300. University of Pennsylvania Press, Philadelphia PA 2007, ISBN 978-0-8122-4019-1.
    Einzelnachweise
    1 Catalogue des actes de Philippe Auguste, hrsg. von Léopold Delisle (1856), Nr. 394, S. 95
    2 La Chanson de la Croisade contre les Albigeois, tome second, hrsg. von Paul Meyer (1879), §CCXII, S. 461

    Titel (genauer):
    Der Herrschaft Châtillon mit dem Hauptort Châtillon-sur-Marne war der Stammsitz des Hauses Châtillon, einer der mächtigsten Familien des französischen Mittelalters.
    Sie ist seit dem Ende des 9. Jahrhunderts bezeugt, und umfasste anfangs nicht einmal den ganzen Ort, nach dem sie sich benannte: der Rest gehörte dem Grafen von Champagne. Die Herren von Châtillon erwarben durch Heirat eine Reihe von Grafschaften, die aber wieder verloren gingen. Bei mehreren Teilungen der Güter (1249, 1333 und 1416) ging die Herrschaft Châtillon dann jeweils an eine jüngere Linie und dann im 16. Jahrhundert durch Erbschaft verloren.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Herrschaft_Châtillon

    Walter heiratete Elisabeth von Saint Pol (Haus Candavène) in 1196. Elisabeth (Tochter von Graf Hugo IV. (Hugues) von Saint Pol (Haus Candavène) und Yolanda (Jolande) von Hennegau) gestorben in cir 1240. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 113. Graf Guido I. (IV.) von Saint Pol (de Châtillon)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1196; gestorben in Aug 1226 in vor Avignon.
    2. 114. Graf Hugo I. (V.) von Châtillon-Saint Pol  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1197; gestorben am 9 Apr 1248 in Avignon, Frankreich; wurde beigesetzt in Abtei Pont-aux-Dames, Couilly-Pont-aux-Dames, Frankreich.

  11. 72.  Marie von ChâtillonMarie von Châtillon Graphische Anzeige der Nachkommen (42.Guido5, 24.Ada4, 9.Hugo3, 3.Ebles2, 1.Alix1)

    Familie/Ehepartner: Graf Rainald I. von Dammartin (Haus Mello). Rainald (Sohn von Graf Aubry II. (Alberich) von Dammartin (Haus Mello) und Mathilde (Mathildis, Mahaut, Mabile) von Clermont) wurde geboren in cir 1165; gestorben in 1227. [Familienblatt] [Familientafel]


  12. 73.  Graf Thomas von Le PercheGraf Thomas von Le Perche Graphische Anzeige der Nachkommen (43.Gottfried5, 25.Rotrou4, 10.Rotrou3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1193; gestorben am 20 Mai 1217 in Schlachtfeld bei Lincoln.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Le Perche; Graf von Le Perche
    • Militär / Gefecht: 20 Mai 1217, Schlachtfeld bei Lincoln; Teilnehmer an der Schlacht bei Lincoln

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Thomas_(Perche)

    Thomas (* um 1193; † 20. Mai 1217 bei Lincoln) war Graf von Le Perche.

    Er war ein Sohn des Grafen Gottfried III. († 1202) und der Mathilde (Richenza) von Sachsen.

    Wie schon sein Vater war Thomas ein Anhänger König Philipps II. von Frankreich im Kampf gegen Johann Ohneland von England. Mit seinem Stiefvater, Enguerrand III. de Coucy, kämpfte er 1214 siegreich in der Schlacht bei Bouvines.

    Im Jahr 1216 begleitete Thomas den französischen Kronprinzen Ludwig den Löwen auf die britische Insel, um dort für den Prinzen um die englische Krone zu kämpfen. Dabei wurde Thomas von dem Prinzen 1217 mit dem Oberbefehl über ein Heer betraut, mit dem es ihm gelang die führenden Anhänger des Kindkönigs Heinrich III. in der Burg von Lincoln einzuschließen. Der Prinz selbst nahm unterdessen die Belagerung von Dover auf. Thomas gelang es aber nicht Lincoln einzunehmen, was dem Gegner die Zeit gab ein Entsatzheer unter der Führung des alten William Marshal heranzuführen. In der darauffolgenden Schlacht vor der Stadt wurde Thomas getötet, angeblich durch einen tödlichen Lanzenstoß aus einem direkten Zweikampf mit William Marshal selbst.[1] Die Niederlage von Lincoln beendeten die Ambitionen des Prinzen Ludwig auf die englische Krone, noch im selben Jahr zog er sich von der Insel zurück.

    Titel (genauer):
    Thomas war verheiratet mit Helisende von Rethel, einer Tochter des Grafen Hugo II. von Rethel. Da sie keine Kinder hatten folgte ihm sein Onkel, Bischof Wilhelm von Châlons, als Graf von Le Perche nach.

    Militär / Gefecht:
    Die Schlacht von Lincoln war ein militärischer Zusammenstoß im hochmittelalterlichen England des 13. Jahrhunderts. Sie fand am Morgen des 20. Mai 1217 in der Stadt Lincoln in Lincolnshire statt. Sie stellt den militärischen Höhepunkt des so genannten Ersten Krieges der Barone dar.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Schlacht_von_Lincoln_(1217)

    Gestorben:
    In der Schlacht gegen William Marshal vor der Stadt Lincoln wurde Thomas getötet, angeblich durch einen tödlichen Lanzenstoß aus einem direkten Zweikampf mit William Marshal selbst.

    Thomas heiratete Helisende von Rethel in Datum unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  13. 74.  Henry von Beaumont, 5. Earl of Warwick Henry von Beaumont, 5. Earl of Warwick Graphische Anzeige der Nachkommen (44.Waleran5, 26.Roger4, 11.Marguerite3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1192; gestorben am 10 Okt 1229.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Warwickshire; 5. Earl of Warwick - Erste Verleihung -

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Henry_de_Beaumont,_5._Earl_of_Warwick (Jul 2023)

    Henry de Beaumont, 5. Earl of Warwick (auch Henry de Newburgh) (* um 1192; † 10. Oktober 1229) war ein englischer Magnat.

    Henry de Beaumont entstammte der anglonormannischen Familie Beaumont. Er war der älteste Sohn von Waleran de Beaumont, 4. Earl of Warwick und von dessen ersten Frau Margery de Bohun. Sein Vater starb bereits 1203, als Henry noch minderjährig war. Nachdem er noch 1212 auf der Seite von König Johann gestanden hatte,[1] stand er während des Ersten Kriegs der Barone auf der Seite der Rebellen.[2] Als nach dem Krieg der Barone der Regentschaftsrat unter Hubert de Burgh königliche Ländereien und Burgen zurückforderte, die seit dem Bürgerkrieg noch im Besitz von anderen Baronen waren, unterstützte Beaumont jedoch den Regentschaftsrat.[3] Zusammen mit anderen Magnaten unterstützte er 1227 Richard von Cornwall, den jüngeren Bruder von König Heinrich III., als dieser kurzzeitig vergeblich gegen seinen Bruder rebellierte.

    Name:
    auch Henry de Newburgh

    Titel (genauer):
    Earl of Warwick ist ein erblicher britischer Adelstitel, der viermal verliehen wurde und einen der angesehensten Titel Großbritanniens darstellt.
    Erste Verleihung (1088)
    Die Earlswürde wurde in der zweiten Jahreshälfte 1088 in der Peerage of England für Henry de Beaumont errichtet, den jüngeren Sohn von Roger de Beaumont und Bruder von Robert de Beaumont, 1. Earl of Leicester. Der Titel und das dazugehörige Lehen war auch in weiblicher Linie erblich. Die Earlswürde war traditionell mit Warwick Castle verbunden, und, als der 11. Earl die unveräußerliche Vererblichkeit der Burg auf seine männlichen Nachkommen beschränkte, beabsichtigte er damit vermutlich das Gleiche mit der Earlswürde selbst. Der 14. Earl wurde am 14. April 1445 zum Duke of Warwick erhoben. Da er keine Söhne hatte, erlosch das Dukedom bereits bei seinem Tod am 11. Juni 1446, das Earldom fiel hingegen an seine Tochter Anne Beauchamp als 15. Countess. Edward of York, 17. Earl of Warwick wurde 1499 wegen Hochverrates hingerichtet und ihm sein Titel durch Parlamentsbeschluss (Bill of Attainder) im Januar 1504 formell aberkannt.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Warwick
    https://de.wikipedia.org/wiki/Warwickshire

    Henry heiratete Margery de Oilly (?) in nach 1205. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 115. Thomas von Beaumont, 6. Earl of Warwick  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in nach 1205; gestorben am 26 Jun 1242.

    Henry heiratete Philippa Basset in vor 1 Mai 1220. [Familienblatt] [Familientafel]


  14. 75.  Königin Berengaria von England (von Navarra)Königin Berengaria von England (von Navarra) Graphische Anzeige der Nachkommen (46.Sancho5, 27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren in zw 1165 und 117i0 in Königreich Navarra; gestorben am 23 Dez 1230.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1191 bis 1199, England; Königin von England

    Notizen:

    Zitt aus. https://de.wikipedia.org/wiki/Berengaria_von_Navarra (Apr 2018)

    Berengaria (Spanisch: Berenguela, Französisch: Bérengère) (* etwa zwischen 1165 und 1170; † 23. Dezember 1230) war als Gattin von König Richard Löwenherz von 1191 bis 1199 Königin von England.
    Berengaria war die älteste Tochter von König Sancho VI. „dem Weisen“ von Navarra und Sancha von Kastilien, der Tochter von Alfons VII. von Kastilien-León und Berenguela von Barcelona.

    Kindheit und Jugend
    Wie bei vielen englischen Königinnen des Mittelalters ist wenig über Berengaria bekannt, weil die Chronisten nur wenig über sie schrieben. Wegen Navarras Nähe zu Südfrankreich wuchs die Prinzessin in einem eher provenzalisch als spanisch geprägtten Milieu auf. Über ihr Aussehen teilen die mittelalterlichen Geschichtsschreiber nur mit, dass sie dunkle Augen und Haare hatte und schön gewesen sei, welches letztere Attribut aber eine Standardbeschreibung der meisten Königstöchter darstellt. Der englische Chronist Richard von Devizes bemerkt hingegen, sie sei eher klug als schön. Wie viele adlige Damen erhielt sie u. a. Unterweisungen in der Dichtkunst, Musik und im Nähen. Schon lange vor seiner Hochzeit mit Berengaria wurde Richard (I.) Löwenherz, damals noch Graf von Poitou, von Berengarias Bruder Sancho (VII.) zu einem Turnier nach Pamplona eingeladen und soll sich bei dieser Gelegenheit in die junge Prinzessin verliebt und glühende Verse an sie gerichtet haben.[1]

    Heiratsvorbereitungen
    1190, ein Jahr nach seinem Herrschaftsantritt als englischer König, nahm Richard Verhandlungen über seine Heirat mit Berengaria auf. Er schickte seine fast 70-jährige Mutter Eleonore von Aquitanien zu diesem Zweck nach Navarra, weil er selbst mit dem französischen König Philipp II. August zum Dritten Kreuzzug aufbrach. Beide Monarchen trafen im September 1190 in Messina auf Sizilien ein, wo Richard seine verwitwete Schwester Johanna aus der Gefangenschaft des neuen Normannenkönigs Tankred von Lecce befreite. Richard schloss später aber mit Tankred einen Vertrag und verbrachte mit Philipp August den Winter 1190/91 auf Sizilien.
    Inzwischen war Eleonore entweder persönlich über die Pyrenäen nach Navarra gereist oder hatte eine Delegation dorthin geschickt, um mit Sancho VI. den Heiratsvertrag für Richard und Berengaria abzuschließen. Die Königinmutter befürwortete zumindest diese eheliche Verbindung; nach einigen Quellen soll sie sogar die Initiatorin und Richard der gehorsame Sohn gewesen sein. Der Hof von Navarra stimmte dem Eheprojekt zu. Die Braut erhielt von ihrem Vater als Mitgift die strategisch wichtigen Burgen Saint-Jean-Pied-de-Port und Roquebrune sowie von ihrem Gatten als Wittum die Gascogne südlich der Garonne. Nach Eleonores Tod sollte deren Mitgift in Nordfrankreich und England als Wittum an Berengaria fallen.
    Eleonore eskortierte Berengaria über die Alpen nach Italien. Im Februar 1191 kamen die beiden Frauen in Neapel an. Da Richard jedoch bereits 1168 mit Alix, der Schwester Philipps II. August, verlobt worden war, musste diese Bindung erst aufgelöst werden. Darüber kam es zum Disput zwischen Richard und dem Kapetinger, der erneut, aber vergeblich eine Verheiratung Richards mit Alix forderte.
    Laut dem englischen Chronisten Roger von Hoveden schickte Philipp August den Herzog von Burgund zu Tankred, um diesen angeblich über Richards vermeintlich feindselige Haltung zu informieren sowie über Richards Absicht, Sizilien zu erobern. Im Februar 1191 erlaubten Tankreds Leute Eleonore und Berengaria nicht, in Messina anzulegen, da sie ein zu großes Gefolge bei sich hätten. Die königlichen Damen mussten daher zunächst ein Quartier in Brindisi beziehen. Richard wurde daraufhin persönlich bei Tankred vorstellig und konnte das Einvernehmen wiederherstellen. Tankred soll Richard Philipps geheime Informationen mitgeteilt und Richard dann Philipp damit konfrontiert haben, worauf es zum Eklat gekommen sei. Richard habe erklärt, er könne keine Ehe mit Alix eingehen, da diese früher ein Verhältnis mit seinem Vater Heinrich II. unterhalten hätte. Viele Einzelheiten von Hovedens Bericht sind mangels anderer Quellen nicht verifizierbar.[2]
    Der französische Chronist Rigord berichtet, dass der französische König Mitte März 1191 Richard zu einem raschen Aufbruch gedrängt habe. Entweder solle er mit ihm noch vor Berengarias Ankunft Sizilien verlassen und sich zum Kreuzzug aufmachen oder, falls er bleibe, Alix heiraten. Richard habe diese Forderungen abgelehnt.[3]
    Jedenfalls stellte der Kapetinger schließlich Richard frei, nach Belieben zu heiraten. Am 30. März 1191 verließ Philipp August Sizilien in Richtung Tyrus, am gleichen Tag, an dem Eleonore und Berengaria mit einem Schiff, das Richard ihnen nach Reggio geschickt hatte, in Messina einliefen. Da gerade Fastenzeit war, wurde die Heirat verschoben. Eleonore kehrte nach Westfrankreich zurück, wo sie Richard während seiner Abwesenheit als Regentin vertrat; Berengaria und Johanna blieben im Gefolge Richards.

    Heirat während des Dritten Kreuzzuges
    Als Richards Flotte am 10. April 1191 Messina verließ, war Berengaria auf einem anderen Schiff als der König untergebracht, da die beiden noch nicht verheiratet waren. Seine künftige Braut befand sich zusammen mit seiner Schwester Johanna auf eiinem unter dem Kommando Roberts of Thornham stehenden, festgebauten, aber langsamen Wasserfahrzeug. Schiffe dieses Typs wurden „busciae“ oder ähnlich genannt. Mit zwei Begleitschiffen fuhren die königlichen Damen der Hauptflotte etwas voraus, von der sie im Laufe der Reise aufgrund ihres langsameren Tempos wieder eingeholt werden würden. Johanna und Berengaria waren etwa gleichaltrig und wurden rasch lebenslange Freundinnen.
    Bei der Überfahrt zum Heiligen Land geriet Richards Flotte am 12. April 1191 in einen Sturm. Der kleine Schiffskonvoi der königlichen Frauen wurde nach Zypern abgetrieben, wo die Begleitschiffe nahe Limassol am 24. April kenterten. Die Überlebenden, die sich ans Land retteten, wurden von den Zyprioten gefangengenommen und ihrer Habe beraubt, konnten sich aber selbst befreien. Laut dem Itinerarium peregrinorum et gesta regis Ricardi erschien der selbsternannte, den Kreuzfahrern feindlicch gesinnte zyprische Kaiser Isaak Komnenos erst acht Tage nach dem Schiffbruch am Schauplatz. Er ordnete eine Aufstellung eines Heeres in Küstennähe an, um eine mögliche Landung von Richards Heer zu verhindern. Andererseits lud er Berengaria und Johanna, deren Schiff unbeschädigt war, nach Limassol ein. Aus Furcht, dort ebenfalls gefangen genommen zu werden, lehnten sie das Angebot ab. Johanna begründete diese Maßnahme gegenüber Isaak mit der Behauptung, sie dürfe das Schiff nicht ohne die Erlaubnis ihres Bruders verlassen. Sie wartete mit Berengaria vor der Küste Zyperns auf die Ankunft Richards.[4]
    Die Chronique d’Ernoul und L’Estoire de Eracles behaupten, dass sich Isaak nun mit Gewalt der vornehmen Damen zu bemächtigen suchte. Jedenfalls kam der englische König rechtzeitig zu ihrer Hilfe an. Er war am 17. April auf Kreta und am 22. April auf Rhodos gelandet, wo er bis zum 1. Mai blieb. Schließlich traf er am 6. Mai vor Zypern ein und eroberte Limassol. In der dortigen St.-Georgs-Kapelle wurde er an einem Sonntag, dem 12. Mai 1191, durch seinen Kaplan Nicolas, nachmaligem Bischof von Le Mans, mit Berengaria verheiratet. Die Braut trug bei dieser Festlichkeit ein weißes Kleid, darüber einen Umhang aus Brokat sowie einen ihr Haar bedeckenden weißen Schleier. Sie wurde sodann vom Bischof Jean von Évreux zur Königin von England gekrönt. Bald nach seiner Hochzeit bekam Richard die gesamte Insel in seine Gewalt und Isaak ergab sich ihm am 31. Mai oder 1. Juni. Die Tochter des Kaisers, deren Namen nicht überliefert ist, wurde gefangen genommen. Richard vertraute sie seiner Schwester und Gattin zur Erziehung an. Das Mädchen gehörte auf dem weiteren Kreuzzug zu Johannas Gefolge.[5]

    Königin von England
    Weiterer Verlauf des Kreuzzugs
    Über Berengarias Rolle während des weiteren Verlaufs des Kreuzzuges wird wenig berichtet, sie sah ihren Ehemann ziemlich selten. Am 1. Juni 1191 segelte sie mit Johanna von Zypern nach Akkon. König Richard fuhr mit seiner Flotte erst am 5. Jununi von Famagusta ab und traf am 8. Juni im Lager vor Akkon ein. Berengaria wohnte der Belagerung Akkons bei, das sich am 12. Juli ergeben musste und in eine englische und eine französische Besatzungszone aufgeteilt wurde. Als Richard am 21. Juli erstmals die eroberte Stadt betrat, bezog er mit Johanna, Berengaria und Isaaks Tochter im Königspalast Quartier. Nach einem Gemetzel an muslimischen Gefangenen brach Richard am 22. August von Akkon auf und focht mehrere Kämpfe mit Truppen Saladins aus. Berengaria und Johanna blieben bis Oktober in der Obhut von Stephan von Longchamp und Bertram III. von Verdun in Akkon. Dann residierten sie in Jaffa sowie zu Weihnachten in Latrun.

    Gefangenschaft Richards
    Nach einem nicht sehr erfolgreichen Verlauf des Kreuzzuges schloss Richard mit Saladin einen Friedensvertrag und reiste nach Akkon. Von dort aus ließ er am 29. September 1192 Berengaria und Johanna an Bord eines Schiffes gehen, das sie zurück inns Abendland bringen sollte; er selbst machte sich am 9. Oktober auf den Rückweg. Während die beiden Frauen sicher in Brindisi landeten und nach Rom weiterreisten, hatte Richard weniger Glück. Er wurde im Dezember 1192 nahe Wien von seinem Feind, dem österreichischen Herzog Leopold V. gefangengenommen, der ihn an den deutschen Kaiser Heinrich VI. auslieferte. Dieser sperrte Richard u. a. auf dem Trifels ein. Berengaria und Johanna, die von Papst Coelestin III. zuvorkommend empfangen worden waren, blieben aus Angst vor dem deutschen Kaiser sechs Monate in Rom. Dann baten sie den Papst, ihnen für die Reise nach Frankreich Begleitschutz zur Verfügung zu stellen. Ein Kardinal geleitete sie daraufhin über Pisa und Genua nach Marseille. Von dort reisten sie zuerst mit König Alfons II. von Aragón und dann mit Graf Raimund von Toulouse nach Poitou, wo sie etwa Mitte 1193 ankamen.

    Politische Bedeutung
    Richard wurde erst nach Zahlung eines großen Lösegeldes im Februar 1194 seiner Mutter Eleonore übergeben und kehrte in sein Reich zurück, lebte aber nicht mit seiner Gattin zusammen. Die Gründe für diese offensichtliche Entfremdung sind unbekannnt. Manche Historiker vermuteten, dass die englische Königin unfruchtbar gewesen sei. Politisch stand Berengaria im Schatten der Königinmutter Eleonore und spielte keine Rolle bei der Regierung Englands, wo Richard fast dauernd abwesend war. 1195 soll ein Eremit den englischen König ob seines sündigen Lebens an den Fall Sodoms als warnendes Beispiel erinnert haben und Richard anschließend ernsthaft krank geworden sein, woraufhin er seine Gemahlin zurückgerufen und öffentlich eine Beichte abgelegt habe.[6] Am 4. April 1195 sah er Berengaria in Le Mans wieder und die Weihnachten 1195 verbrachte das Paar gemeinsam in Poitiers. Ob sich die Eheleute sonst noch sahen, ist nicht überliefert. Auch ob die Ehe je vollzogen wurde, ist unklar; sie blieb jedenfalls kinderlos. Nachdem Richard bei der Belagerung von Châlus durch einen Pfeil tödlich verwundet worden war, starb er am 6. April 1199 in den Armen seiner Mutter Eleonore. Berengaria war hingegen nicht bei ihrem sterbenden Gemahl anwesend. Es gibt keine Briefe von ihr oder andere Quellen, die belegen würden, wie sie Richards Tod aufnahm. Berengaria hat während Richards Lebenszeit England nie betreten, da Richard während ihrer gesamten Ehe nur für 6 Monate englischen Boden betreten hat. Daher trifft die traditionelle Bezeichnung: „Die einzige englische Königin, die niemals einen Fuß in ihr Land gesetzt hat“ für sie im wahrsten Sinne zu. Jedoch gibt es Hinweise, dass sie sich als Witwe kurzzeitig in England aufgehalten hat.

    Witwenzeit und Tod
    Nach Richards Tod bemühte sich Berengaria hartnäckig, die Zahlung der Pension durchzusetzen, die sie als ehemalige, verwitwete Königin erhalten sollte. Sie schickte mehrmals Boten mit entsprechenden Forderungen nach England, doch König Johann Ohhneland, der seinem Bruder Richard gefolgt war, erfüllte ihre Forderungen nicht. Auf politischen Druck traf er Berengaria 1201 in Chinon und versprach ihr die nordfranzösische Stadt Bayeux, zwei Burgen in Anjou und eine jährliche Zahlung von 1000 Mark, doch löste er dann sein Versprechen nicht ein. Am 1. April 1204 starb die Königinwitwe Eleonore und ihre Mitgift sollte an Berengaria fallen. Der französische König Philipp August übergab nun Berengaria Le Mans samt zugehörigem Territorium als Wittum, wofür sie auf weitere Ansprüche verzichtete. Seitdem hielt sie sich meist in Le Mans auf. Innozenz III. unterstützte ihre Geldforderungen, die sie an Johann stellte. Der Papst schrieb dem englischen König in dieser Sache mehrere Briefe und bedrohte ihn mit einem Interdikt, falls er nicht zahle. 1215 schlossen die Streitparteien schließlich einen Vergleich, doch als Johann im nächsten Jahr starb, schuldete er Berengaria nach ihren Angaben noch mehr als 4.000 Pfund. Die Regierung für den minderjährigen Sohn des verstorbenen Königs, den damals neunjährigen Heinrich III., kam aber den Zahlungsverpflichtungen nach, und seit 1217 erhielt Berengaria die ihr zustehende Rente.
    In Le Mans machte sich Berengaria vor allem durch die Unterstützung der Geistlichkeit und Kirchen verdient. 1226 war sie Miterbin der Güter ihres entfernten Verwandten Wilhelm, Bischof von Chalons. 1228 gründete sie die Zisterzienserabtei L’Épau in unmittelbarer Umgebung von Le Mans, lebte nach deren Fertigstellung in dieser Abtei und wurde dort nach ihrem Tod 1230 in einem prächtigen Grabmal bestattet. Heute befinden sich ihre sterblichen Überreste in der Kathedrale von Le Mans.

    Berengaria heiratete König Richard I. von England (Plantagenêt), Löwenherz in 1191. Richard (Sohn von König Heinrich II. (Henry II.) von England (Plantagenêt) und Königin Eleonore von Aquitanien) wurde geboren am 8 Sep 1157 in Oxford; gestorben am 6 Apr 1199 in Châlus. [Familienblatt] [Familientafel]


  15. 76.  König Sancho VII. von NavarraKönig Sancho VII. von Navarra Graphische Anzeige der Nachkommen (46.Sancho5, 27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben am 7 Apr 1234.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1194-1234, Königreich Navarra; König von Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Navarra https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Könige_von_Navarra


  16. 77.  Gräfin Blanka von NavarraGräfin Blanka von Navarra Graphische Anzeige der Nachkommen (46.Sancho5, 27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) gestorben in 1229.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Champagne; Gräfin von Champagne (durch Heirat)
    • Titel (genauer): Königreich Navarra; Königin von Navarra

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Blanka_von_Navarra_(Champagne)

    Blanka von Navarra († 1229) war durch ihren Ehemann Gräfin von Champagne, dann Regentin des Landes und schließlich auch Regentin ihrer Heimat, des Königreichs Navarra.
    Sie war die jüngste Tochter von König Sancho VI. († 1194) und Sancha von Kastilien. Ihre mütterlichen Großeltern waren Alfons VII., König von Kastilien und Berenguela von Barcelona.
    Blanka heiratete Theobald III., Graf von Champagne, der bereits 1201 starb, während sie schwanger war. Ihr Kind, Theobald IV. wurde sofort Graf von Champagne. Blanka blieb Regentin des Landes, bis ihr Sohn 1222 erwachsen wurde.
    Ihre Regentschaft litt unter einer Reihe von Problemen. Blankas Schwager, Graf Heinrich II. von Champagne hatte einen großen Berg Schulden hinterlassen, der noch nicht abbezahlt war, als Theobald III. starb. Die Nachfolge Theobalds IV. wurde von Heinrichs Tochter Philippa und ihrem Ehemann Érard von Brienne, Herr von Ramerupt und einer der mächtigsten Barone der Champagne, angefochten. Der Konflikt mit Brienne brach 1215 offen aus und war zum Ende ihrer Regentschaft nicht gelöst.
    Blankas Bruder Sancho VII. war der letzte männliche Angehörige der Herrscherfamilie Navarras. Als er sich zurückzog, übernahm Blanka die Verwaltung des Königreichs. Sie starb 1229 vor ihrem Bruder.

    Titel (genauer):
    Ihre Heimat

    Blanka heiratete Graf Theobald III. von Champagne (Blois) in 1195 in Chartres. Theobald (Sohn von Graf Heinrich I. von Champagne (Blois) und Prinzessin Marie von Frankreich (Kapetinger)) wurde geboren am 13 Mai 1179 in Troyes; gestorben am 24 Mai 1201 in Troyes; wurde beigesetzt in Kirche Saint-Étienne in Troyes. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 116. Graf Theobald I. von Champagne (von Navarra), der Sänger  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 30 Mai 1201; gestorben am 8 Jul 1253 in Pamplona.

  17. 78.  König Alfons VIII. von KastilienKönig Alfons VIII. von Kastilien Graphische Anzeige der Nachkommen (47.Blanka5, 27.Margarete4, 12.Juliane3, 4.Béatrice2, 1.Alix1) wurde geboren am 11 Nov 1155 in Soria; gestorben am 05/06 Okt 1214 in Gutierre-Muñoz, Provinz Ávila.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): König von Kastilien (1158 bis 1214)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Alfons_VIII._(Kastilien)

    Alfons VIII. el Noble, der Edle (* 11. November 1155 in Soria; † 5. oder 6. Oktober 1214 in Gutierre-Muñoz, Provinz Ávila) war von 1158 bis 1214 König von Kastilien.

    Herkunft
    Alfons VIII. war ein Sohn König Sancho III. von Kastilien (1134–1158) und der Blanca Garces von Pamplona (1133–1156), einer Tochter des Königs García IV. von Navarra. Nachdem seine Mutter Blanka bereits am 12. August 1156 verstorben war, folgte ihr der Gatte Sancho nach nur einjähriger Regierung ins Grab nach.

    Vormundschaft und Machtkämpfe
    König Ferdinand II. von León beanspruchte im August 1158 die Vormundschaft für den verwaisten Neffen und rückte mit Truppen in Kastilien ein. Sowohl die Adelshäuser Lara und Castro, wie auch der Onkel des Jungen, Ferdinand II. von León beantragtten die Regentschaft über Kastilien. Die beiden Häupter des verfeindeten Adels, Gutierre Fernández de Castro und Nuño Pérez de Lara, versuchten den Knaben in ihre Gewalt zu bringen. Die Rivalität führte zum Krieg, der junge Alfonso kam dabei kurz in die Obhut des Grafen García Garcés de Aza. Dieser war aber nicht wohlhabend genug, um ihn ausreichend unterstützen zu können. Schließlich gelang es den Grafen von Lara, den jungen König 1159 in ihren Einflussbereich zu bekommen. Gleichzeititig benutzte König Sancho VI. von Navarra die Wirren und besetzte Logroño und große Gebiete von La Rioja, während Ferdinand von León, die Stadt Burgos angriff. Im März 1160 schlugen die Truppen unter Nuño Pérez de Lara die Soldaten der Castro bei Lobregal, die Vormundschaft über den König verblieb bei Graf Manrique Pérez de Lara. Die weiterhin ausgehende Gefahr durch den König von León, des Verbündeten der Castro, machte die Verlegung des Prinzen ins sichere Soria notwendig, hier verblieb er bis 1162. Alfons kam dann in die Obhut der königstreuen Stadt Ávila. 1166 konnte der kastilianische Adel die Residenz Toledo aus den Händen Ferdinands zurückgewinnen.

    Übernahme der Regierung
    Nach dem Erreichen seiner Volljährigkeit am 11. November 1169 löste sich Alfonso VIII schrittweise aus der Bevormundung der Lara und konnte seine Position als König von Kastilien erheblich verbessern. Sein erstes Ziel als Monarch war die Rückgewwinnung aller während seiner Minderjährigkeit verlorenen Gebiete Kastiliens. 1170 schloss er in Saragossa einen Beistandspakt mit König Alfons II. von Aragón. Seine vom Thronrat beschlossene Ehe mit Eleanor Plantagenet, einer Tochter Heinrich III. von England aus seiner Ehe mit Eleonore von Aquitanien, brachte Kastilien die Grafschaft Gascogne als Mitgift ein. Neue 1174 einsetzende Angriffe der Almohaden zwangen die christlichen Kontrahenten zu anderwertigen militärischen Schwerpunkten, die Stadt Uclés wurde zum Ausgangsort einer Offensive gegen die Muslime, die ihren Höhepunkt am 21. September 1177 mit Rückeroberung von Cuenca hatte. Nach dem Tod des Grafen Nuño Pérez de Lara 1177 erreichte Alfons die vollständige Machtposition seines Königtums zurück. Am 20. März 1179 unterzeichnete er in Cazola mit Aragon einem weiteren Bündnisvertrag, in dem Alfons II. alle Rückeroberungen in Valencia und Denia, sowie Jativa zugestanden wurde. Kastilien andererseits wurden die Gebiete in Murcia und alles Territorium bis über den Hafen von Biar zugestanden.
    Nach dem Tode Ferdinand II. im Januar 1188 rückte Alfons sofort in León ein; unterstützt von den aufständischen Haro eroberten seine Truppen Coyanza. Alfons traf im Mai 1188 mit seinem Cousin, dem neugekrönten König Alfons IX. in Carrión de los Condes zusammen und erreichte vorläufig einen Ausgleich. Nach dieser Abmachung musste die älteste Tochter Berenguela später (1198) Alfons IX. heiraten – Papst Innozenz III. annullierte die Ehe aber bereits 1203 wegen des zu nahen Verwandtschaftsgrades der beiden, woraufhin sie mitsamt ihren Kindern an den kastilischen Hof ihres Vaters zurückkehren musste. Am 7. September 1190 näherten sich die Reiche Navarra und Aragón im Vertrag von Borja an, am 12. Mai 1191 schlossen sich dann León, Portugal und Aragón in Huesca zu einem Bündnis zusammen, das Alfons als eindeutig gegen Kastilien gerichtet ansah. Zwischen 1194 und 1196 traten nach dem Tode der Könige von Navarra und Aragón und der Bedrohung aus dem Süden neue Konstellationen ein, die die alten Machtblöcke auflösten.

    Interne Maßnahmen
    Alfons hielt unbedingte Treue gegenüber dem Papsttum und stellte untergegangene Bistümer in Albarracín und Cuenca wieder her. Er unterstützte neue Ordensgemeinschaften, wie den Predigerorden und die Barfüßer, die neben den Zisterziensern und Prämonstratensern Bedeutung erlangten. Ebenso bedeutend als Gesetzgeber, verlieh der König vielen Gemeinden weitgehende Stadtrechte, von denen das Recht von Cuenca besondere Bedeutung erlangte. Seine Maßnahmen zu Hebung des Bildungstandes waren durch den Ausbau von Domschulen, in einer späteren Phase durch die Gründung von Universitäten gekennzeichnet. Die Universität Palencia wurde vom König 1208 gegründet.

    Kampf gegen die Almohaden
    Im Jahre 1190 konnte Kalif Yaʿqūb al-Mansūr die christlichen Könige von Kastilien und Leon zum Waffenstillstand zwingen, nachdem er deren Angriffe in Andalus abgewehrt hatte. Alfons verband sich 1193 nach Beilegung der Fehden mit Aragonien und Navarra mit den Königen von León und Navarra erneut gegen die Mauren. Nach Ablauf des Waffenstillstandes, fiel Alfons VIII. 1194 wieder in al-Andalus ein. Am 19. Juli 1195 unterlag er dem Gegenangriff der Almohaden unter Jakub in der Alarcos in der Sierra Morena. Alfons und die Reste seines Heeres flohen nach Toledo, während Yaqub nach Sevilla zurückkehrte.
    Kastilien und Leon kamen infolge neuer Bedrohungen 1206 in Cabreros zu einem Ausgleich, Erzbischof Rodrigo Jiménez de Rada von Toledo vermittelte am 29. Oktober 1207 zwischen Kastilien und Navarra den Frieden von Guadalajara. Im Sommer 1211 überquerten die Almohaden ihrerseits mit einem großen Heer die Straße von Gibraltar, überfielen die christlichen Gebiete und eroberten im September 1211 die Burg Salvatierra des Calatravaorden bei Toledo. Papst Innozenz III. rief zum Kreuzzug auf, Rodrigo Jiménez de Rada organisierte ein neues Bündnis der Königreiche Portugal, León, Kastilien, Navarra und Aragón gegen die Almohaden.
    Nachdem die Königin Eleonor mehrere Töchter geboren hatte, war dem König am 29. September 1189 der ersehnte Infant Ferdinand von Kastilien geschenkt worden, dieser ergriff noch das Kreuz, verstarb aber überraschend mitten in den Kriegsvorbereitungen im Oktober 1211. Das Kreuzritterheer versammelte sich Ende Mai 1212 in Toledo. Das christliche Heer bestand neben dem kastilischen Kontingent aus Aragoniern unter Führung von Peter II., einem Kontingent des Königs von León und einem Kontingngent aus „Francos“ (französische Kreuzfahrer) mit den Prälaten Arnold Amalrich von Narbonne an der Spitze. Anfang Juni brach die Armee zum ersten Feldzug in Richtung Süden auf. Die Stadt Calatrava la Vieja, die den Zugang zu Al-Andalus schützte, wurde bald eingenommen. Der Rückzug wurde eingeleitet, die Anhänger Amalrichs waren fanatische Kämpfer und verstanden nicht, warum Alfons VIII. die muslimische Bevölkerung der Stadt verschonte. Alfons VIII. sah in den Muslimen einfach neue Untertanen, die es galt zu guten Steuerzahlern zu formen. Am 24. Juni 1212 verließ die christliche Armee zu einem weiteren Angriff erneut Toledo. Die Kreuzritter durchquerten die Sierra Morena auf Wegen, die von den Mauren nicht überwacht wurden unund schafften es den Despeñaperros-Pass unbemerkt zu überschreiten. Anfang Juli 1212 war das Heer mit provenzalischer Hilfe erheblich verstärkt worden, am 16. Juli wurde in der Las Navas de Tolosa ein großer Sieg über die Almohaden unter Mohammed an- Nasir errungen. Alfons VIII. begann umgehend mit der Verfolgung und zwang den Feind nach Marokko überzusetzen. Außer der Eroberung von Baeza und der Besetzung des Guadalquivir-Tals durch die Christen hatte die Schlacht bei Las Navas de Tolosa keine unmittelbaren Folgen, der Sieg eröffnete aber den Weg zur Rekonquista, der weiteren Eroberung des Südens der iberischen Halbinsel.
    Des Königs Versuche, die Grafschaft Gascogne dauernd mit Kastilien zu vereinen gelangen ihm am Ende seines Lebens nicht mehr. Alfonso VIII. starb am 5. Oktober 1214, sein einziger lebender Sohn Heinrich I. war erst 10 Jahre alt war, die Regentschaft wurde Álvaro Núñez de Lara übertragen. Der König wurde in einem Sarkophag des von ihm gegründeten Kloster Las Huelgas bei Burgos beigesetzt.

    Nachkommen
    Er war seit 1176 verheiratet mit Eleanor Plantagenet (* 1162; † 1214), Tochter des englischen Königs Heinrich II. und dessen Ehefrau Eleonore von Aquitanien. Mit ihr hatte er die folgenden Kinder:
    • Berenguela (* 1180; † 1246), 1217 Königin von Kastilien
    1 ∞ Konrad II., Herzog von Schwaben
    2 ∞ Alfons IX. von Léon
    • Sancho (* 1181), Prinz von Kastilien
    • Sancha (* 1182; † 1184), Prinzessin von Kastilien
    • Urraca (* 1186; † 1220) ∞ Alfons II., König von Portugal.
    • Blanka (* 1188; † 1252) ∞ Ludwig VIII., König von Frankreich
    • Ferdinand (* 1189; † 1211), Prinz von Kastilien
    • Mafalda (* 1191; † 1204), Prinzessin von Kastilien
    • Heinrich (* 1192), Prinz von Kastilien
    • Konstanze (* 1196)
    • Eleonore († 1244) ∞ Jakob I., König von Aragón
    • Heinrich I. (* 1204; † 1217), König von Kastilien



    Sonstiges
    Die Figur Alfonsos in Lion Feuchtwangers Roman Die Jüdin von Toledo und in Grillparzers Trauerspiel Die Jüdin von Toledo bezieht sich auf Alfons VIII.
    Literatur
    • Emilio Sáez: Alfons VIII. In: Lexikon des Mittelalters (LexMA). Band 1, Artemis & Winkler, München/Zürich 1980, ISBN 3-7608-8901-8, Sp. 395 f.
    Weblinks
     Commons: Alfons VIII. (Kastilien) – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Literatur von und über Alfons VIII. im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek

    Alfons heiratete Königin Eleanore von England (Plantagenêt) in 1176. Eleanore (Tochter von König Heinrich II. (Henry II.) von England (Plantagenêt) und Königin Eleonore von Aquitanien) wurde geboren in 1162; gestorben in Okt 1214. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 117. Königin Berenguela von Kastilien  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 1 Jun 1180 in Sergovia; gestorben am 8 Nov 1246 in Las Huelgas.
    2. 118. Prinzessin Urraca von Kastilien (von Portugal)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 1186 od 1187 in Coimbra; gestorben am 3 Nov 1220 in Lissabon.
    3. 119. Königin Blanka von Kastilien  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in vor dem 4 Mär 1188 in Palencia; gestorben am 27 Nov 1252 in Paris, France; wurde beigesetzt in Zisterzienserkloster Maubuisson.
    4. 120. Königin Eleonore von Kastilien  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1244 in Burgos; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei Santa María la Real, Las Huelgas.

  18. 79.  Gräfin Mathilde von Dammartin (Haus Mello)Gräfin Mathilde von Dammartin (Haus Mello) Graphische Anzeige der Nachkommen (50.Rainald5, 30.Mathilde4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1259.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Gräfin von Dammartin und von Boulogne, Nominelle Königin von Portugal durch Heirat (1248 bis 1253)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Mathilde_von_Dammartin

    Mathilde von Dammartin (auch Mathilde II. von Boulogne genannt; † 1259) war eine Gräfin von Dammartin und von Boulogne aus dem Hause Mello, sowie durch ihre zweite Ehe von 1248 bis 1253 eine nominelle Königin von Portugal. Sie war eine Tochter des Grafen Rainald I. von Dammartin († 1227) und der Gräfin Ida von Boulogne († 1216).

    Gräfin von Boulogne und Dammartin
    Als einziges Kind ihrer Eltern galt Mathilde als deren Alleinerbin ihrer Besitzungen. Bereits als Kleinkind ist sie von ihrem Vater im August 1201 in Compiègne mit dem damals erst etwa einem Jahr alten Prinzen Philipp „dem Borstigen“ verlobt wurden, dem zweiten Sohn König Philipps II. August.[1] Die lebenslange Freundschaft der beiden Väter zueinander sollte in dem Ehebündnis ihrer Kinder eine dynastische Manifestation erfahren. Das Verlöbnis ist im Mai 1210 in Saint-Germain-en-Laye erneuert wurden[2] und überdauerte auch die folgende Felonie des Vaters am König, die in seiner Gefangennahme in der Schlacht von Bouvines am 27. Juli 1214 gipfelte. Wahrscheinlich ist Mathilde darauf in die Obhut des königlichen Haushaltes aufgenommen und gemeinsam mit Prinz Philipp erzogen wurden. Ihre fortbestehende Verlobung dürfte sie dabei vor der Enteignung durch die Krone bewahrt haben, würde doch durch die zu erwartende Ehe ihr Erbe dem Erbfolgeprinzip gemäß in die königliche Familie übergehen. Wann die Ehe rechtsgültig formalisiert worden war, ist unklar, aber bis spätestens zum Jahr 1218, als Mathilde in einer königlichen Urkunde erstmals mit der Titulatur „Gräfin von Dammartin“ genannt wird, dürfte dies geschehen seein.[3] Ihr Mann ist am 17. Mai 1222 vom Grafen der Champagne zum Ritter geschlagen wurden und im August 1223 wird er erstmals mit dem Titel „Graf von Boulogne“ urkundlich genannt.[4] Offenbar wird also Mathilde vom alten König Philipp II. August bis zu dessen Tod am 14. Juli 1223 in ihrem elterlichen Erbe restituiert worden sein, da ihr Mann die entsprechenden Titel einzig kraft ihres Erbrechts (iure uxoris) gehalten hat. Allerdings scheint Mathilde nicht das vollständige Erbe ihres Vaters zurückerstattet bekommen zu haben, dessen Haft auch unter der Herrschaft ihres Schwagers König Ludwig VIII. fortgesetzt wurde. So wird ihr Mann in einer Urkunde vom Februar 1224 lediglich im Besitz eines Viertels der Grafschaft Dammartin genannt, während dort zeitgleich in zunehmendem Maße Vertreter der Krone (Bailli) als Amtsleute auftraten.[5] Diesem Umstand dürfte es geschuldet sein, dass Mathilde auf den gräflichen Titel für Dammartin in ihren Urkunden mit wenigen Ausnahmen verzichtete, während sie den für Boulogne, dass sie zum ganzen Teilen hielt, durchweg verwendet hat.[6]
    Nach dem Tod König Ludwigs VIII. am 8. November 1226 hat sich Philipp kurzzeitig der Opposition der Barone gegen seine Schwägerin Blanka von Kastilien angeschlossen, gegen die er als ältester lebender Vertreter des königlichen Hauses einen Anspruch auf die Regentschaft für seinen unmündigen Neffen Ludwig IX. geltend gemacht hat. Nachdem sich jedoch schnell seine Unterlegenheit gegenüber der Schwägerin offenbarte, hat er sich mit dieser bis zu Jahresende 1227 versöhnt und auf die Regentschaft zugunsten der Anerkennung auf das Erbe des Rainald von Dammartin verzichtet. Mathildes Vater war noch im selben Jahr in seinem Gefängnis gestorben. Gegen Jahresende 1233 hat auch Philipp „der Borstige“ sein Testament verfasst und ist im Januar 1234 gestorben.[7]
    Aus der Ehe mit Prinz Philipp ist die Tochter Johanna († Januar 1252) hervorgegangen, die 1236 mit Walter von Châtillon (X 1250), Erbe von Nevers, Auxerre und Tonnerre, verlobt wurde. Entgegen allen späteren Behauptungen hatten Mathilde und Philipp keinen gemeinsamen Sohn namens Alberich (Aubry), der auf das elterliche Erbe zugunsten eines Lebens in England verzichtet und dort einen Sohn mit einer Tochter des „Königs Simon von England“ verheiratet habe. Diese eher legendenhaft anmutendnden und unbelegten Informationen stammen aus den wenig zuverlässigen Werken des Jean-François Dreux du Radier aus dem 18. Jahrhundert.[8] Aber ein Sohn wird weder im Testament Philipps „des Borstigen“ noch in irgendeinem anderen Dokument von ihm und der Gräfin Mathilde erwähnt.

    Königsgemahlin von Portugal
    Noch im Januar 1234 hat Mathilde in Saint-Germain-en-Laye gegenüber König Ludwig IX. den Lehnseid für ihre Besitzungen abgelegt.[9] Auf Betreiben der französischen Krone wurde sie anschließend mit dem nach Frankreich exilierten portugiesischen Prinzen Alfons verlobt, den sie wohl bis spätestens zum Sommer 1239 geheiratet hat.[10]
    Alfons war der Neffe der französischen Königinmutter Blanka, die über ihn an politischen Einfluss in Portugal zugunsten Frankreichs zu gewinnen suchte. Sie bewegte deshalb Papst Innozenz IV. den amtierenden König Sancho II., der mit der Kirche im Streit lag, auf dem Konzil von Lyon in der Regentschaft über Portugal durch seinen Bruder Alfons zu ersetzen, welcher im Spätjahr 1245 sogleich in seine Heimat zurückgezogen ist. Ob Mathilde ihn nach Portugal begleitet hat ist unklar; sie tritt erst wieder im April 1247 in ihrer Heimat urkundlich auf, während ihr Mann in Portugal nach dem Tod des Bruders 1248 als Alfons III. den Thron bestiegen hat. Ihre Ehe hat fortan nur noch auf dem Papier fortbestanden, ist aber weiter rechtsgülttig geblieben, was für Alfons III. problematisch wurde als er 1253 in Bigamie eine zweite Ehe eingegangen ist, die kirchlicherseits zu Lebzeiten Mathildes nicht anerkannt wurde. Es ist nicht ersichtlich, ob Mathilde je auf eine Annullierung ihrer zweiten Ehe hingewirkt hätte. Andererseits hat sie auch in ihren Urkunden auf die Verwendung der Königstitulatur verzichtet.

    Tod
    1252 ist Mathildes einziges Kind und Erbin gestorben, zwei Jahre nachdem schon ihr Schwiegersohn auf dem Kreuzzug in Ägypten gefallen war, ohne selbst Kinder zu hinterlassen, womit sich eine Aufteilung ihres Erbes zwischen ihren Vettern abzeichnete.
    Eine portugiesische Chronik verzeichnet, dass Mathilde nach der Geburt ihres ersten Stiefsohnes Dionysius (* 9. Oktober 1261) und vor der Geburt des zweiten Alfons (* 6. Februar 1263) gestorben sei, womit vor allem dem Ersteren eine illegitime GGeburt unterstellt werden sollte.[11] Diese Angabe ist allerdings offensichtlich falsch, da Mathildes letzte Urkunde auf den 13. November 1258 datiert und ihr Vetter Matthäus von Trie im Oktober 1259 erstmals als Graf von Dammartin urkundet, was er zu ihren Lebzeiten sicher nicht getan hätte.[12] Auch der englische Chronist Matthäus Paris hat ihren Tod in das Jahr 1259 verortet.[13]
    In ihren Besitzungen sind ihre Vettern Matthäus von Trie (Dammartin; † 1272) und Robert V. von Auvergne (Boulogne; † 1277) nachgefolgt.

    Nachkommen
    Mathilde von Dammartin hatte mit Prinz Philipp „dem Borstigen“ von Frankreich eine Tochter:
    • Johanna (Jeanne) (* wohl 1219; † 14. Januar 1252), Gräfin von Clermont und Aumale; ∞ 1241 Gaucher de Châtillon, X 25. März 1250, Herr von Montjay usw.

    Kinder aus ihrer zweiten Ehe mit König Alfons III. von Portugal sind nicht bekannt.



    Literatur
    • Delisle, Léopold, Recherches sur les comtes de Dammartin au XIIIe siècle, in: Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, Bd. 31 (1869), S. 191–226.
    Urkundenverzeichnisse
    • Delisle, Léopold, Catalogue des actes de Philippe-Auguste. Paris, 1856.
    • Teulet, Alexandre, Layettes du Trésor des Chartes, Bände 1 und 2. Paris, 1863–1866.
    Einzelnachweise
    1 Vgl. Teulet, Bd. 1, Nr. 613, S. 226f.
    2 Vgl. Teulet, Bd. 1, Nr. 926, S. 351.
    3 Vgl. Delisle (1856), Nr. 1826, S. 402.
    4 Vgl. Alberich von Trois-Fontaines, Chronica, in: Monumenta Germaniae Historica, SS 23, S. 912; Recueil des Historiens des Gaules et de la France, Bd. 19, Nr. XXV, S. 324.
    5 Vgl. Teulet, Bd. 2, Nr. 1629, S. 23.
    6 So nannte sie sich im August 1232 in einer Schenkung an das bei Dammartin gelegenen Kloster Chambre-Fontaine „M[athildis] uxor sua, Com[itisse] Bolon[ie] & Domp[ni Martini]“, vgl. Toussaint du Plessis: Histoire de l’eglise de Meaux, Bd. 2 (171), Nr. CCC, S. 130.
    7 Zum Testament siehe: Martène, Edmond, Thesaurus novus anedcotorum, Bd. 1 (1717), Sp. 988–991.
    8 Vgl. Delisle (1869), S. 207f.
    9 Vgl. Teulet, Bd. 2, Nr. 2266, S. 259.
    10 Mathilde tätigte noch im April 1239 allein mit ihrer Tochter eine Schenkung zur Erinnerung an ihren ersten Mann. Vgl. Jacob, Alfred, Cartulaire de l’abbaye de Sainte-Hoïlde, in: Mémoires de la Société des lettres, sciennes et arts de Bar-le-uc, Ser. 2, Bd. 1 (1882), Nr. XCVII, S. 79f. Im August 1239 tritt sie dann erstmals mit Prinz Alfons als ihrem zweiten Ehemann urkundlich in Erscheinung. Vgl. Teulet, Bd. 2, Nr. 2833, S. 416.
    11 Vgl. Breve Chronicon Alcobacense, in: Portugaliae Monumenta Historica, Scriptores 1, faisculus 1 (1856), S. 21.
    12 Hochspringen 
↑ Vgl. Morand, François, L’année historique de Boulogne-sur- Mer (1859), Nr. 13, S. 262ff; Pére Anselme, Histoire genealogique et chronologique de la maison de France, dritte Edition, Bd. 6 (1730), S. 663.
    13 Matthäus Paris, Chronica Majora, Bd. 5, hrsg. von William Stubbs (1880), S. 743.

    Siehe auch: Liste der Königinnen Portugals, Liste der Könige Portugals, Geschichte Portugals, Zeittafel der Geschichte Portugals, Portugal unter den Burgunderherrschern, Haus Mello.

    Mathilde heiratete Prinz Philipp Hurepel von Frankreich (Kapetinger) in cir 1218. Philipp (Sohn von König Philipp II. August von Frankreich (Kapetinger) und Agnes-Maria von Andechs (von Meranien)) wurde geboren in cir 1200; gestorben in Jan 1234. [Familienblatt] [Familientafel]

    Mathilde heiratete König Alfons III. von Portugal in cir 1235. Alfons (Sohn von König Alfons II. von Portugal, der Dicke und Prinzessin Urraca von Kastilien (von Portugal)) wurde geboren am 5 Mai 1210 in Coimbra; gestorben am 16 Feb 1279 in Lissabon. [Familienblatt] [Familientafel]


  19. 80.  Gräfin Johanna von Dammartin (von Ponthieu)Gräfin Johanna von Dammartin (von Ponthieu) Graphische Anzeige der Nachkommen (51.Simon5, 30.Mathilde4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1279.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrschaft, Grafschaft Aumale; Gräfin von Aumale
    • Titel (genauer): bis 1279, Grafschaft Ponthieu ; Gräfin von Ponthieu

    Notizen:

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Aumale, später Herzogtum Aumale, lag in der Normandie westlich von Amiens.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Herzogtum_Aumale (Sep 2023)

    Titel (genauer):
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Grafen_von_Ponthieu

    Johanna heiratete König Ferdinand III. von León (von Kastilien) am vor Aug 1237. Ferdinand (Sohn von König Alfons IX. von León (von Kastilien) und Königin Berenguela von Kastilien) wurde geboren in 30 Jul od 05 Aug 1199 in Zamora; gestorben am 30 Mai 1252 in Sevilla. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 121. Graf Ferdinand von Aumale (Kastilien)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1260.
    2. 122. Eleonore von Kastilien  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1241; gestorben am 28 Nov 1290 in Harby, Nottinghamshire.

  20. 81.  Marie de Dammartin (Haus Mello)Marie de Dammartin (Haus Mello) Graphische Anzeige der Nachkommen (51.Simon5, 30.Mathilde4, 14.Rainald3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in nach 1279.

    Marie heiratete Graf Jean II. (Johann) von Roucy (Pierrepont) in Datum unbekannt. Jean (Sohn von Robert I. de Pierrepont und Eustacie von Roucy) gestorben in 1251. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 123. Graf Jean III. (Johann) de Roucy (Pierrepont)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1282.

  21. 82.  Giullaume de MelloGiullaume de Mello Graphische Anzeige der Nachkommen (52.Dreux5, 31.Dreux4, 15.Richhilde3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in 1249.

  22. 83.  Herr Dreux de Mello, der Jüngere Herr Dreux de Mello, der Jüngere Graphische Anzeige der Nachkommen (52.Dreux5, 31.Dreux4, 15.Richhilde3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben am 8 Jan 1249 in Zypern.

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1197)

    Familie/Ehepartner: Herrin Elisabeth de Mayenne. Elisabeth gestorben am 11 Nov 1257. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 124. Herr Dreux II. de Mello  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 3 Sep vor 1252.

  23. 84.  Agnès de MelloAgnès de Mello Graphische Anzeige der Nachkommen (52.Dreux5, 31.Dreux4, 15.Richhilde3, 5.Margarete2, 1.Alix1)

  24. 85.  Graf Richard de ClareGraf Richard de Clare Graphische Anzeige der Nachkommen (53.Roger5, 32.Richard4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in wohl 1153; gestorben am 28 Nov 1217.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Hertford, England; 3. Earl of Hertford

    Richard heiratete Amicia of Glouchester (FitzWilliam), Countess of Gloucester in cir 1180. Amicia (Tochter von Earl William FitzRobert von Gloucester und Hawise von Beaumont) wurde geboren in cir 1170; gestorben in Jan 1225. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 125. Graf Gilbert de Clare  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1180; gestorben am 25 Okt 1230 in Penrose, Bretagne, France; wurde beigesetzt in Tewkesbury Abbey, Plymouth, England.

  25. 86.  Aveline de ClareAveline de Clare Graphische Anzeige der Nachkommen (53.Roger5, 32.Richard4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) gestorben in zw 1220 und 1225.

    Aveline heiratete William de Mountchesney (Munchensi) in Datum unbekannt. William gestorben in 1204. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 126. Warin de Munchensi  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1195; gestorben in cir 20 Jul 1255.

    Aveline heiratete Geoffrey FitzPeter, 1. Earl of Essex in Datum unbekannt. Geoffrey wurde geboren in cir 1162; gestorben in 2 Okt od 14 Okt 1213. [Familienblatt] [Familientafel]


  26. 87.  Gräfin Isabel de ClareGräfin Isabel de Clare Graphische Anzeige der Nachkommen (54.Richard5, 33.Gilbert4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in zw 1171 und 1176; gestorben in 1220; wurde beigesetzt in Tintern Abbey, Wales, England.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Pembroke Castle, Wales; 4. Countess of Pembroke

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Isabel_de_Clare,_4._Countess_of_Pembroke

    Isabel de Clare, 4. Countess of Pembroke (* zwischen 1171 und 1176; † 1220) war eine anglonormannische Magnatin.

    Herkunft, Erbe und Heirat mit William Marshal[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
    Isabel de Clare entstammte der Familie Clare. Sie war die einzige Tochter von Richard de Clare, 2. Earl of Pembroke und dessen Frau Aife. Ihre Mutter war eine Tochter des irischen Königs Diarmait Mac Murchada, die ihr Vater im August 1170 geheiratet hatte. Ihr Vater starb bereits im April 1176, worauf ihr 1173 geborener Bruder Gilbert zum Erben der umfangreichen Besitzungen ihres Vaters wurde. Gilbert starb jedoch zwischen 1185 und 1189 kinderlos, bevor er volljährig geworden war. Daraufhin wurde Isabel die alleinige Erbin der Besitzungen ihres Vaters in England, in der Normandie, in Südwales und im irischen Leinster. Die Heirat mit der reichen Erbin bot König Heinrich II. kurz vor seinem Tod 1189 seinem treuen Vasallen William Marshal als Belohnung an.[1] Nach Heinrichs Tod gab auch dessen Sohn und Nachfolger Richard I. seine Zustimmung zu der Heirat. Marshal holte Isabel im August 1189 aus dem Haushalt von Ranulf de Glanville in London ab und heiratete sie unmittelbar danach.

    Herrin von Leinster
    Im Frühjahr 1207 wollte Marshal erstmals nach seiner Heirat mit Isabel Leinster und seine weiteren irischen Besitzungen besuchen. Vor ihrer Abreise aus Südwales nahm Isabel an einer Ratsversammlung in Chepstow teil, zu der Marshal seine Gefolgsleute geladen hatte. Dort versuchte sie vergeblich zu verhindern, dass ihr zweiter Sohn Richard als Geisel dem englischen König Johann übergeben wurde. Möglicherweise hatte sie Marshal bewogen, nach Irland zu gehen, nachdem Marshal beim König in Ungnade gefallen war. In Leinster galt Isabel als Herrin aus eigenem Recht. Mit Walter hatte sie einen eigenen Geistlichen und mit Robert einen eigenen Verwalter, dazu führte sie ein eigenes Siegel. Nach ihrer Ankunft in Irland kam es aber zu einem Streit mit Meiler fitzHenry, dem königlichen Justiciar, der aber auch ihr Vasall in Leinster war. Meiler veranlasste, dass Marshal zurück an den Königshof nach England gerufen wurde, womit er Leinster unverteidigt zurückließ und Meilers Truppen einen Einfall nach Leinster ermöglichte. Die schwangere Isabel blieb währenddessen in Irland in der Obhut einiger Ritter aus dem Gefolge Marshals, möglicherweise blieb sie bewusst in Irland, um ihr Erbe zu verteidigen. Während der Abwesenheit ihres Mannes wechselten mehrere ihrer Vasallen wie Philip de Prendergast und David de la Roche die Seiten und schlossen sich dem Justiciar an. Meiler erlitt jedoch gegen Hugh de Lacy eine Niederlage und wurde seines Amtes enthoben. Als Marshal nach Irland zurückkehrte, begnadigte er gegen den Widerstand von Isabel seine abtrünnigen Vasallen.

    Letzte Jahre und Tod
    In den nächsten Jahren blieb Marshal ein loyaler Vasall des Königs und wurde während des Kriegs der Barone einer von dessen wichtigsten Unterstützern. Nach dem Tod des Königs 1216 übernahm Marshal für dessen minderjährigen Sohn Heinrich III. den Vorsitz im Regentschaftsrat. Es gelang ihm, den Krieg der Barone zu beenden. Als er im hohen Alter 1219 im Sterben lag, verfügte er, dass Isabel die Verwaltung ihrer ererbten Besitzungen erhielt, während sein ältester Sohn zunächst nur Marshals väterliches Erbe bekam. Nach einer Chronik soll es auf Marshals Sterbebett zu einer bewegenden Abschiedsszene zwischen ihm und Isabel gekommen sein. Nach seinem Tod stiftete sie Reading Abbey, wo Marshal begraben wurde, jährlich 100 Shilling, um Seelenmessen für ihren Mann zu lesen. Mit dem französischen König schloss sie eine Vereinbarung, nachdem sie und ihre Kinder die Besitzungen Marshals in Frankreich zurückerhielten, die der König nach Marshals Tod beschlagnahmt hatte. Sie starb aber bereits im nächsten Jahr und wurde in Tintern Abbey in Wales beigesetzt.

    Ihr Erbe wurde zunächst ihr ältester Sohn William. Bis 1245 starben jedoch alle ihre Söhne kinderlos, so dass das umfangreiche Erbe dann in einer aufwändigen Erbteilung zwischen ihren Töchtern bzw. deren Nachkommen aufgeteilt wurde.

    Titel (genauer):
    Pembrokeshire (walisisch: Sir Benfro) ist eine Principal Area und eine traditionelle Grafschaft im Südwesten von Wales. Verwaltungssitz ist die Stadt Haverfordwest.
    In der Zeit Heinrich VIII. wurde Pembroke 1536 schließlich auch formal englische Grafschaft, und ab 1542 unterlag die Region englischer Gerichtsbarkeit.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Pembrokeshire

    Begraben:
    Tintern Abbey wurde am 9. Mai 1131 von dem anglonormannischen Adligen und Herrn von Chepstow Walter de Clare gestiftet.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Tintern_Abbey

    Isabel heiratete Graf William Marshal, 1. Earl of Pembroke in Datum unbekannt. William (Sohn von John Marshal (FitzGilbert) und Sybil of Salisbury) wurde geboren in 1144; gestorben am 14 Mai 1219 in Caversham, England; wurde beigesetzt in Temple Church, London, England. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 127. Maud (Matilda) Marshal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1192; gestorben am 27 Mrz 1248.
    2. 128. Richard Marshal, 3. Earl of Pembroke  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1190; gestorben am 16 Apr 1234.
    3. 129. Walter Marshal, 5. Earl of Pembroke  Graphische Anzeige der Nachkommen
    4. 130. Joan Marshal  Graphische Anzeige der Nachkommen
    5. 131. Gräfin Isabel (Isabella) Marshal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 9 Okt 1200 in Pembroke Castle, Wales; gestorben am 17 Jan 1240 in Berkhamsted Castle, England.
    6. 132. Sibyl Marshal  Graphische Anzeige der Nachkommen
    7. 133. Eva Marshal  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1246.

  27. 88.  Aubrey IV. de Vere, 2. Earl of Oxford Aubrey IV. de Vere, 2. Earl of Oxford Graphische Anzeige der Nachkommen (55.Aubrey5, 34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1163; gestorben in Okt 1214.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Beruf / Beschäftigung: Chamberlain of England
    • Titel (genauer): 1194 bis 1214, Hedingham Castle, Essex, England; 2. Earl of Oxford (als Aubrey II.)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Aubrey_de_Vere,_2._Earl_of_Oxford

    Aubrey de Vere, 2. Earl of Oxford (* um 1163; † Oktober 1214) war ein englischer Magnat.

    Aubrey de Vere war der älteste Sohn seines gleichnamigen Vaters Aubrey de Vere, 1. Earl of Oxford und von dessen dritten Frau Agnes of Essex. Nach dem Tod seines Vaters 1194 erbte er die Besitzungen der Familie de Vere mit Hedingham Castle in Ostengland, den Titel Earl of Oxford und das erbliche Amt des Court Chamberlain. Während der Regierung von König Johann Ohneland gehörte er zu dessen engsten Freunden und Vertrauten[1] und wurde von dem Chronisten Roger von Wendover zu den schlechten Ratgebern des Königs gezählt.[2]

    Aubrey war zweimal verheiratet. In erster Ehe heiratete er Isabel de Bolebec († 1206 oder 1207), die Tochter und Erbin von Walter de Bolebec aus Whitchurch in Buckinghamshire. Nach ihrem Tod heiratete er in zweiter Ehe Alice Bigod, eine Tochter von Roger Bigod, 2. Earl of Norfolk. Beide Ehen blieben kinderlos, weshalb nach seinem Tod sein jüngerer Bruder Robert sein Erbe wurde.

    Beruf / Beschäftigung:
    Das Amt des Lord Great Chamberlain von England ist das sechste unter den Great Officers of State und rangiert zwischen dem des Lord Keeper of the Privy Seal und dem des Lord High Constable. Nicht zu verwechseln ist der Lord Great Chamberlain als Staatsbeamter mit dem Lord Chamberlain of the Household, der hingegen Hofbeamter ist.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Lord_Great_Chamberlain

    Titel (genauer):
    Earl of Oxford war einer der ältesten erblichen britischen Adelstitel in der Peerage of England. Familiensitz der Earls war Hedingham Castle in Essex.
    Der Titel wurde im Juli 1142 durch Letters Patent von König Stephan an Aubrey III. de Vere verliehen. Er war der Sohn von Aubrey II. de Vere aus der Familie de Vere. In der ursprünglichen Verleihungsurkunde hieß der Titel noch Earl of Cambridge wurde aber kurz darauf in Earl of Oxford geändert, infolge eines Einspruches König Davids I. von Schottland, der Cambridge als Teil des als Apanage seiner Gattin ihm gehörigen Earldoms of Huntingdon betrachtete.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Oxford


  28. 89.  Robert de Vere, 3. Earl of Oxford Robert de Vere, 3. Earl of Oxford Graphische Anzeige der Nachkommen (55.Aubrey5, 34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in nach 1164; gestorben in vor 15 Okt 1221.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Beruf / Beschäftigung: Chamberlain of England
    • Besitz: Sein ältester Bruder Aubrey starb im Oktober 1214 ohne Nachkommen, und da auch sein zweitältester Bruder Ralph bereits ohne männliche Nachkommen gestorben war, wurde Robert der Erbe der Besitzungen der Familie de Vere.
    • Titel (genauer): 1214 bis 1221, Hedingham Castle, Essex, England; 3. Earl of Oxford

    Notizen:

    Beruf / Beschäftigung:
    Das Amt des Lord Great Chamberlain von England ist das sechste unter den Great Officers of State und rangiert zwischen dem des Lord Keeper of the Privy Seal und dem des Lord High Constable. Nicht zu verwechseln ist der Lord Great Chamberlain als Staatsbeamter mit dem Lord Chamberlain of the Household, der hingegen Hofbeamter ist.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Lord_Great_Chamberlain

    Titel (genauer):
    Earl of Oxford war einer der ältesten erblichen britischen Adelstitel in der Peerage of England. Familiensitz der Earls war Hedingham Castle in Essex.
    Der Titel wurde im Juli 1142 durch Letters Patent von König Stephan an Aubrey III. de Vere verliehen. Er war der Sohn von Aubrey II. de Vere aus der Familie de Vere. In der ursprünglichen Verleihungsurkunde hieß der Titel noch Earl of Cambridge wurde aber kurz darauf in Earl of Oxford geändert, infolge eines Einspruches König Davids I. von Schottland, der Cambridge als Teil des als Apanage seiner Gattin ihm gehörigen Earldoms of Huntingdon betrachtete.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Earl_of_Oxford

    Robert heiratete Isabel de Nonant in Sep 1207. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 134. Hugh de Vere, 4. Earl of Oxford  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1210; gestorben in vor 23 Dez 1263; wurde beigesetzt in Colne Priory, Earls Colne, England.

  29. 90.  Graf Roger BigodGraf Roger Bigod Graphische Anzeige der Nachkommen (57.Juliana5, 34.Adeliza4, 16.Alice3, 5.Margarete2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1143; gestorben in vor 2 Aug 1221.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Norfolk, England; 2. Earl of Norfolk

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Roger_Bigod,_2._Earl_of_Norfolk

    Roger Bigod, 2. Earl of Norfolk (* um 1143; † vor 2. August 1221) war ein englischer Magnat. Er gehörte der Adelsopposition an, die König Johann Ohneland zur Anerkennung der Magna Carta zwang.

    Herkunft und Erbstreit
    Roger Bigod entstammte der anglonormannischen Familie Bigod. Er war der einzige Sohn aus der Ehe von Hugh Bigod, 1. Earl of Norfolk und dessen ersten Frau Juliana de Vere, einer Schwester von Aubrey de Vere, 1. Earl of Oxford. Seine Mutter wurde von seinem Vater verstoßen, danach heiratete sein Vater Gundred, eine Tochter von Roger de Beaumont, 2. Earl of Warwick. Mit ihr hatte er weitere Kinder, darunter die Söhne Hugh und William. Nach dem Tod seines Vaters 1176 oder 1177 behauptete Gundred, dass ihr Mann ihren Sohn Hugh anstelle ihres Stiefsohns Roger als Erben der Ländereien der Familie Bigod eingesetzt hätte, zumal er angeblich viele dieser Ländereien erst nach der Geburt von Hugh erworben hätte. Diesen Erbstreit nutzte König Heinrich II. aus, um sich für die Unterstützung von Hugh Bigod für Heinrich den Jüngeren, der von 1173 bis 1174 vergeblich gegen seinen Vater rebelliert hatte, zu rächen. Obwohl Roger im Gegensatz zu seinem Vater während der Rebellion auf der Seite des Königs geblieben war und ihn auch in den folgenden Jahren unterstützt hatte, traf der König in dem Erbstreit keine Entscheidung und beschlagnahmte die zwischen den Halbbrüdern umstrittenen Ländereien, dazu erklärte er den Titel Earl of Norfolk aufgrund der Rebellion für verwirkt. Erst König Richard Löwenherz verlieh Bigod bei seiner Thronbesteigung 1189 gegen die Zahlung einer relativ geringen Gebühr von 1000 Mark (etwa £ 666) wieder den Titel Earl of Norfolk.

    Vasall der englischen Könige
    Im Gegenzug blieb Bigod während des Kreuzzugs des Königs ein loyaler Vasall, vermutlich reiste er sogar nach Deutschland, um den bei seiner Rückkehr vom Kreuzzug in Gefangenschaft geratenen König nach seiner Freilassung heimzubegleiten. Entsprechend stand Bigod beim König in hoher Gunst und war bei dessen erneuten Krönung 1194 einer der vier Earls, die über dem König einen seidenen Baldachin trugen. Von 1194 bis 1196 diente er als Baron des Schatzamtes (Baron of the Exchequer), dazu diente er als königlicher Richter sowie als Steward of the royal Household. Der Streit mit seinem Halbbruder Hugh um das Erbe ihres Vaters wurde jedoch erst 1199 beilegt, in einem Vergleich musste Roger seinem Halbbruder einen kleinen Landbesitz übergeben. Um diese Zeit konnte er mit dem Wiederaufbau des nach der Rebellion von 1174 zerstörten Framlingham Castle, dem Hauptsitz der Familie, beginnen. Dabei befestigte er die Burg nach neuen Erkenntnissen des Burgenbaus mit einer starken, mit mehreren zum Hof offenen Mauertürmen versehenen Ringmauer anstelle eines zentralen Keeps. Auch Richards Bruder und Nachfolger Johann Ohneland diente Bigod jahrelang loyal. Er nahm am 27. Mai 1199 an der Krönung des Königs teil, anschließend gehörte er zu der Gesandtschaft, die den schottischen König Wilhelm I. nach England geleitete, wo er Johann für seine englischen Besitzungen huldigte. Danach begleitete er König Johann während des Französisch-Englischen Kriegs ab 1202 in die Normandie und während des Feldzugs von 1206 ins Poitou. Auch an den Feldzügen nach Schottland von 1209, nach Irland 1210 und Wales 1211 nahm er teil.

    Rebell gegen den König
    Trotz seiner bisherigen loyalen Dienste rebellierte Bigod ab 1215 gegen den König. Ein Hauptgrund hierfür waren die immer weiter steigenden Finanzforderungen des Königs an seine Barone. Der König erhob zur Finanzierung seiner zahlreichen Feldzüge von seinen Baronen mehrfach ein von der Größe des Grundbesitzes abhängiges Schildgeld, so dass der reich begüterte Bigod für 160 Knight’s fee Schildgeld zahlen sollte. Dies zwang ihn 1211 dazu, mit dem königlichen Schatzmeister ein Zahlungsabkommen zu schließen. Er sollte für das noch offene Schildgeld einmalig 2000 Mark (£1333) zahlen, dazu wurde vereinbart, dass er zukünftig nur noch für 60 Knight’s fee Schildgeld zahlen müsse. Bigod zahlte bis 1212 1340 Mark, dann wurden ihm die noch offenen 360 Mark erlassen. Bigod hatte jedoch noch weitere Gründe für seine Unzufriedenheit über den König. Als er 1207 in einen Rechtsstreit mit William the Falconer verwickelt wurde, hielt er die ausgewählten Richter für befangen, doch seine Einwände wurden vom König abgelehnt und das Verfahren gegen ihn fortgesetzt.

    Als die Adelsopposition sich im April 1215 in Stamford bewaffnet sammelte, um ihre Rechte gegen den König zu verteidigen, schlossen sich Bigod und sein ältester Sohn Hugh ihnen an. Unter dem Druck der Rebellen musste der König im Juni die Magna Carta anerkennen, und Bigod wurde zu einem der 25 Barone gewählt, die die Einhaltung der Bestimmungen der Magna Carta durch den König überwachen sollten. Als der König mit Unterstützung des Papstes im September seine Anerkennung der Magna Carta widerrief, gehörten Bigod und sein Sohn während des folgenden Kriegs der Barone gegen den König zu den Führern der Rebellion in East Anglia. Dafür wurden er und sein Sohn im Dezember von Papst Innozenz III. exkommuniziert. Nachdem der König Anfang 1216 einen erfolgreichen Feldzug gegen die Rebellen in Nordengland geführt hatte, wandte er sich anschließend gegen die Rebellen in Ostengland. Im März 1216 konnte König Johann Framlingham Castle, den Hauptsitz der Bigods, nach kurzer Belagerung erobern. Er begnadigte die gefangen genommenen Gefolgsleute von Bigod und bot ihm an, sich zu unterwerfen, andernfalls drohte er, ihn zu enteignen. Dennoch kämpften Roger und sein Sohn weiter auf der Seite der Rebellen, bis sie sich nach dem Frieden von Lambeth im September 1217 dem Regentschaftsrat, der für den minderjährigen neuen König Heinrich III. die Regierung führte, unterwarfen. Bis April 1218 erhielt Bigod seine Ländereien und Titel zurück, doch über 70-jährig zog er sich nun zunehmend zurück und starb drei Jahre später.

    Religiöse Stiftungen
    Bigod war wie viele seiner adligen Zeitgenossen ein großzügiger Stifter, der während seines langen Lebens eine Reihe von Klöstern unterstützte. Wie seine Vorfahren förderte er Earls Colne Priory in Essex, daneben die Abteien von Wymondham in Norfolk und Rochester in Kent. Weitere Klöster, die er unterstützte, waren Carrow und Hickling in Norfolk sowie Bungay, Leiston und Sibton in Suffolk.

    Roger heiratete Ida in Datum unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 135. Graf Hugh Bigod  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in cir 11 Feb 1225.

  30. 91.  Heinrich von EschHeinrich von Esch Graphische Anzeige der Nachkommen (58.Bartholomäus5, 35.Alis4, 17.Irmtrud3, 6.Adelheid2, 1.Alix1)

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1175-1184)
    Herr von Ham, Vogt von Conflans.

    Familie/Ehepartner: von Conflans. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 136. Robert (Robin) von Esch  Graphische Anzeige der Nachkommen

  31. 92.  Ebal von GrandsonEbal von Grandson Graphische Anzeige der Nachkommen (59.Ebal5, 36.Bartholomäus4, 18.Ebal3, 6.Adelheid2, 1.Alix1) gestorben in 1235/38.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Champvent; Herr von Champvent https://de.wikipedia.org/wiki/Champvent
    • Titel (genauer): Schloss Grandson; Herr von Grandson https://de.wikipedia.org/wiki/Schloss_Grandson
    • Titel (genauer): La Sarraz; Herr von La Sarraz https://de.wikipedia.org/wiki/Schloss_La_Sarraz

    Notizen:

    Name:
    Erwähnt / Mentioned / Mentionné (1186)

    Herr von Grandson, Champvent und La Sarraz, Kaiser Friedrich II. anerkannte seine erblichen Rechte am Jouxtale, teilte die Güter unter seine Söhne.

    Familie/Ehepartner: Beatrix von Genf. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 137. Gerhard von La Sarra (von Grandson)  Graphische Anzeige der Nachkommen gestorben in 1233/34.

  32. 93.  Peter II. von Aragón, der Katholische Peter II. von Aragón, der Katholische Graphische Anzeige der Nachkommen (60.Alfons5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1178; gestorben am 13 Sep 1213 in vor Muret.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): König von Aragón als Peter II., Graf von Barcelona, Girona, Osona, Besalú, Cerdanya und Roussillon als Peter I.

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Peter_II._(Aragón) (Okt 2017)

    Peter der Katholische (katalanisch: Pere el Catòlic, spanisch: Pedro el Católico; * 1178[1]; † 13. September 1213 vor Muret) war von 1196 bis 1213 als Peter II. ein König von Aragón und als Peter I. ein Graf von Barcelona, Girona, Osona, Besalú, Cerdanya und Roussillon aus dem Haus Barcelona.

    Die Krone Aragón
    Peter II. war der älteste Sohn von König Alfons II. dem Keuschen und dessen Gemahlin Sancha von Kastilien.[2] Er wurde wahrscheinlich um die Jahre 1176/1177 geboren, da er gemäß dem im April 1196 aufgesetzten Testament seines Vaters bis zu seinem zwanzigsten Lebensjahr unter der Vormundschaft seiner Mutter verbleiben sollte.[3] Da die Mutter erstmals am 23. April 1197 urkundlich als Nonne von Santa María de Sigena genannt wird, dürfte Peter spätestens ab diesem Zeitpunkt sein Mündigkeitsalter erreicht und die Regierungsgeschäfte selbst übernommen haben.[4]
    Als ältester Sohn seines am 25. April 1196 verstorbenen Vaters beerbte Peter diesen in den wichtigsten Herrschaftsgebieten seines Hauses, dem Königreich Aragón und der katalanischen Grafschaft Barcelona, die beide seit der Ehe seiner Großeltern faktisch ein geschlossenes Herrschaftsgebilde darstellten. Darüber hinaus übernahm er auch die im heutigen Südfrankreich, dem damaligen Okzitanien (Languedoc), gelegene Grafschaft Gévaudan und Vizegrafschaft Millau, über die zwar die französische Krone die Oberlehnsherrschaft beanspruchte, diese aber faktisch seit Generationen nicht mehr wahrgenommen hatte. Weiterhin befand sich auch die zum heiligen römischen Reich gehörende Grafschaft Provence im Besitz des katalanischen Hauses, mit der allerdings Peters jüngerer Bruder Alfons ausgestattet wurde. Weiterhin hatte das Haus die Lehnsherrschaften über die Vizegrafschaften von Béziers und Carcassonne (Trencavel) und dem Pyrenäenhochland der Grafschaften Foix und Comminges ausgeübt. Durch seine Ehe hatte Peter weiterhin die Anwartschaft auf die große Herrschaft von Montpellier erworben.
    Die Macht des Hauses Barcelona konzentrierte sich damit in zwei geographischen Herrschaftsräumen, mit dem Land zwischen dem iberischen Gebirge und den Pyrenäen einerseits und dem französischen Zentralmassiv und dem unteren Rhônetal andererseits. Zwischen beiden Räumen hatte sich die mächtige und faktisch unabhängige Grafschaft Toulouse gedrängt, die damit die Bildung eines von Barcelona aus beherrschten geographisch geschlossenen Herrschaftsgebiets im heutigen Südfrankreich verhinderte, dass von modernen Historikern oft als „Midi-Königreich“ oder „Pyrenäenreich“ bezeichnet wird. Das Haus Toulouse war folglich in den vorangegangenen Generationen als Hauptrivale des Hauses Barcelona um die Vorherrschaft im Languedoc aufgetreten. Diese Konstellation sollte zu Lebzeiten Peters II. allerdings einen von außen angestoßenen grundlegenden Wandel erfahren.

    Erste Herrscherjahre
    Mit der Übernahme der Regierungsgeschäfte 1197 stürzte sich Peter II. sogleich in die Machtkämpfe der christlichen Könige Spaniens und führte als Verbündeter seines Vetters Alfons VIII. von Kastilien Krieg gegen die Könige Alfons IX. von León, der aufgrund seiner Ehe exkommuniziert war, und Sancho VII. von Navarra, die beide offen mit den muslimischen Almohaden paktierten. Die Kämpfe wurden solange geführt bis ersterer politisch kaltgestellt und letzterer in die kastilisch-aragónesischhe Koalition gezwungen wurde, die ihre Priorität in der Fortführung der Reconquista gegen die Muslime sah. Der Friede zwischen Aragón und Navarra wurde allerdings erst 1209 besiegelt.[5] Seit 1189 war Peter II. mit seiner Mutter in einen Konflikkt über deren Wittum geraten, das mehrere Burgen entlang der Grenze zu Kastilien umfasste. Sie wurden einst von Alfons II. an seine Frau unter der Bedingung übertragen, sie an ihren Sohn bei Erreichen seiner Mündigkeit zu übertragen. Trotz dieseser Regelung kam es zum Streit, indem sich Alfons VIII. von Kastilien zugunsten seiner Tante einmischte, über die er den kastilischen Einfluss in Aragón zu wahren suchte. Nachdem seine Mutter auch die Fürsprache des Papstes gewann, beendete Peter den Streit 1201 mit einem Kompromiss mit ihr.
    Um für den Kampf gegen die Almohaden im Süden der iberischen Halbinsel frei zu sein, war Peter auf geordnete Verhältnisse im Norden der Pyrenäen angewiesen, was vor allem einen Ausgleich mit dem alten tolosanischen Rivalen erforderte. Die Kompromissbereitschaft des friedlich gesinnten Grafen Raimund VI. kam ihm dabei entgegen, mit dem er sich unter Vermittlung des Erzbischofs Berengar von Narbonne, seinem Onkel, und dem Grafen Bernard IV. von Comminges im Februar 1198 in Perpignan zu einem vertraglichen Status quo ihrer Besitzverhältnisse im Languedoc einigen konnte.[6] Mit einer 1204 ebenfalls in Perpignan begangenen Hochzeit zwischen Peters Schwester Eleonore und dem Grafen von Toulouse wurde der Frieden vertieft und noch im April desselben Jahres in Millau zu einer echten politischen Allianz erweitert, in der sich Peter mit seinem Bruder Alfons von der Provence und Raimund VI. von Toulouse zu einem Defensivbündnis verband, in dem sich die Vertragspartner zur gegenseitigen Waffenhilfe gegen jedweden Aggressor auch immer verpflichteten.[7] Unmittelbar darauf stärkte Peter seine Position im Languedoc durch die am 15. Juni 1204 geschlossenen Ehe mit Maria von Montpellier, durch die er die Mitherrschaft in der großen Seigneurie von Montpellier übernehmen konnte.[8] Zuvor war Maria in der Erbfolge durch Papst Innozenz III. begünstigt worden, der in der Dekretale Per Venerabilem ihre jüngeren Halbgeschwister für illegitim erklärt hatte.[9]

    Verhältnis zu Papst Innozenz III.
    Zeit seines Lebens war Peter II. ein devoter Sohn der römisch-katholischen Kirche, die er in seinem Königreich rechtlich privilegierte und materiell reich beschenkte. Diese Hinwendung sollte allerdings nicht über ihre rein machtpolitische Natuur hinwegtäuschen, denn privat pflegte er alles andere als einen frommen Lebensstil. Pracht liebend und freigebig ging er einem, mit den christlichen Moralvorstellungen seiner Zeit nonkonform laufenden, libertären Lebenswandel nach, stark geprägt von einem ritterlichen Ethos und der höfischen Kultur, die er als Patron der Trobadore förderte. Ungeachtet seiner Ehe war Peter für seine zahllosen amourösen Affären bekannt, aus denen mindestens zwei uneheliche Kinder hervorgegangen waren. Und doch erkannte der im Jahr 1198 gewählte Papst Innozenz III. in ihm einen seiner wichtigsten politischen Verbündeten, was sich aus Peters Haltung gegenüber der besonders im Languedoc weit verbreiteten Glaubensgemeinschaft der Katharer erschließt, die von Seiten der römischen Kirche als Existenz bedrohende Häresie verurteilt wurde. Im Königreich Aragón war der Katharismus lediglich in der Peripherie vertreten, vor allem in den Tälern der Pyrenäen und in der Grafschaft Urgell, ansonsten war er südlich des Gebirges kaum präsent. Nichtsdestotrotz hatte Peter in einem schon im Februar 1198 erlassenen Edikt die restriktivste Gesetzgebung bezüglich zur Verfolgung der Häresie in ganz Europa aufgestellt, in der neben der üblichen Besitzkonfiszierung auch die Verbrennung verurteilter Häretiker als reguläre Strafe aufgenommen wurde.[10] Damit hatte Peter geradezu ein Empfehlungsschreiben für die Interessenpolitik Innozenz’ III. verfasst, zu dessen obersten Prioritäten die VeVernichtung der Häresie gehörte. Dass sein Auftreten gegen die Häresie indes von zwiespältiger Natur war, verdeutlicht allein schon die Tatsache, dass es in seiner gesamten Herrscherzeit zu keinen aktenkundig gewordenen Exekutionen an überführten Häretikern gekommen war. Auch hatte er anlässlich seines Aufenthalts im Languedoc 1204 Waldenser und Katharer zu einem Streitgespräch mit Katholiken in Carcassonne eingeladen, dass zwar nach einem dreitägigen Disput mit der Verurteilung der HäHäretiker endete, diese aber trotz des Edikts von 1198 keinerlei Konsequenzen zu fürchten hatten. Dennoch wurde Peter von Seiten der Kirche als einer ihrer treusten Söhne betrachtet, wobei es zur tragischen Ironie der Geschichte gereichen sollte, dass er sein Königreich zuerst der römischen Kirche als Geschenk darbringen und als ihr Streiter zu höchstem katholischen Ansehen gelangen wird, nur um sich am Ende doch gegen die Kreuzritter ebendieser Kirche zu wenden, um gegen diese kämpfend zu sterben.
    Nachdem der Familienzwist im Hause Aragón beigelegt war, hatte sich Innozenz III. darum bemüht, Peter II. als Beschützer seines Mündels, König Friedrich von Sizilien, zu gewinnen, der damals als Vollwaise zum Spielball diverser um die Macht streitenden Fraktionen geworden war, die das sizilianische Königreich in den Zustand der Anarchie versetzt hatten. Damit hatte der Papst einen Wunsch der 1198 verstorbenen Kaiserin Konstanze aufgegriffen.[11] Im Sommer 1202 hatte Peter dem Papst seine Bereitschaft dazu signalisiert und dazu die Verheiratung seiner Schwester Sancha mit dem jungen Stauferkönig angeboten, wofür er die Endsendung 200 aragónesischer Ritter nach Sizilien in Aussicht stellte, die dort die königliche Autorität wieederherstellen sollten.[12] Wenngleich dieses Eheprojekt aufgrund widriger Umstände nicht zustande gekommen war, konnte der Papst bereits im Oktober 1204 eine andere Schwester Peters, die ungarische Königin Konstanze, als vorgesehene Braut seines Mündels präsentieren und das obwohl deren erster Ehemann, König Emmerich noch gar nicht gestorben war.[13]
    Anlässlich des Defensivpakts von Millau im April 1204 hatte sich Peter vom Grafen von Toulouse 120.000 Sous in Melgorien geliehen und diesem dafür bereitwillig die Einkünfte der Grafschaften Millau und Gévaudan überlassen.[14] Das Geld hatte er zur Finanzierung seiner aufwendig geplanten Krönungszeremonie in Rom durch den Papst benötigt, die er noch im selben Jahr begehen wollte. In Begleitung der ranghöchsten Prälaten und Adligen seines Königreichs war er am 9. November 1204 mit fününf Galeeren an der Tibermündung bei Ostia an Land gegangen um am 11. November, zum Fest des heiligen Martin von Tours, in San Pancrazio feierlich von Papst Innozenz III. gesalbt und gekrönt zu werden. Dazu hatte Peter gegenüber dem Papst als deem Oberhaupt der heiligen Kirche einen Lehnseid abgelegt, die er damit als weltliche Lehnsherrin seines Königreichs anerkannte, sich ihr zum Gehorsam, zur Verteidigung ihres Besitzes und zur Bekämpfung der Häresie verpflichtet. Weiterhin hatte eer sich zur Zahlung eines jährlichen Tributs von 250 mazmudins an Rom verpflichtet. Anschließend war er in Sankt Peter eingezogen um dort seine Krone und sein Zepter auf das Grab seines Namenspatrons und Apostelfürsten niederzulegen, diesem damit sein Königreich als Geschenk darbietend.[15] Die genauen Beweggründe Peters sich in die freiwillige Vasallität zur römisch-katholischen Kirche zu begeben bleiben im Unklaren, allerdings stellte dieser Akt einen Höhepunkt in der bereits tradititionsreichen Beziehung des aragónesischen Königreichs zur heiligen Kirche dar. Bereits sein Vorfahre, König Sancho Ramirez (1063–1094), war im Jahr 1068 persönlich nach Rom gereist um dort dem Papst den Lehnseid abzulegen, allerdings hatte dieseer Akt zu keinen weitreichenden politischen Konsequenzen geführt, außer der Öffnung Aragóns als erstes spanisches Königreich für die Römische Liturgie.[16] Ein wesentliches Motiv für diese enge Anlehnung an den Heiligen Stuhl dürfte das Bedürfnis der Könige, deren Position gegenüber dem eigenen Adel eher der eines primus inter pares entsprach, nach einer allgemeinen Steigerung ihres Prestiges mit der Erlangung des Gottesgnadentums nach fränkischem Vorbild gewesen sein.[17] Auch im Verhrhältnis gegenüber den spanischen Herrscherkollegen, besonders den Königen von Kastilien, wird Peter II. damit eine Demonstration der politischen Souveränität seines Hauses beabsichtigt haben, bedenkt man nur, dass wenige Generationen vor ihm die kastilischen Könige ein Kaisertum über ganz Spanien beansprucht hatten.
    Im Gegensatz zu 1068 hatte sich Peters Lehnsnahme nicht auf eine bloße symbolische Geste beschränkt, sondern war mit konkreten politischen Folgen für die weitere Geschichte Aragóns verbunden, was sich letztlich in seinem Krönungsakt äußerte. Er war überhaupt der erste aragónesische König der gekrönt wurde; diese Art der Herrscherinitiation war bei spanischen Königen bis dahin unüblich. Indem er sich zum Vasallen der heiligen Kirche gemacht hatte, hatte er dem Papst eine Weisungsbefugugnis in Fragen des weltlichen Feudalrechts über sich und sein Königreich eingeräumt, was sich besonders im 13. Jahrhundert für Aragón nachhaltig auswirkte und deren Konsequenzen bereits für die Biographie Peters II. folgenreich wurden. Er selbst hatte in erster Linie auf eine politische und finanzielle Unterstützung seitens des Papstes für den von ihm geplanten Kreuzzug gegen die Almohaden gesetzt, der mit der Eroberung der Balearen gekrönt werden sollte.

    Eheprobleme
    Nach seiner Rückkehr im März 1205 war Peter die Planung zu einem Feldzug gegen die Almohaden angegangen, doch innenpolitische und innerdynastische Konflikte hielten ihn davon ab. Sein Bruder Ferdinand, der seit diesem Jahr als Abt der Mönchsfeststung Montearagón amtierte, war mit dem Bischof von Huesca, García de Gúdal, in einen Konflikt über die Besitzrechte auf Almudévar geraten, der in einer gewaltsamen Eskalation gipfelte. Der Konflikt konnte erst im Mai 1206 nach einer Intervention Peters beigelegt werden.
    Etwa zeitgleich war es im königlichen Haus zum Streit gekommen, nachdem im September 1205 die Infanta Sancha geboren wurde, die Peter sogleich mit dem Sohn des Grafen von Toulouse verlobte. Dabei sollte ihr das mütterliche Erbe, die Herrschaft MMontpellier, als Mitgift in die Ehe gegeben werden, wogegen sich wiederum Königin Maria mit Unterstützung ihrer Vasallen zur Wehr setzte. In einem im Oktober 1205 schriftlich niedergelegten und öffentlich Manifest hatte sie ihren Widerstand gegen ihre faktische Enteignung durch ihren Mann erklärt.[18] Immerhin hatte sich Peter erst wenige Monate zuvor gegenüber den Stadtoberen von Montpellier zur Unveräußerlichkeit von Marias Erbe verpflichtet.[19] Er aber habe Maria nun regelrecht bedroht und „gekreuzigt“ (cruciata) um ihre Zustimmung zum Ausverkauf ihrer Rechte zu erwirken. Der frühe Tod der Infanta hatte dem Streit kein Ende gesetzt, denn nun strebte Peter die Annullierung seiner Ehe an. In einem Brief an den Papst vom Juni 1206 gab er zu bedenken, dass die vorangegangene Ehe seiner Frau mit Bernard IV. von Comminges nicht dem kanonischen Recht gemäß aufgelöst worden war und dass seine eigene Ehe mit ihr folglich niemals rechtsgültig gewesen sein könne. Diesen Brief hatte er in Montpellier verfasst und ausgerechnet auch hier unter den Augen seiner Frau hatte er noch im Sommer 1206 eine diplomatische Delegation der jungen Königin Maria von Jerusalem empfangen, die auf der Suche nach einem geeigneten Ehememann war, wofür sich Peter sogleich erbot.[20] Diese demütigende Brüskierung seiner Frau wie auch Peters Weigerung, die in den letzten Jahren verwendeten Steuerabgaben nach einer erfolgten Scheidung an die Stadt zurückzuzahlen, provozierte einen Aufstand der Bürger von Montpellier, die den Palast stürmten und Peter zur Fluch in die Burg Lattes zwang, die allerdings auch nicht dem Ansturm der aufgebrachten Menge standhalten konnte. Erst die Intervention des Bischofs von Maguelone konnte die Lage beruhigen und in einem abschließenden Vertrag mit den Stadtführern versprach Peter die Zurückerstattung der betreffenden Summen binnen zweier Jahre.[21] Als Resultat des Konflikts aber hatte sich die Position seiner Frau in Montpellieier erheblich gestärkt, besonders nachdem diese verfügt hatte, die beim Aufstand zerstörten Mauern und Türme als äußerliche Zeichen feudalherrschaftlicher Macht nicht wieder zu errichten, womit sie die Sympathien der Bürger für sich gewann. Peter selbst wurde seither von den Montpelliérains als der ungeliebte Ehemann ihrer Herrin behandelt.
    Von da an lebte Peter von seiner Frau faktisch getrennt, auch wenn die Ehe auf dem Papier bestehen blieb, deren rechtsgültige Auflösung ihn bis zum Lebensende weiter beschäftigte und letzten Endes verwehrt blieb. Zur Vervollständigung der grotesk anmutenden ehelichen Situation zwischen Peter und Maria wurde am 1. Februar 1208 in Montpellier der Infant Jakob geboren. Diversen Erzählungen nach soll sich Maria eines Nachts verkleidet als eine der Mätressen ihres Mannes ausgegeben und so die Zeugung ihres Sohnes bewerkstelligt haben. Jakob selbst schrieb später in seinem Tatenbericht (Llibre dels fets), dass sein Vater eines Tages von einem seiner Ritter zu einem Besuch bei Maria überredet wurde als diese gerade in der nah gelegenen Burg Mireval residierte, worauf es zu der letzten folgenschweren Liebesnacht gekommen sei.[22]
    Während der Trennungsaffäre mit seiner Frau hatte Peter die Gelegenheit zu Vollendung einer anderen Ehe genutzt. Im Spätjahr 1206 hatte er einen Brief Papst Innozenz’ III. erhalten, der darin verkündete, dass der junge Friedrich von Sizilien sich nicht mehr in der Hand der Papstfeinde befände und nun frei für die bereits früher vereinbarte aragónesische Ehe sei.[23] 1208 traf der Bischof von Mazara in Aragón ein, der dort im Oktober des Jahres den sizilianischen König in der als Stellvertreterhochzeit durchgeführten Trauung mit Konstanze vertrat.

    Mehr unter oben stehendem Link der Wikipedia..

    Peter heiratete Königin von Aragonien Maria von Montpellier am 15 Jun 1204. Maria (Tochter von Wilhelm VIII. (Guilhems, Guillem) von Montpellier und Eudokia Komnena (Byzanz, Komnenen)) wurde geboren in 1182; gestorben in Apr 1213 in Rom, Italien. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 138. Sancha von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1205; gestorben in 1206.
    2. 139. König Jakob I. von Aragón  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 1 Feb 1208 in Montpellier, FR; gestorben in 27 Jul1276 in Valencia; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei Santa María von Poblet.

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  33. 94.  Königin Konstanze von AragónKönigin Konstanze von Aragón Graphische Anzeige der Nachkommen (60.Alfons5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in cir 1179 / 1184; gestorben am 23 Jun 1222 in Catania; wurde beigesetzt in Dom (Kathedrale) zu Palermo.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Englischer Name: Constance of Aragon
    • Französischer Name: Constance d'Aragon
    • Titel (genauer): Königin von Ungarn (durch 1. Heirat), Königin von Sizilien (durch 2. Heirat), Deutsche Königin (durch 2. Heirat ab 1212), Kaiserin des heiligen römischen Reiches.
    • Titel (genauer): Queen of Hungary (by marriage), Queen of Germany and Sicily(by marriage), Holy Roman Empress. Regent of Sicily (from 1212–1220).
    • Titel (genauer): Reine de Hongrie (par mariage), Impératrice du Saint-Empire (par mariage), Reine de Germanie (par mariage), Reine de Sicile(par mariage).

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Constance_of_Aragon

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Constance_d%27Aragon_(1179-1222)



    https://de.wikipedia.org/wiki/Konstanze_von_Aragón

    Konstanze von Aragón (* um 1184; † 23. Juni 1222 in Catania) war in ihrer ersten Ehe Königin von Ungarn, in ihrer zweiten Ehe Königin von Sizilien sowie ab 1212 deutsche Königin; sie wurde zusammen mit ihrem Ehemann Friedrich II., dessen erste Ehefrau sie war, 1220 in Rom zur Kaiserin gekrönt.
    Sie war die älteste Tochter des Königs Alfons II. von Aragón, Graf von Barcelona, und der Sancha von Kastilien.
    In erster Ehe heiratete sie um 1199, wohl auf Vermittlung von Papst Innozenz III., den König Emmerich von Ungarn, aus dieser Ehe stammt der spätere ungarische König Ladislaus. Er wurde noch vor dem Tod seines Vaters 1204 zum König gekrönt, starb aber bereits 1205. Mutter und Sohn hatten beim österreichischen Herzog Leopold VI. Zuflucht gefunden.
    Nachdem Konstanze 1204 Witwe geworden war, wurde Friedrichs Verlobung mit ihrer jüngeren Schwester Sancha noch Ende des Jahres gelöst. Der Ehevertrag zwischen Friedrich und Konstanze kam 1208 zustande, erneut durch Vermittlung durch Innozenz. Die Ehe mit Friedrich II. wurde dann am 5./15. Juli 1209 in Messina geschlossen, noch bevor er 1212 zum deutschen König gewählt wurde. Friedrich war bei der Heirat 15 Jahre alt, Konstanze 25. Der junge Herrscher hatte sich zunächst gegen die Ehe gesträubt, jedoch brachte Konstanze eine Streitmacht von 500 spanischen Rittern mit in die Ehe, die er zur Durchsetzung seines Herrschaftsanspruchs benötigte.[1]
    In den ersten vier Jahren von Friedrichs Aufenthalt in Deutschland, 1212 bis 1216, war Konstanze Regentin in Sizilien, bis sie ihrem Ehemann nach Deutschland folgte. Aus dieser zweiten Ehe entstammt ein Sohn, der später aufständische Heinrich (VII.) (* 1211; † Februar 1242).
    Konstanze von Aragón wurde in der Kathedrale von Palermo in einem römischen Sarkophag beerdigt, dessen Relief eine Löwenjagd zeigt. Die lateinische Inschrift über dem Relief lautet: Ich war Siziliens Königin und Kaiserin, Konstanze. Hier wohne ich nun, Friedrich, die Deine. Friedrich legte ihr seine Krone mit ins Grab. Er heiratete 1225 aus politischen Gründen Jolanthe von Jerusalem.



    Literatur
    • Norbert Kamp: Costanza d'Aragona, imperatrice, regina d'Ungheria e di Sicilia. In: Alberto M. Ghisalberti (Hrsg.): Dizionario Biografico degli Italiani (DBI). Band 30 (Cosattini–Crispolto), Istituto della Enciclopedia Italiana, Rom 1984.
    • Uwe A. Oster: Die Frauen Kaiser Friedrichs II. Piper Verlag, München 2008.
    • Ingo Runde: Konstanze von Aragón. In: Die Kaiserinnen des Mittelalters, hrsg. von Amalie Fößel, Pustet, Regensburg 2011, S. 232–248.
    Einzelnachweise
    1 Antonius Lux (Hrsg.): Große Frauen der Weltgeschichte. Tausend Biographien in Wort und Bild. Sebastian Lux Verlag, München 1963, S. 273.

    Begraben:
    Konstanze von Aragón wurde in der Kathedrale von Palermo in einem römischen Sarkophag beerdigt, dessen Relief eine Löwenjagd zeigt. Die lateinische Inschrift über dem Relief lautet: Ich war Siziliens Königin und Kaiserin, Konstanze. Hier wohne ich nun, Friedrich, die Deine. Friedrich legte ihr seine Krone mit ins Grab.

    Konstanze heiratete König Emmerich von Ungarn (Árpáden) in cir 1199. Emmerich (Sohn von König Béla III. von Ungarn (von Kroatien) (Árpáden) und Königin Agnès von Châtillon) wurde geboren in 1174; gestorben am 30 Nov 1204. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 140. König Ladislaus III. von Ungarn (Árpáden), das Kind  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 1199 od 1201; gestorben am 7 Mai 1205 in Wien; wurde beigesetzt in Székesfehérvár.

    Konstanze heiratete König Friedrich II. von Staufen am 15 Aug 1209 in Messina, Sizilien, Italien. Friedrich (Sohn von Kaiser Heinrich VI. von Schwaben (von Staufen) und Kaiserin Konstanze von Sizilien) wurde geboren am 26 Dez 1194 in Jesi, Ancona, Italien; gestorben am 13 Dez 1250 in Castel, Fiorentino, Lucerna, Italien; wurde beigesetzt am 25 Feb 1251 in Dom (Kathedrale) zu Palermo. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 141. König Heinrich VII. von Staufen  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1211 in Königreich Sizilien; gestorben in ? 12 Feb 1242 in Martirano, Kalabrien.

  34. 95.  Graf Alfons II. (Berengar) von der Provence (von Aragón)Graf Alfons II. (Berengar) von der Provence (von Aragón) Graphische Anzeige der Nachkommen (60.Alfons5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1180; gestorben am 2 Feb 1209 in Palermo, Sizilien, Italien.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1185 bis 1209, Provence; Graf de Provence

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Alfons_II._(Provence) (Okt 2017)

    Alfons II. wurde als Alfons Berengar geboren und trug den Titel Infant. Seine Eltern waren König Alfons II. von Aragón und dessen Gemahlin Sancha von Kastilien. Sein älterer Bruder Peter II. war König von Aragon.
    Er wurde von seinem Vater 1185 zum Mitgraf der Provence erhoben und regierte dabei zusammen mit seinen Onkeln Raimund Berengar und Sancho. Ab 1195 regierte er allein.

    Titel (genauer):
    Die zwei Söhne Bosos II. teilten sich das Herrschaftsgebiet ihres Vaters auf. Der ältere, Rotbald II., übernahm die Region um Avignon und begründete die Markgrafschaft Provence. Der jüngere, Wilhelm I., nahm das Land um Arles und begründete die Grafschaft Provence. Von dieser wurde im 11. Jahrhundert die Grafschaft Forcalquier abgetrennt, die von Nachkommen des Grafen Gottfried I. regiert wurde. Durch die Ehe der letzten Erbin von Forcalquier mit dem Grafen Alfons II. wurde diese Grafschaft Ende des 12. Jahrhunderts wieder mit der Grafschaft Provence vereint.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Grafen_und_Markgrafen_der_Provence

    Alfons heiratete Gräfin Gersende von Forcalquier in 1193 in Aix-en-Provence, Frankreich. Gersende (Tochter von Raimund I. von Sabran und Gersende von Forcalquier) wurde geboren in 1180; gestorben in 1218. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 142. Graf Raimund Berengar V. von der Provence  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1205 in Aix-en-Provence, Frankreich; gestorben am 19 Aug 1245 in Aix-en-Provence, Frankreich.

  35. 96.  Eleonore von AragónEleonore von Aragón Graphische Anzeige der Nachkommen (60.Alfons5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1186; gestorben in 1226.

    Eleonore heiratete Graf Raimund VI. von Toulouse (Raimundiner) in 1204. [Familienblatt] [Familientafel]


  36. 97.  Sancha von AragónSancha von Aragón Graphische Anzeige der Nachkommen (60.Alfons5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1186; gestorben in 1242.

    Sancha heiratete Graf Raimund VII. von Toulouse (Raimundiner) in 1211, und geschieden in 1241. Raimund (Sohn von Graf Raimund VI. von Toulouse (Raimundiner) und Prinzessin Johanna von England (Plantagenêt)) wurde geboren in Jul 1197 in Beaucaire; gestorben am 27 Sep 1249 in Millau. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 143. Gräfin Johanna von Toulouse (Raimundiner)  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1220; gestorben am 20 Aug 1271 in Corneto, Siena.

  37. 98.  Theresia von PortugalTheresia von Portugal Graphische Anzeige der Nachkommen (61.Dulce5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1178 in Coimbra; gestorben am 18 Jun 1250 in Lorvão; wurde beigesetzt in Klosterkirche, Lorvão.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Königin von Léon (1191 bis 1197)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Theresia_von_Portugal (Jun 2017)

    Theresia (oder Teresa) von Portugal (* um 1178 in Coimbra; † 18. Juni 1250 in Lorvão) war die erste Frau von König Alfons IX. und von 1191 bis 1197 Königin von Léon. Seit 1705 ist sie eine Selige der römisch-katholischen Kirche.

    Theresia kam um 1178 als älteste Tochter von König Sancho I. von Portugal und Dulce von Barcelona in Coimbra zur Welt.
    Sie heiratete 1191 Alfons IX. von León und hatte mit ihm drei Kinder. Papst Coelestin III. ließ diese Ehe 1197 wegen zu naher Verwandtschaft für nichtig erklären, denn die beiden hatten Alfons I. von Portugal als gemeinsamen Großvater.[1] Daraufhin zog sich Theresia nach Portugal zurück.
    Sie versuchte vergeblich, nach dem Tod von Alfons IX. im Jahre 1230 Ansprüche ihrer beiden Töchter auf den Thron in León durchzusetzen. König Ferdinand II. von Kastilien, Sohn von Alfons' zweiter und ebenfalls geschiedener Ehefrau Berenguela von Kastilien, löste die Thronansprüche seiner Halbschwestern mit 30.000 Goldstücken (aurei) ab.[2] Von ihrer Morgengabe errichtete Theresia ein Zisterzienserinnenkloster, in das ihre Töchter eintraten. Sie selbst lebte ab 1229 im Kloster der Zisterzienserinnen in Lorvão, wo in der Klosterkirche auch ihr Grab ist.
    Am 13. Dezember 1705 wurde Theresia von Papst Clemens XI. zusammen mit ihrer Schwester Sancha seliggesprochen. Ihr katholischer Feiertag ist der 17. Juni.

    Theresia heiratete König Alfons IX. von León (von Kastilien) in 1191. Alfons (Sohn von König Ferdinand II. von León (von Kastilien) und Urraca von Portugal) wurde geboren am 15 Aug 1171 in Zamora; gestorben am 23/24 Sep 1230 in Villanueva bei Sarria. [Familienblatt] [Familientafel]


  38. 99.  König Alfons II. von Portugal, der Dicke König Alfons II. von Portugal, der Dicke Graphische Anzeige der Nachkommen (61.Dulce5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren am 23 Apr 1185 in Coimbra; gestorben am 25 Mrz 1223 in Coimbra.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): 1211 bis 1223, Königreich Portugal; König von Portugal -Haus Burgund-

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Alfons_II._(Portugal) (Okt 2017)

    Alfons II. genannt der Dicke oder der Gesetzgeberkönig (Dom Afonso II, o Gordo oder O Crasso, O Gafo oder O Rei Legislador) (* 23. April 1185 in Coimbra; † 25. März 1223 ebenda) war der dritte König von Portugal aus dem Hause Burgund. Den Beinamen verdankt er der Tatsache, dass er das erste zusammenhängende portugiesische Gesetzeswerk schuf.

    Alfons II. wurde als Sohn Königs Sancho I. und der Dulce von Barcelona geboren. Nach dem Tode seines Vaters bestieg er 1211 den portugiesischen Thron. Im gleichen Jahr berief er die erste Adelsversammlung (Cortes) nach Coimbra ein. In seinen Gessetzen fortschrittlich, versuchte er die Königsmacht zu Lasten des Adels und der Kirche zu stärken, was ihn im Volk sehr beliebt machte, ihm aber auch die Gegnerschaft der Kirche eintrug. So wurde er wiederholt gebannt und verwies seinerseits den Erzbischof von Braga des Landes. Mit Hilfe von ins Land geholten Kreuzfahrern nahm er die Reconquista wieder auf und eroberte Setúbal und Alcácer do Sal.

    Titel (genauer):
    Das Königreich Portugal (portugiesisch Reino de Portugal) im Westen der Iberischen Halbinsel ging aus der Grafschaft Portucale hervor und war der von 1139 bis 1910 bestehende Vorgängerstaat der Portugiesischen Republik. Im Zuge der christlichen Rückeroberung von al-Andalus eroberte es im 13. Jahrhundert die Algarve und erreichte die Ausdehnung des heutigen portugiesischen Staatsgebiets.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Portugal

    1211 verstarb König Sancho I. Sein Sohn Alfons II. folgte ihm nach. Er ist mit dem Beinamen „der Dicke“, in Portugal aber auch als Rei Legislador also als der „Gesetzgeber-König“ in die Geschichte eingegangen. Er berief 1211 die erste Cortes (Cortes von Coimbra) ein und schuf das erste zusammenhängende portugiesische Gesetzwerk. In seinen Gesetzen fortschrittlich, versuchte er die Königsmacht zu Lasten des Adels und der Kirche zu stärken, was ihn im Volk sehr beliebt machte, ihm aber auch die Gegnerschaft der Kirche eintrug. So wurde er wiederholt gebannt und verwies seinerseits den Erzbischof von Braga des Landes. Mit Hilfe von ins Land geholten Kreuzfahrern nahm er die Reconquista wieder auf und eroberte Setúbal sowie Alcácer do Sal.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Portugal_unter_den_Burgunderherrschern (Aug 2023)

    Alfons heiratete Prinzessin Urraca von Kastilien (von Portugal) in 1208. Urraca (Tochter von König Alfons VIII. von Kastilien und Königin Eleanore von England (Plantagenêt)) wurde geboren am 1186 od 1187 in Coimbra; gestorben am 3 Nov 1220 in Lissabon. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 144. König Sancho II. von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 8 Sep 1207; gestorben am 4 Jan 1248.
    2. 145. König Alfons III. von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren am 5 Mai 1210 in Coimbra; gestorben am 16 Feb 1279 in Lissabon.
    3. 146. Königin Eleonore (Leonor) von Portugal  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1211; gestorben am 28 Aug 1231; wurde beigesetzt in St. Bendts Kirche, Ringsted.

    Familie/Ehepartner: unbekannt. [Familienblatt] [Familientafel]


  39. 100.  Graf Peter (Pedro) von PortugalGraf Peter (Pedro) von Portugal Graphische Anzeige der Nachkommen (61.Dulce5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren am 23 Feb 1187; gestorben am 2 Jun 1258.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Mallorca; Herr von Mallorca
    • Titel (genauer): 1229 bis 1231, Grafschaft Urgell; Graf von Urgell (durch seine Ehefrau)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Peter_von_Portugal_(1187–1258) (Aug 2023)

    Peter von Portugal (portugiesisch Pedro de Portugal; * 23. Februar 1187; † 2. Juni 1258) war ein portugiesischer Infant, iure uxoris ein Graf von Urgell und Herr von Mallorca aus dem Haus Burgund. Er war ein jüngerer Sohn des Königs Sancho I. von Portugal und der Dulce von Barcelona.

    Nachdem er aufgrund eines familieninternen Konflikts zum Exil aus Portugal gezwungen war, hatte Peter unterstützt durch Alfons IX. von León 1212 einen Krieg gegen seinen Bruder Alfons II. geführt. Danach hatte er sich zunächst als Söldnerführer im Dienst der Almohaden in Nordafrika verdingt, bis er nach dem Tod Alfons’ II. wieder nach Portugal zurückkehren konnte. 1227 unterstützte er seinen Neffen Sancho II. bei der Eroberung von Mérida.

    Schließlich war Peter nach Aragón an den Hof seines Vetters, König Jakob I., gezogen. Dort heiratete er 1229 die königliche Konkubine Aurembiaix, durch die er in den Besitz der großen Grafschaft Urgell gelangte. Nachdem Aurembiaix bereits 1231 starb, erhob König Jakob I. einen Anspruch auf Urgell. Peter überließ es ihm am 29. September 1231 bereitwillig und wurde dafür im Gegenzug zum „Herrn des Königreichs Mallorca“ (Petrus, infans portugalense, Dei gratia regni Maioricarum dominus) ernannt.[1] Zusammen mit dem Erzbischof von Tarragona und Nuno Sanchez von Roussillon eroberte er 1235 Ibiza und Formentera. Die Herrschaft über Mallorca tauschte er 1244 gegen mehrere Landgüter im Königreich Valencia wieder ein und beteiligte sich in den Kämpfen gegen die letzten maurischen Rebellen in diesem Königreich.[2] Zehn Jahre später verkaufte Peter seine Güter in Valencia an die Krone Aragóns und wurde wieder mit Gütern auf Mallorca beschenkt.

    Titel (genauer):
    Das Königreich Mallorca (katalanisch Regne de Mallorca, lateinisch Balearicum Regnum) war ein von 1229 bis 1715 existierendes Teilreich der Krone von Aragón, das auf Territorien im Nordosten des heutigen Spaniens und im Süden des heutigen Frankreichs lag. Das Königreich war während seiner gesamten Existenz mit der Krone Aragón assoziiert, wobei es zwischen den Jahren 1276 und 1344 von einem Seitenzweig des aragonesischen Königshauses regiert wurde. Es umfasste in dieser Zeit neben den Balearischen Inseln, nach denen es alternativ auch „Königreich der Balearen“ benannt wird, auch das heute französische Rossilló, die Cerdanya und die Herrschaft Montpellier; die Hauptstadt war Perpinyà.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Königreich_Mallorca

    Titel (genauer):
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Grafen_von_Urgell

    Peter heiratete Gräfin Aurembiaix von Urgelll in 1229. Aurembiaix (Tochter von Graf Ermengol VIII. (Armengol) von Urgell und Elvira von Subirats) gestorben in Aug 1231 in Balaguer; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei Sant Hilari in Lleida. [Familienblatt] [Familientafel]


  40. 101.  Prinzessin Berengaria von PortugalPrinzessin Berengaria von Portugal Graphische Anzeige der Nachkommen (61.Dulce5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren in 1194; gestorben in 1221.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Königin von Dänemark

    Notizen:

    Berengaria hatte mit Waldemar II. vier Kinder, drei Söhne und eine Tochter.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Berengaria_von_Portugal

    Berengaria (* 1194; † 1221) war Königin von Dänemark.
    Sie war die Tochter des portugiesischen Königs Sancho I. und seiner Gattin Dulce von Barcelona. Ihr Bruder Ferdinand war durch die Ehe mit Johanna von Flandern seit 1212 Graf von Flandern. Bei ihm hielt Berengaria sich vor ihrer Hochzeit auf.
    Sie heiratete 1214 König Waldemar II. von Dänemark, Sohn des Königs Waldemar I. der Große und seiner Gemahlin Sophia von Minsk. Das Paar bekam vier Kinder:
    • Erik IV. (1216–1250)
    • Sophia (1217–1247) ∞ Johann I. von Brandenburg
    • Abel (1218–1252) ∞ Mechthild von Holstein
    • Christoffer (1219–1259) ∞ Margarete Sambiria von Pommern
    Berengaria liegt in der St.-Bendts-Kirche in Ringsted begraben, an der Seite ihres Mannes und ihrer Vorgängerin, Waldemars erster Frau Dagmar. In Volksballaden wurden die beiden Frauen als Gegenspielerinnen und Gegensätze dargestellt: Während Dagmar mild und gütig erscheint, soll Berengaria zwar schön, aber habgierig und hartherzig gewesen sein.



    Weblinks
    •  Commons: Berengaria of Portugal – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Niels Henrik Holmqvist-Larsen: Berengaria (ca. 1197 - 1221). In: Dansk kvindebiografisk leksikon
    • Ein Volkslied über Königin Berengaria in deutscher Übersetzung bei Wilhelm Grimm: Altdänische Heldenlieder, Balladen und Märchen, Mohr und Zimmer, 1811, S. 351 ff. (online)

    Berengaria heiratete König Waldemar II. von Dänemark in 1214. Waldemar (Sohn von König Waldemar I. von Dänemark, der Grosse und Königin Sophia von Dänemark (von Minsk)) wurde geboren am 28 Jun 1170; gestorben am 28 Mrz 1241. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. 147. König Erik IV. von Dänemark  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1216; gestorben am 10 Aug 1250 in Missunde.
    2. 148. Sophia von Dänemark  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in 1217; gestorben in 1247.
    3. 149. König Christoph I. von Dänemark  Graphische Anzeige der Nachkommen wurde geboren in cir 1219; gestorben am 29 Mai 1259 in Ribe, Dänemark.

  41. 102.  Fernando (Ferdinand, Ferrand) von PortugalFernando (Ferdinand, Ferrand) von Portugal Graphische Anzeige der Nachkommen (61.Dulce5, 37.Petronella4, 21.Ramiro3, 7.Felicia2, 1.Alix1) wurde geboren am 24 Mrz 1188; gestorben am 26 Jul 1233; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei von Marquette.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Flandern und Hennegau durch Heirat (ab 1212)

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_(Flandern) (Okt 2017)

    Ferdinand von Portugal (port: Fernando, altfranzösisch: Ferrand; † 1233), war ab 1212 ein Graf von Flandern und Hennegau als Ehemann der Gräfin Johanna. Er war ein jüngerer Sohn des Königs Sancho I. von Portugal.
    Ferrand wurde am 1. Januar 1212 nach Vermittlung seiner Tante Mathilde, der Witwe des Grafen Philipp von Flandern, mit der Gräfin Johanna verheiratet, die sich als Mündel König Philipps II. von Frankreich am königlichen Hof in Paris befand. Auuf der Reise nach Flandern wurde das Paar aber von dem Kronprinzen Ludwig gefangen genommen, der so die Herausgabe des Erbes seiner Mutter, Isabella von Hennegau, einer Tante Johannas, erzwingen wollte. Dieses Erbe umfasste die Grafschaft Artois, wurde aber einst von Johannas Vater Graf Balduin IX. nach Isabellas Tod (1190) gewaltsam zurückbehalten.

    Nachdem Johanna und Ferrand die Städte Aire-sur-la-Lys und Saint-Omer an den Kronprinzen abgetreten hatten, wurden sie freigelassen. Allerdings wechselte Ferrand durch diese Vorkommnisse in eine oppositionelle Haltung gegenüber der Krone. Als König Philipp seine Vasallen 1213 zu einer Invasion nach England in Boulogne zusammenrief, verweigerte sich Ferrand der Heerfolge. Nachdem der König die Invasion absagen musste, wendete er sich mit dem Heer Richtung Flandern, das er schnell unterwarf; Ferrand konnte sich lediglich in Walcheren halten. Zusammen mit dem ebenfalls abtrünnigen Grafen Rainald I. von Dammartin floh er im Herbst 1213 nach England, wo sie im Januar 1214 König Johann Ohneland huldigten und sich damit gegenüber dem König von Frankreich der Felonie schuldig machten. Wenig später landete Ferrand mit einem Heer, unterstützt durch englische Ritter unter William Longespée, wieder an der Küste Flanderns und vereinte sich dort mit einem Heer des römisch-deutschen Kaisers Otto IV., um den entscheidenden Schlag gegen den König von Frankreich zu führen. Die Verbündeten wurden aber am 27. Juli 1214 in der Schlacht bei Bouvines vernichtend geschlagen, Ferrand wurde verwundet und geriet in die Gefangenschaft König Philipps. Mehr als zwölf Jahre dauerte seine Haft in der Burg des Louvre; während dieser Zeit regierte Johanna in Flandern und Hennegau alleine.

    Erst nach dem Tod des Königs Ludwig VIII. wurde Ferrand von der regierenden Königinmutter Blanka von Kastilien im Januar 1227 wieder freigelassen. Er musste dafür ein Lösegeld von 25.000 Livres zahlen und die Städte Douai und Lille an die Krone übergeben. Von da an stand er loyal zur Krone und unterstützte die Regentin im Kampf gegen die rebellierenden Barone um Peter Mauclerc. Er starb 1233 und wurde in der Zisterzienserabtei von Marquette bestattet.

    Fernando heiratete Gräfin Johanna von Flandern (von Konstantinopel) am 1 Jan 1212. Johanna (Tochter von Kaiser Balduin I. von Konstantinopel (von Hennegau) und Kaiserin Marie von Champagne (Blois)) wurde geboren in 1200; gestorben am 5 Dez 1244 in Marquette-lez-Lille; wurde beigesetzt in Zisterzienserabtei von Marquette. [Familienblatt] [Familientafel]